L’idée de l’organisation s’empare de tous les esprits : aux siècles critiques, on oppose les siècles organiques ; à l’analyse, la synthèse.
Je ne mets ici en ligne de compte que le sentiment des critiques, car on doit compter pour rien les analyses et les discussions en une matiere qui ne doit pas être décidée par voïe de raisonnement.
Lire un philosophe, c’est le relire si attentivement qu’on l’analyse.
Reybaud est visible ; tous les critiques n’entrent pas dans des détails aussi domestiques ; mais que de fois des théories sur l’art, des vues historiques, toutes les recherches de l’esprit et de l’expression tiennent-elles la place de l’analyse que j’attends !