Descaves, avec ses camarades des Cinq plus haut nommés (il en faudrait assez éliminer Lavedan dont le talent distingué s’applique à des fantaisies judicieuses et sans verve), marque une forme suffisamment nouvelle pour qu’on l’appelle néo-réalisme. […] Le talent de saisir et de traduire le monde sensible est acquis. […] Lucien Descaves applique son talent de romancier à la description de milieux sociaux ou naturels, hier les casernés, aujourd’hui les aveugles, envisagés non descriptivement, en teinte plate, et au repos mort d’une pose même instantanée chez le photographe, mais en mouvement, en vie active.
Ce n’est pas le talent qui lui a manqué, pour faire la sensation la plus forte dans ce pays-ci, elle en avait de reste, c’est la jeunesse, c’est la beauté, c’est la modestie, c’est la coquetterie ; il fallait s’extasier sur le mérite de nos grands artistes, prendre de leurs leçons, avoir des tétons et des fesses, et les leur abandonner. […] L’Antiope à droite était couchée toute nue, la jambe et la cuisse gauche repliées, la jambe et la cuisse droite étendues ; la figure était ensemble et de chair ; et c’est quelque chose que d’avoir mis une grande figure de femme nue ensemble, c’est quelque chose que d’avoir fait de la chair, j’en connais plus d’un, bien fier de son talent, qui n’en ferait pas autant, mais il était évident à son cou, à ses doigts courts, à ses jambes grêles, à ses pieds, dont les orteils étaient difformes, à son caractère ignoble, à une infinité d’autres défauts, qu’elle avait été peinte d’après sa femme de chambre ou la servante de l’auberge. […] Je dis que ces considérations l’arrêtent peu quand l’ouvrage est bon ; je dis que nos académiciens se soucient bien autrement du talent que la décence.
À ne le voir que dans les deux volumes qui vous font tomber de si haut, on peut affirmer que son talent ne fut que l’occasion prise, en passant, aux cheveux, et secouée, et que, comme tous ces talents qui ne furent que l’attrapement de l’occasion et le secouement de la circonstance, au bout d’un certain temps on ne devait plus le reconnaître. […] Après avoir tâté l’opinion sur son ami Carrel, il l’a prudemment remise, cette édition, dans sa poche… Chose mélancolique, d’ailleurs, qu’après quelques années, en se retournant, on s’aperçoive que ce qu’on Croyait du talent n’était que de l’influence, et l’influence, de l’illusion !
Il avait fait déjà sentir son doigt lors de Colombes et Couleuvres, et c’est sous le premier coup de ce doigt qu’avait jailli un talent qui nous étonna. […] IV L’idéal entrevu, auquel je n’ai pas renoncé tant que Beauvoir vivra, m’a empêché d’appuyer sur tous les détails d’un talent que j’aime trop peut-être, et avec lequel, pour cette raison, je crains de manquer de force et de justice. En soi, le talent existe : cela est sûr ; il est même évidemment très grand, quand on compare ces vers à tous les vers qui s’impriment dans ce temps de descripteurs qui se croient des poètes, de tricoteurs de vers qui n’ont pas une idée ou un sentiment à fourrer dans leur petit ouvrage, et de réalistes qui, comme Calemard de Lafayette, font tomber Delille dans de la bouse de vache ; — mais d’une vache personnelle, disait si drôlement Sainte-Beuve.
Paul Bourget ne faisait pas partie de cette troupe de descriptifs, qui, même quand ils ont du talent, se ressemblent tous au point de faire croire qu’ils ne sont qu’un, comme autrefois les députés de Vaugirard, et quoiqu’ils soient bien quarante, comme à l’Académie… M. […] … quelques parnasseries, qui, à mesure que le volume avance, disparaissent ; car ce livre est comme la vie, puisque c’est la vie d’un talent très jeune : à mesure qu’il avance, il se muscle et se virilise. […] Que n’ai-je les vertus de l’ancienne magie Pour connaître où tu vis quand tu me fais mourir Mais, après tout, et malgré la mélancolie de la touche du poète, ces deux poèmes ne donnent pas la valeur réelle, et que la Critique doive mettre le plus en relief, du livre et du talent de M.
