/ 1907
536. (1913) Les antinomies entre l’individu et la société « Chapitre XI. L’antinomie sociologique » pp. 223-252

Il fait partie en même temps de l’armée comme officier de réserve ; d’une société de secours mutuels, d’un comité républicain ; d’un cercle artistique ou sportif : il fait partie en même temps de la société mondaine (fonctionnaire) de la ville où il réside. […] On l’admet parce que l’existence de Putois offre une explication commode de certains méfaits commis dans la ville et dont on ne trouve pas l’auteur. […] On est ici en présence d’une coterie et bientôt de toute une ville qui soutient un mensonge avéré et parfaitement conscient.

537. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Campagnes d’Égypte et de Syrie, mémoires dictés par Napoléon. (2 vol. in-8º avec Atlas. — 1847.) » pp. 179-198

« La ville de Malte ne pouvait, ne voulait, ne devait pas se défendre. […] Mais c’est une ville profane, où il y a plus d’infidèles que de croyants ; ce serait se mettre au milieu de ses ennemis. […] Napoléon, au Caire, avait lu le Coran ; une fois en Palestine, il ouvre la Bible : « En campant sur les ruines de ces anciennes villes, on lisait tous les soirs l’Écriture sainte à haute voix, sous la tente du général en chef.

538. (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « La princesse des Ursins. Lettres de Mme de Maintenon et de la princesse des Ursins — II. (Suite et fin.) » pp. 421-440

Le roi s’avança à sa rencontre sur le chemin de Burgos, et Mme des Ursins prit elle-même les devants jusqu’à une petite ville appelée Xadraque. […] Et de cette dernière ville, quelques jours après, elle écrit (toujours à Mme de Maintenon) : J’attendrai les ordres du roi à Saint-Jean-de-Luz, où je suis dans une petite maison sur le bord de la mer. […] Elle s’était rendu compte à l’avance de tout ce néant humain ; elle se dit, en sachant ses ennemis triomphants et ses amis consternés, qu’il n’y avait pas lieu à tant s’étonner ; que ce monde n’était qu’une comédie où il y avait souvent de bien mauvais acteurs ; qu’elle y avait joué son rôle mieux que beaucoup d’autres peut-être, et que ses ennemis ne devaient pas s’attendre à ce qu’elle fût humiliée de ne le plus représenter : « C’est devant Dieu que je dois être humiliée, disait-elle, et je le suis. » Après avoir quitté la France, où Louis XIV mourait et où le duc d’Orléans, qu’elle avait pour ennemi déclaré, devenait le maître, elle alla habiter Rome, son ancienne patrie, la ville des grandeurs déchues et des disgrâces décentes.

539. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 38, que les peintres du temps de Raphaël n’avoient point d’avantage sur ceux d’aujourd’hui. Des peintres de l’antiquité » pp. 351-386

On voit par exemple dans le palais que les barberins ont fait bâtir dans la ville de Palestrine, à vingt-cinq milles de Rome, un grand morceau de mosaïque qui peut avoir douze pieds de long sur dix pieds de hauteur, et qui sert de pavé à une espece de grande niche, dont la voute soutient les deux rampes separées, par lesquelles on monte au premier palier du principal escalier de ce bâtiment. […] Tout le monde sçait que l’ancien Prenesté est la même ville que Palestrine. […] On voïoit encore en mil sept cens deux dans les ruines de l’ancienne Capouë, éloignée d’une lieuë de la ville moderne de Capouë, une gallerie enterrée, en latin Cripto-Porticus , dont la voute étoit peinte, et representoit des figures qui se joüoient dans differens ornemens.

540. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Première partie. — Chapitre XV. »

Vite, quittons, ô Catulle, les plaines de la Phrygie et le fertile terroir de la brûlante Nicée : courons vers les villes fameuses d’Asie. […] Que feraient de plus cruel des soldats ennemis dans une ville emportée d’assaut ? […] Souvent le dieu du vin, errant au sommet du Parnasse, excita lui-même les bacchantes aux longs cheveux épars, alors que les Delphiens, élancés hors des murs de leur ville, accueillaient le dieu par l’encens de leurs autels.

541. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — L — Levengard, Pol = Loewengard, Pol (1877-1917) »

Paul Levengard doive toujours s’inspirer d’eux : bien qu’il ait, quoique tardivement, aimé le ciel triste de Lyon, sa ville natale, il est surtout attiré par l’éclatante, l’écrasante splendeur de l’Orient, inconnu et pressenti.

542. (1882) Qu’est-ce qu’une nation ? « [Préface] »

À l’époque de la Révolution française, on croyait que les institutions de petites villes indépendantes, telles que Sparte et Rome, pouvaient s’appliquer à nos grandes nations de trente à quarante millions d’âmes.

543. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 404-405

Budé, [Guillaume] né à Paris en 1467, mort dans la même ville en 1540.

544. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » pp. 479-480

Charleval, [Jean-Louis Faucon de Ris, sieur de] né à Paris en 1613, mort dans la même ville en 1693 ; Bel-Esprit de son temps, qui cultiva les Lettres, & fit des vers pour son plaisir, dont il ne nous est parvenu que quelques Pieces, qui font connoître qu’il avoit du talent pour la Poésie légere.

545. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 203-204

MANGENOT, [Louis] Chanoine du Temple, né à Paris en 1694, mort dans la même ville en 1768.

546. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 338-339

MONCRIF, [François-Augustin Paradis de] Lecteur de la Reine, de l’Académie Françoise, né à Paris en 1687, mort dans la même ville en 1770.

547. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — N. — article » pp. 397-398

NADAL, [Augustin] Abbé, de l’Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, né à Poitiers, mort dans la même ville en 1741, âgé de 82 ans.

548. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 517-518

PIN, [Louis Ellies du] Docteur de Sorbonne, & Professeur de Philosophie au Collége Royal, né à Paris en 1657, mort dans la même ville en 1719, a été un des Auteurs les plus féconds du Siecle dernier.

549. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre premier. Beaux-arts. — Chapitre VII. Versailles. »

Ce palais, qui lui seul est comme une grande ville, ces escaliers de marbre qui semblent monter dans les nues, ces statues, ces bassins, ces bois, sont maintenant ou croulants, ou couverts de mousse, ou desséchés, ou abattus, et pourtant cette demeure des rois n’a jamais paru ni plus pompeuse, ni moins solitaire.

550. (1925) Feux tournants. Nouveaux portraits contemporains

Il y aura tellement d’étrangers qu’il faudra augmenter la ville d’un étage. […] À Nantes, où il soigne des soldats absents de la guerre, il rencontre Jacques Vaché qui, blessé, est en traitement dans un hôpital de la ville. […] les auteurs ont tout intérêt à se faire jouer en costume de ville, soyez-en persuadés… Le divorce éternel, le désaccord sentimental et sexuel, avaient été exprimés par M.  […] La Ville éphémère date de 1922. […] À leur tête, il marcha sur Lausanne persuadé que sa seule présence suffirait à convaincre les magistrats de la ville de se libérer d’un joug politique insupportable.

551. (1925) Portraits et souvenirs

Quelle détente, en effet, que cette ville de silence et de reflets, le balancement paresseux de ses gondoles, la savante lenteur qui y règle tous les actes de la vie ! […] Je voulais gravir de nouveau les pentes intérieures qui mènent à la plate-forme aérienne d’où toute la Ville marine apparaît aux yeux émerveillés, posée et comme flottante sur la vaste étendue d’eau de sa lagune. […] D’ailleurs, Venise tout entière la passionnait également, et avec quelle joie elle savait nous faire aimer la Ville incomparable qu’elle connaissait en ses moindres pierres ! […] Tolède n’est-elle pas une des villes inspiratrices de M.  […] La maison a été acquise par la Ville de Paris en 1949 et abrite, depuis lors, un musée Balzac, dans lequel on a partiellement reconstitué le cabinet de travail de l’écrivain.

