I J’ai parlé, dans le précédent chapitre, de l’édition d’André Chénier, une de celles qui font tant d’honneur à la maison Lemerre, ce champ d’asile des poètes dans ce temps de prose si dur à la Poésie.
On ne peut pas citer les poètes comme Saint-Maur ; on aurait trop à citer et un chapitre n’y suffirait pas.
Les Grandes Dames de Paris sont une œuvre d’un ensemble trop vaste pour les strictes proportions d’un chapitre.
Aussi, dans Le Diable boiteux, publié avant Gil Blas, et dont l’idée et les premiers chapitres appartiennent à Luis Velez de Guevara, Le Sage peignit-il (si cela peut s’appeler peindre ?)
Brucker alluma dans sa tête ce système, asphyxiant pour les imaginations vives, le Fouriérisme, et c’est ainsi que le suicide de sa vie, il ne l’accomplit que sur sa raison… C’est dans cette orageuse période de sa jeunesse qu’il écrivit avec un talent haletant et convulsé le livre intitulé Mensonge, où la Critique put remarquer un effrayant chapitre intitulé Le Fond des âmes, enlevé dans l’amère et ironique manière d’Henri Heine, un des plus grands poètes qui aient paru depuis Byron, mais une fleur de poésie mortelle aux âmes qu’elle touche, comme le laurier-rose, dont elle a les suavités de teinte et les poisons.
Par exemple, le chapitre où madame Chermidy demande des renseignements sur les poisons, est dans Les Intimes, sous le titre de Consultation, et là, c’est un chef-d’œuvre.
Mérimée, confirme ce que nous avons dit, au commencement de ce chapitre, sur l’absence de vocation profonde en ce romancier de volonté et de parti pris… Un homme de vocation profonde n’imite personne.
Je n’ai point voulu percer devant vous une croisée régulière, à carreaux blancs, sobrement encadrée, selon les règles de la maison bourgeoise ; mais, disposant capricieusement ces quarante chapitres autour d’une idée centrale, j’ai prétendu élever, tout au fond de votre cœur, avec des images entassées jusqu’au fouillis et des couleurs étendues jusqu’à la profusion, la flamboyante rosace de la mort. » Et ce qu’il a voulu faire, il l’a fait, cet enlumineur de vitrail jusqu’à l’incendie, ce faiseur de rosace de la mort, dont il grave les feuilles de flamme jusque dans les plus noires obscurités de nos cœurs !
Chapitre XVI.
Chapitre XXXI.
Chapitre XXXVI.
Chapitre IV.
J’en ai fait disparaître le chapitre qui était consacré aux débuts de M. […] Le premier mot qu’on lit au premier chapitre de ce quatrième volume, c’est celui de « décadence ». […] Je citerai entre autres le chapitre sur La Rochefoucauld, et l’on me permettra d’y joindre le chapitre sur Boileau. […] On est bien tenté de supposer, après avoir lu son chapitre sur Bossuet, qu’il a épuisé là tout ce que la nature lui a départi de capacité admirative. […] Ceux qui voudront lire le chapitre sur Rollin et sur Lesage y verront M.
Chapitre III. […] Le stoïcien l’exhorte à ne point chercher le bonheur en des objets qui sont hors de lui-même, et lui récite tout le chapitre d’Épictète : à ceux qui craignent la pauvreté. […] La solide reliure, la table symétrique, la préface, les chapitres substantiels alignés comme des soldats en bataille, tout vous ordonne de prendre un fauteuil, d’endosser une robe de chambre, de mettre vos pieds au feu, et d’étudier ; vous ne devez pas moins à l’homme grave qui se présente à vous armé de six cents pages de texte et de trois ans de réflexion. […] Il n’est pas véritablement philosophe : la médiocrité de ses premiers chapitres sur l’ancienne histoire d’Angleterre le prouve assez ; mais sa force de raisonnement, ses habitudes de classification et d’ordre mettent l’unité dans son histoire.
Vous avez répandu sur de nombreux chapitres obscurs de la psychiatrie, du droit criminel, de la politique et de la sociologie, un véritable flot de lumière que seuls n’ont point perçu ceux qui se bouchent les yeux par entêtement ou qui ont la vue trop obtuse pour tirer profit d’une clarté quelconque. […] Diagnostic Les manifestations décrites dans le chapitre précédent doivent sauter aux yeux de chacun, même du philistin le plus borné. […] J’aurai occasion de démontrer, dans les chapitres suivants, pour quelles causes organiques, par suite de quelles particularités de leur cerveau et de leur système nerveux, les dégénérés doivent être égoïstes et impulsifs. […] Dans les chapitres suivants, où il sera question de l’art et de la poésie mystiques du jour, je trouverai l’occasion de montrer au lecteur qu’entre ces tendances et l’exaltation religieuse que l’on observe chez presque tous les dégénérés et aliénés héréditaires, il n’y a pas de différence. […] Pour des raisons que nous éclaircirons dans le chapitre suivant, l’hystérie a été jusqu’ici moins étudiée en Allemagne qu’en France, le pays où l’on s’est occupé d’elle le plus sérieusement.
