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475. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » p. 313

Ce seroit toujours beaucoup, si le Public eût confirmé les éloges du Tribunal ; mais le vernis philosophique, répandu sur le Poëme de la Rapidité de la Vie, & sur le Discours en vers sur la Philosophie, n’en a pas imposé aux vrais Connoisseurs sur le défaut d’intérêt, de poésie & de vrai talent qu’ils y ont remarqué ; ce qui n’a pas empêché de regarder ces deux Poëmes comme très-supérieurs à ceux qui ont eu le Prix.

476. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 483-484

Il faut cependant convenir qu’il abusoit de sa facilité à faire des Vers ; mais c’est à son peu de fortune qu’on doit attribuer la négligence de son style & les autres défauts qu’on lui reproche.

477. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 269-270

Si on considere cependant que le goût n'étoit pas encore formé lorsqu'elle écrivoit ; que tel de ses Romans annonce lui seul plus d'esprit, d'imagination, & de connoissances, que le très-grand nombre de ceux dont on a inondé le Public depuis quelques années ; qu'on trouve dans Clelie & dans Artamene des traits d'une délicatesse & d'une supériorité qui feroient honneur à nos plus sensibles Ecrivains : on conviendra que les défauts ne doivent pas rendre aveugle sur les bonnes qualités.

478. (1864) Le roman contemporain

Il va bientôt disparaître, comme un homme qui a achevé son monument, monument mêlé de beautés et de défauts, mais où les défauts dominent de beaucoup. […] Elle exagère à plaisir la faiblesse de son caractère, le défaut d’initiative de son esprit pendant sa prime jeunesse. […] Mais la sensibilité n’est pas son fort ; la mesure, la tenue et le tact lui font souvent défaut. […] L’auteur peint ses personnages avec leurs défauts, avec leurs vices, mais il ne les rend pas odieux. […] On comprend maintenant le défaut que je reproche aux romans de M. 

479. (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Appendice — Mémoires du comte d’Alton-Shée »

A ces honorables sexagénaires, on aurait pu faire remarquer que M. d’Alton-Shée n’avait pas encore soixante ans ; que dans son geste, son allure, dans toute sa personne, il y a toute la prestesse et la vivacité d’un homme encore jeune : il est vrai que la vue lui fait défaut. […] Je ne m’avancerai pas jusqu’à dire que ces Mémoires ne laissent rien à désirer : l’auteur dicte, il ressaisit par portions des groupes de souvenirs, il se relit peu : de là des répétitions, de fréquents retours en arrière, une absence trop fréquente de dates précises là même où il croit les avoir données ; bien des défauts enfin qui tiennent, pour ainsi dire, à la main plus qu’à l’esprit.

480. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Troisième partie. Disposition — Chapitre IV. Unité et mouvement »

Il n’est point de chef-d’œuvre dans aucune littérature où elle fasse défaut. […] Au-delà, sont deux défauts, deux excès, soit qu’on se hâte trop sans laisser le temps au lecteur de remarquer suffisamment les objets qu’on lui présente, soit qu’on s’attarde à lui montrer ce qu’il a bien vu d’un coup d’œil, à lui détailler ce qui n’en vaut pas la peine, à lui expliquer ce qu’il connaît.

481. (1895) Histoire de la littérature française « Cinquième partie. Le dix-huitième siècle — Livre II. Les formes d’art — Chapitre II. La tragédie »

Puis, pour remplir l’idée qu’il se faisait de la tragédie, l’essentiel lui fit défaut, la pratique de l’observation psychologique, ou la puissance de l’imagination psychologique. […] Cette habitude d’escompter les effets sûrs, unie au défaut d’invention psychologique, a été cause que Voltaire n’a pu, malgré ses bonnes intentions, se passer des artifices de ses prédécesseurs.

482. (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre XX. Opposition contre Jésus. »

Un des principaux défauts de la race juive est son âpreté dans la controverse, et le ton injurieux qu’elle y mêle presque toujours. […] Jésus, qui était exempt de presque tous les défauts de sa race, et dont la qualité dominante était justement une délicatesse infinie, fut amené malgré lui à se servir dans la polémique du style de tous 916.

483. (1913) Le bovarysme « Première partie : Pathologie du bovarysme — Chapitre II. Le Bovarysme comme fait de conscience son moyen : la notion »

Les conceptions bovaryques sont donc fréquentes à toutes les époques de civilisation avancée : elles s’y montrent tributaires d’un défaut de critique. Elles entraînent ici avec plus de fréquence leurs conséquences accoutumées : elles ruinent l’énergie ou l’amoindrissent par suite d’un défaut total d’adaptation, ou d’une adaptation moindre, aux tâches où celle-ci s’emploie.

