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3047. (1908) Dix années de roman français. Revue des deux mondes pp. 159-190

Et comme il groupe les êtres, il appelle et il use aussi toutes leurs facultés maîtresses. […] Il donne à ses héros des traits pris aux gens d’aujourd’hui, et ces traits appellent aussitôt de piquants et de significatifs rapprochements.

3048. (1906) La nouvelle littérature, 1895-1905 « Deuxième partie. L’évolution des genres — Chapitre II. La poésie lyrique » pp. 81-134

Ce matin, le Dieu d’ombre et de douceur m’a dit… Je greffe avec des chants sur les tendresses mortes, La tendresse des soirs où vivent les parfums, Et quand sonnent mes pas, les vergers un à un, Ouvrent pour m’appeler la candeur de leurs portes. […] Fernand Gregh l’a appelée la poésie humaniste.

3049. (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Appendice aux articles sur Roederer. (Voir page 393.) » pp. 533-543

. — Ils avaient formé une société qui s’appelait des altérés.

3050. (1864) Nouveaux lundis. Tome II « Mémoires de l’impératrice Catherine II. Écrits par elle-même, (suite.) »

Quand je vois, depuis le commencement de ce récit, le grand-duc, le futur Pierre III, ne pas faire un seul pas qui ne l’achemine à l’abîme et à la ruine profonde, il me semble constamment voir dans le même temps, derrière lui et au-dessus de lui, debout et voltigeant, ce fantôme fatal qui, le pied sur la tête des mortels, les pousse aux actes insensés, et qu’Homère appelle l’Imprudence.

3051. (1869) Nouveaux lundis. Tome XI « Frochot, Préfet de la Seine, histoire administrative, par M. Louis Passy. »

Le maître ne voulait que me faire tomber d’une main, et de l’autre main, suivant sa propre expression, me relever plus ou moins ; mais il a appelé pour cela trop de monde.

3052. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « LA REVUE EN 1845. » pp. 257-274

M.Hugo, M.de Vigny, bientôt M.Alfred de Musset, George Sand dès que ce talent eut éclaté, et au milieu de tout cela M.de Balzac, M.Dumas, d’autres personnes encore qui ne se piquent pas d’être citées en si haut rang à côté d’eux, tous successivement ou à la fois, furent associés, appelés, sollicités même (plusieurs s’en vantent aujourd’hui) à contribuer de leur plume à l’œuvre commune.

3053. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « L’abbé Prevost et les bénédictins. »

J’avois espéré, mon Révérend Père, que la grâce que vous m’aviez faite de m’appeler à Paris pourrait effacer des préventions si injustes, ou qu’elle les empêcheroit du moins d’éclater.

3054. (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section première. Des passions. — Chapitre II. De l’ambition. »

Il n’y a plus dans une nation que des combattants, l’impartial pouvoir qu’on appelle le public, ne se montre nulle part.

3055. (1875) Les origines de la France contemporaine. L’Ancien Régime. Tomes I et II « Livre premier. La structure de la société. — Chapitre I. Origine des privilèges. »

. — De tels services appellent une récompense proportionnée : on admet que, de père en fils, il contracte mariage avec la France, qu’elle n’agit que par lui, qu’il n’agit que pour elle, et tous les souvenirs anciens, tous les intérêts présents viennent autoriser cette union.

3056. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Première partie. Préparation générale — Chapitre V. De la lecture. — Son importance pour le développement général des facultés intellectuelles. — Comment il faut lire »

Si l’on appelait ses lectures à l’aide de ses sentiments, si l’on se provoquait ainsi à la réflexion, si l’on essayait de dégager ses émotions de l’inconscience, de les accrocher pour ainsi dire à ses idées, les unes et les autres, enseignements du livre et leçons de la vie, subsisteraient longuement en nous et ne s’écouleraient pas sans cesse comme un monceau de sable ou comme l’eau d’un vase fendu.

3057. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Deuxième partie. Invention — Chapitre VII. Induction et déduction. — Diverses causes des faux raisonnements »

Comme contre-épreuve de cette série d’observations, on regarde non plus l’œuvre, mais l’auteur, et l’on voit que chez tous les grands artistes, dans ce qu’on appelle inspiration ou génie, se rencontre toujours une impression originale fournie par un caractère de l’objet, « la vive sensation spontanée qui groupe autour de soi le cortège des idées accessoires, les remanie, les façonne, les métamorphose, et s’en sert pour se manifester ».