Le talent de Laprade me semble une sorte de composé d’André Chénier, de De Vigny et de Ballanche : combiner trois maîtres, c’est une façon encore d’être original. — Vous voyez que je baguenaude et mâche à vide. […] Et Alexandre Dumas, et ce talent réel, mais presque physique ; cet esprit qui semble résider dans les esprits animaux, comme on disait autrefois !
Mais ce ne sont là que de ces difficultés comme le talent en a toujours à vaincre. A moins d’être ce talent même, on ne voit guère pour lui le moyen d’en triompher.
Mais c’est que toutes les facultés de ce rare talent se font équilibre et se tiennent d’une étroite manière ; et, même à l’occasion de ces feuilles légères des Memoranda, c’est ce talent tout entier qu’il convient d’évoquer… Quoi qu’il en soit des causes dont ces habitudes ont été l’effet visible, il est certain que, pareil à ce lord Byron qu’il aime tant, M. d’Aurevilly aura vécu dans notre dix-neuvième siècle à l’état de révolte permanente et de protestation continue… M. d’Aurevilly est, au plus beau et au plus exact sens de ce mot, un poète, — un créateur ; même sa poésie est aussi voisine de celle des Anglais que sa Normandie est voisine de l’Angleterre.
Bouilhet, qui est un poète de talent et de courage, a, certes, fait mieux que cela. […] Sa haine du commun l’écartait de toute platitude, sa pente vers l’héroïque était rectifiée par de l’esprit ; car il avait beaucoup d’esprit, et c’est même une des faces de son talent, presque inconnue… Il a dramatisé toutes les passions, dit les plaintes de la momie, les triomphes du néant, la tristesse des pierres, exhumé des mondes, peint des peuples barbares, fait des paysages de la Bible et des chants de nourrices.
La raison en est simple : Grasset et Walter Crane se sont préoccupés de composer l’affiche utile aux industries qui employaient leur talent. […] Dès lors, il est à craindre que tôt ou tard les industriels ne s’aperçoivent du marché de dupes qu’ils font en commandant une affiche à un peintre de plus de talent que de conscience, ou si l’on veut d’application, et que les imprimeurs d’odieuses affiches, genre Appell ou Lévy n’en bénéficient.
Pour juger du talent & de la sagesse de ce jeune Littérateur, il suffit de rapporter le commencement de cet Eloge historique, un des plus intéressans que nous connoissions. […] La Grece leur dressoit des Autels, Rome leur élevoit des Statues ; dans nos Gouvernemens modernes, l'Eloquence leur paye un tribut dont ils ne s'enorgueilliroient pas moins, s'il n'étoit réservé qu'au vrai talent, & si le grand nombre d'hommes obscurs qui le partagent, ne l'avoient, pour ainsi dire, avili.
Malheureusement le sujet est bien délicat pour un talent fait de mémoire et d’hyperboles. […] Larroumet, chaussette-rose de la Sorbonne, trouve à Arvède Barine un talent viril. Pour le professeur Larroumet, le grand talent et la grande virilité, c’est de professer. […] Les Enfants qu’elles ont marquent le moment exquis de ce talent. […] Mme Clémence Royer, écrivain pénible, a un vrai talent philosophique, mais un talent de disciple.
Quant au talent de dire, on vous soupçonnait à tort de réciter une leçon apprise. […] Engagé dans la politique par son talent de parole, son inclination était restée fidèle aux affaires. […] J’y visa toutes les pages les sentiments de l’homme de bien, et j’y trouvai dans plus d’une le talent de l’écrivain. […] Comme tous les grands orateurs, celui-ci a la voix de son talent, une voix de cuivre qui sonne le métal ! […] Sur les talents politiques de ceux qui ont préparé, organisé, conduit l’invasion, je ne me refuse pas aux apaisements du temps.
