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660. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 417-418

Pourquoi M. de Vaugelas a-t-il retranché dans la seconde édition de son Livre, cette pensée qui est une des meilleures & des plus vraies de son Recueil ?

661. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Troisième partie. Disposition — Chapitre VII. Narrations. — Dialogues. — Dissertations. »

Dans un sujet simple et court, dans une composition de collège, histoire ou fiction, dont l’unité est toujours stricte et le dessin peu compliqué, la forme la meilleure, la plus maniable et la plus efficace, est la forme dramatique : dialogue à part, bien entendu. […] Taine pour guide7 : vous n’en sauriez choisir de meilleur, ni qui vous fasse mieux saisir comment La Fontaine a composé ses Fables, comment on doit composer toute espèce de récit.

662. (1890) L’avenir de la science « VI »

Les meilleurs juges reconnaissent que, de toutes les branches des études philologiques, l’Orient, l’Inde surtout, peuvent offrir pour l’histoire de l’esprit humain les plus précieuses données. […] Nous sommes si timides contre le ridicule que tout ce qui peut y prêter nous devient suspect ; or les meilleures choses, en changeant de nom et de nuances, peuvent être prises par ce côté.

663. (1883) Souvenirs d’enfance et de jeunesse « Préface »

Dans le passé, aux meilleures heures, nous n’avons été que tolérés. […] Celles-là sont assurément les meilleures.

664. (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « Tallemant des Réaux »

C’est un écrivain élégant, pur et coloré, qui, par parenthèse, nous a donné la meilleure traduction qu’il y ait de lord Byron dans notre langue, et qui, si nous en jugeons par sa manière d’écrire, a le sens très développé des choses littéraires. […] Comment se fait-il qu’il nous déclare sérieusement que l’obscur Tallemant des Réaux fut un des meilleurs littérateurs de son époque, et que son livre, à cela près de quelques crudités de langage, peut très bien se ranger sur les tablettes d’un homme de goût, entre les Mémoires du duc de Saint-Simon et les Lettres de madame de Sévigné ?

665. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « La Femme au XVIIIe siècle » pp. 309-323

Je crois même que si on remontait jusqu’à cette Femme au xviiie  siècle, leur meilleur livre pourtant, on pourrait y retrouver quelque chose des premiers linéaments, des premiers traits de ce réalisme dont ils ont été les générateurs, et le dégager de ce livre où il n’apparaît pas encore avec cette netteté qui viole le regard… L’abus du détail, l’accumulation des infiniment petits dans la description effrénée, illimitée, aveuglante, qui tient toute la place de l’attention et qui prend celle de la pensée, la matérialité plastique exagérée et impossible en littérature, on pourrait, en cherchant bien, trouver tout cela dans cette Femme au xviiie  siècle, qui, quand elle fut publiée pour la première fois, a passé sans qu’on y vit tout cela. […] Avant MM. de Goncourt, des historiens modernes : Michelet, Audin, Dargaud, saisis, tous les trois, en raison des plus rares facultés artistiques, de cet amour des arts plastiques devenu presque la seule passion d’une société qui gâte ses passions les meilleures par les affectations de sa vanité, et qui les déshonore bientôt en les transformant en manie, avaient deviné le parti qu’on peut tirer, pour l’histoire d’un temps, de l’art de ce temps, et ils l’avaient souvent évoqué dans leurs œuvres.

666. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « M. Matter. Swedenborg » pp. 265-280

Les mauvaises traductions sont la meilleure épreuve des poètes. […] ou en chercher une explication meilleure que toutes celles qui ont été données ? 

667. (1909) Les œuvres et les hommes. Philosophes et écrivains religieux et politiques. XXV « Le Marquis Eudes de M*** »

Quoique sous forme de polémique, c’est la meilleure histoire qu’il y ait à cette heure des phénomènes mystérieux qui tiennent en éveil le monde tout entier. […] L’auteur des Esprits et de leurs manifestations fluidiques a fait davantage : il les a implicitement résolues ; mais n’était-ce pas la meilleure manière de les poser ?

