Les critiques alexandrins, Aristophane, Aristarque66, en firent un de leurs sujets favoris d’étude ; et, comme il arrive au génie, ses hardiesses originales, ses brusques fantaisies, devinrent des beautés classiques servilement imitées. […] L’Allemagne, qui étudie si bien l’antiquité, et la refait quelquefois à plaisir, comme un texte de manuscrit altéré, s’est amusée, par la main de quelque docte critique, à rétablir contre le préjugé vulgaire le caractère moral de Sapho, comme parmi nous une femme célèbre avait indirectement ennobli celui de Corinne. […] Les yeux n’ont plus de regards, et des bruits remplissent les oreilles ; une sueur glacée se répand, un tremblement m’agite : je deviens plus pâle que l’herbe flétrie ; et, près d’expirer, je demeure sans haleine. » Nous ne voudrions pas d’autre réponse que cette nosologie de l’amour à la bonne foi des critiques allemands qui rêvent une Sapho tout idéale. […] Mais, avant ce changement du monde, lorsque le paganisme régnait dans la paix de l’empire romain, lorsqu’il n’y avait plus ni liberté, ni gloire patriotique, ni grande éloquence, et que la culture de l’esprit n’était plus qu’un amusement de la servitude, un savant critique, Denys d’Halicarnasse, celui qui a tant raisonné sur Thucydide et sur Démosthène, sans comprendre leurs âmes, sauvait au moins pour l’avenir, dans un traité de rhétorique, une ode entière de Sapho à sa déesse favorite.
L’Examen critique des Apologistes du Christianisme, la Lettre de Thrasybule, ces livres clandestins que M. […] Si nous nous sommes permis des critiques de détail sur quelques points du livre de M. […] En terminant dignement toute la première partie de l’œuvre de l’auteur, la partie d’essai, de revue critique, d’introduction et de prolégomènes, l’ouvrage présent donne de belles assurances pour le développement qui doit suivre.
Le volume se termine par un examen critique du Salon de 1831 ; c’est là encore que se trahit plus sensiblement le poète. […] Je crois que l’artiste ne peut trouver dans la nature tous ses types, mais que les plus remarquables lui sont révélés dans son âme comme la symbolique innée d’idées, et au même instant. » Et il ajoute avec justesse que Decamps a le droit de répondre au critique qu’il a été, en peignant, fidèle à la vérité fantastique, à l’intention d’un rêve, à la vision nocturne de ces figures sombres courant sur un fond clair. […] Ainsi que me le faisait remarquer un ami, homme d’esprit, Robert a recueilli d’abord en lui les figures que lui offrait la nature, et de même que les âmes ne perdent pas dans les feux du purgatoire leur individualité, mais seulement les souillures de la terre, avant de s’élever au séjour des heureux, ainsi ces figures ont été purifiées dans les flammes brûlantes du génie de l’artiste, pour entrer radieuses dans le ciel de l’art, où règnent encore la vie éternelle et l’éternelle beauté, où Vénus et Marie ne perdent jamais leurs adorateurs, où Roméo et Juliette ne meurent jamais, où Hélène reste toujours jeune, où Hécube au moins ne vieillit plus davantage. » Voilà de la critique certainement éloquente, et je crois, très judicieuse.
Quand Jules Favre, plaidant pour un critique sévère par lequel un peintre de portraits se prétendait diffamé, disait : « Voici un écrivain assis sur le banc des criminels pour avoir trouvé que le bras de Medina-Cœli n’était pas assez accusé, et que sa robe était trop belle », l’accusation ainsi énoncée était plus qu’à demi réfutée, et il enlevait à l’adversaire l’usage de tous ces lieux communs sur le respect dû aux personnes et sur les empiétements de la critique, qui pouvaient faire impression sur le tribunal. […] Jules Favre, en posant le fait, fait tomber la thèse de son adversaire et assied la base d’une autre thèse sur les droits de la critique.
