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463. (1853) Propos de ville et propos de théâtre

Le soir, on racontait l’affaire devant D… . — Encore touché, dit-il ! […] Un témoin déclare qu’il y a, honneur sauf de part et d’autre, possibilité d’arranger l’affaire. […] — Voyons, expliquez-moi l’affaire, dit H… — en se levant néanmoins et en procédant à sa toilette. — De quel vin buvait-on ?  […] — Alors, laisse-nous arranger l’affaire, dirent les témoins. […] L’artiste, s’apercevant du premier coup qu’elle a affaire à un palefrenier, s’empresse de l’adresser à sa cuisinière.

464. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » pp. 319-320

Il la vit s'evanouir en un moment avec la même tranquillité qu'il l'avoit acquise ; & lorsqu'il se trouva réduit au simple nécessaire : Me voilà tiré d'affaire , dit-il ; je revivrai de peu, cela m'est plus commode .

465. (1907) Propos littéraires. Quatrième série

C’est arrivé à l’affaire des dogmes que M.  […] Nous avons affaire à un homme uniquement de parole et d’action, qui, par la parole et par l’action, a fondé la République. […] Albert Jean, pour la clarté de l’affaire, qui écrira sur M.  […] Bernadotte, du reste, était assez Gascon pour laisser voir cela et se tirer d’affaires par un mot drôle. […] Le talent est affaire de hasard.

466. (1864) Cours familier de littérature. XVII « Ce entretien. Benvenuto Cellini (2e partie) » pp. 233-311

Vous pouvez lui dire de ma part que, s’il ne me ramène pas Ascanio d’ici à ce soir, il aura affaire à moi, et que je traiterai de même le garçon, s’il ne sort pas de sa boutique. […] « Le cardinal ne me donna que dix jours pour arranger mes affaires dans Rome, et m’y préparer. […] Je lui parlai de mon affaire Altoviti, et ensuite de Michel-Ange, sur lequel je lui racontai une anecdote que j’avais passée sous silence. […] « Parmi ceux qui me félicitèrent le plus, se trouvaient deux gentilshommes qui avaient été envoyés auprès du duc, de la part du vice-roi de Naples, pour des affaires d’État. […] « Le lendemain, le duc, après quelques propos joyeux, me dit : Demain, sans faute, j’expédierai votre affaire.

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