668. (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « Mme de Girardin. Œuvres complètes, — Les Poésies. »

Et aux yeux de la Critique elle-même, aux yeux de la Critique qui vient trente ans après faire tomber de son doigt glacé la poudre rose, or et argent qui saupoudre encore ce que Delphine Gay a écrit, pour voir le vrai de ce qui est tracé sous cette poussière étincelante, ce moment est aussi le meilleur de sa pensée, et ce moment de Delphine Gay, Mme de Girardin a pu le regretter sans cesse, car elle ne le retrouva jamais ! […] Mais moi, par exemple, qui n’ai point de reconnaissance à garder envers la mémoire de Mme de Girardin, moi qui n’ai pas été reçu chez elle et qui n’ai pas bu dans les verres à champagne de ses soupers cette décoction de lotus qui fait oublier la Critique, j’oserai très bien écrire qu’en somme Mme de Girardin, cette Philaminte, mais sans le bourgeois, le cuistre et le grammatical de la Philaminte de Molière, Mme de Girardin, l’auteur des Deux amours, du Lorgnon, de La Canne de M. de Balzac, et dont les deux meilleures chosettes, La Joie fait peur et Le Chapeau d’un horloger, sont des comédies de paravent, ne fut guère qu’un talent de salon qui ne s’élevait pas beaucoup plus haut que les corniches.

669. (1892) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Cinquième série « Quelques « billets du matin. » »

La très longue liaison de Flaubert avec cette personne me paraît être une des meilleures facéties de l’ironique Providence qui nous gouverne. […] Un des meilleurs, et des mieux doués parmi ceux de mes amis qui sont plus jeunes que moi, Jules Tellier, vient de mourir. […] J’ai le jugement bien meilleur et l’esprit bien plus large qu’à Paris. […] Au lieu des groupements artificiels d’autrefois, nous aurions des groupements naturels ; et chacun, étant plus sincère, travaillerait mieux et de meilleur cœur. […] S’ils faisaient ce petit effort, nous aurions tout de suite une meilleure politique.

670. (1911) La morale de l’ironie « Chapitre II. Le rôle de la morale » pp. 28-80

À cette condition elle sera une bonne montre, d’autant meilleure qu’elle s’y conformera mieux. […] Un individu, ou un organe, dont la fonction est bien définie par les besoins de la société ou de l’organisme dont il fait partie, « doit » remplir cette fonction de manière à assurer à l’ensemble la vie la meilleure et le développement le plus harmonieux. […] Je me trouve parmi vous sans l’avoir voulu, j’y suis un étranger, et je tâche de tirer, d’une situation fâcheuse, le meilleur parti. […] Mais ce que l’on admire en ces cas-là, ce n’est pas réellement l’individu lui-même, c’est ce qu’il y a, encore et toujours, de social en lui, c’est sa lutte contre une société criminelle ou trompée au nom d’une autre société supposée meilleure. […] À moins pourtant que l’on ne voie dans l’opposition systématique faite pour n’importe quelles raisons à la société actuelle, la seule et nécessaire voie nous menant à une société meilleure.

671. (1938) Réflexions sur le roman pp. 9-257

Il aurait pu continuer cette œuvre et continuer sur cette voie, son roman étant meilleur et ses raisons d’y renoncer moins bonnes qu’il ne croyait. […] Une des satisfactions les meilleures que chaque livre de M.  […] « Bérénice va disparaître, mais je garde le meilleur d’elle-même. […] Lettre suit. » J’ai entendu Catulle Mendès proclamer cette dépêche le meilleur de ses ouvrages : ce qui n’est pas beaucoup dire. […] Edmond Jaloux a écrit sous ce titre La Fin d’un beau jour un roman assurément distingué, mais qui n’est pas son meilleur.

672. (1886) Le roman russe pp. -351

C’est là leur véritable service, leur meilleure contribution au progrès intellectuel du pays. […] Les Russes la tiennent jusqu’à présent pour un de leurs meilleurs titres littéraires. […] voilà ce qui nous met en défiance contre les meilleurs tableaux de l’épopée. […] Mérimée la trouvait « entre les meilleurs humoristes anglais ». […] » Ce cri sera toujours la meilleure sanction des œuvres d’imagination.

673. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XLVII » pp. 186-187

. ; mais, comme association, comme Ordre, ils n’ont eu que ce qu’ils méritent, car les meilleurs peuvent à l’instant devenir mauvais et funestes par leur loi d’obéissance : c’est toujours le bâton dans la main de l’aveugle.

674. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — G — Grenier, Édouard (1819-1901) »

Jules Lemaître Chacune de ses œuvres est un de ces rêves où l’on s’enferme et où l’on vit des mois et des ans, comme dans une tour enchantée… Il est le représentant distingué d’une génération d’esprits meilleure et plus saine que la nôtre.

675. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Mariéton, Paul (1862-1911) »

Nous reconnaissons qu’il a la faculté de sertir de charmantes rimes, et il arrive à se rapprocher des meilleurs sectateurs de M. 

676. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » pp. 80-81

Il n’est jamais meilleur Ecrivain, que lorsque l’honnêteté guide sa plume.

677. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — J. — article » pp. 517-518

« Né, dit-il, avec un esprit vif, élevé, entreprenant, une conception facile, une mémoire sûre, un génie subtil & délié, beaucoup de facilité à s’exprimer, un cœur faux & dissimulé, une ambition sans bornes, il se donna tout entier à l’étude, en sorte qu’il devint bon Grammairien, meilleur Rhétoricien, excellent Humaniste.

678. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 523-524

Grosley, Avocat, a écrit la Vie des deux freres ; c’est la meilleure que nous ayons, sans qu’elle soit toutefois exempte de plusieurs défauts.

679. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 274-275

C'est sur-tout en cela qu'on peut le regarder comme un des meilleurs modeles de Poésie pastorale, quoique la chaleur du sentiment n'anime pas toujours ses Interlocuteurs.

680. (1914) Une année de critique

Voici les meilleures pages du livre. […] Monsieur Bois se soucie d’une meilleure organisation du ménage. […] Si tu semblés aider à quelqu’un des gestes humains, ce n’est point que tu le juges meilleur que les autres. […] Le poète d’Horizons ne l’a pas inventée pour les meilleurs d’entre ses lecteurs. […] Vaudoyer a écrit là, il me semble, quelques-unes de ses meilleures pages.

681. (1883) La Réforme intellectuelle et morale de la France

La France du suffrage universel n’en aura jamais de beaucoup meilleur. […] Ou les choses humaines vont changer leur marche, ou ce qui est le meilleur aujourd’hui ne le sera pas demain. […] Le suffrage à deux degrés introduirait un principe aristocratique bien meilleur. […] Notre instruction secondaire, quoique fort critiquable, est la meilleure partie de notre système d’enseignement. […] La Prusse en offre le meilleur modèle.

682. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — A — Aurier, Georges-Albert (1865-1892) »

Mais là Aurier pécha moins par omission que par jeunesse, et s’il montra un talent moins sûr que son intelligence, c’est que toutes les facultés de l’âme n’atteignent pas à la même heure leur complet développement ; chez lui, l’intelligence avait fleuri la première et attiré à soi la meilleure partie de la sève.

683. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — D — Delarue-Mardrus, Lucie (1874-1945) »

Les poèmes en sont simples, d’une pensée douce et un peu grave, d’une forme et d’un rythme sûrs… Mme Lucie Mardrus peut être rangée au nombre des meilleurs poètes.

684. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Murger, Henry (1822-1861) »

Ses meilleurs endroits sont toujours les ébauches faciles, assez gracieuses dans leur facilité, d’un homme qui, peut-être, sera un artiste demain… En parcourant ces pages incorrectes et lâchées, et ces vers dans lesquels l’émotion ne peut sauver le langage, on a senti que cette langue de poète avait le filet… On ne le lui coupa pas et jamais il ne se l’arracha… Dans ses Nuits d’hiver comme dans sa Vie de Bohême, il n’a pas plus d’inspiration personnelle qu’il n’a de style à lui.

685. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — P — Privas, Xavier (1863-1927) »

Il excite, quand il se met au piano et que de sa belle voix, forte et bien timbrée il accompagne les notes, tout ce qu’il y a de meilleur au fond de nous-mêmes.

686. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » pp. 401-402

Les Littérateurs les moins portés à lui rendre justice n’ont pu s’empêcher de reconnoître dans l’Ode sur le Jugement dernier, dans la Satire du dix-huitieme siecle, & dans celle que l’Auteur a intitulée Mon Apologie, un excellent ton de versification, des images grandes & sublimes, des pensées courageuses, des tableaux pleins de feu & d’énergie, & un grand nombre de vers que les meilleurs Poëtes du siecle dernier n’auroient pas désavoués.

687. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 214-215

Ses foudres s'étendent jusque sur nos meilleurs Auteurs ; la réputation de Lafontaine lui a toujours paru mal fondée, &c.

688. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 256-257

Il s'en faut bien que son Recueil, connu sous le titre de Jeux poétiques, mérite les mêmes reproches ; aussi est-ce son meilleur Ouvrage.

689. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 427-429

Le meilleur Ouvrage de l'Abbé de Vertot est, sans contredit, l'Histoire des Révolutions Romaines ; le style en est noble, élégant ; la narration rapide, & pleine de chaleur ; les portraits en sont intéressans, quoique tracés, la plupart, d'imagination ; les réflexions, naturelles, mais peu profondes.

690. (1759) Salon de 1759 « Salon de 1759 — Carle Van Loo » pp. 92-93

La figure serait mieux appuyée sur le plat de la main, et cette main aurait été d’un meilleur choix.

691. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Seconde partie — Section 36, des erreurs où tombent ceux qui jugent d’un poëme sur une traduction et sur les remarques des critiques » pp. 534-536

Si nous supposons encore que ce polonois raisonneur, vienne à bout de persuader à ses compatriotes qu’on est capable de juger d’un poëme dont on n’entend point la langue, après en avoir lû la traduction et la critique, ils ne manqueront pas de prononcer que Chapelain est meilleur poëte que le grand Corneille.

692. (1902) La formation du style par l’assimilation des auteurs

Un catalogue d’expressions originales eût été meilleur. […] Sera-t-il capable d’inventer des pensées équivalentes, quand il aura aligné celles des meilleurs auteurs ? […] Molière tire bien meilleur parti de cette idée. […] Dans la langue française, l’amplification donnait de meilleurs résultats. […] Le meilleur moyen est de s’inspirer des deux et de corriger l’un par l’autre.

693. (1902) Le problème du style. Questions d’art, de littérature et de grammaire

Elles sont meilleures que les épithètes ; on dirait que l’auteur manque de mots et que son imagination est bien plus riche que sa langue. […] C’est un paysagiste honnête, consciencieux, un guide excellent et qui vous fera voir, au meilleur moment et du meilleur endroit, le soleil couchant qui éclaire en dessous le feuillage des arbres « de ses rayons safranés », les fait briller « des feux de la topaze et de l’émeraude ». […] C’est encore le meilleur des livres à côté du magnanime rêveur. […] Mais son travail, enrichi d’images belles et logiques, est un meilleur guide que tel ouvrage systématique où manque justement le point de comparaison. […] Avant d’aller plus loin, on fera bien de songer que, s’il est bon de plaire à autrui, il est meilleur encore de ne pas se nuire à soi-même.

694. (1903) Le problème de l’avenir latin

Le meilleur de sa vie s’écoule en syllabes. […] La terre doit appartenir en fin de compte à ceux qui sauront l’aménager avec le plus de perfection, en faire la meilleure habitation pour l’homme et en tirer le meilleur parti possible. […] Les meilleures de ses œuvres et de ses idées continueront à féconder le monde. […] Certains doivent périr pour que d’autres, meilleurs et plus grands, puissent vivre. […] Elles représentent quelque chose d’autre, de meilleur et de plus vital.

695. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — P — Du Plessys, Maurice (1864-1924) »

L’éloquence est l’une des vertus de ce poète, qui s’y applique avec la conviction qu’écrire bien dans sa langue est encore la meilleure manière de penser juste.

696. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — T — Tellier, Jules (1863-1889) »

Les meilleurs ayant lu cela célébreront M. 

697. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 374-376

On doit donc savoir gré à M. de Brebeuf, d’avoir semé dans la sienne des vers heureux, des pensées sublimes, des morceaux d’une élégance & d’une précision que nos meilleurs Poëtes ne désavoueroient pas, & qu’ils ont même imités.

698. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 388-389

Le caractere du Grondeur est d’une vérité, d’un comique, les nuances en sont développées avec une finesse & un génie qui placent cette Comédie immédiatement après les meilleures que Moliere ait faites ; elle pourroit même prétendre à l’égalité, si le dénouement répondoit au reste.

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