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565. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « De la retraite de MM. Villemain et Cousin. » pp. 146-164

À tout moment, en le lisant, on se redit les vers d’Horace ou de Lucrèce, si bien traduits par Molière, sur les illusions particulières aux amants qui donnent un joli nom à chaque défaut de la personne qu’ils aiment : Et dans l’objet aimé tout leur devient aimable !

566. (1872) Les problèmes du XIXe siècle. La politique, la littérature, la science, la philosophie, la religion « Livre II : La littérature — Chapitre III : La littérature du xviiie et du xixe  siècle »

N’oublions pas que Schlegel, qui avait tant d’esprit, ne comprenait absolument rien à Racine ou à Molière.

567. (1912) L’art de lire « Chapitre VIII. Les ennemis de la lecture »

La Fontaine, dans sa fable Contre ceux qui ont le goût difficile, emploie le mot critique dans le même sens ; Molière de même : « un cagot de critique… car il contrôle tout ce critique zélé ». — Dès lors, si La Bruyère l’emploie dans ce sens, ce que l’on voit qui est probable, La Bruyère a raison.

568. (1818) Essai sur les institutions sociales « Chapitre V. Seconde partie. Des mœurs et des opinions » pp. 114-142

Notre immortel Molière signale, par un de ses chefs-d’œuvre, l’époque où les femmes commencèrent à vouloir entrer en partage avec les hommes, et à cesser d’être sous le joug de l’antique tutelle.

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