C’est un feu que Dieu nous a confié ; nous devons le nourrir de ce que nous trouvons de plus précieux. […] C’est un étrange rétrécissement d’esprit que d’aimer une science pour haïr toutes les autres ; il faut laisser ce fanatisme à ceux qui croient qu’on ne peut plaire à Dieu que dans leur secte.
Les hommes inspirez pouvoient bien emploïer des paraboles, pour nous exposer plus sensiblement les veritez que Dieu nous reveloit par leur bouche. Dieu leur inspiroit lui-même les figures dont ils devoient se servir, et l’application qu’il en falloit faire.
Duranty, Assézat et Max Buchon, — que Dieu fit un jour avec une côte de M. […] Entre autres monstruosités, vous y verrez ceci : « Le style n’existe pas plus sans l’idée que l’idée sans le style. » Et encore : « Traitez votre pensée comme Dieu traite ses montagnes, — du granit dessous, des fleurs dessus (pages 92 et 95). » La doctrine romantique sur l’idée et le style est tout entière dans ces deux lignes.
— Plût à Dieu ! […] mais parce qu’il a montré comme représentant de la cause de Dieu un imbécile et particulièrement parce que, tout en raisonnant, Sganarelle tombe par terre et que Don Juan lui dit : « Voilà ton raisonnement qui se casse le nez ».