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2274. (1911) Nos directions

Sur l’ordre inspiré de Dom Marc, son jeune ami, qui est tout sainteté et prière, il se dénoncera aux juges de la terre ; en plein office, devant le peuple assemblé, il crie son crime. […] et est-il possible d’admettre que la principale source de joie plastique du peuple grec reste pour nous définitivement tarie ? […] Henri Ghéon explique que tous les peuples de l’Occident se touchent en nous, se fondent et s’équilibrent et que la France, la France spécifique est réalisée au point où cet équilibre heureux s’accomplit. […] Il veut le sauver par amour ; il veut que le peuple l’acclame : … Que les Dieux justes conservent ta beauté pour l’empereur, Sébastien… il veut le faire Dieu !

2275. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Les nièces de Mazarin et son dernier petit-neveu le duc de Nivernais. Les Nièces de Mazarin, études de mœurs et de caractères au xviie  siècle, par Amédée Renée, 2e éd. revue et augmentée de documents inédits. Paris, Firmin Didot, 1856. » pp. 376-411

Pitt, qu’il faut toujours regarder comme l’idole du peuple et d’une partie du parlement.

2276. (1862) Portraits littéraires. Tome II (nouv. éd.) « Bernardin de Saint-Pierre »

» Le voyageur lassé va même jusqu’à préférer Paris à toutes les villes, parce que le peuple y est bon et qu’on y vit en liberté.

2277. (1875) Premiers lundis. Tome III « De la liberté de l’enseignement »

Napoléon, dont la forme d’esprit inclinait à une manière de déisme fataliste, de déisme sémitique, disait : « Nul doute que mon espèce d’incrédulité ne fût, en ma qualité d’empereur, un bienfait pour les peuples ; et comment autrement aurais-je pu exercer une véritable tolérance ?

2278. (1863) Cours familier de littérature. XVI « XCIIe entretien. Vie du Tasse (2e partie) » pp. 65-128

L’ambition de ce siècle était littéraire, philosophique, artistique ; la renaissance des lettres avait ennobli le cœur des princes et des peuples.

2279. (1895) Histoire de la littérature française « Quatrième partie. Le dix-septième siècle — Livre I. La préparations des chefs-d’œuvre — Chapitre II. Attardés et égarés »

Mais, comme eux, il a la persécution, les désastres, la ruine de son peuple, pour agrandir, épurer son inspiration.

2280. (1889) Histoire de la littérature française. Tome IV (16e éd.) « Chapitre premier »

Vieilles images, j’en conviens, dont l’esprit de géométrie a sujet de ne se pas contenter ; mais par ce vague même et ce fabuleux qui lui répugnent, elles remplissent l’idée que les peuples se font du poète, et elles lui mettent au front l’auréole.

2281. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 8 mai 1886. »

Chez nous donc la musique a toujours été et, en dépit de tout ce qu’on peut dire, est toujours un article de luxe ; elle n’entre nullement dans la vie ordinaire de notre peuple, et il y a des milliers d’excellents citoyens qui passent à travers l’existence sans jamais entendre une seule note de musique.

2282. (1878) La poésie scientifique au XIXe siècle. Revue des deux mondes pp. 511-537

Comme en Égypte un peuple expirait sous les câbles, Pour traîner l’obélisque à travers monts et sables                        Et le dresser sur l’horizon.

2283. (1906) La nouvelle littérature, 1895-1905 « Deuxième partie. L’évolution des genres — Chapitre II. La poésie lyrique » pp. 81-134

L’Homme terrifié d’être seul en ces aubes Peuple de dieux l’horreur muette de la Nuit.

2284. (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « M. Victor Hugo. Les Contemplations. — La Légende des siècles. »

Depuis qu’il y a des peuples et des poètes, on versifie pour graver dans le souvenir des hommes les choses qui ne doivent pas périr.

2285. (1926) La poésie de Stéphane Mallarmé. Étude littéraire

Là le suivait l’hallucination de la page blanche, par l’élément docile, la page blanche, pour le poète, dans quelque ciel platonicien, celle qui, sans cesse déplacée et refaite, sous le mol hasard de la rame, se peuple de reflets sans cesser d’être vierge, repense sans substance et sans poids un univers transfiguré. […] Pour ramener, dans mon exemple même, la conséquence poétique à son origine religieuse, je citerai cette page où Mallarmé essaye de discerner dans la cérémonie de la messe la forme de la scène idéale : « La nef avec un peuple je ne parle d’assistants, bien d’élus : quiconque y peut de la source la plus humble d’un gosier jeter aux voûtes le répons en latin incompris, mais exultant, participe entre tous et lui-même de la sublimité se reployant vers le chœur : car voici le miracle de chanter, on se projette, haut comme va le cri. […] Le sentiment baudelairien de l’artificiel s’y relierait, dans la mesure où la poésie, sous lui, devient chose créée, transfigurée, volontaire, où il remplace la présence par l’absence et peuple l’absence par l’évocation. […] Stello, avec son triple épisode de Chatterton, de Gilbert, d’André Chénier, ce compte âprement demandé à trois états politiques du mépris ou de la haine qu’ils gardent au poète, forme à plus juste titre que le roman italien un Mystère du Poète, de plan et de visée analogues aux Mystères du Peuple, le premier aussi de ces colériques romans corporatifs comme il en pullula depuis, un Jean Coste.