3058. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Troisième partie. Disposition — Chapitre V. Subordination et proportion des parties. — Choix et succession des idées »

Ce sera ce qu’on peut appeler la loi d’économie : on mettra chaque idée là où elle devra prendre le plus de force et produire le plus d’effet, là aussi où elle pourra le mieux s’acquitter de toutes les fonctions qui lui appartiennent, de façon qu’il n’y ait pas besoin de la rappeler dans le cours de l’ouvrage.

3059. (1895) Histoire de la littérature française « Troisième partie. Le seizième siècle — Livre III. Poésie érudite et artistique (depuis 1550) — Chapitre I. Les théories de la Pléiade »

Taine appelle si bien les mots de tous les jours.

3060. (1887) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Troisième série « (Chroniqueurs parisiens II) Henry Fouquier »

Et il a d’ailleurs, dans les moindres mouvements de sa sensibilité et de sa pensée, une grâce d’un charme si pénétrant que, si je ne puis l’appeler féminine, je ne saurai vraiment de quel autre nom la nommer.

3061. (1889) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Quatrième série « Barbey d’Aurevilly. »

Cette alliance de la songerie religieuse et de l’enragement charnel, des jeunes gens l’ont appelée « satanique » Comme il leur plaira !

3062. (1899) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Septième série « « L’amour » selon Michelet » pp. 47-66

… Il croira monter en grade si vous l’élevez à la dignité de Valet de chambre titré, à la position féodale de Chambellan, grand Domestique, grand Maître de votre maison… fier et honoré, madame, si Votre Majesté accepte ses très humbles services. » Et plus tard, quand la femme veut se faire le secrétaire de son mari : « … Il y a, à son bureau, quelqu’un qui s’est levé à quatre heures et qui a écrit les lettres pressées… Il s’éveille, ne la voit pas, s’inquiète, l’appelle.

3063. (1913) Les antinomies entre l’individu et la société « Chapitre V. L’antinomie esthétique » pp. 109-129

Peu d’artistes partageraient aujourd’hui l’espoir un peu naïf de Mme de Staël qui croyait que la littérature pourrait trouver dans les nouvelles conditions sociales des causes de renouvellement, que le théâtre, la philosophie et l’éloquence seraient appelée à un éclat imprévu46.

3064. (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. Bain — Chapitre I : Des sens, des appétits et des instincts. »

Il semble qu’on pourrait l’appeler surtout le sens de nos mouvements et de ce qui s’y rattache.

3065. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278

et se peut-on croire obligé d’éloigner, comme jugement téméraire, la pensée que le prodige de cet édit qui les appelle à la couronne après le dernier prince du sang, et qui leur en donne le nom, le titre, et tout ce dont les princes du sang jouissent et pourront jouir, n’ait pas été, dans leurs projets, un dernier échelon, comme tous les précédents n’avaient été que la préparation à celui-ci ; un dernier échelon, dis-je, pour les porter à la couronne, à l’exclusion de tous autres que le dauphin et sa postérité ?

3066. (1880) Les deux masques. Première série. I, Les antiques. Eschyle : tragédie-comédie. « Chapitre XV, l’Orestie. — les Choéphores. »

Ce rôle actif du Tombeau attendant et réclamant ses victimes s’accuse dans les Choéphores, dès la première scène : Oreste, rentré dans Argos, va droit à lui, pour prendre ses ordres et l’avertir qu’il est prêt : — « Me voici, Père, je l’appelle, afin que tu m’entendes et que tu m’exauces. » — Plus tard, il lui dira : « Ô toi, qui es un dieu sous la terre ! 

3067. (1889) Le théâtre contemporain. Émile Augier, Alexandre Dumas fils « Alexandre Dumas fils — Chapitre XI »

A ce moment, Sternay, saisi peut-être d’un remords sincère, lui demande de lui permettre de l’appeler son fils, quoiqu’il ne veuille pas le nommer son père. — « Oui, mon oncle », répond sèchement Jacques Vignot, et la toile tombe sur cette méchante épigramme.

3068. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Bossuet, et Fénélon. » pp. 265-289

Devenue veuve à l’âge de vingt-cinq ans, ayant de la beauté, du bien, une naissance honnête, un esprit fait pour le monde, elle voulut y vivre comme dans un cloître, & s’entêta de ce qu’on appelle spiritualité.

