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1247. (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « Brizeux. Œuvres Complètes »

On y retrouve au moins l’observation du détail simple, ingénu, domestique, et cette couleur locale, déjà vue et goûtée dans Marie, mais que dans Marie elle-même on voudrait plus profonde ; car nous sommes en Bretagne, et la Bretagne est un pays de clair-obscur. […] Mais si la grande originalité qui n’a pas d’âge, l’originalité absolue, manquait à Brizeux, à ce poète parfumé de Bretagne, mais qui n’en était pas pénétré, la relative qu’attestent ses poésies leur donne une valeur qui l’emporte, selon moi, sur bien des poésies que nous avons vues se produire depuis qu’il n’est plus.

1248. (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « M. Jean Richepin »

Mais s’ils l’avaient exprimée, cette poésie de la Pauvreté, ce n’avait guères été qu’en passant, par traits détachés, par éclairs, en quelques groupes ou en quelques têtes flambant de génie, dans un coin de livre ou de tableau… Qui les avait vues, ces têtes, les avait contemplées ; qui les avait contemplées ne pouvait plus les oublier. […] Richepin, quels que soient son passé et son caractère, qu’on n’a pas à juger ici, il est poète dans ses vers, il y a la sincérité du poète, et c’est à l’évidence de l’accent qu’on le reconnaît, et que, sans cette méprisable envie, le cancer de la littérature, on l’aurait, à la première vue, universellement reconnu.

1249. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXVI. Des oraisons funèbres et des éloges dans les premiers temps de la littérature française, depuis François Ier jusqu’à la fin du règne de Henri IV. »

Il parle des bienfaits qu’il a lui-même reçus de ce prince dont il était aimé ; il joint sa douleur particulière à celle de toute la France, et il finit par faire à son bienfaiteur et à son prince, les adieux les plus passionnés, comme l’ami le plus tendre pourrait les faire sur le tombeau et à la vue des cendres de son ami. […] Ils s’arrêtent au pied de son cercueil, ils l’examinent, ils l’entourent, ils semblent lui redemander un grand homme, et se livrent avec un mélange d’attendrissement et de terreur à toutes les idées que la vue de ce tombeau leur inspire65.

1250. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Deuxième partie. — Chapitre XXIII. »

Le vertueux évêque souffrait surtout, dans sa douloureuse indignation, à la vue des crimes religieux qu’il ne pouvait prévenir. […] Mais ce zèle même, si consumant pour la faiblesse du corps, cette ferveur ingénue qui semblait un don de l’Église primitive, s’alliaient en lui aux vues les plus hautes sur le mouvement de la race humaine ici-bas et le progrès nécessaire de l’Évangile.

1251. (1874) Portraits contemporains : littérateurs, peintres, sculpteurs, artistes dramatiques

Mes études de peinture me firent apercevoir d’un défaut que j’ignorais, c’est que j’avais la vue basse. […] une seconde vue ? […] Le panorama de la Norwège, découpée par ses bords et vue de cette hauteur, éblouit et donne le vertige. […] Sur deux panneaux étroits, Corot logea en hauteur deux vues d’Italie d’une originalité et d’un style admirables. […] Ce tableau semble s’être peint tout seul comme une vue répétée dans une glace.

1252. (1856) Leçons de physiologie expérimentale appliquée à la médecine. Tome I

Je n’ai pas à m’expliquer sur le point de vue qui règne dans ce livre ; on trouvera des éclaircissements suffisants à ce sujet dans la première leçon, qui sert en quelque sorte de préface à ce volume. […] Magendie a choisis depuis plusieurs années pour titre de ce cours, ont pour but de consacrer cette union indissoluble de la physiologie expérimentale et de la pathologie que nous ne devrons mais perdre de vue. […] — Accidents qui suivent la production de l’alcool dans le système circulatoire. — Vues sur les phénomènes chimiques de l’organisme. […] Il ne faut jamais perdre ces faits de vue, car ils sont la clef d’un certain nombre de phénomènes qui se rattachent au diabète. […] J’examinai donc, d’après cette vue théorique, des urines de fœtus de veau de quatre à cinq mois, et je découvris en effet qu’elles contenaient des quantités notables de sucre.

