Et du coup, naissent la chevalerie et les cours d’amour. […] Mais l’amour de la mer subordonne tout en lui. […] Même ses amours sont troublées et, à l’improviste, coupées par les rappels de la grande jalouse. […] « Cet amour-là, on en trouve pour quarante sous ! […] Amour de tête, mais encore de l’amour.
L’Amour artificiel. — 1889. […] En amour. — 1890. […] Amour de savants. — 1890. […] Le Songe de l’amour. — 1889. […] Leur amour a attendri jusqu’à un vieux cocher de cabriolet qui apporte au roman sa note comique.
Mais une Page d’amour ? […] Est-il un récit plus navrant que l’histoire de ses amours avec M. […] Ajoutez que nul de nous ne fait bien que ce qu’il fait avec amour. […] » C’est une déclaration d’amour. […] pour l’amour de ce décor et de ces raffinements de romantisme.
L’amitié, la tendresse paternelle, filiale et conjugale, la religion, dans quelques caractères, ont beaucoup des inconvénients des passions, et dans d’autres, ces mêmes affections donnent la plupart des avantages des ressources qu’on trouve en soi ; l’exigence, c’est-à-dire le besoin d’un retour quelconque de la part des autres, est le point de ressemblance par lequel l’amitié et les sentiments de la nature se rapprochent des peines de l’amour, et quand la religion est du fanatisme, tout ce que j’ai dit de l’esprit de parti s’applique entièrement à elle. Mais quand l’amitié et les sentiments de la nature seraient sans exigence, quand la religion serait sans fanatisme, on ne pourrait pas encore ranger de telles affections dans la classe des ressources qu’on trouve en soi ; car ces sentiments modifiés rendent cependant encore dépendant du hasard : si vous êtes séparé de l’ami qui vous est cher, si les parents, les enfants, l’époux que le sort vous a donné, ne sont pas dignes de votre amour, le bonheur que ces liens peuvent promettre, n’est plus en votre puissance ; et quant à la religion, ce qui fait la base de ses jouissances, l’intensité de la foi, est un don absolument indépendant de nous ; sans cette ferme croyance, on doit encore reconnaître l’utilité des idées religieuses, mais il n’est au pouvoir de qui que ce soit de s’en donner le bonheur.