/ 1451
821. (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « M. Roger de Beauvoir. Colombes et Couleuvres. »

Ces Poètes, qui, du reste, se nomment eux-mêmes des artistes, et qui ont réellement plus d’art dans leur manière que de génie et d’inspiration, travaillent leur langue comme un sculpteur travaille son vase, comme un peintre lèche son tableau, et nous donnent au xixe  siècle une seconde édition affaiblie de la Renaissance qui, elle aussi, avec le large bec, ouvert et niais, d’un Matérialisme affamé, happait la forme et s’imaginait tenir le fond, l’âme et la vie !

822. (1904) Les œuvres et les hommes. Romanciers d’hier et d’avant-hier. XIX « Édouard Gourdon et Antoine Gandon » pp. 79-94

et les peintres n’auraient pas dessiné leur piquante Permission de dix heures.

823. (1904) Les œuvres et les hommes. Romanciers d’hier et d’avant-hier. XIX « Xavier Aubryet et Albéric Second » pp. 255-270

Il s’est même vanté, et trop vanté en maint endroit, d’être l’archéologue et l’antiquaire de l’avenir, le peintre minutieux et fidèle d’un Paris disparu et qu’il sera curieux de retrouver.

824. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « M. Edmond About » pp. 91-105

La madame Chermidy de Germaine est une madame Marneffe, peinte à la détrempe par un peintre d’enseigne, non pour le volet, cette fois, mais pour l’intérieur d’un wagon.

825. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « M. Prosper Mérimée. » pp. 323-336

il la photographie, mais elle ne lui insinue jamais dans l’imagination cette lumière interne des vrais peintres, plus vraie que l’autre lumière, a travers laquelle ils peignent tout.

826. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XVI. Des sophistes grecs ; du genre de leur éloquence et de leurs éloges ; panégyriques depuis Trajan jusqu’à Dioclétien. »

Ce qui prouve qu’il n’était pas médiocre, c’est qu’il avait un genre d’éloquence à lui, et que comme les peintres célèbres, il fit une école.

827. (1905) Propos littéraires. Troisième série

Balzac est le peintre des bêtes de proie. […] C’est démontré maintenant ; car Renan, si sobre de descriptions et de paysages dans les écrits connus jusqu’ici, se montre très grand peintre paysagiste dans ses lettres à M.  […] Elle est acceptée même des peintres ! Il y a des peintres, oui, qui ne se croient pas tenus d’être des moralistes et d’exprimer une doctrine morale dans leurs tableaux. […] Les objets sollicitaient vivement l’œil d’Émile Zola, comme celui d’un peintre.

828. (1890) La vie littéraire. Deuxième série pp. -366

C’était un peintre mystique d’une grande distinction. […] Madame de Rayssac était musicienne et peintre avec ardeur. […] Je ne dirais plus qu’Euripide a été athlète et peintre parce qu’en réalité on n’en sait rien. […] C’est pour lui que le peintre David peignait Léonidas et la mort de Socrate. […] C’est un bon peintre quand il copie ce qu’il voit.

829. (1892) Essais sur la littérature contemporaine

Peintres ou romanciers, si cette liberté leur a jadis été refusée, ou plutôt chicanée, — car en la leur refusant on ne pouvait s’empêcher de la reconnaître au fond, — les théoriciens du naturalisme, mais surtout les exemples contemporains de Balzac et de Flaubert, la leur ont pour toujours conquise. […] Il comprendra que la nature toute seule peut bien faire des peintres ou des poètes, mais que c’est la société qui fait les auteurs dramatiques et les romanciers. […] Au nom de ces principes, il faudra que, comme nos peintres ou nos musiciens, ils réforment et ils transforment en quelque manière l’éducation de leur public. […] Si du xviiie  siècle ils n’ont connu que les boudoirs, les théâtres et les cafés, les peintres des fêtes galantes et ceux des élégances mondaines, comment auraient-ils porté, dans le roman naturaliste, ce sens du naturel et de la vérité qu’il exige avant tout ? […] Et nous, en les suivant, nous sommes assurés de ne pas les égaler — ce qui n’importe après tout qu’aux peintres et aux poètes, — mais nous sommes assurés aussi de ne pas nous égarer, et ceci, je pense, importe à tout le monde.

