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2074. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre III. L’âge classique. — chapitre VI. Les romanciers. » pp. 83-171

chapitre VI.

2075. (1841) Discours aux philosophes. De la situation actuelle de l’esprit humain pp. 6-57

Mais les forts, les puissants, se rient ouvertement de la société sur ce chapitre du mariage.

2076. (1887) Journal des Goncourt. Tome II (1862-1865) « Année 1863 » pp. 77-169

Puis revient le chapitre de Dieu.

2077. (1887) Journal des Goncourt. Tome II (1862-1865) « Année 1865 » pp. 239-332

Moi je suis un latin de Paris… moi, je me vois plutôt dans des affaires de chapitre, des diplomaties de communautés, avec une grande vanité de jouer des hommes et des femmes pour le spectacle de l’ironie.

2078. (1912) Réflexions sur quelques poètes pp. 6-302

L’Œdipe de Corneille Il y a dans le Traité du sublime de Longin9 un chapitre intitulé : Si l’on doit préférer le médiocre parfait au sublime qui a quelques défauts.

2079. (1891) Esquisses contemporaines

« Je disais bien », s’écrie Joubert29 dans le dernier des fameux Chapitres, les seuls morceaux de son œuvre qu’il ait achevés, « je disais bien : la matière est une apparence : tout est peu et rien n’est beaucoup ; car qu’est-ce que le monde entier ? […] Nous venons de résumer les deux premiers chapitres du livre de M. 

2080. (1924) Intérieurs : Baudelaire, Fromentin, Amiel

Bon gré, mal gré, nous devons tenir compte de ce Genevois, l’inscrire à la suite de Rousseau, de Mme de Staël, de Benjamin Constant, dans le long chapitre de nos analystes romands. […] Nos dix chapitres d’aujourd’hui ne sont presque pas des titres, des amorces sur des cahiers encore à peu près blancs.

2081. (1910) Propos littéraires. Cinquième série

La Lorraine était de cet avis, et c’est un bon chapitre et dont la nécessité n’était pas absolue, mais dont l’absence serait fâcheuse, que celui que Mgr Mathieu a écrit sur l’Opinion en Lorraine, de 1770 environ à 1789. […] Ces lettres décrétales forment environ trois cents chapitres du Corpus juris canonici, et les lettres particulières (sur tous sujets) qu’on a conservées de lui sont au nombre de six mille. […] Malentendu du cœur qui croit aimer le présent et qui aime le passé ; malentendu de l’intelligence qui croit qu’elle est le cœur, et qui croit aimer quand seulement elle admire ; malentendu des sens qui croient, ou du moins on le croit pour eux, qu’on peut se passer de leur consentement et qu’ils n’ont pas voix au chapitre de l’amour.

2082. (1895) Nouveaux essais sur la littérature contemporaine

Maury nous dit-il « qu’il en a dû retrancher plusieurs chapitres » ! […] Par exemple, déjà, dans son premier volume, au chapitre d’Hernani, M.  […] Il faut lire les cinq ou six chapitres où M. 

2083. (1895) Nos maîtres : études et portraits littéraires pp. -360

Les bois, le soleil, la mer, et le spectacle varié de la vie m’ont enseigné une métaphysique plus sérieuse et plus simple, et d’un usage infiniment plus commode, que toutes celles qu’on trouvera péniblement élaborées dans les premiers chapitres de ce livre. […] France (Revue bleue, 8 décembre 1894) Dans le dernier chapitre, l’un des plus importants et pour moi infiniment cher, de son délicieux Jardin d’Épicure, M.  […] Il est sûr que dans les derniers chapitres de son livre.

