Nous demandions pour notre part que cette lubie des temps actuels lui passât très vite, et nous avions appris avec bonheur qu’il préparait un livre d’histoire sur une époque limitrophe à celles que, dans les Césars, il avait déjà étudiées et sur lesquelles il s’était montré si vivant, si compétent et si renseigné.
« Tué — disait-il au Journal — deux cents hirondelles… » Cela n’a pas porté tant de bonheur à sa maison !
Ce christianisme sans gêne est fort au-dessous d’un protestantisme quelconque, car le Protestantisme a des liens qui l’embrassent et qui le retiennent en des Communions déterminées, et comme le Catholicisme, mais avec moins de bonheur et de facilité que le Catholicisme, il a toujours essayé de défendre son unité, sans cesse menacée et faussée d’ailleurs par son principe même.
Et ce n’est pas le front radieux devenu pensif, la lèvre rieuse devenue souriante, qui pensent et chantent tant de vers comme ceux-ci : Le cœur, lys éternel, fleurit dans tous les temps ; Le bonheur est un dieu qui vaut bien le printemps !