Les gens de son Institut lui trouvaient du goût littéraire assez pour entrer à la porte à côté, dans l’autre Académie. […] Il est des gens qui, peut-être, après ce livre, comptent encore avec M. […] Comme les gens qui n’ont qu’une idée, il l’applique à tout, sans y rien changer, et il ira comme cela jusqu’à la fin du monde, ou jusqu’à sa fin de Renan.
Je crois très fort à l’ignorance des choses chrétiennes dans un temps qui n’est plus chrétien, et j’y crois chez les gens sous d’autres rapports les plus instruits. […] Toute cette partie du livre, des mères et des enfants, est touchée avec cette sentimentalité noyante, larmoyante et collante, avec ce picotement de muqueuses nasales, cette larme à l’œil qui en résulte et qui fait toujours son petit coup sur les autres muqueuses nasales des gens sensibles. […] j’en suis fâché, non pour Michelet, qui est mort, mais pour ses coreligionnaires, — si on peut dire coreligionnaires de gens sans religion comme eux ; j’en suis fâché, car ils vont être humiliés : Michelet n’est qu’un misérable chrétien retourné !
n’empêche pas ledit Louis de Camors de faire de très laides et de très abominables choses, le long du roman ; mais il les fait sans grandeur, car le mal même a sa grandeur, sans aplomb, avec la pâleur des gens qui tremblent, avec le trémoussement de nerfs de ce temps, si misérablement nerveux… C’est véritablement à faire pitié, et nous nous attendions à de l’horreur ! […] Ces gens-là sont très dangereux… Cependant la sœur et amie réussit dans sa cure. […] Alors, le vis-à-vis du père et du fils, — du père qui dit fièrement au fils, en plein xixe siècle : « Reste dans ta province : la dignité, la grandeur et l’utilité de la vie ne sont que là pour des gens comme nous !
. — On voit qu’avec un peu d’aide, quelque chose d’analogue à la Sainte Ampoule pouvait nous être rendu ; et, à l’heure qu’il est, il y a des gens qui ne me pardonnent pas d’y avoir mis obstacle. » On a là un échantillon de la manière piquante et incisive de M.
. — J’arrivai devant une rivière où il n’y avait pas de pont, mais une barque plate et large destinée à traverser bêtes et gens.
Dès qu’il écrit, c’est autre chose… Pourtant il a commencé par faire des vers très beaux et, malgré quelques singularités, très intelligibles (sans quoi, je n’aurais pas osé dire « très beaux », car je ne me moque jamais des gens).
Duverdier parle en ces termes de cette femme cavalière, poëte, musicienne & débauchée : « C’étoit chez elle lecture de bons livres Latins & vulgaires, Italiens & Espagnols, dont son cabinet étoit copieusement garni ; collation d’exquises confitures… enfin leur communiquoit privement les pièces les plus secrettes qu’elle eut, &, pour dire en un mot, faisoit part de son corps à ceux qui fonçoient ; non toutefois à tous, & nullement à gens méchaniques & de vile condition, quelque argent que ceux-là eussent voulu lui donner.
Ces gens sans verve et sans génie ne sont effrayés de rien, ils ne soupçonnent seulement pas la difficulté d’une composition, voyez aussi comme ils s’en tirent.
Sans un pareil motif l’homme, qui n’aime pas le jeu, plaindra seulement le joüeur d’avoir contracté l’habitude dangereuse de mettre à la disposition des cartes ou des dez la douceur de son humeur et la tranquillité de sa vie ; c’est parmi ceux qui sont tourmentez de maux pareils aux nôtres que l’instinct nous fait chercher des gens qui partagent nos peines, et qui nous consolent en s’affligeant avec nous.
Cependant les italiens mêmes tomberont d’accord que Paul Veronése n’est nullement comparable dans la poësie de la peinture au Poussin qu’on a nommé dès son vivant le peintre des gens d’esprit, éloge le plus flatteur qu’un artisan pût recevoir.