1253. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Appendice. — [M. de Latena, Étude de l’homme.] » pp. 523-526

Pourtant, comme la diversité des esprits jusque dans les mêmes genres est infinie, comme la bonne foi et la sincérité en chacun est le grand secret pour tirer de sa nature tout ce qu’elle renferme, il y a moyen toujours, en ne disant que ce qu’on a senti, en n’écrivant que ce qu’on a observé, d’ajouter quelque chose peut-être à ce que les maîtres lumineux et perçants de la vie humaine ont déjà embrassé, ou du moins de faire en sorte que le lecteur soit ramené sur les mêmes chemins et vers les mêmes vues sans fatigue et sans ennui.

1254. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Sur Adolphe de Benjamin Constant » pp. 432-438

La femme âgée avec laquelle il a vécu dans sa jeunesse, qu’il a beaucoup aimée, et qu’il a vue mourir, est une Mme de Charrière, auteur de quelques jolis romans.

1255. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XI » pp. 39-46

Ce que je vais dire est une vue, je crois, qui mériterait d’être développée : je l’ébauche.

1256. (1874) Premiers lundis. Tome I « Hoffmann : Contes nocturnes »

Pour moi, il me semble que ces hommes, doués d’une seconde vue, sont assez semblables à ces chauves-souris en qui le savant anatomiste Spallanzani a découvert un sixième sens plus accompli à lui seul que tous les autres… Ce sixième sens, si admirable, consiste à sentir dans chaque objet, dans chaque personne, dans chaque événement, le côté excentrique pour lequel nous ne trouvons point de comparaison dans la vie commune et que nous nous plaisons à nommer le merveilleux… Je sais quelqu’un en qui cet esprit de vision semble une chose toute naturelle.

1257. (1874) Premiers lundis. Tome II « Revue littéraire et philosophique »

Les fines et justes observations y abondent ; l’auteur attribue quelquefois, je pense, à des vues de détail plus de valeur scientifique et de généralisation qu’elles ne comportent.

1258. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Quatrième partie. Élocution — Chapitre XI. De l’ignorance de la langue. — Nécessité d’étendre le vocabulaire dont on dispose. — Constructions insolites et néologismes »

Elle demande beaucoup de délicatesse et d’attention ; car les mots qu’on entend du premier coup, qui sont familiers à première vue, ont eu souvent des sens et des emplois qui diffèrent de leurs sens et de leurs emplois actuels par des nuances fines et presque imperceptibles : rien ne fait mieux connaître la langue française que la comparaison scrupuleuse et le discernement exact de ces différences.

1259. (1892) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Cinquième série « Une âme en péril »

Il avait des vues sur la brièveté de la vie, sur la fragilité de nos sentiments, l’infirmité de notre raison et l’excellence de la religion chrétienne.

1260. (1899) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Septième série « Pour encourager les riches. » pp. 168-175

C’est que les personnes très riches sont privilégiées de plus de façons encore qu’il ne paraît à première vue ; c’est que, en même temps que la charité sous sa forme la plus élémentaire, qui est l’aumône en argent, semble devoir être plus facile aux gens qui en ont beaucoup, ceux-ci, à mérite égal — et en vertu de leur richesse même, qui les signale à l’attention et leur permet des largesses d’un chiffre imposant — sont singulièrement plus assurés de la reconnaissance publique que les gens de condition médiocre ou petite, et, ainsi, ne manquent guère de recevoir, dès ici-bas, la récompense de leur bonne volonté.

1261. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — H — Heredia, José Maria de (1842-1905) »

Il s’est habitué à saisir d’une vue directe la figure du passé.

1262. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Maeterlinck, Maurice (1862-1949) »

Mais ces chansons, au premier abord, saisissent par la vue de leur simplicité : pas la moindre épingle ne brille au nœud d’un voile.

1263. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre II. « Faire de la littérature » » pp. 19-26

Si sa mère objecte que la littérature est « mal vue », et constituera peut-être à son « établissement » futur un empêchement rédhibitoire, le père réplique qu’il faut savoir vivre avec son siècle, que la plume est un riche instrument quand on est malin comme le petit, que les histoires de littérateurs de brasserie sont des contes à dormir debout, que la Société des Gens de lettres est le plus beau des syndicats « parce qu’il est intellectuel », et que son garçon, doué certes du talent de M. 

