M.Hugo, M.de Vigny, bientôt M.Alfred de Musset, George Sand dès que ce talent eut éclaté, et au milieu de tout cela M.de Balzac, M.Dumas, d’autres personnes encore qui ne se piquent pas d’être citées en si haut rang à côté d’eux, tous successivement ou à la fois, furent associés, appelés, sollicités même (plusieurs s’en vantent aujourd’hui) à contribuer de leur plume à l’œuvre commune. […] Voilà le vrai ; et de plus, il est résulté de ces années d’expérience et de pratique commune que cette doctrine critique, qu’on cherchait à introduire dès l’abord, s’est formée de la manière dont ces sortes de choses se forment le mieux, c’est-à-dire lentement, insensiblement, comme il sied à des hommes d’âge déjà mûr, qui ont passé par les diverses épreuves de leur temps, et qui sont guéris des excès.
Ses odes républicaines, excepté celle du Vengeur, semblent à bon droit communes, sèches et glapissantes ; elles ne lui furent peut-être pas pour cela moins énergiquement inspirées par les circonstances. […] L’élégie de Le Brun est sèche, nerveuse, vengeresse, déjà sur le retour, savante dans le goût de Properce et de Callimaque ; l’imitation de l’antique n’en exclut pas toujours le fade et le commun moderne.
Hypéracuité d’une part, plus grande intensité de vie de l’autre, ces deux qualités communes à toute introspection s’exaspèrent ici du fait qu’il s’agit d’introspection douloureuse. […] Les fonctions digestives relevées, on devait « attaquer la névrose nullement guérie » nécessitant « des années de régime et de soins » et d’abord l’obliger à « rentrer dans la vie commune ».
Dans les situations communes de la vie, on se fait illusion sur son propre mérite ; mais un sentiment actif fait découvrir à l’ambitieux la mesure de ses moyens, et sa passion l’éclaire sur lui-même, non comme la raison qui détache, mais comme le désir qui s’inquiète ; alors, il n’est plus occupé qu’à tromper les autres, et pour y parvenir, il ne se perd pas de vue ; l’oubli d’un instant lui serait fatal, il faut qu’il arrange avec art ce qu’il sait, et ce qu’il pense, que tout ce qu’il dit ne soit destiné qu’à indiquer ce qu’il est censé cacher : il faut qu’il cherche des instruments habiles, qui le secondent, sans trahir ce qui lui manque, et des supérieurs pleins d’ignorance et de vanité, qu’on puisse détourner du jugement par la louange ; il doit faire illusion à ceux qui dépendent de lui par de la réserve, et tromper ceux dont il espère par de l’exagération. […] Ils ont pour ennemis le besoin qu’a le public de juger et de créer de nouveau, d’écarter un nom trop répété, d’éprouver l’émotion d’un nouvel événement : enfin, la multitude, composée d’hommes obscurs, veut que d’éclatantes chûtes relèvent de temps en temps le prix des conditions privées, et prêtent une force agissante aux raisonnements abstraits qui vantent les paisibles avantages des destinées communes.
Une idée générale, quand elle n’est pas seulement une idée vague, est un résumé d’expériences nombreuses ; elle embrasse et dégage les caractères communs d’une collection d’êtres et d’une série de faits. […] Et puis il n’est pas question de reformer les pensées d’autrui : il est question de former les vôtres, et dans l’étoffe commune il faut tailler à votre mesure.
Enfin on réunira le plus qu’on pourra de faits analogues ; plus on aura ramassé d’exemples, plus on aura chance de dégager la véritable loi ; plus il sera aisé de distinguer les caractères vraiment essentiels et communs des circonstances étrangères et des particularités locales. […] « Toute l’opération, dit-il, consiste à découvrir, par des comparaisons nombreuses et des éliminations progressives, les traits communs qui appartiennent à toutes les œuvres d’art, en même temps que les traits distinctifs par lesquels les œuvres d’art se séparent des autres produits de l’esprit humain. » Considérant donc les cinq grands arts, peinture, sculpture et poésie, architecture et musique, se fondant sur des faits que fournissent l’expérience ordinaire, l’histoire des grands hommes, celle des arts et des lettres, observant tantôt l’œuvre de Michel-Ange ou celle de Corneille, tantôt les peintures de Pompéi ou les mosaïques de Ravenne, il fait cette première induction, que l’objet de l’œuvre d’art semble être l’imitation de la nature.