Intrépide analyste, travailleur infatigable, grand remueur d’idées, il a créé la critique d’érudition, et c’est l’homme de France qui connaît le mieux son histoire de la littérature. […] On peut comprendre autrement le rôle d’un critique impartial. […] C’est grand dommage de voir un critique aussi érudit reprendre l’erreur d’un romancier aussi ignorant.
Pour déterminer l’époque et le lieu où naquirent ces idées, pour donner à leur histoire la certitude qu’elle doit tirer de la chronologie et de la géographie métaphysiques qui lui sont propres, la science nouvelle applique une Critique pareillement métaphysique aux fondateurs, aux auteurs des nations, antérieurs de plus de mille ans aux auteurs de livres, dont s’est occupé jusqu’ici la critique philologique. […] Mais en attendant, ils se gouvernèrent par la certitude de l’autorité, par le sens commun du genre humain (critérium de notre Critique métaphysique), sur le témoignage duquel se repose la conscience de toutes les nations (axiome 9).
Il lui reproche de n’avoir pu faire de drame, comme si, pour être critique, il fallait nécessairement avoir excellé dans le genre qu’on juge. […] Les critiques en sont fines, et Janin y a son paquet.
Si nous avions à joindre quelque remarque critique générale aux éloges de détail que mérite presque constamment le modeste et ingénieux travail, ce serait surtout en ce que l’auteur, qui sait si bien les époques poétiques antérieures, semble méconnaître et vouloir ignorer trop absolument celle-ci. […] Il s’étonne ailleurs de la prédilection que certains écrivains de l’école dite moderne ont marquée pour ces devanciers du XVIe siècle : il les accuse presque d’inconséquence ; mais lui-même il est obligé de convenir pourtant que les critiques purement classiques sont restés bien courts sur ces matières, et il n’a d’autre parti à prendre, le plus souvent, que de les contredire et de les réfuter.
. — Les Critiques ou les Juges jugés (1885). — Sensations d’art (1886). — Memoranda (1887). — Les Philosophes et les Écrivains religieux (1887). — Les Œuvres et les Hommes, seconde édition (1889 et années suivantes). […] Barbey d’Aurevilly un critique convaincu et sérieux sous une forme spirituelle et — pourquoi ne pas le dire ?
[Les Mercredis d’un critique (1895).] […] La critique en a été violente, parfois injuste, et, disons-le, la réputation de M. de Montesquiou fut faite de contradictions.
Une sylve du Pèlerin passionné le salue en ces termes : « Gentil esprit, l’honneur des muses bien parées… » Maurice Du Plessys lui voue un sonnet, dont ce premier vers : « La gloire t’a béni dès l’aube de tes ailes… » Ernest Raynaud, dans son récent Bocage, dit ses louanges plusieurs fois, et maint critique — Anatole France, par exemple — a écrit en son honneur. […] [Critique des poètes (1897).]
Il y a un an ou deux, l’on disait couramment et des hommes célèbres émettaient aux diners de La Plume que : « La critique serait morte si les rédacteurs des revues indépendantes ne tenaient haut et ferme, etc. » Or voici que M. Léon Daudet, dont on ne saurait suspecter la foi ni la compétence sans émulsionner les familles Daudet, Hugo et Dorian, voici que ce Swift du Kamchatka nous révèle la vénalité foncière des critiques les plus jeunes et les plus sévères.
Le style qui y regne, annonce, nous en convenons, une plume exercée, le ton d’un Critique pénétrant, qui croit démêler le principe des actions & apprécier justement les hommes ; mais des Critiques plus pénétrans retrouvent trop souvent le Romancier dans l’Historien, le Bel-Esprit académique dans l’Ecrivain, l’homme à prétention dans le Moraliste.