830. (1856) Articles du Figaro (1855-1856) pp. 2-6

Champfleury accomplissait sa découverte, un jeune peintre d’un très grand talent, ma foi ! […] Pour être un grand peintre de portraits il ne suffit pas d’attraper la ressemblance : le plus médiocre barbouilleur peut arriver à ce résultat ; il faut surtout fixer la ressemblance morale et arrêter l’âme dans les lignes et les contours du visage. […] Peintre, observateur et poète, il faut ces trois petites choses-là pour former un réaliste. […] Il est tout à la fois le héros de la pièce et le paillasse, excellent peintre et meilleur charlatan, s’il est possible. […] Il n’avait qu’à choisir dans son Épopée du peintre.

831. (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252

Boursault compose Le Portrait du peintre contre Molière. […] Il assiste à une représentation du Portrait du peintre ; fin de leur querelle. […] Enfin ils avaient annoncé et affiché Le Portrait du Peintre. Le peintre, qui jusque-là s’en était tenu à quelques coups de pinceau assez innocents, se crut alors tout à fait dispensé de timides ménagements, et, dans L’Impromptu de Versailles, livra leur jeu à la risée du parterre. […] » Ce portrait, si nous le comparons à ceux que les peintres et les écrivains contemporains nous ont laissés de Molière, offre plus d’un trait de ressemblance.

832. (1888) Poètes et romanciers

L’âme, affranchie des fatalités du monde extérieur, spiritualisée par le dogme de l’épreuve, réalise son type dans les écoles des peintres qui recherchent l’expression de l’homme intérieur, de ses secrètes angoisses et de ses joies mystiques, comme la statuaire grecque recherchait l’expression de l’homme extérieur, de la vie physique dans sa noblesse, dans sa jeune vigueur et sa sérénité. […] Virgile, invoqué à propos d’une gorge blanche , Virgile, le chaste peintre du délire de Didon !

833. (1881) Le naturalisme au théatre

Le peintre qui n’est pas doué, ne fera jamais que des tableaux très médiocres ; de même le sculpteur, de même le musicien. […] Cela me rappelle un peintre classique, disant de Courbet : « Eh bien ! […] Il en est de même pour les peintres à l’École des Beaux-Arts. […] Tout le monde peut être malade, même sans s’être fatigué et sans être peintre ou sculpteur. […] Je viens de nommer Horace Vernet, ce peintre médiocre qui a été si cher au chauvinisme français.

834. (1881) Le roman expérimental

C’étaient des peintres, des sculpteurs, des musiciens, qui poursuivaient avant tout le son, la forme, la lumière. […] Je prends un exemple parmi les peintres. […] Pourtant, rien n’est plus rare, Les peintres savent bien cela. Mettez certains peintres devant la nature, ils la verront de la façon la plus baroque du monde. […] Jamais, dans ses œuvres, le milieu ne détermine un être ; il reste peintre, il n’a que des mots comme un peintre n’a que des couleurs.

835. (1912) Réflexions sur quelques poètes pp. 6-302

Un peintre, élève de Giotto, en passant par Avignon, fit, sur la prière de Pétrarque, le portrait de Laure. […] Selon l’expression de Vasari, ces sonnets donnèrent plus de renommée à ce peintre que n’auraient fait tous ses tableaux. […] On admirait surtout sa naïveté et sa facilité à décrire les choses dont il vouloit parler, et l’on trouvoit ses peintures si vives et si naturelles, que Ronsard avait coutume de l’appeler le Peintre de la nature. […] Mais une expression extraordinaire, un coloris plus fort, une attitude bizarre d’un peintre moins bon nous saisit du premier coup d’œil, parce qu’on n’a pas coutume de la voir ailleurs. […] Et si cette comparaison ne semble point un superbe éloge ni pour l’un ni pour l’autre, du moins il n’y a pas de quoi rougir, pour le peintre, comme pour le poète.

