Encouragé par le clergé de son diocèse, il demande l’appui de Rome.
1149 » Le faible Pilate n’y tint pas ; il lut d’avance le rapport que ses ennemis enverraient à Rome, et où on l’accuserait d’avoir soutenu un rival de Tibère.
Avant le chapitre de Benjamin Constant, il y aurait encore à faire celui du voyage d’Italie en 1813, le séjour à Rome, la liaison avec Canova, le marbre de celui-ci, qui cette fois, pour être idéal, n’eut qu’à copier le modèle ; puis le séjour à Naples auprès de la reine Caroline et de Murat.
Ce rôle, en effet, fut important ; dans les conflits qu’il soutint contre Guillaume le Roux et même contre son habile successeur Henri Ier, Anselme, fidèle à ce qu’il considère comme ses engagements et ses devoirs envers la cour de Rome, vérifie point par point ce portrait : on le voit l’homme des embarras, des difficultés et des scrupules ; il les engendre en lui, et, quand ils sont une fois soulevés, il attend la solution d’ailleurs, il ne la trouve jamais de lui-même.