Exilé de Florence, ne trouvant des deux côtés de l’Apennin que les lambeaux de la patrie rêvée, voyant Rome déchue, le pape à Avignon, Henri VII tombé devant Sienne, Anjou à Naples, la tyrannie partout, Dante réalise ses mots de naguère : « Nos autem, cui mundus est patria, velut piscibus æquor » (De vulg. eloq. […] Laissons de côté tous les poetæ minores, pour en arriver à ce fait capital, qui ne pouvait se produire qu’en Italie : une littérature en langue latine accaparant brusquement les meilleurs esprits, et interrompant pendant presque un siècle l’évolution de la littérature en langue italienne.
Mais ce côté du théâtre romain n’avait rien de lyrique. […] Telle est cette plainte désespérée de Philoctète, qu’il faut lire seulement à côté des vers grecs : Heu !
Ce qu’on jette à la face de Sainte-Beuve tourne par un côté à son honneur, et l’on montre, en s’en servant à cet usage, qu’on ne l’a point senti. […] Trop de critiques, tant du côté rationaliste que du côté chrétien, nous ont fait voir que la religion naturelle n’était qu’un christianisme privé de sa vertu spécifique, dépouillé des croyances mystiques et surnaturelles qui en font le nerf et le feu. […] Pourtant elle s’accorde par quelque côté aux préoccupations morales de ceux qui sentent et comprennent notre temps et cherchent à le définir sans convention. […] Je me rends compte néanmoins qu’on ne saurait l’être plus que Moussorgsky, et cela du côté le plus sympathique, le plus humain. […] J’y ai souvent mangé à côté d’Emile Faguet déjà célèbre et qui ne dédaignait pas d’ébouriffer de ses calembours son blanc-bec de voisin.
… — Quant à moi, je ne me tourne même pas de son côté. […] On est de trois côtés protégé comme par un manteau de Laferrière, gracieux et commode et, devant soi, on a une fenêtre immense, un horizon infini, toujours le même et toujours nouveau. […] Je crois qu’on l’a emmené de Paris ; j’écris de tous côtés dans le cas où ces misérables viendraient à être attrapés par les âmes charitables auxquelles je m’adresse. […] Et leur côté ridicule est bien mal drapé par la grande robe tragique. […] Grévy ne sont que des petits garçons à côté d’Alexandre.