3069. (1765) Essais sur la peinture pour faire suite au salon de 1765 « Ce que tout le monde sait sur l’expression, et quelque chose que tout le monde ne sait pas » pp. 39-53

Un voluptueux qui tenait sa maîtresse entre ses bras, l’appelait ma reine, ma souveraine, ma déesse ; et ces propos fades dans notre bouche, avaient bien un autre sens dans la sienne.

3070. (1908) Les œuvres et les hommes XXIV. Voyageurs et romanciers « Eugène Fromentin ; Maxime du Camp »

La mauresque Haouâ est comme le rêve corporisé de ce voluptueux de contemplation qui s’appelle Fromentin.

3071. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXXVII. Des éloges en Italie, en Espagne, en Angleterre, en Allemagne, en Russie. »

Elle l’appelle, elle lui tend les bras : « Reviens, aies pitié de mes malheurs ; des traîtres me déchirent, des brigands me désolent. » Le héros sensible à ces accents, revole vers elle ; il le peint ensuite combattant au-dehors, et tour à tour la Suède, la Pologne, la Crimée, la Turquie, la Perse ; au-dedans, les Strelitz, les fanatiques, les patriarches et les Cosaques ; dans sa propre maison, les incendies, les empoisonnements et les assassinats ; il peint surtout son activité prodigieuse : « Que de courses, de trajets, de voyages ; la Dvina et le Niéper, le Volga et le Tanaïs, la Vistule et l’Oder, l’Elbe et le Danube, la Seine, la Tamise et le Rhin ont tour à tour dans leurs eaux réfléchi son image.

3072. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre premier. Des principes — Chapitre premier. Table chronologique, ou préparation des matières. que doit mettre en œuvre la science nouvelle » pp. 5-23

D’après la division des trois âges que reconnaissaient les Égyptiens, Hermès devait être un dieu, puisque sa vie embrassait tout ce qu’on appelait l’âge des dieux dans cette nomenclature19.

3073. (1899) La parade littéraire (articles de La Plume, 1898-1899) pp. 300-117

Il suffisait, en effet, à Eugène Montfort de raisonner ses émois pour écrire un traité, de les orchestrer pour que son œuvre fût un poème, de les objectiver dans un décor favorable afin de construire ce qu’il est convenu d’appeler un roman. […] Nous les appellerons, si vous le voulez bien, Urbain, Candide et Walter. […] Paul Fort (qu’il traite aujourd’hui de taupe et de fouine, après l’avoir appelé prodigieux poète)1 d’éreinter M.  […] Hamon appelle d’une manière plus précise le militaire professionnel.

3074. (1910) Rousseau contre Molière

», et c’est ce qu’on appelle une contradiction naturelle, et c’est la plus naturelle des contradictions. […] Vous avez la manie du bel esprit, de la sublime science, des académies, de tout ce qu’on pourrait appeler l’intellectualisme. […]   Or personne ne l’ignore, et Rousseau moins que personne, la vertu ne va jamais sans un peu de ridicule, qu’elle s’appelle héroïsme, désintéressement, abnégation, générosité, et l’on a fait un poème merveilleux d’humour en ridiculisant Don Quichotte. […] Dans l’École des Maris et dans l’Ecole des Femmes, Molière est très sensiblement ce que nous appelons féministe, et je veux dire par là : 1° qu’il se montre très partisan de la plus grande liberté de conduite et d’allures laissée aux jeunes filles et aux jeunes femmes ; 2° qu’il se montre très partisan d’une éducation et d’une instruction libérales données aux jeunes filles. […] C’est la femme qu’il aurait voulu avoir qu’il a appelée Sophie.

3075. (1898) Émile Zola devant les jeunes (articles de La Plume) pp. 106-203

On lui a fait une réputation d’immoralité, à lui qui fut le vulgarisateur de la morale nouvelle, de cette morale qu’on pourrait appeler « la morale du plein air », et dont l’unique règle, l’auguste précepte consiste dans le respect, l’adoration des lois de la nature. […] Vous dites excellemment que l’évolution romantique, l’évolution parnassienne (qui fut une épuration, une cristallisation de la forme, un dernier accord de la langue avant ce que Mallarmé appelle l’éparpillement des rythmes) ; vous dites que ces deux évolutions n’eurent qu’un retentissement dans les cénacles. […] Zola, appelé corrupteur par les catholiques est, selon moi, le plus moralisateur des écrivains, par la tristesse effroyable de ses peintures.