Voilà ce que les gens du métier sçavent.
Je le dis avec conviction, c’est une noble entreprise, digne de gens de cœur.
Mazel, il semblerait que les gens de génie ont seuls le droit de raturer leur style, et l’on devrait y renoncer, sous prétexte qu’on ne peut refaire aussi bien qu’eux.
Usage barbare dont les nations se seraient constamment abstenues si l’on en croyait les auteurs qui ont écrit sur le droit des gens, et qui pourtant était alors pratiqué par ces Grecs auxquels on attribue la gloire d’avoir répandu la civilisation dans le monde.
Ils étaient gens qui avaient des lettres, mais qui songeaient à bien autre chose, gens persuadés qu’ils étaient faits pour l’action et pour une action immédiate sur leurs semblables, gens qui avaient la prétention de mener leur siècle quelque part, et ils ne savaient pas trop à quel endroit ; mais ils l’y menaient avec véhémence ; gens qui étaient capables d’être sceptiques tour à tour sur toutes choses, excepté sur leur propre importance ; gens qui faisaient leur métier d’hommes de lettres, à la condition, avec le privilège, et dans la perpétuelle impatience d’en sortir. […] Il n’en a guère que contre certaines classes de gens qui apparemment l’ont maltraité, les financiers, les comédiens et comédiennes. […] Voilà des gens qui n’ont pas besoin de recevoir de la vie des leçons d’immoralité. […] Eh bien, j’en vois un où il n’y a guère que des gens parfaits, et un autre où il n’y a guère que de plats gueux et des femmes perdues. […] J’aime les gens plus unis.
Bien des gens sont capables de démêler leur tempérament sans le détruire. […] Dans les deux cas j’ai mis mes gens dedans ; ils me croient sincère. […] Blanchard nous donne une notion et une idée, n’étaient pas écrites par des gens sans goût ni sans finesse. […] Elle ne se borne pas à rajeunir les gens. […] Ils sont fous, ces gens-là !
La premiere production françoise de ce genre qui dut être lue par les gens de goût, fut le Discours sur l’Histoire universelle b de l’éloquent Bossuet. […] On leur oppose une foule de bons Rois & de gens de bien, qui ont péri d’infortune & de misére. […] Il est quelquefois satyrique ; mais la satyre est, aux yeux de certaines gens, le sel de l’histoire. […] Cet ouvrage a séduit beaucoup de gens, dit le Président de Montesquieu, parce qu’il est écrit avec beaucoup d’art ; parce qu’on y suppose éternellement ce qui est en question ; parce que plus on y manque de preuves, plus on y multiplie les probabilités. […] L’écrivain a eu l’avantage de vivre avec tous les gens dont il parle, & il avoit trop de pénétration, pour ne les pas bien connoître.
Or, tout à coup, dans une rue étroite, Condé, suivi de ses gens, rencontre Retz il la tête d’une procession. […] Comme ses soldats sont battus à leur première sortie, chacun va répétant le mot connu : « C’est la première aux Corinthiens. » Une autre fois, il se rend au Parlement avec un stylet dont le bout dépasse, et les gens de dire : « Voilà le bréviaire de notre archevêque ! […] Un simple coup d’œil révèle l’immense développement pris par le roman, cette réduction de l’épopée, qui est le régal des femmes, de, la jeunesse et des gens du peuple, parce que ces trois catégories de personnes, ayant une imagination plus neuve ou une sensibilité plus vive, éprouvent un insatiable besoin d’aventures et d’émotions factices. […] L’histoire n’était guère que le récit monotone des hauts faits et surtout des méfaits ayant pour auteurs des princes, des conquérants, des gens de cour.
