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1670. (1923) L’art du théâtre pp. 5-212

Le lecteur éventuel n’a sur lui aucune influence ; ni après ni avant, il ne saurait le modifier (je mets à part la littérature commerciale) : c’est lui, lecteur, qui recevra seul son empreinte, plus ou moins profonde, plus tôt ou plus tard. […] Les modes de sentir, les modes de penser, se sont multipliés sous la double influence de l’individualisme et des échanges entre les nations.

1671. (1910) Muses d’aujourd’hui. Essai de physiologie poétique

Pour qu’une œuvre poétique puisse avoir une influence vivante sur la sensibilité contemporaine, il est nécessaire qu’elle ait été touchée par les lèvres des femmes, que les femmes aient plongé en elle leur visage comme en une rose. […] Alors le poète s’aperçoit, au bout de cette analyse, de cette introspection, qu’il n’existe que par les sensations qui l’affectent, par les influences qui l’envahissent ; il s’abandonne à elles, et, puisqu’il s’agit d’une femme, se laisse pénétrer par tous les bruits, par tous les heurts de la vie.

1672. (1868) Curiosités esthétiques « II. Salon de 1846 » pp. 77-198

Le Musée Espagnol est venu augmenter le volume des idées générales que vous devez posséder sur l’art ; car vous savez parfaitement que, comme un musée national est une communion dont la douce influence attendrit les cœurs et assouplit les volontés, de même un musée étranger est une communion internationale, où deux peuples, s’observant et s’étudiant plus à l’aise, se pénètrent mutuellement, et fraternisent sans discussion. […] En général, l’influence ingriste ne peut pas produire de résultats satisfaisants dans le paysage.

1673. (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « M. Ampère »

En tête d’un des nombreux projets d’ouvrages de métaphysique qu’il a ébauchés, je trouve cette phrase qui ne laisse aucun doute : « C’est en 1803 que je commençai à m’occuper presque exclusivement de recherches sur les phénomènes aussi variés qu’intéressants que l’intelligence humaine offre à l’observateur qui sait se soustraire à l’influence des habitudes. » C’était s’y prendre d’une façon scabreuse pour tenir fidèlement cette promesse de soumission religieuse et de foi qu’il avait scellée sur la tombe d’une épouse.

1674. (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Livre troisième. Les sensations — Chapitre II. Les sensations totales de la vue, de l’odorat, du goût, du toucher et leurs éléments » pp. 189-236

Tous ces faits conduisent à cette conclusion que les molécules dissoutes du corps sapide pénètrent dans le tissu de la langue jusqu’au contact de ses papilles nerveuses, et que là, sous l’influence de la chaleur animale, elles forment avec nos liquides sécrétés une combinaison chimique, variable avec la variation de ces liquides92. — Pareillement un corps n’a d’odeur que s’il est à l’état gazeux ; il faut en outre que la membrane pituitaire ne soit pas sèche ; de plus, on a constaté que, pour être odorant, un gaz doit se combiner sur la membrane pituitaire avec l’oxygène.

1675. (1858) Cours familier de littérature. VI « XXXIIe entretien. Vie et œuvres de Pétrarque (2e partie) » pp. 81-155

« Espérant trouver à la fin, par la vertu de ces plantes secourables et par l’influence de ces beaux regards dont je fus consumé, quelque repos après les lassitudes de la vie, « J’ai servi un maître cruel et avare (l’amour), et j’ai brûlé tant que le foyer de mon cœur a été visible sous mes yeux ; et maintenant je vais pleurant sa cendre éparse au vent de la mort ! 

1676. (1859) Cours familier de littérature. VIII « XLVe entretien. Examen critique de l’Histoire de l’Empire, par M. Thiers (2e partie) » pp. 177-248

La Révolution avait emporté le clergé avec sa fortune, son influence et ses privilèges ; elle l’avait emporté avec la noblesse, les parlements et le trône lui-même.

1677. (1859) Cours familier de littérature. VIII « XLVIIe entretien. Littérature latine. Horace (1re partie) » pp. 337-410

Telle est l’agréable et délicieuse retraite qui protège votre ami contre les influences malignes de septembre. » Les peintres de la Rome actuelle s’y retirent encore aujourd’hui pour fuir les fièvres de la campagne romaine.

1678. (1860) Cours familier de littérature. IX « XLIXe entretien. Les salons littéraires. Souvenirs de madame Récamier » pp. 6-80

« Si j’ai parlé de ces premières années, malgré mon intention d’abréger tout ce qui m’est personnel, c’est à cause de l’influence qu’elles ont souvent à un si haut degré sur l’existence entière : elles la contiennent plus ou moins.