552. (1898) Essai sur Goethe

Toutes ces masses étaient nécessaires ; ne les vois-tu pas dans toutes les vieilles églises de ma ville ? […] Les princes, les prélats et les villes tendaient à l’accroissement de leur puissance locale, aux dépens de la puissance impériale affaiblie et chancelante. […] Il le rencontra pourtant quelquefois dans les cercles étroits de la petite ville. […] Rien de remarquable dans la ville, dont l’ornement principal, le château, venait d’être détruit par un incendie. […] Au moment de sa venue, on fêtait par de somptueuses réjouissances l’entrée dans la ville de la nouvelle duchesse, Barbara d’Autriche.

553. (1894) Journal des Goncourt. Tome VII (1885-1888) « Année 1885 » pp. 3-97

Et Ganderax, à la première ville envoyait une dépêche au docteur, pour le prévenir qu’on le volait, et lui indiquer le voleur. […] Une éternelle chaîne de rochers, aux dentelures étranges, et à l’extrémité de cette chaîne, une ville dont les habitations sont en partie creusées dans la pierre, une ville où l’on ne sait pas où finit la roche, où commence la construction, — et une ville abandonnée, où semblent à la fois avoir passé un incendie et une peste. […] La petite ville de Provence, sous ses grands platanes, ses auvents d’habitations tapissées d’une plante grimpante, ses portes aux portières de toile. […] Encore une ville abandonnée sur une cime rocheuse, une ville que l’on croit avoir été creusée dans la pierre, par des hommes venus après les hommes des cavernes, et dont les logis, ou plutôt les anfractuosités dans la roche, auraient été habitées plus tard, par les populations du pays, en fuite devant l’invasion des Sarrasins. […] Des cours profondes comme des puits, des corridors interminables, des escaliers dont on ne peut compter les marches, puis soudain, des peintures ingénues et barbares, imparfaitement entrevues en un angle de plafond, soudain encore, un trou de lumière : une fenêtre avec son banc de pierre s’ouvrant au-dessus d’une ville de clochers roses sur un ciel mauve — et dans la trouble rêverie de votre esprit entre ces murs, revenant le souvenir du massacre, de la sanguinaire tuerie de 93.

554. (1895) Hommes et livres

Dans cette ardente rivalité, la ville de Montpellier mène campagne avec un mélange original d’adresse et de fierté. […] Après bien des essais, bien des traverses, Thomas Platter, l’ancien chevrier, était devenu gymnasiarque de la ville de Bâle. […] Le difficile était de faire entrer en ville cette étrange contrebande. […] Savez-vous pourquoi il tient si rigoureusement à l’unité de lieu, qu’il ne veut même pas qu’on juxtapose sur la scène deux quartiers voisins d’une ville ? […] Pour le lieu, deux quartiers seulement d’une ville ; l’irrégularité est réduite au minimum.

555. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — L — Le Mouël, Eugène (1859-1934) »

. — Ma petite ville (1890). — Le Nain goémon (1890). — Enfants bretons.

556. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 316-317

Boindin, [Nicolas] de l’Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, né à Paris en 1676, mort dans la même ville en 1751.

557. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » pp. 434-435

François de Sales, né à Paris en 1582, mort dans la même ville en 1652.

558. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » pp. 60-61

COTIN, [Charles] Abbé, de l’Académie Françoise, né à Paris, mort dans la même ville en 1682.

559. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » pp. 461-462

GUENEBAULD, [Jean] Médecin, né à Dijon, mort dans la même ville en 1630.

560. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » pp. 92-93

LATTAIGNANT, [Gabriel-Charles de] Chanoine de Reims, né à Paris au commencement de ce siecle, mort dans la même ville en 1778.

561. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — N. — article » pp. 405-406

NICÉRON, [Jean-Pierre] Barnabite, né à Paris en 1645, mort dans la même ville en 1738.

562. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 130-131

Rotrou, [Jean] né à Dreux en 1609, mort dans la même ville en 1650, le meilleur, après Corneille, des cinq Poëtes choisis par le Cardinal de Richelieu, pour exécuter les sujets de Tragédie ou de Comédie que ce Ministre leur fournissoit lui-même.

563. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre troisième. Découverte du véritable Homère — Chapitre II. De la patrie d’Homère » pp. 258-259

Si les villes grecques se disputèrent l’honneur d’avoir produit Homère, c’est que chacune reconnaissait dans l’Iliade et l’Odyssée ses mots, ses phrases et son dialecte vulgaires.

564. (1890) L’avenir de la science « VI »

Quand on songe que chaque petite ville d’Italie au XVIe siècle avait son grand maître en peinture et en musique, et que chaque ville de 3 000 âmes en Allemagne est un centre littéraire, avec imprimerie savante, bibliothèque et souvent université, on est affligé du peu de spontanéité d’un grand pays, réduit à répéter servilement sa capitale.

565. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125

Après 1645, quand la société de Rambouillet commença à se dissoudre, comme nous l’avons vu, il s’en forma de nouvelles de l’élite des personnes qui la composaient ; il s’en forma de son rebut, il s’en forma de mêlées ; il s’en forma même des partis opposés de la cour et de la ville ; la pruderie et la galanterie se mêlèrent. […] Le duc de La Rochefoucauld, âgé de quarante-huit ans en 1661, époque où madame de Longue ville commença à se retirer du monde, fréquemment attaqué de la goutte, réunissait chez lui, au moins quand la goutte l’y retenait, des personnes de son affection particulière, avec celles qui fréquentaient les maisons d’Albret et de Richelieu, et qui se partageaient entre elles et lui.

566. (1917) Les diverses familles spirituelles de la France « Chapitre iv »

Même en temps de paix, leurs fidèles, ceux du moins des petites villes, ne les voient que par intervalle, au passage, quelques heures. […] Quand par une triste journée de décembre, depuis les tranchées du bois Saint-Mard, j’ai aperçu au-delà des lignes allemandes les toits et les clochers de Noyon, comment n’aurais-je pas souffert de sentir souillée par le Barbare, la ville de Jean Calvin ? 

567. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XIX. Panégyriques ou éloges composés par l’empereur Julien. »

Tel est un autre endroit sur l’utilité de mettre de bonne heure un jeune prince en action ; de familiariser et ses yeux et son âme avec les périls, les combats, les peuples et les armées ; de lui faire connaître par lui-même, dans son empire, la situation des lieux, l’étendue des pays, la puissance des nations, la population des villes, le caractère des peuples, leur force, leur pauvreté, leur richesse. […] Sons lui le peuple des villes, heureux sans insolence, s’accoutumera à vivre dans l’abondance sans orgueil ; le peuple des campagnes, en cultivant ses champs, fournira le nécessaire à ceux qui, le fer à la main, défendent ses moissons.

568. (1892) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Cinquième série « Quelques « billets du matin. » »

ma chère cousine, j’allais l’oublier : voilà déjà cinq jours qu’on a célébré dans notre bonne ville d’Orléans la fête de la Pucelle. […] C’est vraiment aujourd’hui que Paris a l’air d’une ville qui se damne. […] Mais c’est la ville à la campagne ou au bord de la mer : ce n’est point la campagne. […] On se croirait dans une ville de rêve, où il y aurait de la boue pourtant. […] Changer de quartier à Paris, c’est se transporter d’une ville dans une autre.

569. (1899) Arabesques pp. 1-223

J’abandonnai la ville, et après avoir été respirer les souffles vivifiants de la mer, je me confinai à la campagne, — celle-là même où j’habite encore aujourd’hui. […] Scheurer-Kestner de Prussien et de lui jeter à la tête qu’il possède une fabrique dans une ville allemande. Or cette ville allemande, c’est Thann, ancien chef-lieu de canton de l’ex-département du Haut-Rhin. […] la ville peut bruire là-bas, derrière l’horizon ! […] La ville, c’est Fontainebleau, c’est-à-dire : iº Le palais où il y a : A.

570. (1897) Aspects pp. -215

Ô quelle ville de la Bible ! […] On en parla dans la ville entière. […] Par la ville, on fit des gorges chaudes de cette aventure. […] Émile Verhaeren : Les Villes tentaculaires (chez Deman). […] J’arrivai ainsi, sortant de la ville, à l’entrée d’une sorte de petit bois enclos d’une haie.

/ 1907