L’élargissement graduel du groupe des gens instruits a son contrecoup immédiat dans la situation des écrivains et aussi dans le caractère de leurs œuvres ; car un auteur, tout en songeant à exprimer ce qu’il pense et ce qu’il sent, dédaigne rarement de plaire aux lecteurs qu’il prévoit ou aux lectrices qu’il désire. […] §2. — Parmi les institutions permanentes intimement liées à l’évolution littéraire, nous rencontrons sur notre chemin les Compagnies de gens de lettres, dont l’Académie française peut passer pour le type le plus accompli. […] L’orthographe qu’elle consacre est à mi chemin entre le système phonétique et le système étymologique ; la langue écrite suit lentement, d’âge en âge, les changements qui se produisent dans la langue parlée ; et les règles, multipliées par des grammairiens subtils, se simplifient aussi à mesure qu’augmente le nombre des gens sachant lire et écrire. […] Un candidat, quel qu’il soit, courtise et flatte volontiers les gens dont dépend sa nomination.
« Communément, les géomètres, loin d’être des génies, ne sont pas même des gens d’esprit. […] Qu’au contraire il ait à traduire le gens Corneliana, s’il est embarrassé entre les différentes acceptions du mot gens, il aura, pour se diriger et s’éclairer, le sens du reste de la phrase dont il cherchera à se donner l’explication en français, et sera conduit à choisir la seule traduction du mot gens qui puisse entrer dans une phrase française raisonnable.
. — Autre qualité énorme et qui fait les hommes, les vrais hommes, cette peinture a la foi — elle a la foi de sa beauté, — c’est de la peinture absolue, convaincue, qui crie : je veux, je veux être belle, et belle comme je l’entends, et je sais que je ne manquerai pas de gens à qui plaire. […] — Braves gens ! […] Borget Toujours des vues indiennes ou chinoises. — Sans doute c’est très-bien fait ; mais ce sont trop des articles de voyages ou de mœurs ; — il y a des gens qui regrettent ce qu’ils n’ont jamais vu, le boulevard du Temple ou les galeries de Bois ! […] Il serait bon que tous les gens qui se cramponnent à la vérité microscopique et se croient des peintres vissent ce petit tableau, et qu’on leur insufflât dans l’oreille avec un cornet les petites réflexions que voici : ce tableau est très-bien, non parce que tout y est et que l’on peut compter les feuilles, mais parce qu’il rend en même temps le caractère général de la nature — parce qu’il exprime bien l’aspect vert cru d’un parc au bord de la Seine et de notre soleil froid ; bref, parce qu’il est fait avec une profonde naïveté — tandis que vous autres, vous êtes trop… artistes. — (Sic).
Mais c’était un ouvrage plus fait pour les gens d’esprit que pour la multitude, et plus propre encore à être lu, qu’à être joué. […] Dès lors les rivaux se réveillèrent ; les dévots commencèrent à faire du bruit ; les faux zélés, (l’espèce d’hommes la plus dangereuse) crièrent contre Molière, et séduisirent même quelques gens de bien. […] Aujourd’hui bien des gens regardent comme une leçon de morale cette même pièce, qu’on trouvait autrefois si scandaleuse. […] Loin d’examiner sévèrement cette farce, les gens de bon goût reprochèrent à l’auteur d’avilir trop souvent son génie à des ouvrages frivoles qui ne méritaient pas d’examen ; mais Molière leur répondait qu’il était comédien aussi bien qu’auteur, qu’il fallait réjouir la cour et attirer le peuple, et qu’il était réduit à consulter l’intérêt de ses acteurs aussi bien que sa propre gloire.
Bien plus, malgré le gonflement d’une de ses joues qui le défigurait, et quoique son regard eût quelque chose d’un peu dur, dans l’ensemble de sa personne régnait un certain air d’homme de bonne compagnie que peu de gens avaient conservé depuis les années orageuses de la révolution. […] J’étonnerai bien des gens ; toutes les figures de mon tableau sont nues, et il y aura des chevaux auxquels je ne mettrai ni mors ni bride. […] De toute cette foule de gens qui s’enivraient du plaisir de voir cet homme, le parti auquel il plut davantage, à quelques exceptions près, fut celui des républicains dits jacobins. […] Il y a des gens qui ont des idées on ne peut plus heureuses, mais il leur est impossible de les rendre ; c’est évidemment comme s’ils n’en avaient pas. Aussi, malgré l’opinion des gens d’esprit, est-il certain qu’un peintre comme Mazaccio, par exemple, qui n’a guère fait autre chose que d’excellentes études peintes ou des portraits, était réellement un plus grand peintre, un plus grand artiste, qu’une foule de compositeurs à la toise, comme Vasari et d’autres.