1679. (1860) Cours familier de littérature. X « LVIe entretien. L’Arioste (2e partie) » pp. 81-160

Il y suppliait tous les amants, chevaliers, demoiselles, que le hasard amènerait dans ces lieux, de bénir ces gazons, ces ombres, ces antres, ces ruisseaux, ces arbustes, et de demander pour eux au ciel ou aux nymphes les douces influences du soleil et de la lune.

1680. (1861) Cours familier de littérature. XI « LXIVe entretien. Cicéron (3e partie) » pp. 257-336

Par république il entendait, non seulement la chose publique, mais la politique tout entière, c’est-à-dire l’étude de cet admirable et divin mécanisme moral par lequel les hommes s’organisent en société, se maintiennent en ordre, grandissent en prospérité, se perpétuent en durée, en influence et en gloire.

1681. (1864) Cours familier de littérature. XVIII « CVIIe entretien. Balzac et ses œuvres (2e partie) » pp. 353-431

Il fut nommé membre de l’administration du district de Saumur, et son influence pacifique s’y fit sentir politiquement et commercialement.

1682. (1866) Cours familier de littérature. XXI « CXXIIe entretien. L’Imitation de Jésus-Christ » pp. 97-176

Plus donc la nature est assujettie et vaincue, plus la grâce se répand avec abondance ; et chaque jour, par ces nouvelles influences, l’homme intérieur se reforme pour devenir une plus parfaite image de Dieu.

1683. (1888) Revue wagnérienne. Tome III « VI »

Le plus grand de nos musiciens français, le maître avec Wagner de toute musique contemporaine (j’entends celui dont l’influence prédomine originellement et incontestablement avec celle de Wagner sur nos compositeurs depuis vingt ans), M. 

1684. (1893) La psychologie des idées-forces « Tome second — Livre cinquième. Principales idées-forces, leur genèse et leur influence — Chapitre deuxième. L’idée de l’espace. Son origine et son action »

C’est, en un mot, la volonté qui se prépare à un oui ou à un non ; et la volonté est obligée, pour bien savoir ce qu’elle doit faire, de commencer par une sorte de demi-oui, par une acceptation de l’influence extérieure en tant que simple sensation et non encore plaisir ou douleur.

1685. (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1860 » pp. 303-358

Et ce changement vient de l’influence du théâtre sur les femmes.

1686. (1894) Journal des Goncourt. Tome VII (1885-1888) « Année 1886 » pp. 101-162

Il me dit que le premier roman qu’il a lu, est Sœur Philomène, et que cette lecture avait peut-être eu une influence sur sa carrière.

1687. (1889) Écrivains francisés. Dickens, Heine, Tourguénef, Poe, Dostoïewski, Tolstoï « Charles Dickens »

Que l’on considère en outre qu’en dehors de l’influence qu’une tendance trop vive aux émotions exerce sur les perceptions et sur la connaissance, les sentiments ont eux-mêmes des propriétés précises qui modifient toute l’organisation mentale de celui chez lequel ils prédominent et qui altèrent par conséquent directement cette expression de son individualité qui est l’œuvre d’art.

1688. (1886) Quelques écrivains français. Flaubert, Zola, Hugo, Goncourt, Huysmans, etc. « Gustave Flaubert. Étude analytique » pp. 2-68

L’influence des acquisitions verbales sur les idées me semble le seul moyen d’expliquer l’unité des écoles littéraires, surtout de la romantique, l’unité même d’une nation formée d’éléments ethniques divers et notamment l’assimilation rapide des étrangers naturalisés.

1689. (1868) Curiosités esthétiques « I. Salon de 1845 » pp. 1-76

. — Les qualités par lesquelles il brille sont tellement fortes, — parce qu’elles sont des qualités d’âme et de fond — que l’influence de M. 

1690. (1893) Impressions de théâtre. Septième série

A mesure que son influence décroît, elle perd la tête. […] Dumas, une autre merveilleuse page sur les phénomènes sociaux qui ont marqué la seconde moitié du règne de Napoléon III et plus encore ces vingt dernières années : « La prise de possession de Paris par l’étranger ; l’avènement de la race juive qui peut devenir bientôt prépondérante ; l’émancipation de la courtisane, qui était autrefois une espèce d’excommuniée civile, et qui forme de plus en plus maintenant une classe régulière, admise, consacrée, considérée ; la concentration progressive des capitaux et du commerce, par le jeu du crédit, entre les mains de Compagnies peu nombreuses qui, avant un demi-siècle, seront devenues pour la France ce que furent pour Rome ces latifundia, d’où sortit la guerre sociale en permanence. » Vient alors la description la plus brillante, — et la plus inquiétante, — du cosmopolitisme parisien, et de « cette légion d’étrangers multicolores, depuis le Mexicain et le Yankee jusqu’au Mongolien et au Sarmate, qui occupent, de la gare des Batignolles à la Muette, le splendide Parisian-West », et des mœurs de cette société nouvelle, et des travers, des ridicules, des influences pernicieuses, des vices nouveaux introduits par elle dans notre vie habituelle et notre état public. […] Mais peut-être ai-je trop subi l’influence du vent aigre et du ciel bas.