836. (1925) Promenades philosophiques. Troisième série

Tout travail est choisi : celui-là jardine, dont c’est le goût ; cet autre laboure, cet autre est charpentier, ou peintre, ou musicien. […] Le nu est en effet totalement absent de la nature européenne, de la nature qu’ont sous les yeux les peintres européens. […] La logique est pour Ruskin : le nu dans les paysages est une aberration, surtout ce nu de papier blanc par quoi les peintres pensent nous subjuguer. Ruskin avait exposé ses premières théories, ou plutôt ses premiers enthousiasmes, dans le livre intitulé : les Peintres modernes. […] Un menuisier ne donnera pas un coup de pinceau, un peintre ne posera pas un clou.

837. (1884) Propos d’un entrepreneur de démolitions pp. -294

Ses robes chatoyantes, ses dentelles, ses cheveux cendrés et ondés, sa carnation vigoureuse, avaient fasciné l’œil du peintre. […] Le peintre disait : C’est joli à peindre. […] Il est fait pour quelque chose de mieux que pour remâcher ce réglisse oublié sur la vieille table de nuit du peintre de madame de Pompadour. […] Vainement expliquerai-je aux peintres profanes qui m’environnent que porphyrogénète signifie un monsieur qui est né dans la pourpre et qu’un dévoiement de cette fonction implique une inaptitude évidente au gouvernement des peuples. Les peintres glabres ou hirsutes ne comprendront ni la pourpre de mes langes ni la pourpre de mon indignation et j’accomplirai sans consolation mes hargneuses destinées.

838. (1894) Écrivains d’aujourd’hui

Elle peut suffire au peintre. […] « Les poètes font avec des mots ce que les peintres essaient avec des nuances. […] Celui-là sera peintre qui est organisé pour sentir l’harmonie des couleurs ; celui-là sera statuaire qui est prédisposé pour goûter vivement les effets qui résultent de l’harmonie des lignes. […] Le peintre de portraits. […] Il est un peintre de portraits.

839. (1894) Les maîtres de l’histoire : Renan, Taine, Michelet pp. -312

Il avait trouvé en mademoiselle Scheffer, fille du peintre Henry Scheffer et nièce du célèbre Ary Scheffer, une compagne capable de le comprendre et digne de l’aimer. […] C’est au christianisme, c’est-à-dire au plus grand phénomène religieux de l’histoire, que Renan appliqua ses qualités d’érudit, de peintre et de psychologue. […] Il vit la nature et l’histoire avec des yeux de peintre, attachant une importance extrême à toutes les questions de coloris, de costume, de mœurs, de décor extérieur, où il voyait la traduction sensible de la vie intérieure. […] Cela nous fait comprendre comment ce grand logicien a été en même temps un grand peintre, comment s’est formé ce style si personnel, où la vigueur du coloris et de l’imagination s’allie à la rigueur du raisonnement, où chaque touche du pinceau du peintre est un élément indispensable de la démonstration du philosophe. […] Il se montre en cela grand peintre d’histoire.

840. (1894) Critique de combat

C’est conscience d’observateur et de peintre. J’ai dit peintre. […] Mais graveur plus encore que peintre ! […] C’est, habillé de neuf, l’Abbé Daniel, d’André Theuriet, un des premiers récits qui firent aimer du public ce peintre délicat des bois, des champs, des mœurs villageoises et provinciales. […] C’est qu’à côté d’eux se dessinent, en traits plus nets et plus variés, une foule de figures féminines, caressées avec une prédilection visible par le pinceau du peintre.