Mais en ce moment c’est à autre chose que je pense : je pense au merveilleux chapitre de Freud sur l’Angoisse. […] Introduction à la Psychanalyse, troisième partie, chapitre xviii, p. 228 de la traduction française (Payot, éditeur). […] Introduction à la Psychanalyse, troisième partie, chapitre xviii, p. 289 de la traduction française. […] Introduction à la Psychanalyse, chapitre xviii, p. 296 de la traduction française. […] Introduction à la Psychanalyse, troisième partie, chap.
Dans une suite de chapitres piquants il énumère à la façon de Rabelais tous les ennemis que doit rencontrer son libéralisme. […] Il s’en explique ainsi dans le chapitre des « Beaux contrastes de Sienne » : « Les jeunes gens du Sodoma, qui mêlent à la vigueur physique attestée par leurs muscles d’athlètes une expression intellectuelle si aiguë qu’elle en devient douloureuse, sont une vision épuisante. […] Lanson, dans un chapitre où il se montre fort jaloux d’établir la cohérence et l’unité de l’œuvre de Rousseau et d’en montrer la « bienfaisance inépuisée », le même M. […] Gustave Lanson (Histoire de la littérature française, lre édition, p. 1029), de qui la critique s’efforce cependant de ne pas attenter à la grandeur officielle du poète. « Ignorance et absurdité », c’est le titre d’un chapitre du livre de M. […] Lasserre, livre second, chapitre V.)
Chapitre I. […] Chapitre II. […] Chapitre IV. […] Il importe peu que ce soit un chapitre de psychologie intime, où les personnages réels du drame de sa vie peuvent se reconnaître eux-mêmes sous des noms nouveaux. […] Chapitre V.
Chacun se mit à rire, & nous reprîmes le chapitre des réformes. […] Nous traitâmes ensuite le chapitre des scrupules, & nous parcourûmes je ne sais combien de grands hommes, qui devinrent les êtres les plus bizarres, pour être devenus scrupuleux. […] C’est même ce qu’il y a de plus difficile dans les ouvrages que les transitions, & qui nous amene presque tous les jours des ouvrages divisés par chapitre. […] Il en vouloit une cassolette entiere à lui seul, & il prétendoit qu’on devoit lui parler de tous les chapitres séparément. […] Instant merveilleux pour un docteur à la mode, il ouvre le chapitre des vapeurs, & sur l’agacement des nerfs il raconte les histoires les plus agréables.
Suit le questionnaire, divisé en quatre chapitres principaux, lesquels sont, chacun, subdivisés en une infinité de sous-chapitres qui convergent, en divergeant, vers l’idée dominante des chapitres, habilement disposés selon des rythmes tangentiels et circonstancieux. […] Pages, chapitres, livres entiers, écrits d’une seule haleine, dans la fièvre lucide, dans la griserie légère, et pourtant dans la possession de soi, pages, chapitres, livres, où l’on ne sent pas l’effort, le halètement qui font se crisper les doigts sur le papier, et tomber des fronts pâlis la sueur glacée de l’épuisement. […] En son apparent désordre, il est un, car une même pensée d’inquiétude, de révolte, et de domination en relie tous les chapitres si dissemblables, et qui vont de l’âme d’une petite femme aux âmes tristes des foules et des Parlements ; du café où la bière coule parmi les esthétiques, à l’échafaud où s’égoutte, guillotinée, la tête impériale, farouche et tendre d’un enfant à cœur de héros. […] Les patriotes ont détaché de mon livre un court chapitre, où il est question de la guerre, douloureusement (peut-être eussent-ils désiré que j’en parlasse gaîment, comme d’un vaudeville et d’un ballet), et c’est sur ce chapitre seul que leur verve s’est exercée, ce qui a fait croire à ceux qui ne l’avaient pas lu que Le Calvaire est un roman militaire. […] … Je n’ai point fait un livre sur la guerre, j’ai, dans un chapitre où sont contés avec douleur les navrements d’une armée vaincue, développé la psychologie de mon héros, qui est une âme tendre, un esprit inquiet et rêveur.
Mme de Rémusat l’a ingénieusement remarqué dans son Essai sur l’Éducation (chap. […] Mais peut-être l’idée est-elle plus piquante à énoncer qu’à suivre ; peut-être cela prêtait-il plus à un chapitre de Voyage sentimental, ou de Voyage autour de ma chambre, qu’à un développement sous forme de lettres.
Chapitre II. […] S’il a écrit un chapitre d’histoire naturelle, c’est au moyen d’un traité de moeurs ; il ne pouvait en employer un autre, et l’on va voir qu’il n’y en a pas de meilleur.