1691. (1920) Impressions de théâtre. Onzième série

Il ne dit jamais : « je », ni « moi », et peut-être croit-il cette abstention modeste ; mais elle lui sert à ériger en vérités absolues ses sentiments d’homme de chair soumis, comme nous, à mille influences d’éducation, de milieu, de jour et d’heure, de maladie ou de santé, d’amitié ou de haine, je dis à toutes les influences. […] Mais, certainement, sous l’influence des larmoyants, de La Chaussée, de Diderot, de Beaumarchais, la littérature s’attendrit ; la sensibilité est autorisée à fournir des impressions esthétiques. […] Cette première tentative a pu échouer ; elle n’en a pas moins porté ses fruits, et ceux qui ont cherché, après la fin du romantisme, quelle pouvait être la destinée du théâtre, n’ont fait que remettre le pied dans le sentier frayé par La Chaussée ; ils se sont trouvés sur un terrain solide, et n’ont eu qu’à marcher. » Voyez-vous La Chaussée exerçant, près d’un siècle après sa mort, une influence décisive sur Augier et Dumas fils ? […] Ducros analyse alors le Fils naturel et le Père de famille, puis cherche quelle a été leur influence sur le développement de l’art dramatique.

1692. (1900) La vie et les livres. Cinquième série pp. 1-352

Un optimisme clairvoyant, une indulgence très avertie et très décidée à l’égard de ceux que l’« influence divine » a placés hors de la portée de nos jugements, anime cette confession d’un lettré, ce récit très varié et très simple où défile plus d’un demi-siècle de littérature et d’art. […] Tristan et Yseult burent (par erreur, dit la fable, mais je crois bien qu’ils le firent exprès) un breuvage enchanté dont l’influence les lia, l’un à l’autre, d’un amour plus fort que la mort. […] La préoccupation qui va dominer toute sa vie publique, colorer toutes ses opinions, déterminer tous ses votes, c’est le soin de sa réélection à quatre années de là… Il importe que, dans toutes les fonctions publiques qui confèrent quelque influence locale, il écarte ses adversaires s’il en a, qu’il se débarrasse même des tièdes ou des insuffisants, qu’il leur substitue des hommes capables de devenir des agents utiles. […] Sans doute, il y a dans cette œuvre quelque chose de fort et de durable, puisque nous en subissons l’ascendant sans être sollicités par des influences extérieures.

1693. (1782) Essai sur les règnes de Claude et de Néron et sur la vie et les écrits de Sénèque pour servir d’introduction à la lecture de ce philosophe (1778-1782) « Essai, sur les règnes, de Claude et de Néron. Livre premier. » pp. 15-203

La tyrannie imprime un caractère de bassesse à toutes sortes de productions ; la langue même n’est pas à couvert de son influence : en effet, est-il indifférent pour un enfant d’entendre autour de son berceau le murmure pusillanime de la servitude, ou les accents nobles et fiers de la liberté ? […] Si leurs semblables sont rares, c’est qu’il est plus difficile encore de résister à l’éducation domestique et à l’influence des mœurs générales qu’à la misère : ce sont deux moules qui altèrent la force originelle du caractère. […] Si l’esprit de galanterie devient national, et si la légèreté forme le caractère d’un peuple, la constance de certains engagements également proscrits par la morale austère, la loi civile et la loi religieuse, les rend respectables, et le délit est affaibli par l’influence des mœurs générales. […] On verra, dans la suite de cet Essai, aux endroits où je me propose d’examiner les différents jugements qu’on a portés de ses ouvrages, l’influence qu’ont eue sur le mien l’expérience de la vie, et la maturité d’un âge où, si l’on m’eût demandé : Que faites-vous ?

1694. (1910) Variations sur la vie et les livres pp. 5-314

Mais lui qui avait blâmé les autres de leur inaction, le voilà immobile à son tour sous l’influence divine ! […] À peine, ô Cadméen, conduit par l’ignorance, Tu viens, et de ton sort ressentant l’influence, À peine as-tu levé tes sacrilèges yeux, Que prenant en ses mains pour te châtier mieux Cette eau chargée alors de cruels maléfices, Avant même, à l’effroi des nymphes, que tu visses Artémis et son arc à terre détendu, Elle a sur ta figure un venin répandu. […] On suspecta son influence sur les indigènes.