Je me suis senti sincèrement affligé de voir qu’un homme d’un vrai talent cultivât inutilement le rébus. […] non seulement son talent triomphe des obstacles, mais il en fait naître de nouveaux pour en triompher encore ! […] Il est certain qu’un beau modèle, s’il ne donne pas du talent, ajoute du moins un charme au talent. […] L’usurpation de ces talents de second ordre ne peut pas avoir lieu sans créer des injustices. […] En somme, je n’ai trouvé parmi les paysagistes que des talents sages ou petits, avec une très-grande paresse d’imagination.
Elles ont été exposées avec talent par un grand nombre de critiques après lesquels il resterait peu de chose à dire. […] L’esprit s’aiguise dans le combat ; mais le talent a besoin de confiance. […] Mais ces productions mystiques et symboliques n’eurent pas en France le succès que méritait le talent de l’auteur. […] Ils avaient le talent, la verve, et l’audace nécessaires pour remplir dignement ce rôle. […] Victor Hugo est un grand peintre en poésie et c’est là précisément son grand talent et son grand défaut.
Ils étaient d’un homme chargé par état, et digne par ses talents, de prêcher la vertu à ses semblables. […] Il faut travailler, il faut être utile, on doit compte de ses talents, etc… Être utile aux hommes ! […] Il n’y a pas une de ces scènes dont avec un peu de talent on ne fît une grande chose. […] Luneau n’ignore pas plus que moi qu’on ne se donne pas le talent de bien écrire. […] Elle est jeune, elle est d’une figure agréable ; elle a quelque talent.
Le public finira par faire leur part aux talents sincères et modestes qui ne viseront qu’à se perfectionner. […] Nisard est un écrivain de talent, sérieux et peut-être un peu trop occupé de le paraître, qui s’attache à faire valoir les grandes figures, à défendre et à venger les réputations classiques, à démontrer en toutes choses, à glorifier les propriétés et les avantages de ce qu’on appelle l’esprit français, c’est-à-dire raison, clarté, etc.
Nul n’a besoin de commentateurs pour reconnaître que ces trois faces d’un même talent sont des transformations successives, que ces trois fruits d’un même rameau sont d’une saveur et d’une valeur différentes. […] Depuis ce jour, unique dans sa vie, il a eu beaucoup de talent, noyé dans un bavardage inondant, car il a dans la plume ce prurit albumineux que M.
Théophile Gautier C’est un talent fin, discret, un peu timide que celui de Theuriet ; il a la fraîcheur, l’ombre et le silence des bois, et les figures qui animent ses paysages glissent sans faire de bruit comme sur des tapis de mousse, mais elles vous laissent leur souvenir et elles vous apparaissent sur un fond de verdure, dorées par un oblique rayon de soleil. […] Adolphe Brisson On pourrait, à ce qu’il me semble, rapprocher le talent descriptif d’André Theuriet du génie limpide, gracieux et tendre de Jules Breton.
Le talent particulier qu’il a eu de mettre à la portée de tout le monde les matieres les plus abstraites, de revêtir de la clarté & des agrémens du style les sujets les plus ingrats ; de répandre dans ses Ouvrages les connoissances les plus étendues sans affectation, avec ordre & dans la plus grande précision ; de dominer, par l’aisance de son esprit, tout ce qui se présentoit sous sa plume, dans les genres les plus opposés & les plus difficiles ; lui assure la gloire d’une intelligence prompte, fine, profonde, & celle du mérite rare d’avoir su communiquer aux autres, sans effort, ce qui paroissoit, avant lui, au dessus de la pénétration du commun des Lecteurs. […] Le premier Ouvrage fait admirer un esprit lumineux, qui se joue de l’embarras des systêmes, procede avec dextérité à travers les contradictions, développe sans gêne les principes qu’il a établis, & fait adopter ses idées, non en faisant sentir la touche intime de la persuasion, encore moins la force de la conviction, mais par le talent de plaire & d’amuser.