Une critique sage lui a fait négliger les petits faits, comme superflus ou comme étrangers au but de son Histoire, qui est de mettre au grand jour la doctrine de l’Eglise, sa discipline, ses mœurs. […] Ils ont été imprimés séparément, & on peut les regarder comme des chef-d’œuvres de raison, de critique, de style, par la pureté, la précision, la force & l’élégance qui y regnent.
Le critique, comme le philosophe, crée des valeurs. […] Le critique créateur de valeurs est plus rare même que le grand poète. […] Celui qui les change, c’est le critique créateur. […] Du Bellay et Vigny furent de grands critiques en même temps que de grands poètes ; le public, qui goûte les spectacles émouvants, n’aime guère ni la critique des spectacles, ni la critique de la vie. […] Voir, dans les Etudes critiques de M.
Mais tout cela est de la critique. […] Dans le domaine de la critique, en particulier, je vous prédis un brillant avenir. […] Nulle critique : une basse flagornerie pour tout et pour tous. […] Récemment encore, l’introducteur du culte ibsénien en Angleterre, l’éminent critique M. […] D’autres critiques se chargent de rectifier et de compléter pour eux les renseignements de M.
Le travail se compose de deux parties : l’une historique, de beaucoup la plus longue, l’autre critique. […] Cette critique est fine, courtoise, parfois spirituelle. […] Ce n’est point à la critique littéraire qu’il appartient de le juger. […] L’auteur n’est responsable que devant la critique artistique ou littéraire. […] Taine abuse peut-être dans la critique littéraire et artistique.
Le caractère de Pyrrhus essuya des critiques plus spécieuses. […] Les critiques se sont élevés contre un amant brutal, qui dit à une jeune veuve : Épouse-moi, ou ton fils est mort. […] Telle est la doctrine d’Aristote, si bien expliquée par Corneille, et que la critique ne doit pas ignorer. […] C’est là, selon le critique, la belle nature, la nature qu’il convient d’imiter. […] Ses observations, sur Racine ne sont qu’un mélange informe d’éloges emphatiques et de critiques injustes.
Daunou aurait pu être membre de l’Académie française, il en aurait été infailliblement si sa modestie ne l’avait tenu à l’écart ; c’est là un aspect de son talent qu’il nous reste à démêler : l’homme de style en lui, le critique littéraire, le connaisseur en fait de langage. […] De plus, en tout temps, il sut combattre le déchaînement de Chénier contre les ridicules du célèbre critique, et il contribua utilement à réduire cette colère de son ami au frein de l’équité. […] La critique moderne, même la meilleure (témoin la Revue d’Édimbourg), a bien dévié de cette voie prudente et de ce rôle où le juge se considère avant tout comme rapporteur. […] Le critique, cela est évident, ne se refusait pas assez à s’exercer sur des sujets secondaires et quelque peu sombres, ou même tout à fait ingrats. […] Ce Plan d’éducation essuya des critiques, et il paraît qu’il fut surtout attaqué par une personne assez au fait de l’Oratoire et qui probablement en était ; M.
Quand un critique est si sévère pour l’un, comment est-il si indulgent pour l’autre ? […] Hennequin, avec son immense réputation Victor Hugo n’a eu pour admirateur « aucun critique notable. » ( ?) […] Hennequin, qui a cru lui-même faire de la « critique scientifique » et notable en réduisant génie de V. […] Hugo pour faire de la critique qui soit à la hauteur de la science. Cette « critique scientifique » rappelle les expérimentations scientifiques que Zola fait dans son imagination.
Ponsard me permettre aussi d’ajouter que sur Goethe et les Allemands, tout en ayant raison peut-être dans le cas particulier, il n’a pas été juste pour l’ensemble : Goethe est un si vaste esprit et un critique d’un ordre si élevé, qu’il est mieux de ne pas prononcer son nom dans une grande assemblée littéraire que de ne l'amener uniquement que pour y rattacher une raillerie et un sourire. […] Il a marqué pourtant sa préférence pour le drame généreux de Charlotte Corday, et dans l’analyse qu’il a donnée de cette scène politique effrayante entre Danton, Robespierre et Marat, il a fait voir, par le burin qu’il a appliqué à la définition des trois caractères ainsi mis en présence et en contraste, que la critique aussi est une puissance : l’auditoire s’est senti tressaillir à des accents vertueux et éloquents.