D’autre part, si curieux qu’ait été Ronsard de s’éloigner du vulgaire, il n’a jamais hésité à condamner les auteurs turbulents qui, « voulant éviter le langage commun, s’embarrassent de mots et manières de parler dures, fantastiques et insolentes ». Il veut que l’on soit clair, en n’étant pas commun ; et, qu’il s’agisse de l’élocution ou de la conception, il hait l’extravagant et l’inintelligible.
Faguet l’a très bien dit, il est au courant d’une foule de choses dont la connaissance n’était pas commune en son temps. […] De même les artistes et les écrivains vivaient à part, chacun de leur côté : Mme Geoffrin avait son dîner des artistes et son dîner des écrivains, qui n’avaient pas beaucoup de convives communs.
L’Amour de Michelet est un livre ardent et grave, candide, d’un accent religieux, et qui n’a donc pas grand’chose de commun avec l’Amour de Stendhal ou la Physiologie du Mariage de Balzac. […] Désirer la possession d’un corps afin d’en tirer, pour soi, d’agréables secousses nerveuses… quoi de commun entre cela — et aimer ?
Du moins y faudrait-il, à défaut de génie, une longue méditation et plus de « vie intérieure » que n’en a le commun de nos dramaturges. […] Et l’effacement de ces nuances sous la pourpre du commun martyre eût été ici presque tout le drame.
Être accusé de manquer de cœur est le sort commun de tous les artistes non effrontés, qui ne font pas de leur cœur métier et marchandise, et qui ne l’accommodent pas en mélodie pour piano ; peut-être faut-il qu’on soit resté simple et instinctif pour deviner l’être aimant et divinement tendre, en lisant le Triomphe de Pétrarque et l’héroïque Thermodon ; mais il me semble difficile que le premier venu puisse lire sans pleurer les strophes émues et déchirantes inspirées à Théophile Gautier par la mort de sa mère. […] Je voudrais qu’ils reconnussent en lui au moins des dons peu communs de peintre à la plume, que tout au moins ils avouassent être en présence d’une merveilleuse vocation manquée.
Quand il a à peindre les choses vulgaires de la vie, il est au-dessous du commun. […] Les femmes aiment la spiritualité, la douceur ; elles n’ont pas besoin de revêtir leurs émotions d’un caractère exceptionnel, leur cœur étant très accessible à la poésie des sentiments communs ; par là et par d’autres traits, il semble que l’âme du grand poète, qui avait exprimé ces choses avec tant de puissance, appartienne elle-même au type féminin, si l’on ajoute à ce type la force qui s’y joint pour former la figure de l’ange.
Votre œil s’étend, votre vûe plane & profondément émus, vous vous écriez d’une commune voix : O ! […] Il est un autre fleau de l’humanité qui le détruit en détail, poison rongeur de l’ame qui l’attaque au milieu de la pompe & des grandeurs, ou plutôt qui la livre à elle-même, & la contraint à se dévorer, maladie commune aux Grands, sombre vapeur qui étend un voile lugubre autour de nous & flétrit l’Univers, état cruel qui sans avoir les traits aigus de la douleur nous l’a fait presque désirer pour sortir du moins de l’affreux dégoût d’une insipide existence, ce fleau est l’ennui qu’on peut appeller un demi trépas ; l’homme de Lettres a le secret de chasser ce monstre ténébreux.
Les deux maîtres étaient jeunes ; ils avaient beaucoup d’idées communes ; ils s’aimèrent et luttèrent devant le public de prévenances réciproques. […] Les deux jeunes enthousiastes, pleins des mêmes espérances et des mêmes haines, ont bien pu faire cause commune et s’appuyer réciproquement.
