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809. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Le roi Stanislas Poniatowski et Madame Geoffrin »

Mais, dès qu’il s’en allume une, M. de Mouy, comme les bedeaux qui éteignent les cierges dans les églises, ne manque jamais de planter dessus l’éteignoir d’une observation, et, quelquefois, d’une petite critique… « Mon cher fils, mon cher Roi, mon cher Stanislas-Auguste, — écrit un jour Madame Geoffrin, — vous voilà trois personnes en une seule et vous êtes ma Trinité ! 

810. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XXI. Philosophie positive »

nous voulons mettre l’Académie des Sciences dans la rue en attendant que nous la mettions dans l’Église, et vive la science !

811. (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « Agrippa d’Aubigné »

Son père l’avait, en effet, trempé dans le Styx de toutes les horreurs du temps, pour le faire demeurer ce qu’il ne cessa d’être contre l’Église catholique : — éternellement implacable !

812. (1904) Les œuvres et les hommes. Romanciers d’hier et d’avant-hier. XIX « Édouard Gourdon et Antoine Gandon » pp. 79-94

Ancien directeur de l’Histoire des églises de France, il a touché autrefois d’une main compétente à ces études historiques auxquelles il reviendra sans doute ; car, par ce temps de délabrement et de philosophie épuisée, l’histoire est le dernier mot et la dernière ressource de tous les esprits vigoureux.

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