.— On peut dire que si sa louange a été extérieure, sa critique a été intestine. […] Sainte-Beuve, qui a maintenu ainsi son rôle de critique en le voilant.
Dites que cette littérature est ignorante, sans critique, se jetant à l’étourdie à travers tout, pleine de méprises, de quiproquos et de bévues que personne ne relève, ne prenant les choses et les hommes graves du passé que dans un caprice du moment ; s’en faisant une contenance, un trait de couleur, un sujet de charmante et folle fantaisie ; et quand il s’agit d’être érudite, l’étant d’une érudition d’hier, toute de parade, soufflée et flatueuse : et voilà qu’on peut vous nommer, même dans les jeunes, des esprits patients, analytiques, circonspects, en quête de l’antique et lointaine érudition, de celle à laquelle on n’arrive qu’à travers les langues, les années et les préparations silencieuses d’un régime de Port-Royal. […] Je crois pouvoir affirmer que tout écrivain qui a ce qu’on appelle du succès, c’est-à-dire qui réunit des lecteurs autour de son œuvre ; que tout homme qui est assez heureux, assez malheureux veux-je dire, pour être en butte à l’admiration, aux éloges, à la haine et aux critiques, n’a pas un moment laissé reposer sa plume sur ses compositions… Dans mon enfance on m’a montré, comme un glorieux témoignage du génie de Bernardin de Saint-Pierre, la première page de Paul et Virginie, écrite quatorze fois de sa main.
Nous serons ici courts et rapides, car le public est rebattu, et nous arrivons tard ; la critique est un peu boiteuse comme le châtiment. […] Tous ces enfantillages pourraient ne pas être des puérilités ; ils détournent à propos l’attention, épuisent la critique à faux, et dissipent en futiles éclats la raillerie dont on redoute en face l’explosion pleine et franche : c’est la queue du chien d’Alcibiade, coupée par Aspasie.
Armand de Pontmartin Sa laideur l’a rendu méchant, son insuffisance comme poète l’a jeté dans la critique et ses passions réactionnaires contre 48 l’ont fait sénateur. […] L’esprit critique le dominait trop pour qu’il eût sincèrement le génie que la Poésie exige.
C’est un cas de littérature bien curieux et qui eût dû attirer davantage l’attention de la critique que celui de M. […] Mais il semble que, de plus en plus, sauf en de rares périodiques, la critique ait pris le parti de ne s’occuper que de la mode, quand encore elle s’en tient là. […] Les œuvres vraies sont là devant le critique qui s’interroge. […] Des œuvres considérables de critique seraient peut-être nécessaires. […] Je tiens à les citer en conclusion à cette étude : « Une fausse idée a longtemps fermé le chemin de la critique contemporaine.
Tantôt l’élévation des aperçus empêche le critique d’être biographe exact ; tantôt les efforts du biographe pour être précis et fidèle empêchent le critique d’être élevé. […] La Critique du Tartuffe. […] Critique de ce poème par une femme. […] Critiques de Schlegel et de Boileau réfutées. […] Ce silence parle plus haut que toutes les critiques.
Je lis assidûment les admirables articles qui font du Constitutionnel du lundi le premier des livres littéraires de haute critique de la France. […] Joseph crut alors toucher à une condition meilleure : c’était l’instant critique ; il rassembla les forces de sa raison et se résigna aux dernières épreuves. […] Je n’étais pas critique alors, je n’étais que sensible. […] Je crois que vous prîtes trop au sérieux cette critique de complaisance d’un vétéran des nouveautés, et que l’imposture vous prédisposa à un peu d’amertume envers moi. […] Ne regardez pas cette observation comme un effet de critique impie.
