On peut dire que « la dialectique est l’air dont les autres sciences ne sont qu’un vain prélude ».
Que ce soit dans la rue et dans la multitude, Que ce soit dans la nuit et dans la solitude, Son fantôme dans l’air danse comme un flambeau.
Les trahisons d’autrui donnaient à son habile indécision un air de persévérance, et l’immoralité publique élevait au-dessus de son prix son inactive vertu.
Supposons un être en train de tomber d’une hauteur considérable, d’un ballon à quatre mille mètres en l’air : cet être n’éprouvera-t-il pas ce sentiment particulier et indéfinissable qui est le sentiment de chute, et cela sans avoir besoin d’aucune réflexion sur les mouvements qu’il accomplit ?