1695. (1814) Cours de littérature dramatique. Tome III

C’est peut-être un ridicule plus grand d’avoir fait de la naïve et tendre Zaïre une pédante qui disserte sur l’influence de l’éducation, qui sait la géographie et l’histoire, qui parle du Gange et de la religion des Indiens ; il est moins étonnant, après cela, qu’Orosmane vienne, le jour de ses noces, étaler à une maîtresse si savante son érudition politique sur les califes et sur la situation de l’Orient. […] Ils ne regardaient comme tyran que le citoyen qui, par l’influence de son génie, de ses talents, de ses vertus, parvenait à comprimer les factions, à rétablir l’ordre, à ramener le bonheur et la paix : c’était là le monstre qu’on devait exterminer. […] Quoique le cœur ait plus d’influence que les yeux sur la naissance d’une passion, cependant un extérieur agréable est un fondement presque nécessaire à toute entreprise amoureuse ; et s’il est vrai de dire que l’amant qui plaît est toujours beau, il n’en est pas moins constant qu’un amant laid a rarement le bonheur de plaire.

1696. (1774) Correspondance générale

En ce moment, Londres vous ouvre ses portes et les citoyens leurs cœurs ; mais la plus grande partie des électeurs, contraints ou paralysés par la puissante influence des autres candidats, n’ont point osé s’aventurer à vous donner leurs votes. […] La lutte contre un homme de génie qui connaît le monde et les hommes, le cœur humain, la nature de la société, l’action et la réaction des ressorts opposés qui la composent, la force de l’intérêt, la pente des esprits, la violence des passions, les vices des différents gouvernements, influence des plus petites causes, et les contre-coups des moindres effets dans une grande machine, est une lutte périlleuse, comme M.  […] Son influence, comme celle de l’amour, s’augmente par le plaisir qu’elle donne, et peut-être plus encore par les consolations qu’elle procure. […] Peut-être eussiez-vous moins rabaissé ces sublimes leçons de morale qui ne s’adressent qu’à la portion opulente, oisive et corrompue de la société, si vous eussiez considéré l’influence bonne ou mauvaise, mais nécessaire, des mœurs des citoyens distingués sur la multitude qui les environne et qui les imite sans presque s’en apecevoir.

1697. (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Madame de Verdelin  »

Ce sont là de ces choses qui font que l’on se sent poète. » Il n’est rien tel en effet que de semblables aveux pour faire sentir dans sa douceur, sa vérité et son sérieux plein de charme, l’heureuse puissance du talent ou du génie, sa vertu d’influence continue et son triomphe invisible.

1698. (1862) Portraits littéraires. Tome II (nouv. éd.) « Delille »

Cette influence domestique qui s’exerçait sur lui sans relâche, et qui parfois rabaissait son brillant talent à un usage presque mercenaire, ôtait quelque dignité à sa vieillesse.

1699. (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre deuxième. La connaissance des corps — Chapitre premier. La perception extérieure et les idées dont se compose l’idée de corps » pp. 69-122

Au contraire, quand nous changeons de place, nous n’emportons pas avec nous les possibilités permanentes de sensation ; elles restent jusqu’à ce que nous revenions, ou bien elles naissent et cessent à des conditions sur lesquelles notre présence n’a en général aucune influence.

1700. (1858) Cours familier de littérature. VI « XXXIVe entretien. Littérature, philosophie, et politique de la Chine » pp. 221-315

Le christianisme qui, en promulguant le dogme d’égalité, de justice et d’amour, aurait dû changer la politique romaine a eu peu d’influence jusqu’à ces derniers temps sur les institutions sociales des peuples.

1701. (1858) Cours familier de littérature. VI « XXXVIe entretien. La littérature des sens. La peinture. Léopold Robert (1re partie) » pp. 397-476

Enfin cet amour ressembla aussi à l’attachement intime et mutuel du peintre Fabre de Montpellier et de la belle comtesse d’Albany, veuve du dernier des Stuarts, prétendant à la couronne d’Angleterre, et peut-être cet exemple d’un amour récompensé et d’un mariage secret entre un artiste et une reine découronnée ne fut-il pas sans une funeste influence et sans une fatale analogie sur l’imagination de Léopold Robert.

1702. (1860) Cours familier de littérature. X « LVe entretien. L’Arioste (1re partie) » pp. 5-80

C’est qu’à mon sens, il a écrit ce chant sous l’influence vive et personnelle de l’amour malheureux qu’il éprouvait pour une autre Ginevra.

1703. (1862) Cours familier de littérature. XIV « LXXXe entretien. Œuvres diverses de M. de Marcellus (3e partie) et Adolphe Dumas » pp. 65-144

IX « À tous ces titres, la traduction d’Orphée, consacrée par les annales grecques, doit tenir sa place dans la reconnaissance universelle, puisqu’elle est le plus ancien témoignage de l’admiration des siècles pour la poésie et de son influence sur la civilisation.

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