Rostand, mon espérance s’est trouvée quelque peu déçue… « Si cette comédie, écrivit le plus ironiquement subtil de tous nos critiques, j’ai nommé M. […] On m’a affirmé qu’en les signalant au public, un critique de la Revue bleue, dont on ne m’a pas dit le nom, avait écrit : « Je salue un vrai poète, peut-être un futur grand poète ! » Je n’ai souvenir ni de l’article, ni du critique.
C’est assurément moins par conviction que par systême, que plusieurs de nos Littérateurs importans ont renouvelé contre lui les critiques des Perrault & des Cottin. […] Né avec un goût aussi sûr que délicat, doué d’un jugement aussi solide qu’éclairé, l’esprit de critique naquit en lui de la connoissance des regles & du zele pour leur observation. […] Tout le monde connoît sa belle Traduction de Longin, & ses Réflexions critiques contre Perrault.
Confuse, en effet, obscure, incertaine, et ce n’est pas tout, répugnant à la lumière, — car c’est la Critique qui fait la valeur de l’Histoire, et la Critique n’est jamais là où les peuples ne sont que des masses sans conscience et sans liberté, — l’histoire orientale n’est qu’un vague empâtement d’hommes, de choses et de doctrines. […] Quoi qu’il en puisse être à cet égard, l’historien — qui est un critique très agile dans l’explication et le rapprochement des textes, et qui se livre à un examen fort approfondi de la fameuse inscription de Si-Ngan-Fou, attribuée par Voltaire aux jésuites avec cette moqueuse superficialité d’érudition qui distinguaitle grand perfide, — n’hésite plus quand il s’agit d’affirmer que la propagation de la loi chrétienne existait dans la Haute-Asie de 636 à 781.
Il n’embarrassera pas peut-être bien longtemps encore la Critique de son encombrement ! […] Alors aussi la Critique n’aura plus devant elle, comme aujourd’hui, ce tas de livres, faciles à bâcler avec des correspondances et des confidences tirées de l’oubli dans lequel elles pouvaient rester. La Critique n’aura plus sur sa tête l’insupportable poids de ces productions sans signification et sans portée, comme, par exemple, ces Deux Diplomates, qui, par eux-mêmes, étaient, l’un beaucoup et l’autre quelque chose, et qui, victimes d’une fonction inutile, avec toutes leurs facultés, qu’il faut reconnaître, n’ont rien fait !
C’est un livre qui, par la beauté, peut ressembler à beaucoup de beaux livres, mais qui, par le genre de ce qu’il contient et la spécialité de son exécution, ne ressemble absolument à rien… Il est, à proprement parler, moins et plus que de la Critique ; mais, quel que soit le nom qu’il doive porter, c’est de l’érudition dans des proportions exorbitantes et de la poésie dans de ravissantes proportions. L’auteur des Deux Masques, parmi tant d’autres facultés, n’a pas au même degré le génie sévère et perscrutant de la Critique, qui perce et déchire un sujet, et, du bec et des ongles, va au fond de ses défauts et de ses beautés. Dans cette vie de feuilletoniste dramatique qui lui a fait une gloire qu’avant lui le feuilleton n’avait faite à personne, il a toujours été moins un critique qu’un raconteur et un commentateur des plus éloquents.
Demogeot qu’un livre plaqué sur ce cours ou extrait de ce cours, parce qu’il y aurait là, pour la Critique, une garantie plus grande de la sincérité du professeur et de la force pure de ce premier jet, qui est le sang de l’artère même dans le talent et de l’artère ouverte. […] cela seul mériterait une mention honorable de la part de la Critique. […] et que les bénéfices du temps et la gloire pour l’historien ou le critique littéraire, c’est de voir ce que les hommes comme Malherbe, Vaugelas, le cardinal de Richelieu, pour agir comme ils ont fait, ne pouvaient pas regarder !