2286. (1890) Nouvelles questions de critique

Tout au rebours de ce qui s’est passé pour d’autres peuples, — et, notamment, dans les temps modernes, pour les Allemands ou les Italiens, — ni la langue ni la littérature ne paraissent avoir été, comme on dit, les facteurs essentiels de la nationalité, et encore moins de l’unité française. On ne leur peut attribuer ce rôle qu’autant que l’on se maintient dans les généralités oratoires mais il faudrait le prouver ; et, pour cela, nous nommer l’œuvre ou l’homme qui cette gloire appartiendrait d’avoir ainsi comme rassemblé l’âme éparse d’un peuple. […] et qu’y aurait-il de plus intéressant que de nous montrer cette matière fluide, en quelque sorte, du poème ou du conte, passant de main en main, et recevant de latitude en latitude, si je puis ainsi dire, l’empreinte nationale du peuple qui l’adopte ? […] Renan, n’étaient que les délassements, ou comme on eût dit autrefois, les « gayetés » du grand historien des Origines du Christianisme et du Peuple d’Israël ; — ses Lettres Persanes ou son Temple de Gnide. […] Peuple lui-même, Hugo n’a jamais eu peur ni dégoût du lieu commun, jamais de la métaphore triviale ou de la comparaison dégradante.

2287. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre V. Les contemporains. — Chapitre IV. La philosophie et l’histoire. Carlyle. »

Il marche plein d’alarmes parmi ce peuple d’ombres, et il se dit qu’il en est une. […] Ils ont été les conducteurs des peuples, ces grands hommes ; les formateurs, les modèles, et, dans un sens large, les créateurs de tout ce que la masse des hommes pris ensemble est parvenue à faire ou à atteindre.

2288. (1921) Esquisses critiques. Première série

Il sait renfermer, en un vers ou en un distique d’une admirable plénitude, une ample vision qu’il restitue avec exactitude, Les jardins réguliers aux belles ordonnances et que peuple le chœur des dieux de marbre blanc. […] Claudel, une comédie de M. de Curel ou de M. de Porto-Riche), une de ces œuvres qui font aux entrepreneurs de spectacles un coûteux honneur, qui sont incapables de rassembler dix soirs de suite un public rémunérateur, et qui, à parler net, ennuient le peuple, c’est par le mot succès d’estime que l’on voile le regrettable échec qui leur est réservé : on sait ce que cela veut dire. […] De figurines aériennes, vagabondes, fallacieuses comme des songes, il peuple un univers chimérique.

2289. (1870) Portraits contemporains. Tome IV (4e éd.) « PARNY. » pp. 423-470

On ne risquait plus alors d’être mis à la Bastille pour de telles échappées ; on raconte seulement que ces vers : Et vous, peuple injuste et mutin, Sans pape, sans rois et sans reines, Vous danseriez au bruit des chaînes Qui pèsent sur le genre humain !

2290. (1895) Histoire de la littérature française « Quatrième partie. Le dix-septième siècle — Livre III. Les grands artistes classiques — Chapitre VI. Bossuet et Bourdaloue »

Entre la préface et la conclusion de cette partie, où s’étale éloquemment le dogme de la Providence dans son application aux grands faits de l’histoire, Bossuet étudie les causes humaines et physiques de la prospérité et de la ruine des peuples anciens.

2291. (1870) La science et la conscience « Chapitre I : La physiologie »

Que deviennent le libre arbitre, la responsabilité, la moralité, la personnalité de l’être humain, individu, peuple, race, sous l’empire d’une pareille nécessité ?

2292. (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Ma biographie »

Ancien représentant du peuple à l’Assemblée Législative, sous la seconde République, on l’eût pris plutôt pour un conventionnel, non point à sa parole qui était toute de fraternité et de paix, de persuasion et de douceur, mais à sa physionomie fine et rasée, dont le type, accentué de plus en plus avec l’âge, était bien celui d’un représentant du xviiie  siècle ; et il avait conservé les cheveux longs d’un prêtre ou d’un artiste.