2084. (1898) Politiques et moralistes du dix-neuvième siècle. Deuxième série

Il ne faut pas oublier non plus son chapitre sur la concordance des Évangiles avec le système de Fourier, qu’il est permis de trouver amusant, mais qui respire un véritable respect et un véritable amour pour la personne et pour la parole de Jésus. […] Prime à celui qui se créera des appuis, c’est-à-dire à l’intrigant, à l’adulateur, au flatteur de passions, … et il convient de ne pas aller jusqu’au bout de ce chapitre. […] Le doux Ballanche en a fourni un chapitre, et non pas, comme nous le verrons, le moins curieux. […]  » Je ne vois pas ce qui l’y force, si ce n’est le nom que vous lui donnez, et qu’elle n’est pas tenue de prendre. — Jusque dans l’Esprit nouveau, avec une légèreté, cette fois incroyable, il fera tout un chapitre, et même sept ou huit, sur cette idée : la philosophie allemande moderne (Schopenhauer, Hartmann, il les nomme) est la philosophie du désespoir ; les vainqueurs sont désespérés, les vaincus joyeux, « les vaincus consolent les vainqueurs ; les Allemands devraient être enivrés de leurs triomphes, « on devrait s’attendre à rencontrer un prodigieux fantôme d’orgueil dans les créations de l’esprit allemand.

2085. (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre quatrième. La connaissance des choses générales — Chapitre II. Les couples de caractères généraux et les propositions générales » pp. 297-385

Chapitre II.

2086. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre III. L’âge classique. — Chapitre II. Dryden. »

Chapitre II.

2087. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre IV. L’âge moderne. — Chapitre II. Lord Byron. » pp. 334-423

Chapitre II.

2088. (1883) La Réforme intellectuelle et morale de la France

La France va-t-elle reprendre un chapitre interrompu de son histoire ?

2089. (1896) Journal des Goncourt. Tome IX (1892-1895 et index général) « Année 1894 » pp. 185-293

de la main gauche, il dessine avec sa facilité passée, sur la lecture qu’on lui fait d’un chapitre, d’une page.

2090. (1911) Nos directions

— Enfin le Prieur l’autorise à se confesser devant le chapitre ; admirable exemple d’humilité, puisque le parricide eût pu se taire. […] Biographie d’un homme de désirs, Paris, Presses de la Renaissance, 2008, p. 82, et le chapitre huit, « Le chantre du vers libre », p. 110-122.

2091. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome IV pp. -328

Le chapitre avoit fait les démarches nécessaires pour cela. […] Il entame là-dessus le chapitre des moines, & les déchire impitoyablement.

2092. (1853) Histoire de la littérature française sous la Restauration. Tome I

C’est en face de cette utopie que le comte de Maistre écrit son edoutable chapitre sur la guerre redoutable, c’est le mot, car l’auteur développe cette sombre thèse : « Il y a lieu de douter que la destruction violente de l’espèce humaine soit en général un aussi grand mal que l’on croit8. » N’est-ce point presque légitimer ce fléau, qui peut entrer dans les vues de la Providence, mais qu’il est dangereux de réhabiliter dans l’esprit des hommes ? […] Mais les vues qui terminent ce chapitre sont profondément vraies, parce qu’elles sont profondément chrétiennes : la paix universelle et perpétuelle suppose l’humanité restée dans un état d’innocence primitive ; l’humanité déchue suppose la guerre, car elle suppose dans tous les sens le combat, la lutte, la souffrance. […] Il démontre, par une étude attentive de ses divers écrits, que ce philosophe, plein de contradictions, est tantôt opposé au système des idées considérées comme des images émanées des corps, car il dit : « Les idées sont, comme les sensations, des manières d’être de l’âme » ; tantôt idéaliste, car il écrit ailleurs : « Ce sont les sensations qui nous représentent les corps ; les sensations, considérées comme représentant les corps, se nomment idées, mot qui, dans son origine, n’a signifié que ce que nous entendons par image » ; que tantôt il est égoïste, c’est-à-dire, en langue philosophique, qu’il ne croit pouvoir affirmer que sa propre existence parce qu’il la sent, sans pouvoir affirmer celle de l’univers, « où rien n’est visible pour nous », selon lui, car il a écrit tout un chapitre sous ce titre caractéristique : De l’incertitude du jugement que nous portons sur l’existence des qualités sensibles ; tantôt il tombe dans le nihilisme de Hume — car il a écrit cette phrase qui détruit la substance et anéantit l’être : « Le moi de la statue n’est que la collection des sensations qu’elle éprouve, et de celles que la mémoire lui rappelle » ; et ailleurs cette autre phrase : « Qu’est-ce qu’un corps ? […] Enfin, ce qu’il y avait de merveilleusement moral dans ce retour inespéré du droit prévalant contre la force, cette empreinte du doigt de Dieu qui apparaissait à la fin de ce chapitre de l’histoire de la révolution qui avait prétendu exiler Dieu des choses humaines, ce rapprochement de circonstances terribles et consolantes qui mêlaient la terreur à l’espoir et la joie à la tristesse ; tout, en un mot, concourait à la résurrection de la poésie.