Fior d’Aliza (suite) Chapitre III (suite) LXVII Les deux enfants, quand ils furent sevrés, grandirent bien et se fortifièrent à vue d’œil à ce régime. […] Chapitre IV LXXIX L’aveugle, après avoir bu une goutte de mon rosoglio dans ma gourde, reprit le récit juste où la veuve l’avait interrompu …………………………………………………………………………………………………………………………………………… — Quand Hyeronimo remonta de Lucques le soir, bien avant dans la nuit, à la cabane, il nous raconta que les messieurs de Lucques avaient été pleins d’honnêteté et de caresses pour lui pendant tout le chemin, qu’ils s’étaient arrêtés dans toutes les osteries des gros villages qu’ils avaient rencontrés pour s’y rafraîchir d’un verre de vin, d’une grappe de raisin, d’un morceau de caccia-cavallo, sorte de fromage dur et brillant, comme un caillou du Cerchio, et que partout on l’avait forcé de se mettre à table avec eux et de boire comme un homme, jusqu’à ce que les yeux lui tournassent dans la tête et la langue dans la bouche, comme pour le faire babiller à plaisir sur Fior d’Aliza, sa cousine ; sur Léna, sa tante ; sur l’aveugle et sur sa famille.
Fior d’Aliza (suite) Chapitre IV (suite) CIV — J’avoue, monsieur, que je n’y avais jamais pensé et que je restai muet à cette réponse ; mais si ma parole ne pouvait repousser sa raison, toute ma vie en moi protestait contre cette iniquité de l’homme de loi. […] Chapitre V CXXII …………………………………………………………………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………………………………………………………………… Mais ici, monsieur, il faut qu’elle nous dise elle-même ce qui s’était passé dans sa tête et dans son cœur si soudainement, en voyant son cousin traîné à la mort par les sbires, et tout ce qui se passa ensuite entre elle et lui à Lucques après que nous fûmes séparés les uns des autres pendant ces six mortels mois, plus longs que toute une vie d’homme.
Fior d’Aliza (suite) Chapitre VI (suite) CLXXXII À ces mots, la jeune Maremmaise poussa son amant à gauche, dans un sentier qui menait à la mer ; quant à elle, elle saisit le tromblon, la poire à poudre, le sac à balles et le chapeau pointu du brigand, et, se jetant à gauche, sous les arbustes moins hauts que sa tête, elle se mit à tirer, de temps en temps, un coup de son arme à feu en l’air, pour que la détonation et la fumée attirassent les sbires tous de son côté, et laissassent à son compagnon le temps de descendre par où on ne l’attendait pas, vers la mer ; elle laissait voir à dessein son chapeau calabrais par-dessus les feuilles, pour faire croire aux gendarmes que c’était le brigand qui s’enfuyait en tirant sur eux. […] Chapitre VII CCXI — Mais vous, pauvres gens, aveugles et abandonnés à vous deux dans cette cabane, sans nièce et sans fils, et presque sans chien, que se passait-il, pendant ce temps, dans votre esprit ?
Chapitre I Le quatorzième siècle (1328-1420) 1. […] Ils débitent des contes, expliquent des allégories : leur sermon est tantôt un miracle de Notre-Dame, tantôt un fabliau, tantôt un chapitre de Physiologus et tantôt un débat ou une bataille.
Le pourquoi ce dîner a été donné, aurait pu fournir un chapitre à Balzac. […] * * * — Dans ce roman des « Frères Bendigo » ( Les Frères Zemganno), il y a quelques chapitres que j’écris avec le portrait de mon frère devant moi, il me semble que ça porte bonheur à mon travail !
Chapitre IX. […] Cette révolution dans les éléments primitifs de la philosophie présageait l’ère de l’émancipation de la pensée, qui sera l’objet de la seconde partie de ce chapitre.
Taine pour qu’il ne s’en souvienne pas dans le chapitre consacré en son livre de L’Ancien Régime à cet abbé si peu abbé. […] Je la citerai, cette dernière page, et ce sera aussi la dernière chose de ce chapitre.
Dans un très bon chapitre du dernier tome, intitulé « Du déclin de la Ligue », l’historien en vient à un double portrait des deux chefs, du roi de Navarre et de Mayenne, et celui-ci, en cédant le pas au vainqueur, n’est pas du tout sacrifié : Le duc de Mayenne avait une probité humaine, une facilité et libéralité qui le rendait très agréable aux siens ; c’était un esprit judicieux et qui se servait de ses expériences, qui mesurait tout à la raison, un courage plus ferme que gaillard, et en tout se pouvait dire capitaine excellent.
[NdA] J’ai déjà cité cette lettre au tome ier de Port-Royal, livre deuxième, chap.
Chapitre XIII.
Chapitre VII.
Chapitre I.