Il ne parlera donc que des dogmes essentiels, c’est-à-dire de ceux qui sont communs à tous les chrétiens. […] Tous ces dogmes ont un caractère commun ; ce sont des vérités surnaturelles, elles sont fondées sur des faits d’un caractère spécial, des faits surnaturels.
C’est ce qui fait dire à Virgile, en parlant du bonheur inestimable d’un heureux loisir que goûte un philosophe solitaire : « Il n’est point dans la nécessité de compatir à la misère d’un vertueux indigent, ou de porter envie au riche coupable. » La crainte et la pitié sont les passions les plus dangereuses, comme elles sont les plus communes : car, si l’une, et par conséquent l’autre, à cause de leur liaison, glace éternellement les hommes, il n’y a plus lieu à la fermeté d’âme nécessaire pour supporter les malheurs inévitables de la vie, et pour survivre à leur impression trop souvent réitérée. […] D’autres caractères, vertueux aussi, mais plus conformes à la nature commune, amolliraient l’âme et feraient prendre au spectateur une habitude de faiblesse et d’abattement.
Nous avons beaucoup de voyages de France, d’Italie, de Grèce ; mais celui-ci n’a presque rien de commun avec ceux que nous connoissons. […] Il n’est pas commun.
Ce visage est une lettre de recommandation écrite dans une langue commune à tous les hommes. […] Il existait en marbre ou sur la toile un modèle donné ; et celui qui aveuglé par sa passion s’avisait de comparer quelque figure commune avec la Vénus de Gnide ou de Paphos, était aussi ridicule que celui qui parmi nous oserait mettre quelque petit nez retroussé de bourgeoise à côté de madame la comtesse de Brionne : on hausserait les épaules, et on lui rirait au visage.
Mais derrière le mariage il y a l’adultère, — l’adultère, cette idée commune à tous les romans de ce temps qui n’a cherché qu’à le poétiser ! […] Originalité qui ravit les haïsseurs des idées communes, mais qui, à la réflexion, n’étonne pas dans l’auteur de l’Orpheline, — dans l’audacieuse de la Vie Parisienne, dont le procédé ordinaire est d’aller toujours aussi loin que possible dans la difficulté et le danger et de s’en tirer toujours, d’effleurer la crête de ces choses qui, en forçant d’un rien — de l’épaisseur d’un cheveu !
Grâce à ces principes, les faits de l’histoire certaine retrouveront leurs origines primitives, faute desquelles ils semblent jusqu’ici n’avoir eu ni fondement commun, ni continuité, ni cohérence. […] Orphée surtout, si on le considère comme un individu, offre aux yeux de la critique l’assemblage de mille monstres bizarres. — D’abord il vient de Thrace, pays plus connu comme la patrie de Mars, que comme le berceau de la civilisation. — Ce Thrace sait si bien le grec qu’il compose en cette langue des vers d’une poésie admirable. — Il ne trouve encore que des bêtes farouches dans ces Grecs, auxquels tant de siècles auparavant Deucalion a enseigné la piété envers les dieux, dont Hellen a formé une même nation en leur donnant une langue commune, chez lesquels enfin règne depuis trois cents ans la maison d’Inachus. — Orphée trouve la Grèce sauvage, et en quelques années elle fait assez de progrès pour qu’il puisse suivre Jason à la conquête de la Toison d’or ; remarquez que la marine n’est point un des premiers arts dont s’occupent les peuples. — Dans cette expédition il a pour compagnons Castor et Pollux, frères d’Hélène, dont l’enlèvement causa la fameuse guerre de Troie.
Où a-t-on vu, même aux bains de Dieppe, une telle facilité d’aborder le ministre, une telle ouverture à causer, chacun de ses affaires privées, dans la salle commune, une telle crédulité bruyante pour compromettre une jeune fille ?
Cet abus de notes et d’éclaircissements est devenu trop commun pour ne pas le signaler.
