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3260. (1824) Ébauches d’une poétique dramatique « Observations générales, sur, l’art dramatique. » pp. 39-63

Aménaïde se livre aux transports de sa joie ; et le retour d’Aldanon, qui lui annonce que Tancrède est blessé mortellement, la rejette dans le désespoir.

3261. (1895) Les règles de la méthode sociologique « Préface de la seconde édition »

Préface de la seconde édition Quand ce livre parut pour la première fois, il souleva d’assez vives controverses.

3262. (1912) L’art de lire « Chapitre IV. Les pièces de théâtre »

On voit aussi que cette recherche est difficile et qu’il n’y manque pas de chances de se tromper ; ce n’est qu’une raison de plus pour la faire, quand il s’agit de plaisir, et, dans le petit livre que j’écris, il n’est question que de cela ; le risque de se tromper aiguise le désir de voir juste et relève le plaisir d’avoir probablement raison, et il y a un plaisir, je ne dirai pas plus grand, mais plus piquant, à être à peu près certain qu’on a raison, qu’à en être pleinement sûr.

3263. (1818) Essai sur les institutions sociales « Chapitre IX. Seconde partie. Nouvelles preuves que la société a été imposée à l’homme » pp. 243-267

Voilà ce qui explique pourquoi, dans les livres saints, l’idolâtrie est caractérisée par tous les détails, même les plus repoussants, de la prostitution, et pourquoi le culte du vrai Dieu est caractérisé à son tour par tous les effets et tous les charmes de l’amour.

3264. (1903) Considérations sur quelques écoles poétiques contemporaines pp. 3-31

Les mêmes détracteurs des Symbolistes affectent surtout un dédain suprême pour Vielé-Griffin dont les Cygnes, la Chevauchée d’Yeldis et le dernier livre, l’Amour sacré, avec ses légendes de Sainte Agnès ou de Sainte Julie sont de pures beautés.

3265. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Deuxième partie. — Chapitre XXII. »

Près de Grenoble, il inscrivit sur le livre de la Grande Chartreuse, dans quelques strophes latines d’un mode et d’un tour horaciens, le vœu et comme le soupir d’une âme pieuse pour la retraite.

3266. (1730) Discours sur la tragédie pp. 1-458

Toutes choses égales, il y a plus de plaisir à entendre un auteur parler en son nom, et avec quelque interêt, qu’à suivre un arrangement méthodique de principes et de conséquences : il semble qu’on soit en compagnie, et que l’on converse, quand un auteur nous parle de lui-même, qu’il nous rend compte de ses mouvemens et de ses idées, comme pour nous en faire juges : on dispute en quelque sorte avec lui, au lieu qu’on n’a qu’un livre devant les yeux, quand sous prétexte de modestie, l’écrivain nous expose ses raisonnemens, sans y prendre part. […] Les faits des livres saints demandent infiniment plus de respect ; et à la rigueur, j’avourai de bonne foi que nous n’y devrions pas toucher. […] Je n’ai point perdu de vuë le degré de fermeté où les livres saints nous le peignent. […] Il me fait cependant un reproche des plus graves ; il m’accuse dans quelques prologues de mes fables d’une vanité bien marquée, dont, dit-il, j’avois été fort éloigné jusques-là. à l’amour qu’il fait paroître dans tout son livre pour la vertu, il lui sied d’avoir été blessé d’un vice si odieux : car j’en conviens de bonne foi, j’ai souscrit d’abord à son reproche : j’ai senti dans ces prologues, quand je les ai relus, un air de vanité qui ne me laisse pas douter qu’il n’y en ait effectivement ; j’en soupçonne encore dans bien d’autres endroits où j’en ai moins l’air ; et je crains qu’il n’y en ait jusques dans l’aveu que j’en fais, tant j’ai de plaisir à le faire. […] C’est alors que Clitemnestre se livre à toute sa fureur.

3267. (1814) Cours de littérature dramatique. Tome II

Titus serait sifflé s’il agissait ainsi au théâtre, et Rousseau mérite de l’être pour avoir consigné cette opinion dans un livre de philosophie. […] Agamemnon, dans la pièce grecque, se livre davantage aux mouvements de la tendresse paternelle ; dans la pièce française, il garde plus de dignité. […] Chez nous l’enfance de l’art dramatique avait été déshonorée par des farces tirées de nos mystères et de nos livres saints ; il restait à Racine, après avoir perfectionné notre scène profane, de sanctifier et de consacrer la poésie dramatique par un chef-d’œuvre tiré de la Bible. […] Il y a donc une fatalité, une étoile pour les livres comme pour les hommes : Et habent sua fata libelli. […] Tous les dictionnaires de théâtre, tous les livres de littérature sont pleins des mêmes mensonges accrédités par l’autorité de Voltaire : il importe donc de les réfuter.