2293. (1864) Cours familier de littérature. XVIII « CVIIe entretien. Balzac et ses œuvres (2e partie) » pp. 353-431

Au physique, Grandet était un homme de cinq pieds, trapu, carré, ayant des mollets de douze pouces de circonférence, des rotules noueuses et de larges épaules ; son visage était rond, tanné, marqué de petite vérole ; son menton était droit, ses lèvres n’offraient aucune sinuosité, et ses dents étaient blanches ; ses yeux avaient l’expression calme et dévoratrice que le peuple accorde au basilic ; son front, plein de rides transversales, ne manquait pas de protubérances significatives ; ses cheveux jaunâtres et grisonnants étaient blanc et or, disaient quelques jeunes gens qui ne connaissaient pas la gravité d’une plaisanterie faite sur M. 

2294. (1888) Revue wagnérienne. Tome III « VI »

Très multiples, très divers, très spéciaux, les bruits de la nature se sont fixés aisément dans la mémoire humaine ; les chants d’oiseaux, le vent, le roulis de la mer, l’orage, tout cela est chez les peuples sauvages (et les civilisés) l’objet d’imitations ; et ces imitations, quelque approximatives qu’elles fussent, sont devenues dans les esprits les évocations des bruits primitifs, et tel rythme, telle mélodie, tel timbre peu à peu purent représenter des bruits connus.

2295. (1886) Quelques écrivains français. Flaubert, Zola, Hugo, Goncourt, Huysmans, etc. « Gustave Flaubert. Étude analytique » pp. 2-68

Sous les platanes, dans un jardin diapré de lis et de roses, les mercenaires célébrant leur festin ; la lente apparition de Salammbô descendue les apaiser, à la fois peureuse et divine, l’expédition nocturne de Mathô et Spendius dans le temple de Tanit, l’horreur de ces voûtes et le charme du passage du chef par la chambre alanguie où Salammbô dort entre la délicatesse des choses ; le retour d’Hamilcar, son recueillement dans la maison du Suffète-de-la-Mer ; Salammbô partant racheter de son corps le voile de la déesse, son accoutrement d’idole et ses râles mesurés, quand le chef des barbares rompt la chaînette de ses pieds ; puis le siège énorme de Carthage, la foule des peuplades accourues, l’écrasement des cadavres, l’horreur des blessures, et sur ce carnage rouge, l’implacable resplendissement de Moloch ; l’agonie de toute une ville, puis par un revers l’agonie de toute une armée, les dernières batailles, et, entre celles-ci, l’entrevue si curieusement mièvre et grave, où Salammbô voilée et parlant à peine reçoit le prince son fiancé en un jardin peu fleuri que passent des biches traînant à leurs sabots pointus, des plumes de paons éparses ; enfin le supplice de Mathô et les joies nuptiales, mêlant des chocs de verres et des odeurs de mets au déchirement d’un homme par un peuple, jusqu’à ce qu’aux yeux de Salammbô défaillante en l’agitation secrète de ses sens, Schahabarim arraché au supplicié son cœur et le tende tout rouge au rouge soleil, final tonnant dans lequel se mêlent le beau, l’horrible, le mystérieux et l’effréné en un suprême éclat.

2296. (1898) Manuel de l’histoire de la littérature française « Livre premier. Le Moyen Âge (842-1498) » pp. 1-39

Le Moyen Âge (842-1498) [Discours] I « J’ai eu l’occasion — a dit quelque part un historien philosophe — d’étudier les institutions politiques du Moyen Âge en France, en Angleterre et en Allemagne ; et, à mesure que j’avançais dans ce travail, j’étais rempli d’étonnement en voyant la prodigieuse similitude qui se rencontre en toutes ces lois ; et j’admirais comment des peuples si différents et si peu mêlés entre eux avaient pu s’en donner de si semblables. » [Tocqueville, L’Ancien Régime et la Révolution, livre I, chap. 

2297. (1911) Psychologie de l’invention (2e éd.) pp. 1-184

Avec les idées de puissance, gloire militaire et les approches de la mort, il s’agit d’en bâtir : Niveler tout un peuple aux tailles de quinze ans... […] Les enfants, les peuples primitifs, en s’essayant à des œuvres d’art, se trompent bien souvent en ce sens et juxtaposent des détails qui ne peuvent s’accorder. […] Parfois une idée pousse dans un esprit — ou dans un peuple, — puis languit et meurt sans avoir fleuri et fructifié.