Sa haine du commun l’écartait de toute platitude, sa pente vers l’héroïque était rectifiée par de l’esprit ; car il avait beaucoup d’esprit, et c’est même une des faces de son talent, presque inconnue… Il a dramatisé toutes les passions, dit les plaintes de la momie, les triomphes du néant, la tristesse des pierres, exhumé des mondes, peint des peuples barbares, fait des paysages de la Bible et des chants de nourrices.
Mais Roumanille ne fut pas un antique : c’était un vivant et presque un réaliste, un réaliste catholique et un légitimiste militant : il correspondait avec Henri V et, dans un journal avignonnais, La Commune, il combattit avec acharnement le fourriérisme et le socialisme qui étaient en vogue vers 1848.
Mais tous ont travaillé séparément, sans plan commun.
Son pinceau sait ennoblir, par intervalles, les choses les plus communes, & peindre d’une maniere intéressante les objets les plus arides.
Duclos eut des liaisons avec les Philosophes de nos jours, ces liaisons ne l’empêcherent point de condamner leurs travers, comme on peut en juger par le morceau suivant : « On déclame beaucoup, depuis un temps, contre les préjugés ; peut-être en a-t-on trop détruit : le préjugé est la loi du commun des hommes…..
Le premier offre un tableau fidele de la vie, de la conduite, des usages, du gouvernement des Hébreux : le second, écrit avec une candeur & une onction peu communes, est en même temps une Introduction à l’Histoire Ecclésiastique, & une éloquente apologie de la Religion.
Il a eu cela de commun avec bien des Auteurs.
Leur coryphée Crispin, saisi d’un transport belliqueux, vient publiquement défier leur ennemi commun.
Ce mètre grave et simple est d’ailleurs commun à toute la série des Triomphes. […] Cette forme de satire n’a rien de commun avec la forme antique ; elle appartient tout entière au poète lombard. […] Jusqu’à présent, les débats de la Chambre des communes n’avaient jeté aucun jour sur l’importance politique de M. […] Assurément un tel, personnage n’a rien de commun avec Marie-Anne de Neubourg. […] Il ne confond pas dans une commune admiration toutes les œuvres qui portent ce nom.
L’horreur du commun le pousse dans l’artificiel, et le souci de l’élégance le jette dans les mignardises maniérées. […] Nulle floraison générale, nul renouveau de l’intelligence ne les ont engendrés, nul courant commun de doctrine, nul souffle de l’opinion ne les ont apportés. […] Nous croyons qu’il doit ce mérite peu commun à l’absence d’un défaut trop ordinaire aujourd’hui à nos jeunes écrivains. […] Quelque excentriques et bizarres qu’ils soient, les acteurs de ses récits ne s’éloignent donc jamais beaucoup du terrain commun où se rencontrent les diverses variétés de la nature humaine. […] Où est l’unité, où est la cohésion, où est la foi commune, où est la forme nouvelle reçue par la substance séculaire française, et cette vieille substance elle-même où toujours la saisir ?
Comparée à la rareté prodigieuse des œuvres réellement immortelles, l’immortalité du nom paraîtra presque chose commune, encore qu’un tel langage ait de quoi faire rire — ou pleurer, si l’on songe aux millions de petits auteurs impuissants qui se seraient bien contentés, les malheureux ! […] Un auteur dont le nom est totalement oublié, tandis que son oeuvre survit, avouerait presque toujours, s’il était sincère, que sa première et plus chère espérance est plus radicalement frustrée que dans le cas inverse, qui est pourtant bien plus commun. […] Les vers d’Arnault ne sont peut-être pas inférieurs aux siens ; mais combien le nom du poète élégiaque de la Chute des Feuilles tinte plus mélodieusement dans la mémoire de la postérité que le nom trop commun de l’auteur de la Feuille ! […] La science offre bien un refuge honorable à la médiocrité : là, tout le monde peut apporter sa modeste pierre à l’édifice commun ; mais tu n’es pas né pour un travail de maçonnerie. […] Loin d’être des modèles et des objets d’amour pour le commun de l’humanité, les grands hommes, plus dignes de pitié que d’envie, sont souvent des victimes de l’hôte surnaturel qui s’établit en maître chez eux et qui leur vend la gloire au prix de leur bonheur, de leur repos et de leur âme.