1264. (1911) La valeur de la science « Deuxième partie : Les sciences physiques — Chapitre VII. L’Histoire de la Physique mathématique. »

Supposons que nous ayons en face de nous une machine quelconque ; le rouage initial et le rouage final sont seuls apparents, mais les transmissions, les rouages intermédiaires par lesquels le mouvement se communique de l’un à l’autre sont cachés à l’intérieur et échappent à notre vue ; nous ignorons si la communication se fait par des engrenages ou par des courroies, par des bielles ou par d’autres dispositifs.

1265. (1887) Discours et conférences « Discours à l’Association des étudiants »

Et, dans l’ordre purement scientifique, à quelles vues arrivera-t-on sur la race, l’embryon, l’espèce, l’individu, la vie, la conscience ?

1266. (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. James Mill — Chapitre II : Termes abstraits »

Il importe de remarquer que, quoique le plus souvent ce soit l’œil qui nous informe du mouvement, ce n’est pas cependant des sensations de la vue que l’idée de mouvement est dérivée.

1267. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XII » pp. 100-108

Elle fut détrompée de cette opinion quand elle se vit négligée par Mazarin ; elle jugea des vues et des espérances du cardinal par son refroidissement ; c’était à ses yeux un indice certain des progrès de la séduction exercée par Marie Mancini sur le jeune monarque.

1268. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXX » pp. 330-337

Leur amitié est attestée par une lettre de madame Scarron à madame de Saint-Géran, et par celles que nous avons déjà vues de madame de Sévigné à sa fille.

1269. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » pp. 124-134

Si la profondeur des vues, l’intelligence du plan, l’ordonnance des distributions, l’exposition des matieres, l’exactitude des regles, la vigueur des pensées, l’heureuse aisance des tours, la noblesse du style, eussent été capables d’animer les Exécuteurs de ce grand dessein, comme tous ces traits réunis ont réussi à attirer les suffrages & les souscriptions ; toute l’Europe seroit en possession du trésor des Sciences qu’elle attendoit, & M.

1270. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Voiture, et Benserade. » pp. 197-207

Accoutumez-vous à la vue D’un homme qui souffre & se plaint.

1271. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre premier. Vue générale des épopées chrétiennes. — Chapitre V. La Henriade »

Tandis que son imagination vous ravit, il fait luire une fausse raison qui détruit le merveilleux, rapetisse l’âme et borne la vue.

1272. (1895) Les règles de la méthode sociologique « Conclusion »

Or, si la sociologie ainsi conçue peut servir à illustrer de faits curieux une philosophie, elle ne saurait l’enrichir de vues nouvelles, puisqu’elle ne signale rien de nouveau dans l’objet qu’elle étudie.

1273. (1912) L’art de lire « Chapitre VII. Les mauvais auteurs »

La Bruyère les a bien connus : « Il n’y a nuls vices extérieurs et nuls défauts du corps [de l’esprit aussi, quoique moins] qui ne soient aperçus par les enfants ; ils les saisissent d’une première vue et ils savent les exprimer par des mots convenables : on ne nomme point plus heureusement.

1274. (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « XVI »

Albalat pourrait avantageusement prendre place dans la collection des Manuels Roret‌ Malheureusement, de même que le fond ne saurait être distrait de la forme, (démonstration qui constitue l’un des meilleurs chapitres de l’ouvrage), de même on ne saurait faire agir le cerveau en vue d’écrire, s’il n’est d’avance sollicité par l’éveil de quelque passion, au sens pur du mot. »‌ Voilà bien des railleries inutiles !

1275. (1909) Les œuvres et les hommes. Critiques diverses. XXVI. « Léon Feugère ; Ambroise-Firmin Didot »

Il y a de plus l’intérêt de la pensée qu’on met en lumière ou des connaissances qu’on possède et qu’on a pour devoir de propager ; or, c’est là précisément ce que Didot a perdu de vue.

1276. (1909) Les œuvres et les hommes. Critiques diverses. XXVI. « Armand Baschet »

La vue d’un cachet de chancellerie, le chiffre d’une dépêche, la description d’une cérémonie, voilà qui le ravit, voilà qui lui paraît le haut intérêt de l’histoire !

1277. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « Préface » pp. -

Excepté la Russie, l’artificielle Russie, que nous avons vue si récemment faite, à coups de hache, par un charpentier hollandais, instruite par une philosophe française et habillée par des modistes de Paris, nous sommes tous à peu près du même âge en Europe.