3268. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250

L’idéal ne visite point de ses rayons les sentiments intimes de l’indépendante Uranie, et soit qu’il la convainque, dans les livres de M.  […] Si elle avait invité à sa table quelques-uns de ses ennemis les philosophes, et qu’entre les convives la discussion tombât, comme il arrive souvent, même entre des convives philosophes, sur les qualités agréables d’un vin, Uranie arrêterait la controverse, en disant : Messieurs, vous paraissez oublier ce que vous avez écrit dans vos livres, qu’en matière de goût physique, il ne faut point disputer.

3269. (1858) Cours familier de littérature. VI « XXXIe entretien. Vie et œuvres de Pétrarque » pp. 2-79

La frayeur me rendait immobile, je ne savais que devenir ni où aller. » Son amour, ses livres et ses vers suffisaient à sa vie. […] Mes livres, ce sont des gens de tous les pays et de tous les siècles : distingués à la guerre, dans la robe et dans les lettres ; aisés à vivre, toujours à mes ordres ; je les fais venir quand je veux, et je les renvoie de même ; ils n’ont jamais d’humeur et répondent à toutes mes questions.

3270. (1865) Cours familier de littérature. XX « CXVIIIe entretien. Littérature américaine. Une page unique d’histoire naturelle, par Audubon (2e partie) » pp. 161-239

On était au commencement d’avril, et d’après la description du lieu, telle que je l’avais vue dans les livres, j’étais certain qu’il devait être fréquenté par des pewees. […] Grâce au progrès de la civilisation, elle ne se contente plus d’une aride nomenclature : elle ne se renferme plus dans la poudre des vieux livres.

3271. (1888) Revue wagnérienne. Tome III « VII »

— Et pendant ce temps, il paraît à Paris des douzaines de livres sur Wagner : nulle part on ne trouve une semblable surexcitation, un tel besoin de communiquer au public ses idées et ses appréciations sur ce maître. Mais quels livres !

3272. (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre deuxième. L’émotion, dans son rapport à l’appétit et au mouvement — Chapitre premier. Causes physiologiques et psychologiques du plaisir et de la douleur »

Nouveaux Essais sur l’entendement, livre II. […] On en trouvera l’exposition complète dans le livre de Fr.

3273. (1889) L’art au point de vue sociologique « Chapitre onzième. La littérature des décadents et des déséquilibrés ; son caractère généralement insociable. Rôle moral et social de l’art. »

Dans un ouvrage décadent, au lieu que la partie soit faite pour le tout, c’est le tout qui est fait pour la partie ; non seulement la page, comme dit Paul Bourget, devient indépendante, mais elle acquiert plus d’importance que le livre, le paragraphe que la page, la phrase que le paragraphe, et, dans la phrase même, c’est le mot qui l’emporte, qui saillit. […] Le livre du poète ou du romancier formule pour l’intelligence et fait vivre pour la sensibilité des émotions, des passions, des vices qui, sans lui, seraient restés à l’état vague et inerte.

3274. (1896) Matière et mémoire. Essai sur la relation du corps à l’esprit « Chapitre III. De la survivance des images. La mémoire et l’esprit »

Une partie de ce travail a été faite dans notre premier chapitre, quand nous avons traité de l’objectivité en général ; une autre le sera dans les dernières pages de ce livre, lorsque nous parlerons de l’idée de matière. […] Nous avons montré, au commencement de ce livre, les conséquences de la première illusion : elle aboutit à fausser notre représentation de la matière.

3275. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Massillon. — II. (Fin.) » pp. 20-37

Je suis d’ailleurs un adorateur très zélé de la divinité ; j’ai toujours été opposé à l’athéisme ; j’aime les livres qui exhortent à la vertu, depuis Confucius jusqu’à Massillon ; et sur cela on n’a rien à me dire qu’à m’imiter.

3276. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Nouvelles lettres de Madame, mère du Régent, traduites par M. G. Brunet. — II. (Fin.) » pp. 62-79

On aurait ainsi, non pas précisément un document historique ajouté à tant d’autres, mais une grande chronique de mœurs, un ardent commérage de société par celle qu’on peut appeler le Gui Patin ou le Tallemant des Réaux de la fin du xviie  siècle et des premières années du xviiie  ; on aurait un livre vivant, spirituel et brutal, qui ferait pendant et vis-à-vis à Saint-Simon sur plus d’un point.

