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1778. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre II. La Renaissance. — Chapitre II. Le théâtre. » pp. 2-96

—  La mort, et la perte éternelle de tout ce que nous aimons, la jeunesse, la force, le plaisir, la compagnie, l’avenir, la raison elle-même.

1779. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre IV. L’âge moderne. — Chapitre I. Les idées et les œuvres. » pp. 234-333

On la voit qui tente le passage, dans Coleridge par exemple, théologien philosophe et poëte rêveur, qui s’efforce d’élargir le dogme officiel, et qui, sur la fin de sa vie, devenu une sorte d’oracle, essaye, dans le giron de l’Église, de démêler et de dévoiler devant quelques disciples fidèles le christianisme de l’avenir.

1780. (1933) De mon temps…

Elle est respectueuse du passé et pleine de confiance en l’avenir.

1781. (1907) L’évolution créatrice « Chapitre III. De la signification de la vie. L’ordre de la nature et la forme de l’intelligence. »

Plus nous prenons conscience de notre progrès dans la pure durée, plus nous sentons les diverses parties de notre être entrer les unes dans les autres et notre personnalité tout entière se concentrer en un point, ou mieux en une pointe, qui s’insère dans l’avenir en l’entamant sans cesse.

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