2093. (1882) Hommes et dieux. Études d’histoire et de littérature

Avant-propos Je prie le lecteur de se figurer un atelier dans lequel l’artiste aurait rassemblé quelques-unes de ses études les moins imparfaites, pour les exposer aux yeux du public : un tableau d’histoire auprès d’une eau-forte, un dessin d’après l’antique à côté d’un portrait ou d’une fantaisie. C’est l’image de ce volume composé de morceaux écrits à des occasions très diverses. J’essayerais vainement de leur former un lien factice que briserait à chaque instant la diversité des sujets : ils n’ont entre eux d’autre analogie que celle de reproduire des scènes et des figures du passé. En recueillant ces feuilles dispersées, j’ai mis tous mes soins à corriger leur forme et à remplir leurs lacunes. A défaut de l’unité de composition, ce livre aura du moins celle de l’inspiration qui en a dicté toutes les pages : un grand amour de l’art et une recherche sincère de la vérité.

2094. (1896) Impressions de théâtre. Neuvième série

Pour le parallèle entre Ion et Apollonide, je vous renvoie à l’un des chapitres du livre très vivant et gesticulant de M.  […] Comparez telles de ses fantaisies aux merveilleux chapitres de Pantagruel : « Quelles contenances eurent Panurge et frère Jean durant la tempête » et « Comment, la tempête finie, Panurge fait le bon compagnon », et je suis bien sûr que vous serez de mon avis.

2095. (1910) Propos de théâtre. Cinquième série

Il est même assez comique à son tour en intitulant un de ses chapitres « Source profonde de cette gaieté » et en ne mettant littéralement rien dans ce chapitre. […] James Sully, ni, du reste, dans tout le chapitre qu’il a consacré à l’humour ?

2096. (1905) Propos littéraires. Troisième série

J’aurais souhaité, dans l’excellent chapitre final sur « l’Influence » de Malherbe, la discussion de cette question : pourquoi Malherbe a-t-il eu plus d’influence comme réformateur de la langue, comme grammairien, que comme poète ? […] Sainte-Beuve s’est amusé à faire un petit chapitre d’éthique amusante sur les sœurs des littérateurs célèbres et sur leur influence possible ou probable. […] Il est donc dans des conditions particulières où l’on est particulièrement exalté, nerveux et romanesque ; il est « en plein rêve », comme dit l’auteur, qui sait très bien choisir ses titres de chapitre.

2097. (1874) Histoire du romantisme pp. -399

Elle aura son chapitre à part ; il nous semble qu’en tête de cette histoire du Romantisme que nous avons commencée un peu au hasard, ramené vers nos souvenirs toujours vivants par la reprise de Ruy Blas 1 la radieuse figure de celui à qui, tout jeune, nous avons dit, comme Dante à Virgile : « Tu es mon maître et mon auteur », doive se trouver comme frontispice avec ses traits et son aspect d’autrefois. […] Ces excursions nous ont valu des pages d’un caprice charmant et qu’on peut mettre sans crainte à côté des meilleurs chapitres du Voyage sentimental de Sterne ; l’auteur de la façon la plus imprévue, mêle la pensée au rêve, l’idéal au réel, le voyage dans le bleu à l’étape sur la grande route ; tantôt il est à cheval sur une chimère aux ailes palpitantes, tantôt sur un maigre bidet de louage, et d’un incident comique il passe à quelque extase éthérée.

2098. (1906) Propos de théâtre. Troisième série

Vous vous rappelez dans les Jeune-France du même Gautier le fameux chapitre intitulé « l’Orgie échevelée ». […] Les colonels et les soldats-laboureurs et les soldats-curés d’Eugène Scribe ont leur place, et importante, dans ce chapitre de l’histoire littéraire. […] On les aimait ainsi en 1833… Ce chapitre de l’histoire par le théâtre est donc fort intéressant.

