Une première, « exhumant les temps de l’homme animal, les visions de la Préhistoire ». […] Ainsi, à l’intersection de cette masse musclée et du nez court, évasé, sensuel et comme animal, l’on eût dit qu’un orage passionnel couvait éternellement ses puissances !
Et s’il le choya, ce fut comme on fait une pièce rare ; s’il le supporta, ce fut comme on supporte un animal favori.
Mais il est naturel que la division du travail littéraire amène la création d’une critique professionnelle, celle-là même dont Voltaire parle en ces termes : « On a vu, chez les nations modernes qui cultivent les lettres, des gens qui se sont établis critiques de profession, comme on a créé des langueyeurs de porcs pour examiner si ces animaux qu’on amène au marché ne sont pas malades.
Il a toujours et partout substitué l’animal au héros, la chaleur du sang à l’espérance exaltée.