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825. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 196-203

Il étoit spirituel, mais voluptueux, voyant toutes choses avec beaucoup de lumiere, & en jugeant sainement, mais plus capable de les conseiller que de les faire ; ainsi, se trouvant foible, paresseux, & purement Homme de Cabinet, il espéroit de sa délicatesse, avec un Empereur délicat, ce qu'il ne pouvoit attendre du Peuple Romain, où il eût fallu se pousser par ses propres moyens, & agir fortement par lui-même ».

826. (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « Appendice. Note concernant M. Laurent-Pichat, et Hégésippe Moreau. (Se rapporte à la page 395.) » pp. 541-544

Ils avaient tous promis à mon noble ambassadeur ; mais, fatigué d’attendre, j’allai moi-même réclamer leur parole.

827. (1889) L’art au point de vue sociologique « Préface de l’auteur »

La conception d’un lien de société entre l’homme et des puissances supérieures, mais plus ou moins semblables à lui, où il voit l’explication de l’univers et dont il attend fine coopération matérielle ou morale, voilà ce qui, selon nous, fait l’unité de toutes les doctrines religieuses.

828. (1824) Notes sur les fables de La Fontaine « Livre deuxième. »

Il semble que l’âme de La Fontaine n’attend que les occasions de s’ouvrir à tout ce qui peut être intéressant.

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