3277. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Le marquis de Lassay, ou Un figurant du Grand Siècle. — I. » pp. 162-179

Il signale les vices d’organisation dans l’armée des Impériaux ; il en reconnaît les éléments solides, la supériorité de la cavalerie sur l’infanterie, et par où pèche celle-ci : « Ils ont peu d’officiers ; et on ne voit point dans ceux qu’ils ont un certain désir de gloire qui est dans les officiers français. » Lorsqu’il en vient aux Turcs et à leur gouvernement, il donne aussi ses idées, ses pronostics ; il se livre à des considérations proprement dites, et tourne le tout à la plus grande gloire de Louis XIV qu’il se plaît à supposer voisin de l’Empire ottoman, pour lui faire faire de ce côté des conquêtes plus faciles à exécuter, prétend-il, que ne l’a été celle des Pays-Bas.

3278. (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Maucroix, l’ami de La Fontaine. Ses Œuvres diverses publiées par M. Louis Paris. » pp. 217-234

Si Dieu, qui est le maître, m’eût voulu tirer d’ici, il eût fallu obéir avec toute la soumission dont j’étais capable ; mais je suis assez content de revoir le soleil, même d’entendre les carrosses qui me rompent la tête ; ombre, livres et petits repas consumeront ce qu’il plaira à Dieu qu’il me reste de vie, et un peu de griffonnage45 !

3279. (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Léopold Robert. Sa Vie, ses Œuvres et sa Correspondance, par M. F. Feuillet de Conches. — I. » pp. 409-426

Feuillet de Conches font déjà connaître et dont la publication plus entière deviendra possible avec les années, formera un livre qui se placera tout naturellement à côté du recueil des lettres du Poussin, celui de tous les peintres de qui Léopold Robert relevait le plus, et dont il écrivait à un ami : J’ai été enchanté de me rapprocher autant avec vous pour ce que vous me dites du Poussin.

3280. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Henri IV écrivain. par M. Eugène Jung, ancien élève de l’École normale, docteur es lettres. — I » pp. 351-368

Berger de Xivrey, et qui sont arrivées déjà jusqu’au tome VI, — si, dis-je, on entamait cette lecture dans une pensée d’agrément littéraire ; c’est avant tout un livre d’étude et une vaste source de renseignements pour l’histoire ; la grâce, la galanterie, la gentillesse d’esprit, qui se rattachent à bon droit au souvenir de Henri IV, n’y sont qu’incidentes et clairsemées.

3281. (1870) Causeries du lundi. Tome XII (3e éd.) « Santeul ou de la poésie latine sous Louis XIV, par M. Montalant-Bougleux, 1 vol. in-12. Paris, 1855. — II » pp. 39-56

Arnauld est mort chef d’un parti déclaré contre l’Église, étant lui-même ecclésiastique et d’un ordre dont la doctrine a toujours été sans reproche, eût voulu louer et préconiser un hérésiarque, reconnu par l’Église et la France pour tel, et que si le roi savait cela, etc… Santeul effrayé, et qui avait une pension du roi de huit cents livres, s’excusa en paroles, désavoua les vers comme il put ; mais Jouvency voulait une rétractation non pas seulement verbale, mais écrite.

3282. (1870) Causeries du lundi. Tome XII (3e éd.) « Œuvres de Frédéric-le-Grand Correspondance avec le prince Henri — I » pp. 356-374

Bien au contraire, il cherche constamment à le pousser, à l’enhardir à la guerre, à lui faire livrer plus de batailles qu’il n’en livre (et certainement il ne voulait pas les lui faire perdre), à lui donner plus de ressort et de mouvement, quelque chose qui ressemble davantage à ce qu’il a lui-même.

3283. (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « La princesse des Ursins. Ses Lettres inédites, recueillies et publiées par M. A Geffrot ; Essai sur sa vie et son caractère politique, par M. François Combes » pp. 260-278

Combes a fait de la princesse des Ursins le sujet d’une de ces thèses consciencieuses de la Faculté des lettres qui deviennent si aisément des livres : la princesse, après avoir été discutée et débattue en Sorbonne, a reparu devant le public dans un tableau solide et étendu.

3284. (1864) Nouveaux lundis. Tome II « Une monarchie en décadence, déboires de la cour d’Espagne sous le règne de Charles II, Par le marquis de Villars »

Que, de ces articles non réunis encore, il fasse donc vite un livre auquel tout le public rattache son nom !

3285. (1865) Nouveaux lundis. Tome III « Le Mystère du Siège d’Orléans ou Jeanne d’Arc, et à ce propos de l’ancien théâtre français (suite.) »

Relisez un chant d’Homère, une scène de Sophocle, un chœur d’Euripide, un livre de Virgile !

