C’est un petit poëme en cinq acte, plus galant & plus enjoué que le Lutrin de Boileau, aussi légèrement écrit que le Vert-vert.
En effet le parterre rit presqu’aussi haut qu’à une scene de comedie à la répresentation de la derniere scene du second acte d’Andromaque, où Monsieur Racine fait une peinture naïve des transports et de l’aveuglement de l’amour veritable, dans tous les discours que Pyrrhus tient à Phoenix son confident.
Le sens philosophique de puissance est, d’ailleurs, à peu près le sens littéraire d’impuissance, virtualité conçue qui ne passe pas à l’acte. […] Sans heurt, silencieusement, par l’acte même de sa nature, le rêve, en passant à la vie, se dépose en tristesse, comme une nuit froide et pure en rosée. […] Si l’écriture tente l’absolu, de quel religieux respect, doit s’environner son acte ! […] Faut-il priser « des états de rareté sanctionnés par le dehors, ou qui purement ne sont l’acte d’écrire ? […] Mais cet art dépasse cette question, comme l’acte transcende la réflexion qu’il permet.
— une messe de Palestrina, un acte de Lulli, une entrée de ballet de Rameau. […] Et leur acte aura des conséquences nécessaires : mais il leur appartenait d’agir de telle ou telle sorte. […] Or, le drame tient dans le quatrième et dernier acte, dans une partie du quatrième et dernier acte. […] Quatrième acte : Madeleine est malade ; on le serait à moins. […] Le sculpteur a signifié l’acte brutal et inutile, odieux à cause de cela, le meurtre.