Les Italiens l’appellent divin ; mais c’est une divinité cachée ; peu de gens entendent ses oracles. […] Telle était alors l’opinion, en France, des gens de goût.
N’allez pas me demander de définir l’atticisme ; l’aticisme chez un peuple, et au moment heureux de sa société ou de sa littérature, est une qualité légère qui ne tient pas moins à ceux qui la sentent qu’à celui qui parle ou qui écrit ; je me contenterai de dire que c’est une propriété dans les termes et un naturel dans le tour, une simplicité et netteté, une aisance et familiarité entre gens qui s’entendent sans appuyer trop, et qui sont tous de la maison. […] L’horreur des abus, le mépris des distinctions héréditaires, tous ces sentiments dont les classes inférieures se sont emparées dans leur intérêt, ont dû leur premier éclat à l’enthousiasme des grands, et les élèves de Rousseau et de Voltaire les plus ardents et les plus actifs étaient plus encore les courtisans que les gens de lettres.
Chacun a sa délicatesse d’amour-propre : la mienne va jusqu’à croire que de certaines gens ne peuvent pas même m’offenser. » Il pratiqua toujours cette méthode de se taire et de laisser dire les ennemis. Ainsi encore, à propos des attaques dernières dont Les Époques de la nature furent l’occasion, et de je ne sais quel manuscrit de Boulanger qu’on l’accusait d’avoir pillé : « Il vaut mieux, disait-il, laisser ces mauvaises gens dans l’incertitude, et comme je garderai un silence absolu, nous aurons le plaisir de voir leurs manœuvres à découvert… Il faut laisser la calomnie retomber sur elle-même. » À M. de Tressan qui s’était, un jour, ému et mis en peine pour lui, il répondait : « Ce serait la première fois que la critique aurait pu m’émouvoir ; je n’ai jamais répondu à aucune, et je garderai le même silence sur celle-ci. » Ainsi pensait-il, et il ne se laissait pas détourner un seul jour du grand monument qu’il édifiait avec ordre et lenteur, et dont chaque partie se dévoilait, successivement à des dates régulières et longtemps à l’avance assignées.
Rossi n’avait jamais oublié la façon leste dont il lui avait vu faire ce saut désespéré, et cela pour éviter ce que tant de gens se résignent si aisément à subir et à prendre ou même à communiquer, — l’ennui. […] Que de gens la portent dans la vie même, en se disant : Ce n’est plus la peine d’entreprendre telle étude, tel travail, parce que je suis trop vieux pour l’achever.
Il a le goût des cités politiques choisies, des sociétés fermées et retranchées ; il n’aime pas à faire entrer dans le cercle, une fois défini, des citoyens, les gens du dehors, fussent-ils des natifs. […] Il n’y a que les gens qui pensent comme Garnier-Pagès qui aient pu vouloir et soutenir cette Coalition si compromettante pour la couronne… » Je ne sais si M.
Il savait que l’histoire humaine, en ces moments d’ébranlement et de commotion générale et profonde, a, pour ainsi dire, plusieurs dessous, et que le génie d’un seul a suffi bien souvent pour dégager et faire saillir un de ces plans cachés, inaperçus, lesquels, sans un homme, sans le téméraire au coup de main imprévu et vigoureux, auraient toujours paru à la foule (y compris le peuple des gens d’esprit) impraticables, chimériques, et auraient été universellement déclarés impossibles. […] Il importe de garder aux gens connus leur vrai nom.