3286. (1866) Nouveaux lundis. Tome VI « Œuvres de M. P. Lebrun, de l’Académie française. »

Le temps a fait un pas, et la face de la terre est renouvelée 19. » C’est en ce site des plus romantiques entre tous ceux de la belle Normandie, qu’au milieu de ses livres et de ses rêves M. 

3287. (1868) Nouveaux lundis. Tome X « Histoire des cabinets de l’Europe pendant le Consulat et l’Empire, par M. Armand Lefebvre (suite et fin.) »

Savary, duc de Rovigo, entre autres paroles malheureuses, disait au fils de Mme de Staël, en 1810, en condamnant au pilon le livre de L’Allemagne : « L’État a besoin des talents de madame votre mère, il faut qu’elle se décide pour ou contre, comme au temps de la Ligue ; elle a tort de louer les Prussiens : on ferait plutôt du vin muscat avec du verjus que des hommes avec des Prussiens. » Le mot est authentique.

3288. (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « M. PROSPER MÉRIMÉE (Essai sur la Guerre sociale. — Colomba.) » pp. 470-492

Bien des pièces de conviction manquent, en effet : les livres de Tite-Live offrent une lacune à cet endroit, les commentaires de Sylla ont péri.

3289. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Réception de M. le Cte Alfred de Vigny à l’Académie française. M. Étienne. »

Ce qu’il trouvera, ce ne sera pas sans doute ce que nous savons déjà sur la façon et sur l’artifice du livre, sur ces études de l’atelier si utiles toujours, sur ces secrets de la forme qui tiennent aussi à la pensée : il est bien possible qu’il glisse sur ces choses, et il est probable qu’il en laissera de côté plusieurs ; mais sur le fond même, sur l’effet de l’ensemble, sur le rapport essentiel entre l’art et la vérité, sur le point de jonction de la poésie et de l’histoire, de l’imagination et du bon sens, c’est là qu’il y a profit de l’entendre, de saisir son impression directe, son sentiment non absorbé par les détails et non corrompu par les charmes de l’exécution ; et s’il s’agit en particulier de personnages historiques célèbres, de grands ministres ou de grands monarques que le poëte a voulu peindre, et si le bon esprit judicieux et fin dont nous parlons a vu de près quelques-uns de ces personnages mêmes, s’il a vécu dans leur familiarité, s’il sait par sa propre expérience ce que c’est que l’homme d’État véritable et quelles qualités au fond sont nécessaires à ce rôle que dans l’antiquité les Platon et les Homère n’avaient garde de dénigrer, ne pourra-t-il point en quelques paroles simples et saines redonner le ton, remettre dans le vrai, dissiper la fantasmagorie et le rêve, beaucoup plus aisément et avec plus d’autorité que ne le pourraient de purs gens de lettres entre eux ?

3290. (1895) Histoire de la littérature française « Cinquième partie. Le dix-huitième siècle — Livre IV. Les tempéraments et les idées (suite) — Chapitre VI, « Le Mariage de Figaro » »

En 1770 commencent les procès qui vont lui donner la gloire : à propos de son règlement de comptes avec Paris-Duverney, mort le 17 juillet 1770, le comte de la Blache, petit-neveu et héritier du vieux banquier, accuse Beaumarchais de faux et lui réclame 139 000 livres : il perd en première instance, gagne en appel, et enfin, après cassation de l’arrêt d’appel, perd définitivement ; il est débouté, condamné sur tous les points, et en outre à des dommages-intérêts pour raison de calomnie.

3291. (1895) Histoire de la littérature française « Sixième partie. Époque contemporaine — Livre I. La littérature pendant la Révolution et l’Empire — Chapitre II. L’éloquence politique »

Tous ses ouvrages sont remplis de pages simplement transcrites de quelque livre.

3292. (1890) L’avenir de la science « V »

Plusieurs sectes religieuses de l’Orient, les druzes, les mendaïtes, les ansariens, ont des livres sacrés qui leur fournissent un pain très substantiel et qui, pour nous, sont ridicules ou parfaitement insignifiants.

3293. (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. Bain — Chapitre III : Les Émotions »

Herbert Spencer, dans un article publié en 1860 par la Médico-Chirurgical Review, et reproduit depuis dans ses Essays (t. 1, 1868), a fait du livre de M. 

3294. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Des lectures publiques du soir, de ce qu’elles sont et de ce qu’elles pourraient être. » pp. 275-293

Chaque fois, par exemple, qu’on introduit un livre, un auteur nouveau, à chaque cadre de lecture nouvelle qu’on a, en quelque sorte, à suspendre dans l’esprit des auditeurs, on se voit obligé de dresser un appareil tout exprès.

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