2298. (1930) Physiologie de la critique pp. 7-243

Coïncidant avec un Génie, Génie du christianisme, Génie de Port-Royal, Génie d’un peuple (souvenez-vous du Tableau de la France de Michelet), d’une littérature ou d’un homme, on peut l’appeler critique d’intuition ou de sympathie. […] Comme les peuples heureux n’ont pas d’histoire, ces gens de goût ne font pas de livres, mais il faut bien prendre ici son exemple dans les livres, je le prendrai donc dans le livre qui de tous les livres écrits est le moins un livre, dans l’auteur qui est le moins un auteur, dans Montaigne. […] Les Français, que Nietzsche a appelés le plus chrétien de tous les peuples, avaient pris en face du christianisme, après l’échec de la Réforme française, deux attitudes opposées : construire en lui et par lui, omnia instaurare in Christo , ce qui fut l’idéal du xviie  siècle, et aussi bien des jésuites que des jansénistes, lesquels travaillaient tous deux, ceux-ci sur le terrain de l’âme, ceux-là sur le terrain social, à instituer un christianisme intégral.

2299. (1866) Nouveaux lundis. Tome VI « Alfred de Vigny. »

Les Destinées, ces antiques déesses qui tenaient les races et les peuples sous leur ongle de fer, régnaient visiblement sur le monde ; mais la terre a tressailli, elle a engendré son sauveur, le Christ est né !

2300. (1862) Portraits littéraires. Tome II (nouv. éd.) « Delille »

Et il ajoutait (ce que je cache au bas de la page)  : Et de ses larges flancs voit sortir à longs flots Tout un peuple d’abbés, pères d’abbés nouveaux !

2301. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Théocrite »

Et Chateaubriand, qui n’a cessé d’avoir le grand culte présent, a dit en s’adressant à un ami qu’il voulait enflammer : « C’est une vérité indubitable qu’il n’y a qu’un seul talent dans le monde : vous le possédez cet art qui s’assied sur les ruines des empires, et qui seul sort tout entier du vaste tombeau qui dévore les peuples et les temps. » On aime à entendre à travers les âges ces échos qui se répondent et qui attestent que tout l’héritage n’a pas péri.

2302. (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre deuxième. La connaissance des corps — Chapitre premier. La perception extérieure et les idées dont se compose l’idée de corps » pp. 69-122

Les peuples enfants, en qui cette aptitude est intacte, la suivent bien plus loin que nous.

2303. (1863) Cours familier de littérature. XV « LXXXVIIIe entretien. De la littérature de l’âme. Journal intime d’une jeune personne. Mlle de Guérin » pp. 225-319

Les plus touchantes catastrophes de l’histoire : le meurtre de César, le supplice de Charles Ier, le cachot du Temple, la mort si calme de Louis XVI, priant pour son peuple égaré ; aucune de ces scènes a-t-elle jamais retenti plus profondément dans votre cœur que la chute d’une larme secrète d’une pauvre âme inconnue qui dit à Dieu ses douleurs intimes, sans dire au monde son nom ?

2304. (1922) Enquête : Le XIXe siècle est-il un grand siècle ? (Les Marges)

Ils tendent aux autres peuples de splendides miroirs où les âmes étonnées se reconnaissent.

2305. (1889) Histoire de la littérature française. Tome IV (16e éd.) « Chapitre sixième »

Que la violence de cette situation mette tout un peuple à la gêne, et que les spectateurs soient troublés, incertains, éperdus, comme ces gens qui, dans un tremblement de terre, voient les murs de leurs maisons vaciller et sentent la terre se dérober sous leurs pieds. » Voilà pour Diderot l’idéal d’une comédie sérieuse.

2306. (1888) Revue wagnérienne. Tome III « VIII »

Mais il suffit de connaître un peu à fond l’Allemagne et ses tristes défectuosités artistiques, et de connaître en même temps Wagner qui sous tant de rapports fut l’artiste le moins allemand qu’on puisse rêver, pour se dire que cela doit avoir été pour lui la délivrance d’un vrai cauchemar, de pouvoir créer une œuvre sans se préoccuper de cet excellent peuple !

2307. (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre deuxième. L’émotion, dans son rapport à l’appétit et au mouvement — Chapitre premier. Causes physiologiques et psychologiques du plaisir et de la douleur »

Nos peines et nos plaisirs seraient ainsi le résumé des peines ou plaisirs élémentaires d’une myriade de cellules : un peuple souffre ou jouit en nous, notre moi est légion, notre bonheur individuel est en même temps un bonheur collectif et social.

2308. (1891) Journal des Goncourt. Tome V (1872-1877) « Année 1874 » pp. 106-168

De cet atelier, je suis tombé à la nuit tombante dans l’atelier de Galland, le peintre-décorateur, dans cet atelier qui, en sa grandeur de cathédrale et avec son peuple mythologique de petites maquettes, au milieu de ses grisailles mourantes, semblait s’ouvrir à l’éveil crépusculaire d’un Olympe de Lilliput, ressuscitant la nuit.

2309. (1926) L’esprit contre la raison

Ils aperçoivent soudain une grande unité poétique qui va des prophéties de tous les peuples aux Illuminations et aux Chants de Maldoror.

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