484. (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « La Société française pendant la Révolution »

Leur style, trop souvent incorrect et qui ajoute à l’incorrection naturelle le mal bien plus grand d’une incorrection systématique, leur style, malgré de graves défauts et même quelques ridicules, a de la couleur, sans transparence, mais non pas, certes ! […] Du reste, même avec leurs défauts actuels, leurs affectations et leurs faiblesses, Edmond et Jules de Goncourt ont moins échoué dans leur histoire par l’indigence de leurs facultés que par le fait du préjugé universel sous l’empire duquel ils l’ont écrite.

485. (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Henri Cantel »

Rédigé souvent avec talent, ce recueil a ses défauts et ses faiblesses, et nous les connaissons ; mais il est vrai de dire que ces défauts et ces faiblesses sont ceux de tout le monde en général à cette heure, et de toutes les revues en particulier.

486. (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « M. J. Autran. Laboureurs et Soldats, — Milianah. »

III Tels sont les défauts de M. Autran, et comme les défauts d’un homme entrent plus profondément peut-être dans sa manière que ses qualités, telle est aussi sa manière.

487. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « M. Jules Janin » pp. 159-171

Nous avons un livre charmant et puissant dont les défauts (car il a des défauts, et je les connais bien) viennent non d’indigence, mais de plénitude.

488. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXVII. Des panégyriques ou éloges adressés à Louis XIII, au cardinal de Richelieu, et au cardinal Mazarin. »

Soit le défaut des circonstances, soit celui d’une imagination ardente et forte, il fut sans cesse entraîné vers des objets d’éclat. […] Ajoutez que les talents de Mazarin n’étaient pas assez éclatants pour racheter ses défauts.

489. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXXI. Des oraisons funèbres de Bourdaloue, de La Rue et de Massillon. »

Un autre défaut de cet éloge, et qui en diminue l’effet, c’est qu’on ne démêle pas bien l’espèce de sentiment qui anime l’orateur : il a l’air, quand il loue, de s’être commandé l’admiration ; mais l’admiration commandée est froide ; et ce sentiment, comme on sait, ne se communique jamais que par enthousiasme. Au reste, ce défaut tient peut-être à un mérite de l’ouvrage, mérite d’autant plus estimable, qu’il ne se trouve dans aucune oraison funèbre, ni avant, ni après Massillon, et qu’il s’agissait d’un roi et de Louis XIV ; c’est que l’orateur y parle assez ouvertement des faiblesses et des vices de celui qu’il est chargé de louer ; et ne dissimule point que ce règne si brillant pour le prince a été souvent malheureux pour le peuple.

490. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » pp. 168-169

Cet Auteur est aujourd’hui chargé de la rédaction du Courrier d’Avignon, qui, comme on sait, n’offre que des nouvelles surannées, écrites d’un style qui n’est pas capable de dédommager du défaut de nouveauté.

491. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 378-379

Le désordre, & souvent l’oubli total du sujet, sont les défauts ordinaires d’un grand nombre de nos Prédicateurs modernes.

492. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » p. 307

La Vie des Poëtes Latins, qui a suivi celle des Poëtes Grecs, a le même mérite & les mêmes défauts, à cela près que les notices sont plus étendues, parce que les matériaux ont été plus abondans.

493. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 279-280

On y trouve même des rapports qui n'avoient point été apperçus, quelques idées neuves, le tout présenté d'un style auquel on ne peut reprocher que d'être quelquefois obscur & traînant ; ce qui seroit deux défauts considérables, s'ils étoient continuels.

494. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » p. 292

Après avoir donné une élégante Traduction en Vers d'Anacréon & de quelques autres Poëtes Grecs ; après avoir débuté sur la Scene par deux Tragédies, Ajax & Briseïs, qui n'ont pas eu, à la vérité, beaucoup de succès, mais qui en eussent obtenu davantage, si une Poésie pure, facile, & harmonieuse, pouvoit remplacer le défaut d'intérêt dans l'une, & faire pardonner la trop grande complication d'incidens dans l'autre ; il a renoncé à la carriere du Théatre, & semble avoir fait ses derniers adieux à Melpomene, dans son Appel au petit Nombre, où il prouve à la Multitude qu'elle a tort, avec autant de chaleur & d'énergie, que de littérature & d'érudition.

495. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « M. de Rémusat (passé et présent, mélanges) »

Chacun plus ou moins a son défaut qu’il avoue et son défaut qu’il cache, et ce dernier le plus souvent n’est pas le moindre. […] Tous, plus ou moins, nous avons ainsi en nous un premier type que nous aimons à détacher, à figurer en l’exagérant un peu, à faire poser devant nous et devant les autres ; nous y jetons nos qualités, nos défauts ; nous le caressons, nous le malmenons et finissons le plus souvent, dans notre impatience de tout ou rien , par l’immoler de désespoir et le faire mourir. […] Rien qu’un défaut peut-être. […] Les doctrinaires disgraciés, après s’être donné la satisfaction de voir tomber le second ministère Richelieu et d’y aider pour leur part, revinrent à la littérature, à la philosophie, à l’histoire ; ils reportèrent leur mouvement d’idées dans ces champs féconds où ils étaient maîtres, et où les défauts de leur politique devenaient presque des qualités de leur étude. […] Les grands talents surtout sont comme aux abois et ne savent que devenir ; à bout de leurs premiers motifs, et depuis que les grandes causes ont fait défaut, ils cherchent des thèmes.

496. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — J — Jaubert, Ernest (1856-1942) »

Ce n’est que parce que son livre indique qu’il peut sûrement mieux et bien faire qu’il est ici exhorté à se débarrasser des défauts qu’il se connaît, à prendre pleine possession d’un talent possible.

497. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Montégut, Maurice (1855-1911) »

Les défauts sont de ceux qui disparaissent avec les années ; les qualités sont de celles que l’art et l’effort seraient impuissants à acquérir, un don des privilégiés et la marque des élus.

498. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — V — Viennet, Jean-Pons-Guillaume (1777-1868) »

Bernard Jullien On peut faire à Viennet un reproche grave et qui, malheureusement, peut lui être adressé souvent : il a le défaut d’enchâsser dans ses vers, selon le besoin de la rime ou de la mesure, des mots dont il ne semble pas comprendre le sens, tant ils sont en contradiction avec ce qui précède ou ce qui suit ; quand il dit, par exemple, que la gazette se guindé au ton de l’épopée, en usurpant l’euphémisme et l’onomatopée, c’est pis qu’une cheville, c’est un non-sens.

499. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 350

Il avoit de grandes connoissances dans l’Histoire de France ; mais les lumieres dirigées par l’esprit particulier, deviennent en peu de temps des lumieres fausses, équivoques, dangereuses, & l’on devroit travailler à se corriger de ce défaut, avant d’entreprendre aucun Ouvrage.

500. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 504

Il s’étoit sans doute trop familiarisé avec le style romanesque, en écrivant sa propre Histoire, sous le nom de la Comtesse des Barres, pour éviter ce défaut dans des occasions plus importantes.

501. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » p. 182

Le seul défaut qu’on y trouve, consiste dans une indiscrete profusion d’éloges ; tous les Auteurs y sont loués : c’est le moyen de n’en louer véritablement aucun.

502. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » p. 175

Celles de l’Arianisme, des Iconoclastes, du Schisme des Grecs, du grand Schisme d’Occident, & c. avec les mêmes qualités, ont les mêmes défauts, aussi bien que celle de la Ligue, où l’on trouve des Pieces originales, qui, auparavant, n’avoient pas été publiées.

503. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » p. 198

A ce défaut près, ces deux Ouvrages de M. l’Abbé Mallet ont de la méthode, de la clarté ; la diction en est noble, aisée, & nombreuse.

504. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » p. 257

L’impression de ses Ouvrages fut un écueil pour sa gloire ; aussi faut-il convenir qu’il dut en partie ses grands succès à un débit séduisant : ressource très-capable de faire disparoître bien des défauts dans l’Orateur.

505. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 269-270

Les mêmes qualités & les mêmes défauts sont également sensibles dans les Entretiens politiques, & dans cinq ou six Ouvrages polémiques, du même Auteur, qui roulent sur des intérêts de Gouvernement.

506. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 326-327

Ses autres Ouvrages poétiques offrent les mêmes beautés & les mêmes défauts.

507. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 563-564

Ils consistent pour la plupart dans des Romans dont le défaut principal est d’inspirer un ennui qu’on ne va pas ordinairement chercher dans ces sortes d’Ecrits ; aussi ne lit-on plus les siens.

508. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 81-82

A ces défauts près, qui se font sentir dans presque toutes ses Productions, Madame Riccoboni ne mérite que des éloges & des applaudissemens.

509. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 299-300

Sans se répandre sur tous les objets, comme font ces Ecrivains qui ne se proposent d'autre but que d'écrire, il ne peint jamais que les défauts & les vices dont il désire de guérir les hommes ; sa maniere de les présenter est très-capable de produire cet effet.

510. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » p. 426

Palissot n'est pas plus équitable dans ses Eloges que dans ses Censures ; & c'est sur-tout à ce défaut de justice ou de discernement qu'il doit attribuer le peu de cas que l'on fait de ses Productions.

511. (1883) Essais sur la littérature anglaise pp. 1-364

Toute qualité a un défaut qui lui correspond, et par conséquent nous avons toujours presque fatalement les défauts qui correspondent à nos qualités. […] Taine tombe dans ce défaut. […] J’ai dit les qualités générales et les défauts de ce beau livre. […] Ce n’est donc pas les circonstances qui ont fait défaut au poète, c’est le poète qui a fait défaut aux circonstances. […] Qualités et défauts, tout chez lui fait saillie et se détache avec un relief vigoureux qu’on ne retrouve pas ailleurs.

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