Les pauvres gens qui les ont trouvés les élèvent comme s’ils étaient à eux, et quand ils sont en âge, on les envoie aux champs, dans les beaux jours, pour faire paître, le jeune garçon les chèvres, la jeune fille les brebis. […] Cette panique, qui peut tenir à l’effroi des imaginations frappées autant qu’à la réalité même, cette espèce de bacchanale universelle de la nature physique, telle qu’à la rigueur elle peut paraître à des gens ivres et être vue à travers le vertige, est décrite avec une vraie verve d’orgie.
Quelle perte pour nous, gens de cour, que celle d’un tel ami ! car tout ce que nous y étions de gens qui pensions un peu sérieusement à notre salut, l’avions pour conseil comme pour exemple.
C’est ainsi que tout chef d’État qui n’est pas méfiant, vigilant, toujours sur le dos des gens, est servi ! […] Mais la badauderie d’abord, qui en a eu vent, a donné l’idée à la calomnie et à l’invective d’attrouper les gens à scrupules.
il y aura des gens qui diront que je n’ai pas aimé mon frère, que les vraies affections ne sont pas descriptives. […] MM. de Goncourt, comme les gens de génie, ont deviné ou observé (je ne sais si l’un d’eux est médecin) que la pleurésie peut donner naissance à la phthisie ou être un des premiers et redoutables symptômes de la tuberculose pulmonaire.
C’était en somme la bourgeoisie, éminemment représentée alors par les gens de robe, qui faisait entendre et finit par imposer les réclamations de son honnêteté, de son sens pratique et de son patriotisme. […] On sait comment la Ménippée fut composée, après l’avortement des États de la Ligue, par quelques bourgeois, laïcs ou clercs, catholiques de naissance ou protestants convertis, braves gens, sans fanatisme et sans fanfaronnade, qui aimaient la France, le roi et leurs aises228.
Lemaître, bien des gens continuent de lire M. […] Son jugement — chose énorme en France — donne aux gens le droit d’estimer ce dont ils s’amusent.
La calomnie est comme la fausse monnaie ; bien des gens qui ne voudraient pas l’avoir émise la font circuler sans scrupule. […] Bien des gens nerveux, capricieux et frivoles à moins qu’ils ne soient, au contraire, très philosophes ne tiennent guère compte que de la personne même de l’artiste, qui leur est sympathique ou antipathique, voilà tout.
Desjardins rédige en style de séminariste bilieux ; il est ignorant (jusqu’à prendre les philosophes grecs comme types d’altruistes alors qu’aucun n’a envisagé la morale autrement que comme une éthique) ; il est naïf (jusqu’à se féliciter des séances politiques où la droite et la gauche s’entr’applaudissent, citant comme telles l’incident où la loyauté de M. de Cazenove de Pradines fut saluée par tous ses collègues, — ce qui est faux, car il fut nargué par la droite, — et l’intervention de l’évêque d’Angers dans la politique d’Extrême-Orient — ce qui ne provoquait l’admiration d’aucun député informé, attendu que Mgr Freppel, chacun le savait, n’agissait que pour défendre ses missionnaires) ; il est encore obséquieux avec les gens en place (jusqu’à cette platitude : « Nous avons par bonheur un ministre de l’instruction publique à tendances idéalistes »). — Mais un autre que M. […] Le peuple, qui est cordialement individualiste, a coutume de dire : « Chacun à sa place. » Or ces gens empiètent.
À la Cour, ce fut toujours une note fâcheuse contre M. d’Aguesseau d’avoir eu une de ses filles à l’Enfance, et on crut que, sans cette circonstance qui lui donnait une couleur aux yeux de certaines gens, il aurait été chancelier, comme son fils le devint depuis. […] Au reste, tout cela importe assez peu à l’intérêt du livre, car bien peu de gens, je crois, ont lu Arnauld, et se soucient d’aller compulser de près les documents d’alors.