Dans ses Femmes de la Révolution, il a retrouvé tout entière son ancienne rage contre le prêtre, à propos des femmes près desquelles il le voit toujours, et qui furent hostiles à la confiscation des biens de l’Église, à la boucherie de l’échafaud !
Il a enfin été absolu, — ce qui estime horrible chose pour Pelletan, — absolu comme l’Église elle-même, cette autre horrible chose aussi, et Pelletan le voit toujours entre ces deux horreurs !
Exalter l’œuvre éternellement glorieuse de l’Église, un livre enfin dont la doctrine est pure et le sentiment très droit.
Il y a des interprétations de textes, des recherches philologiques dont je ne suis pas juge, n’étant pas philologue, et dont je ne voudrais pas être juge, étant chrétien et catholique, et ne reconnaissant que l’Église et la Vulgate, — les seules autorités qui fassent taire ces disputes de mots et cesser toutes ces chiffes tirées entre pédants.