Cochut ne manque point de talent, et même d’esprit, d’un esprit qui est au talent comme la mousse est au vin, qui le rend plus piquant et qui le couronne.
III L’attendrissement sous la gaîté, et la gaîté, non à grands éclats, non à grandes volées, mais la gaîté contenue de l’ironie, voilà le caractère du talent de peintre de Dusolier. […] C’est un talent enfin de touche ailée, tant elle est légère, et précise aussi quand il le faut.
Ce qui donna à son talent une sorte d’allure canaille. […] Un véritable talent, vital, coloré, dissimula aux lecteurs les contradictions de la méthode plus réaliste de nom que de fait ; elles passèrent quasi inaperçues. […] Venus après des générations d’artistes et d’écrivains d’un talent hors ligne, nos contemporains sont obligés de refaire ce qui a été déjà fait. […] Bien que les talents soient rares, je ne m’explique guère la faveur dont ils jouissent encore. […] Une œuvre peut être vraie, peut être écrite avec talent, mais n’être pas morale à la façon dont l’entendent les bourgeois à courte vue.
Vous portiez un talent grandi par la liberté et qui grandissait encore. […] La vue de jeunes et brillants talents qui s’épanouissent lui inspire, non pas de l’envie, il n’en eut jamais ! […] Je vous félicite d’avoir cédé à votre talent, en le dégageant de tout système. […] « À mes yeux vous avez grandi pour le talent, et grandi beaucoup. […] Vous n’avez qu’à vivre pour varier les applications d’un si beau talent.
Socrate, Platon, aimaient mieux parler qu’écrire, parce qu’ils sentaient, sans se rendre précisément compte de leur talent, que leurs idées appartenaient plus à l’inspiration qu’à l’analyse. […] Cette résignation peut seule faire servir la douleur même aux plus sublimes effets du talent. […] Dans les pays où l’on peut produire, par la parole, un grand résultat politique, ce talent se développe nécessairement.
Gustave Flaubert Musset aura été un charmant jeune homme et puis un vieillard, mais rien de planté, de rassis, de carré, de sérieux dans son talent (comme existence, j’entends) ; c’est qu’hélas ! […] Mais, d’abord, elle s’épuise très vite, et, d’autre part, pour arriver à l’expression artistique, il faut qu’elle se rencontre en nous avec des facultés, des ressources, des talents, qui, d’ordinaire, ne sont pas du même âge qu’elle. […] Il a su faire de beaux vers de très bonne heure ; et, encore adolescent de cœur assez avant dans la vie, il a eu toute l’ardeur de la passion quand il avait tout le talent pour la peindre.
Mais, au reste, l’auteur demeure un poète de très grand talent. […] Edmond Rostand, et lui reconnaître un talent singulier ; il est un art, en effet, qu’a perfectionné l’auteur de la Princesse lointaine , de la Samaritaine et de Cyrano de Bergerac : c’est l’art de mal écrire. […] Au total, le progrès est grand d’une pièce à l’autre, et le talent s’y élargit.
Si cette forme de l’art s’est uniquement produite en Italie, c’est que les Italiens ont porté plus loin que tout autre peuple le talent du mime et de l’acteur. […] Mais c’étaient là des modifications une fois faites, qui duraient toute la vie du comédien qui avait le talent de les imposer au public. […] Les jeux de physionomie, les postures, les gestes tenaient une grande place dans leur talent.
