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1055. (1863) Nouveaux lundis. Tome I « Lettres de Madame de Sévigné »

En voici un pourtant, où Mme de Sévigné nous apparaît dans tout le feu et toute l’activité de son rôle de grand’-maman, occupée de changer la nourrice de sa petite-fille que Mme de Grignan lui a confiée en partant pour la Provence : « Pour votre enfant, voici de ses nouvelles.

1056. (1865) Nouveaux lundis. Tome III « Chateaubriand, jugé par un ami intime en 1803, (suite et fin) » pp. 16-34

Il n’importe pas seulement de bien saisir un talent au moment du coup d’essai et du premier éclat, quand il apparaît tout formé et plus qu’adolescent, quand il se fait adulte ; il est un second temps non moins décisif à noter, si l’on veut l’embrasser dans son ensemble : c’est le moment où il se gâte, où il se corrompt, où il déchoit, où il dévie.

1057. (1865) Nouveaux lundis. Tome III « Le Mystère du Siège d’Orléans ou Jeanne d’Arc, et à ce propos de l’ancien théâtre français (suite et fin.) »

À son état mondain, il apparaît richement habillé, sur le pied de chevalier, son oiseau sur le poing, et Brunamont, son page, mène ses chiens après lui.

1058. (1866) Nouveaux lundis. Tome V « M. Octave Feuillet »

La petite comtesse, qui apparaît comme le boute-en-train des chasses, n’est elle-même qu’une des nombreuses hôtesses du lieu, mais des plus impérieuses, des plus enfants gâtées et des plus étourdies : c’est une amazone à la mode du jour.

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