841. (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « M. DE LA ROCHEFOUCAULD » pp. 288-321

Il est assez de l’avis de Vauvenargues, qui dit : « La Bruyère étoit un grand peintre, et n’étoit pas peut-être un grand philosophe. Le duc de La Rochefoucauld étoit philosophe et n’étoit pas peintre. » Quelqu’un a dit en ce même sens : « Chez La Bruyère, la pensée ressemble souvent à une femme plutôt bien mise que belle : elle a moins de corps que de tournure. » Mais, sans prétendre diminuer du tout La Bruyère, on a droit de trouver dans La Rochefoucauld un angle d’observation plus ouvert, un coup d’œil plus à fond.

842. (1875) Premiers lundis. Tome III « Les poètes français »

» Il y a là un tableau à faire, il y a un tableau tout fait, et le vieux trouvère, cette fois, a été peintre. […] Macaulay, qui est fort suivi aujourd’hui : « Les meilleurs portraits, a dit ce grand peintre historique, sont peut-être ceux dans lesquels il y a un léger mélange de charge… Quelque chose est perdu pour l’exactitude, mais beaucoup est gagné pour l’effet… Les lignes moins importantes sont négligées, mais les grands traits caractéristiques s’impriment pour toujours dans l’esprit. » C’est ainsi qu’on raccommode après des siècles et qu’on refait bien des personnages.

843. (1862) Cours familier de littérature. XIII « LXXIVe entretien. Critique de l’Histoire des Girondins (5e partie) » pp. 65-128

Je dois beaucoup aussi au spirituel Georges Duval, témoin des événements et peintre des figures. […] Comme ce peintre qui, désespérant de rendre l’expression complexe d’un sentiment mixte, jeta un voile sur la figure de son modèle et laissa un problème au spectateur, il faut jeter ce mystère à débattre éternellement dans l’abîme de la conscience humaine.

844. (1863) Cours familier de littérature. XVI « XCIe entretien. Vie du Tasse (1re partie) » pp. 5-63

« À propos, Monsieur », dit Voltaire, « vous me reprochez, mais avec votre politesse et vos grâces ordinaires, d’avoir dit que la Fontaine n’était pas assez peintre. Il me souvient en effet d’avoir dit autrefois qu’il n’était pas un peintre aussi fécond, aussi varié, aussi animé que l’Arioste, et c’était à propos de Joconde ; j’avoue mon hérésie au plus aimable prêtre de notre Église.

845. (1899) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Septième série « Figurines (Deuxième Série) » pp. 103-153

Ses honnêtes duretés contre cette noblesse décadente dont il s’est fait spécialement le peintre impliquent, avec un sens très juste du rôle historique de la noblesse, une irréductible sympathie et un rien de préjugé. « Si l’on pèche plus dans cette société-là, fait-il dire à un abbé, on rachète aussi davantage. […] D’autres sont de bons biographes ou de bons peintres de caractères.

846. (1912) Enquête sur le théâtre et le livre (Les Marges)

Ce spectacle demande la collaboration du poète, du musicien, du maître à danser et du peintre. […] On ne peut en vouloir à des ingénieurs, à des commerçants, à des industriels, à des peintres, à des musiciens, à des médecins, occupés, voire surmenés, qui, malgré toute leur bonne volonté, se sont déclarés vaincus.

847. (1889) Histoire de la littérature française. Tome IV (16e éd.) « Chapitre cinquième »

Quand je le vois ajouter ainsi ou retrancher, sur des conseils que lui apporte le courrier du matin, sacrifier à d’Argental un trait, allonger une tirade pour Cideville, improviser pour madame du Châtelet un effet de scène, je me figure un peintre, au milieu d’amis invités à voir sa nouvelle toile, qui, debout, devant son tableau, la palette en main, ferait des retouches à toute réquisition. Certes, les amis de ce peintre pourraient admirer fort un ouvrage où chacun d’eux aurait mis du sien ; mais les connaisseurs feraient peu de cas d’une toile qui serait plutôt une succession d’ébauches superposées qu’une œuvre d’art.