3076. (1862) Cours familier de littérature. XIII « LXXVIIe entretien. Phidias, par Louis de Ronchaud (2e partie) » pp. 241-331

» V Soit par cet instinct amoureux de la beauté des formes, soit par cet autre instinct d’éterniser ce qui est beau, soit par un goût plus physique et plus grossier pour le marbre, soit encore par cette espèce d’attrait irréfléchi et mécanique qui porte l’homme rêveur à s’asseoir auprès des ouvriers qui bâtissent un mur ou qui taillent la pierre, à rester en silence des heures entières à les regarder, et à écouter avec un ravissement indolent les coups du marteau cadencé sur la pierre musicale, l’atelier d’un sculpteur qui s’appelle Phidias, Michel-Ange, Canova, Pradier, David, Jouffroy, Préault, Salomon, n’importe ; l’atelier, dis-je, d’un sculpteur a toujours été pour moi un lieu de repos, d’attrait, de pensée ; Socrate, le plus spiritualiste des hommes, avait le même goût : il aimait à causer des choses invisibles, assis sur un bloc encore fruste de marbre pentélique, dans l’atelier de Phidias ; la poussière du marbre l’enivrait d’immortalité, la sonorité du bloc accompagnait mélodieusement ses entretiens. […] « Chez un peuple appelé par sa double vocation à cultiver la philosophie et les beaux-arts, d’un esprit indépendant et amoureux du beau, la forme humaine devait être et fut en effet l’objet d’un culte.

3077. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 8 mars 1886. »

Le grand mot est lâché ; car nous marchons, avec la représentation du Lohengrin, au-devant de ce que nous appelons une journée parisienne. Les soixante-dix mille braves gens dont j’ai parlé plus haut seront là ; mettons-en seulement cinquante mille, car il y aura dans la foule un minimum de vingt mille désœuvrés et de braillards toujours prêts à faire ce qu’ils appellent du boucan, à tout propos et sans que la cause repose autrement sur leur conviction.

3078. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Montluc — III » pp. 90-104

Nous ne le suivrons pas dans cette période sanguinaire, escorté de ses deux bourreaux qu’on appelait ses laquais, ne faisant point de prisonniers, et laissant partout, aux branches des arbres, sur les chemins, les insignes et les trophées de son passage.

3079. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Lettres sur l’éducation des filles, par Mme de Maintenon » pp. 105-120

Ainsi c’est bien Louis XIV qui, son attention une fois appelée sur l’idée de Saint-Cyr, trouve que Mme de Maintenon ne fait pas assez, et se charge d’instituer une œuvre qui durera autant que sa monarchie : Le roi, lit-on chez Dangeau (10 mai 1686), a voulu donner cent cinquante mille livres de rente en bénéfices, pour fonder l’établissement qu’il fait à Saint-Cyr des filles qui sont encore à Noisy, et pour cela Sa Majesté y a affecté l’abbaye de Saint-Denis et quelques autres bénéfices.

3080. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Le général Joubert. Extraits de sa correspondance inédite. — Étude sur sa vie, par M. Edmond Chevrier. — I » pp. 146-160

D’ailleurs, ce qu’on appelle réputation dépend toujours des événements, et encore une fois je serais un fou de courir de nouvelles chances sans ambition.

3081. (1863) Nouveaux lundis. Tome I « Lettres de Madame de Sévigné »

Voilà un procédé assez honnête : vous ne me pouvez plus appeler justement une petite brutale. » C’est elle qui est le galant homme.

3082. (1865) Nouveaux lundis. Tome III « Chateaubriand, jugé par un ami intime en 1803, (suite et fin) » pp. 16-34

À propos d’une de ces associations dont faisait partie Thomas Moore dans sa jeunesse, à l’université de Dublin, un critique judicieux a dit : « Toutes les fois qu’une association de jeunes gens est animée d’un généreux souffle et se sent appelée aux grandes vocations, c’est par des associations particulières qu’elle s’excite et se féconde.

3083. (1865) Nouveaux lundis. Tome III « Le Mystère du Siège d’Orléans ou Jeanne d’Arc, et à ce propos de l’ancien théâtre français (suite et fin.) »

Elle est restée ce qu’on appelle honnête femme par un point.

3084. (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Lettres d’Eugénie de Guérin, publiées par M. Trébutien. »

Ce qui hier encore s’appelait défaut dans un auteur, change aussitôt de nom et devient, une fois le type admis, un simple trait de signalement et de caractère.

3085. (1868) Nouveaux lundis. Tome X « Les cinq derniers mois de la vie de Racine »

Vuillart que j’ai seulement nommé, — ce « cher monsieur Vuillart » comme l’appelait Racine lui-même ?

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