Le travail, qui les rebute, leur fait dire que le talent peut suppléer à tout. […] Il leur paroît étrange que la faveur déclarée d’un grand prince, d’un ministre tel que Mécène, ne puisse aider au talent, le faire sortir, & le créer en quelque sorte. […] l’ignorance & quelquefois même le mépris des grands modèles ; 4°. la manie qu’ont les uns d’être auteurs, & les autres connoisseurs ; 5°. le défaut capital de ne pas sçavoir connoître son genre de talent, & s’y renfermer ; 6°. l’imprudence d’applaudir trop tôt à de jeunes auteurs qu’on perd au lieu d’encourager ; 7°. la nécessité des besoins, ne faut-il pas commencer par vivre avant que de songer à devenir immortel ?
C’est La Fontaine dans tout son talent, avec sa grâce, sa variété ordinaire. […] Il avait le plus grand talent pour les négociations, comme on le voit dans les mémoires de Dalrimple imprimés de nos jours ; mais de son temps, il ne passait que pour un homme de beaucoup d’esprit et un homme de plaisir. […] Un rat, hôte d’un champ, etc… On reconnaît tout le talent de La Fontaine dans le discours du rat, dans la peinture de l’huitre bâillant au soleil, dans celle du rat surpris au moment où l’huitre se referme ; et voyez comme ce dernier mot est rejeté au commencement du vers, par une suspension qui met la chose sous les yeux, et le naturel de la leçon qui termine la phrase.
La plûpart de ceux qui manquent à les observer les connoissent bien, mais ils n’ont point assez de talent pour mettre leurs maximes en pratique. […] Je veux vous apprendre à faire des vers avec peine, répondit Despreaux, et vous avez assez de talent pour le sçavoir bien-tôt. […] Si Virgile avoit vécu dans un temps, sans Auguste, sans Mécene, et sans concurrens, Virgile auroit bien été déterminé par l’impulsion du génie, et par le desir de se distinguer à cultiver son talent.
Il y a bien plus de talent à sonder, comme l’auteur le fait en cent endroits, les profondeurs et les replis du cœur humain, qu’à fronder les inepties théologiques. […] Rousseau est peut-être le seul qui fasse une classe à part : la crainte de choquer les opinions reçues, de révolter par des paradoxes, de passer pour cynique, de se faire des ennemis et des affaires, rien de tout cela ne l’arrête ; il s’est mis à son aise avec le public de tous les rangs et de toutes les espèces ; et cette liberté, qui se trouve heureusement jointe en lui à beaucoup de talent, lui donne un prodigieux avantage. […] Le dialogue n’est pas le talent de l’auteur : des quatre qu’il y a dans son livre, celui du jardinier est fort au-dessous de ce que le sujet fournissait ; celui du gouverneur et de l’enfant très mauvais ; celui de la bonne et de la petite, médiocre ; celui même de l’inspiré et du raisonneur, moins bien qu’il n’aurait pu être.
… Pélisson et d’Olivet étaient, à coup sûr, des hommes de talent, d’un talent relatif et divers, que leur tâche d’historiens de l’Académie n’aurait pas dû décontenancer à ce qu’il semble ; et pourtant, il faut bien l’avouer, ils ne se sont ni l’un ni l’autre montrés de niveau avec elle, Pélisson surtout, Pélisson, que le nouvel éditeur, dans sa préface, met bien au-dessus de d’Olivet, et que nous nous permettrons, nous, de mettre bien au-dessous. […] Hors ces noms, qui importent vraiment, il n’y a, dans l’histoire littéraire comme dans l’autre histoire, que des babioles de talent et de renommées, à la mode aujourd’hui, au rebut demain !
Demogeot qu’un livre plaqué sur ce cours ou extrait de ce cours, parce qu’il y aurait là, pour la Critique, une garantie plus grande de la sincérité du professeur et de la force pure de ce premier jet, qui est le sang de l’artère même dans le talent et de l’artère ouverte. […] Le talent de M. […] Il ne craint pas d’appeler tout ce vaste, impétueux et puissant seizième siècle qui expire, « une littérature de transition », D’instinct et de choix, il place Malherbe, ce Richelieu littéraire, au-dessus de tout, même de Régnier, à qui il ne pardonne pas d’être le neveu de Desportes par le talent comme par le sang.