La prestigieuse ingéniosité de ces romans sacrés n’a rien de commun avec l’indiscutable Science. […] Elle suffit à démontrer que les Sciences, si elles ont des moyens communs d’investigation, doivent en avoir de particuliers. […] C’est la loi commune de toute âme qui grandit. […] Un pays que la Convention, les journées de Juin et la Commune n’ont pas ramené à la vérité politique en est peut-être à jamais incapable. […] C’est le sort commun.
Examinez la vie de nos auteurs contemporains : Labiche était maire de sa commune ; George Sand ne quittait plus Nohant ; M. […] Leur nature et leurs destinées sont communes. […] Elle repoussa Chénedollé, qui la chérit jusqu’à s’en aller après sa mort bêcher la terre pour retrouver son corps dans la fosse commune. […] Elle mourut sans avoir reçu l’adieu de son frère ; on l’enterra dans la fosse commune ; on ne put même retrouver sa croix. […] Les de Goncourt ont-ils fait autre chose que pétrir dans une pâte plus plastique la langue commune aux trois écrivains dont nous parlons ?
Et il en sera ainsi tant qu’une foi commune n’éclairera pas les intelligences et ne remplira pas les cœurs. […] Ce prolétaire qui se plaint, et qui réclame sa part de l’héritage commun, a donc besoin de la société, comme vous, riches, en avez besoin. […] Hommes de mon temps, où sont vos fêtes religieuses où le cœur des hommes bat en commun ? […] pour deux hommes, d’avoir un système uniforme de croyance morale, et un criterium commun de vérité et de certitude ! […] Ce n’est donc plus un corps ; ce sont les membres séparés d’un cadavre, lesquels, en tant qu’on les considère en eux-mêmes, peuvent encore vivre d’une vie propre, mais n’ont plus de vie commune.
Et, il ne le dit point, n’étant pas le prophète ou l’apôtre que l’on se représente, s’il n’est pas non plus le bouffon ou le Silène ivre, et n’ayant en vérité qu’un trait de commun avec son Panurge, qui est de craindre naturellement les coups ! […] Mais, ce qui me paraît bien plus significatif, il n’est, dans cette adoration des énergies de la nature, que l’interprète inspiré des idées communes de son temps ; et par là son Pantagruel a vraiment ce que l’on peut appeler, ce qu’il faut même qu’on appelle une portée « européenne ». […] Rien ne saurait être plus erroné ni d’une philosophie plus superficielle, que de se représenter la Réforme comme analogue en son principe à la Renaissance ; elle en est précisément le contraire ; et le seul point qu’elles aient eu de commun c’est d’avoir, un court moment, travaillé l’une et l’autre à l’émancipation de l’individu. […] C’est le trésor commun de l’humanité qui s’en augmentera. […] Caractères communs de ces œuvres ; — [Cf.
La destinée voulut que le futur membre de la Commune entrât comme élève dans la pension dont M. […] Taine, s’il se fût livré aveuglément à « son démon », — c’était la formule chère à Gœthe, notre commun chorège, — eût terminé ce récit. […] La raison de ce caractère commun à tant de romans est aisée à concevoir. […] Son regret était plus vif, parce qu’il avait plus longtemps poursuivi leur commune chimère. […] Il est si avare qu’il ne porte que des chemises de forte toile commune… « C’est pour mes rhumatismes », dit-il.
« L’humanité, dit-il, dépose incessamment son âme en une bible commune. […] Il s’en relevait à peine quand l’insurrection de la Commune éclata. […] Il nous montre les communes de Flandre fondées sur l’amitié. […] Il fit quelques leçons en 1871, avant et après la Commune. […] Michelet avait fait un dépouillement très complet des registres de la Commune, détruits depuis par les incendies de mai 1871.