1278. (1908) Les œuvres et les hommes XXIV. Voyageurs et romanciers « Léon Cladel »

Les pusillanimes d’organisation, les vues ophtalmiques, les sens qui se croient délicats parce qu’ils sont faibles, se plaindront de la violence d’une œuvre qui, par la couleur et le style, rappelle Rubens et Rabelais ; mais moi, non !

1279. (1900) Taine et Renan. Pages perdues recueillies et commentées par Victor Giraud « Taine — IV »

Cette conception, qui semblait tout d’abord une vue de brasserie, propre aux rapins et aux Pétrus Borel, est arrivée peu à peu à couper la France en deux, et constitue, selon moi, un des signes les plus caractéristiques de la dissociation profonde de notre pays.)‌

1280. (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « Introduction »

Puisque la vie naturelle devait être mauvaise, puisqu’elle n’était qu’une expiation de mystérieux crimes ancestraux, fou, criminel et impie qui aurait tenté de la transformer en vue du bonheur sur cette terre !

1281. (1915) La philosophie française « II »

En attendant, le rôle de chaque philosophe est de prendre, sur l’ensemble des choses, une vue qui pourra être définitive sur certains points, mais qui sera nécessairement provisoire sur d’autres.

1282. (1912) Chateaubriand pp. 1-344

En revenant du Canada, il avait chanté, à la vue des côtes de Bretagne, le cantique des marins à Notre-Dame du Bon Secours, etc… Toute son enfance, quand il lut la lettre de madame de Farcy, dut lui remonter au cœur. […] Mais une foi implicite, qui s’attachait à telles ou telles vues de foi, s’y complaisait, s’y tranquillisait, — et laissait le reste à l’érudition des théologiens de profession. […] En somme, dans cette deuxième et troisième parties, sans être, je crois, aussi profondément original que l’explique Faguet, il élargit et élève la critique littéraire par cela seul qu’il y introduit une vue générale, qui est une vue passionnée, et qui est une vue historique. […] « Je venais de visiter les monuments de la Grèce, et j’étais encore tout rempli de leur grandeur : mais qu’ils avaient été loin de m’inspirer ce que j’éprouvais à la vue des lieux saints !  […] Rien de plus magnifique, ni qui soit d’une plus merveilleuse virtuosité, que le récit de la campagne de Russie (qu’il n’a pas vue).

1283. (1923) Les dates et les œuvres. Symbolisme et poésie scientifique

Fenêtre ouverte, du quatrième étage la vue s’en allait en plein ciel au-dessus de la rue de Home et de la vaste tranchée par où la gare Saint-Lazare donne issue à la trépidation presque ininterrompue de ses trains. […] Quoi qu’il en soit, en 86, et après, ce qui constitue l’essence du « Symbole » pour Mallarmé, c’est : ne point nommer ce qu’on a en vue, mais le suggérer. […] Je lui montrai en même temps la lutte longue qui était réservée et à moi et à ceux qui ne craindraient pas d’adopter mes vues. […] et que de telles pages sont pour montrer la hauteur de vues de notre Groupe — raillé par d’aucuns non par méchanceté souvent, mais par ignorance… La lutte pour les idées ne peut, comme vous le dites, qu’affirmer une œuvre. […] L’image est un composé d’images analogiques devenant de plus en plus intellectualisées, pour dégager en la dominante l’idée que le poète a eu en vue, qui ne doit naître que d’un total d’allusions.

1284. (1903) Légendes du Moyen Âge pp. -291

Les trois premiers ont été composés pour la Revue de Paris, donc en vue d’un public lettré et curieux, mais non spécial. […] On la perd vite de vue et Ton commence à s’élever, d’abord doucement, en remontant le cours de la Nive d’Arnéguy, qui, depuis Ibañeta, vient à notre rencontre et nous trace la voie. […] Et ce qu’ils ont ajouté d’exact, ils ont pu le devoir, non à une vue personnelle des lieux, mais aux récits de quelque pèlerin revenu de Cornpostelle. […] Ainsi, en vue du port, j’abandonnais le projet qui m’avait fait venir de si loin. […] Morpurgo, l’aubergiste est évidemment influencé à son insu par Giovanni ; de même les soldats qu’avait envoyés Morelli pour le prendre (voir ci-dessus) perdent à sa vue toute énergie.

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