Les grandes vérités de l’art, dont la principale, Rien n’est beau que le vrai, fait le sujet de l’épître à Seignelay140; l’utilité qu’on doit tirer des critiques injustes, pour s’exciter à n’en pas mériter de justes141; l’amour de la campagne, pour s’y étudier soi-même commodément, et en devenir meilleur142; le noble témoignage qu’il se rend à lui-même des motifs qui ont conduit sa plume et dirigé sa vie143 ; l’éloge du travail et la critique de l’oisiveté144; l’amour de Dieu, selon la doctrine catholique, c’est-à-dire avec l’espoir des récompenses éternelles145 ; des remercîments délicats à Louis XIV pour les bienfaits qu’il en a reçus146 : tels sont les sujets de ces épîtres, où s’épanche une humeur pacifique et indulgente.
Il avait consigné le résultat de ses recherches archéologiques et techniques, sur un sujet qui lui était cher, dans un excellent ouvrage pour la composition duquel il avait visité et étudié les armureries les plus célèbres, aussi bien que les collections privées.
Il a étudié les manœuvres de certaines plantes insectivores, telles que le Drosera et la Dionée, pour saisir leur proie.
Le premier de ces points n’a pas été étudié, mais l’opinion populaire lui est favorable. […] Pourquoi les casuistes ont-ils étudié les cas de conscience de l’amour ?