2099. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Notes et pensées » pp. 441-535

Ces gens-là manquent de l’aménité et de la légèreté, qui ne devraient jamais se séparer des qualités vraiment littéraires. (1846) LVIII Littré, homme d’un grand mérite, a un peu baissé dans l’estime de quelques bons juges, quand on l’a vu prendre si au sérieux Génin comme philologue LIX Je lis le chapitre de Nisard sur Descartes : toujours l’esprit français et sa gloritication.

2100. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre II. La Renaissance. — Chapitre II. Le théâtre. » pp. 2-96

Chapitre II.

2101. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre IV. L’âge moderne. — Chapitre I. Les idées et les œuvres. » pp. 234-333

Chapitre I.

2102. (1835) Critique littéraire pp. 3-118

Traité de la Concupiscence, chap. 

2103. (1805) Mélanges littéraires [posth.]

Plusieurs auteurs ont écrit sur l’art de déchiffrer : nous n’entrerons point ici dans ce détail immense, qui nous mènerait trop loin ; mais, pour l’utilité de nos lecteurs, nous allons donner l’extrait raisonné d’un petit ouvrage de s’Gravesande sur ce sujet, qui se trouve dans le chap.

2104. (1925) Les écrivains. Première série (1884-1894)

Taine, un chapitre de Rood sur la peinture, les recherches de Posnett sur la littérature de clan, de Perker sur l’origine des sentiments que nous associons à certaines couleurs, de Reuton et de Bain sur les formes du style. […] Les feuillets se déroulent, les chapitres se succèdent, enterrant les morts, amoncelant les ruines ; et le rire s’accentue.

2105. (1809) Tableau de la littérature française au dix-huitième siècle

Les premiers chapitres de Bélisaire rappellent le Télémaque ; et l’on regrette que l’auteur, au lieu de prétendre à instruire les rois et les peuples, comme tout écrivain s’y croyait alors obligé, n’ait pas suivi la vraie route de son talent, qui était de raconter et de peindre avec vérité. […] Saint Jean, chap. 

2106. (1865) La crise philosophique. MM. Taine, Renan, Littré, Vacherot

VI, chap. 

2107. (1714) Discours sur Homère pp. 1-137

Et quelle suite si dangereuse peut avoir la sincérité sur le chapitre d’Homere, pour n’oser convenir de ses défauts qu’à l’oreille ?

2108. (1842) Discours sur l’esprit positif

Les sept derniers chapitres du tome premier contiennent une admirable exposition dogmatique, aussi profonde que lumineuse, de la logique inductive, qui ne pourra jamais, j’ose l’assurer, être mieux conçue, ni mieux caractérisée en restant au point de vue où l’auteur s’est placé.

2109. (1889) La littérature de Tout à l’heure pp. -383

Dans le chapitre précédent il s’est agi des rapports de la Beauté et de la Vérité, du fond des choses.

2110. (1896) Hokousaï. L’art japonais au XVIIIe siècle pp. 5-298

Et voilà le morceau humoristique jeté par Hokousaï en tête du chapitre du saké : S’il y a le moraliste qui dit qu’à la première coupe c’est l’homme qui boit le saké, qu’à la seconde coupe c’est le saké qui boit le saké, qu’à la troisième coupe c’est le saké qui boit l’homme, il en est d’autres moins sévères qui déclarent qu’il n’y a pas de limite pour boire du saké tant que ça n’amène pas du désordre.

2111. (1774) Correspondance générale

Cette nouvelle édition est divisée par chapitres, augmentée de cartes géographiques, et d’un volume de plus. […] Je n’ai garde de mettre sur la même ligne un chapitre de Nicole ou de Montaigne, l’Iphigénie de Racine ou le Misanthrope de Molière avec un Traité des subsistance de première nécessité ; vous conviendrez que le plaisir que ces premiers ouvrages nous causent n’est pas sans utilité, et qu’il ne finira jamais.

2112. (1896) Les Jeunes, études et portraits

C’est un chapitre délicat, mais sur lequel l’auteur nous donne tant de détails, si abondants et si précis, que nous n’avons à l’aborder aucun scrupule. […] La matière lui faisant défaut et le sujet ayant « tourné », il ne semble plus que ces derniers chapitres soient de la même main : il manque la poussée intérieure, on n’aperçoit plus que l’inexpérience.

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