848. (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Agrippa d’Aubigné. — II. (Fin.) » pp. 330-342

Elle lui sait gré avant tout d’être un peintre, et de ce don énergique et coloré de la parole par lequel elle est mise en vive communication avec le passé.

849. (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « Histoire de la Restauration, par M. Louis de Viel-Castel » pp. 355-368

· L’historien, sans songer à être peintre, fait à cet endroit un portrait fort ressemblant de Louis XVIII, le grand modérateur, sur lequel reposait l’exécution du pacte tant bien que mal contracté.

850. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « M. ALFRED DE MUSSET (La Confession d’un Enfant du siècle.) » pp. 202-217

Dans les tentatives plus fortes qu’il a faites, comme André del Sarto et Lorenzaccio, M. de Musset a moins réussi que dans ces courtes et spirituelles esquisses, si brillantes, si vivement enlevées, dont les hasards et le décousu même conviennent de prime abord aux caprices et, en quelque sorte, aux brisures de son talent ; mais, jusque dans ces ouvrages de moindre réussite, on pouvait admirer la séve, bien des jets d’une superbe vigueur, de riches promesses, et dire enfin comme, dans son Lorenzaccio, Valori dit à Tebaldeo, le jeune peintre : « Sans compliment, cela est beau ; non pas du premier mérite, il est vrai : pourquoi flatterais-je un homme qui ne se flatte pas lui-même ?

851. (1874) Premiers lundis. Tome II « Mémoires de Casanova de Seingalt. Écrits par lui-même. »

Son frère François, le peintre de batailles, avec qui il fut le plus lié, lui portait de la jalousie, bien qu’il mêlât ce sentiment à quelque amitié.

852. (1895) Histoire de la littérature française « Troisième partie. Le seizième siècle — Livre IV. Guerres civiles conflits d’idées et de passions (1562-1594) — Chapitre I. Les mémoires »

C’est le peintre de l’individualisme du siècle, étranger à toute grande idée, à tout sentiment universel, notant avec une égale sympathie, une égale chaleur de style les fortunes amoureuses des dames, et les hautaines entreprises des hommes de guerre ; rien ne le touche que la vie.

853. (1895) Histoire de la littérature française « Cinquième partie. Le dix-huitième siècle — Livre V. Indices et germes d’un art nouveau — Chapitre II. Signes de la prochaine transformation »

Les littérateurs hantent les peintres, les sculpteurs, les architectes ; les uns et les autres font échange de pensées, de goût, d’idéal606 Les littérateurs même seront au premier rang dans les vives polémiques auxquelles donneront lieu les Bouffons d’abord, et plus tard la rivalité de Gluck et de Piccinni.

854. (1925) Méthodes de l’histoire littéraire « I. Leçon d’ouverture du Cours d’éloquence française »

Naturellement orienté vers les réalités plutôt que vers les abstractions, très artiste, très attentif aux rapports de la littérature et des beaux-arts, il regardait ses auteurs comme un peintre, ou comme un romancier naturaliste peut faire.

855. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre VII. Maurice Barrès et Paul Adam » pp. 72-89

  Et voici, de Paul Adam toujours, les Cœurs nouveaux où s’allient à merveille la bravoure critique et la maëstria du peintre.

856. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Deuxième partie. Ce qui peut être objet d’étude scientifique dans une œuvre littéraire — Chapitre IV. Cause immédiate d’une œuvre littéraire. L’auteur. Moyens de le connaître » pp. 57-67

que, sachant qu’on cherchera peut-être le peintre dans sa peinture, il se représente volontairement, non pas tel qu’il est, mais tel qu’il voudrait être ou, ce qui revient quelquefois au même, tel qu’il croit être ?

/ 1451