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655. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 122-127

Au lieu du Prix ordinaire de Poésie, établi dans l'Académie des Jeux Floraux, les Magistrats de la ville de Toulouse déciderent qu'on lui feroit présent d'une Minerve d'argent massif.

656. (1889) Écrivains francisés. Dickens, Heine, Tourguénef, Poe, Dostoïewski, Tolstoï « Préface »

Ils ont lieu malgré la peine que le public peut avoir à goûter des écrits peignant des lieux et des milieux lointains, conçus dans le style généralement médiocre des adaptateurs, recommandés au début par quelques enthousiastes seulement.

657. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre second. Poésie dans ses rapports avec les hommes. Caractères. — Chapitre VII. Le Fils. — Gusman. »

Le bonheur m’aveugla, la mort m’a détrompé ; Je pardonne à la main par qui Dieu m’a frappé : J’étois maître en ces lieux, seul j’y commande encore, Seul je puis faire grâce, et la fais à Zamore.

658. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre premier. Beaux-arts. — Chapitre VIII. Des Églises gothiques. »

Chaque chose doit être mise en son lieu, vérité triviale à force d’être répétée, mais sans laquelle, après tout, il ne peut y avoir rien de parfait.

659. (1830) Cours de philosophie positive : première et deuxième leçons « Avertissement de l’auteur »

En outre, l’expression philosophie naturelle est usitée, en Angleterre, pour désigner l’ensemble des diverses sciences d’observation considérées jusque dans leurs spécialités les plus détaillées ; au lieu que, par philosophie positive, comparé à sciences positives, j’entends seulement l’étude propre des généralités des différentes sciences, conçues comme soumises à une méthode unique, et comme formant les différentes parties d’un plan général de recherches.

660. (1761) Salon de 1761 « Peinture — Vien » pp. 131-133

la tête de Psyche devrait être penchée vers l’Amour ; le reste de son corps porté en arrière, comme il l’est lorsqu’on s’avance vers un lieu où l’on craint d’entrer et dont on est prêt à s’enfuir, un pied posé et l’autre effleurant la terre ; et cette lampe, en doit-elle laisser tomber la lumière sur les yeux de l’Amour ?

661. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Julliart » pp. 176-177

Moi, Monsieur Juliart, dont ce n’est pas le métier, je montrerais sur une colline les portes de Thèbes ; on verrait au devant de ces portes la statue de Memnon ; autour de cette statue des personnes de tout état attirées par la curiosité d’entendre la statue résonner aux premiers rayons du soleil ; des philosophes assis traceraient sur le sable des figures astronomiques ; des femmes, des enfans seraient étendus et endormis, d’autres auraient les yeux attachés sur le lieu du lever du soleil ; on en verrait dans le lointain qui hâteraient leur marche, de crainte d’arriver trop tard.

662. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 6, de la nature des sujets que les peintres et les poëtes traitent. Qu’ils ne sçauroient les choisir trop interressans par eux-mêmes » pp. 51-56

Mais cette inscription si courte fait faire les plus serieuses reflexions à deux jeunes garçons et à deux jeunes filles parées de guirlandes de fleurs, et qui paroissent avoir rencontré ce monument si triste en des lieux où l’on devine bien qu’ils ne cherchoient pas un objet affligeant.

663. (1917) Les diverses familles spirituelles de la France « Chapitre premier »

Comment ce miracle eut-il lieu ?

664. (1906) Propos de théâtre. Troisième série

lieux charmants, témoins de nos jeux ingénus ! […] Il aurait fallu changer le lieu de la scène et qu’Hermione reçût Oreste dans son boudoir ; oui ; mais ç’aurait gêné pour les actes suivants, où le lieu de la scène n’est pas « figuré et marqué » et reste vague. […] Cette tente-atrium, cette tente-vestibule, est bien le lieu où peuvent se rencontrer sans invraisemblance tous les personnages du drame. […] Par eux seuls en tous lieux la scène est occupée. […] Jules Guex, a étudié, — insuffisamment ; mais encore il y a lieu de le féliciter, — l’influence du théâtre sur les mœurs et l’esprit public.

665. (1925) Dissociations

Il semble que tout ce qu’on a écrit depuis dix ans sur la fragilité des témoignages n’ait fait aucune impression sur eux, que les philosophes cherchaient pourtant particulièrement à instruire, puisque s’il est un lieu où le témoignage ait une valeur, et parfois une valeur effroyable, c’est l’enceinte même du tribunal. […] Bonsecours est un lieu de pèlerinage et un lieu de promenade. […] J’attends cette révolution pour me plaire tout à fait dans ce lieu de délices. […] C’était en tout temps un lieu de rendez-vous. […] Qu’était-ce que l’absinthe pour cette femme, qui avait l’air de se sentir dans un lieu de délices ?

666. (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Jean-Jacques Ampère »

Puis, touchant avec son art délié la fibre du cœur, elle indiqua légèrement qu’il y avait eu lieu peut-être à des sentiments émus, que du moins elle aurait pu craindre, si cela s’était prolongé, un commencement de roman pour un cœur poétique, car sa nièce, alors toute jeune, était près d’elle. […] Il a le premier sentiment très-vrai, et qu’il nous rend très-fidèlement, des divers pays qu’il parcourt : avec lui, la physionomie des lieux se montre aussitôt à nous en elle-même et dans son rapport moral avec le caractère des habitants ; car ce qui m’en plaît chez Ampère voyageur, c’est que l’homme n’est jamais absent, ni loin. […] On a aussi poussé à bout le principe de naturalisme et de physiologie, le rapport des lieux et des habitants ; on a fait les uns à l’image des autres ; on a montré et accusé le lien qui les unit jusqu’à le grossir et le forcer. […] Son esquisse générale était vraie ; la physionomie des lieux était délicatement sentie et rendue sous sa plume : le goût chez lui suppléait aux sens. […] Ce que rejette Ampère, ce qu’il admet pour commencer me paraît tout à fait arbitraire et dépendre moins d’une méthode que d’une impression personnelle et d’une espèce de divination qu’il aurait acquise en vivant beaucoup dans les mêmes lieux et en dormant dans l’antre de la sibylle.

667. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « LI » pp. 198-202

Dans le morceau qu’il vient de publier très à propos, il fait preuve d’un esprit fin, rapide, brillant et à la fois politique ; il a été successivement ambassadeur à Rio, à Lisbonne, et en dernier lieu à Copenhague.

668. (1875) Premiers lundis. Tome III « Sur une pétition de directeurs de théâtres contre les auteurs, compositeurs et éditeurs de musique »

Il semblerait plus raisonnable d’admettre ce que demandent en troisième lieu les pétitionnaires, qu’un tribunal civil ou commercial soit appelé à juger des contestations entre auteurs et directeurs.

669. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — D — Deroulède, Paul (1846-1914) »

Il y avait de l’a peu près dans ses termes, et au lieu du sens net et plein qu’exigent les vers, de médiocres équivalences.

670. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XX » pp. 215-219

Molière obtint pour sa troupe le brevet de comédiens du roi, au lieu du titre de troupe de Monsieur.

671. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — J. — article » pp. 519-526

Voici quelques Strophes de l’Ode : « Du Roi des Rois la voix puissante S’est fait entendre dans ces lieux : L’or brille, la toile est vivante, Le marbre s’anime à mes yeux.

672. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des recueils poétiques — Préface des « Voix intérieures » (1837) »

La poésie, en supposant que ce soit ici le lieu de prononcer un si grand mot, la poésie est comme Dieu : une et inépuisable.

673. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Étienne Dolet, et François Floridus. » pp. 114-119

Cet auteur passoit sa vie à fuir d’un lieu en un autre, jusqu’à ce qu’enfin il expia par le feu sa réputation d’athée public.

674. (1824) Ébauches d’une poétique dramatique « Chœur. » pp. 21-24

Ils rendaient la tragédie plus régulière et plus variée : plus régulière, en ce que, chez les anciens, le lieu de la scène était toujours le devant d’un temple, d’un palais, ou quelque autre endroit public ; et l’action se passant entre les premières personnes de l’état, la vraisemblance exigeait qu’elle eût beaucoup de témoins, qu’elle intéressât tout un peuple : et ces témoins formaient le chœur.

675. (1824) Ébauches d’une poétique dramatique « De la comédie chez les Anciens. » pp. 25-29

Elle est soumise aux mêmes règles, aux unités de temps, de lieu, d’action, d’intérêt, de dessein.

676. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre quatrième. Du Merveilleux, ou de la Poésie dans ses rapports avec les êtres surnaturels. — Chapitre IX. Application des principes établis dans les chapitres précédents. Caractère de Satan. »

Il t’apporte un esprit que ni temps ni lieux ne changeront jamais… Du moins ici nous serons libres, ici nous régnerons : régner même aux enfers, est digne de mon ambition75. » Quelle manière de prendre possession des gouffres de l’enfer !

677. (1763) Salon de 1763 « Peintures — Vien » pp. 202-205

Le fond caractérise bien le lieu de la scène.

678. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 39, en quel sens on peut dire que la nature se soit enrichie depuis Raphaël » pp. 387-392

Depuis Raphaël, l’art et la nature se sont perfectionnez, et si Raphaël revenoit au monde avec ses talens, il feroit mieux encore qu’il ne l’a pû faire dans le temps où la destinée l’avoit placé, au lieu que Virgile ne pourroit point écrire un poëme épique en françois aussi-bien qu’il l’a écrit en latin.

679. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre second. De la sagesse poétique — Chapitre X. De la chronologie poétique » pp. 235-238

Le culte de Jupiter, que nous retrouvons partout chez les premières nations païennes, fixe les fondateurs des sociétés dans les lieux où les ont conduits leurs courses vagabondes, et alors commence l’âge des dieux qui dure neuf siècles.

680. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre troisième. Découverte du véritable Homère — Chapitre VI. Observations philologiques, qui serviront à la découverte de véritable Homère » pp. 274-277

Mais comment savoir ces particularités de l’histoire d’un homme, lorsqu’on en ignore les deux circonstances les plus importantes, le temps et le lieu ?

681. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre troisième. Découverte du véritable Homère — Appendice. Histoire raisonnée des poètes dramatiques et lyriques » pp. 284-285

Aussi a-t-on lieu de conjecturer que la tragédie a tiré son nom de ce genre de déguisement, plutôt que du bouc Τράγος, qu’on donnait en prix au vainqueur.

682. (1861) La Fontaine et ses fables « Deuxième partie — Chapitre I. Les personnages »

43 « Il fit avertir sa province que les obsèques se feraient un tel jour, au tel lieu. […] Vous connaissez ces lieux ? […] Son discours dura tant, que la maudite engeance Eut le temps de gâter en cent lieux le jardin. […] Il n’a pas pris pour héros, comme Phèdre ou Esope, des êtres abstraits qui ne sont d’aucun temps et d’aucun lieu, sortes de porte-voix chargés de publier une morale. […] Il fit avertir sa province Que les obsèques se feraient Un tel jour, en tel lieu.

683. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Le Chevalier de Méré ou De l’honnête homme au dix-septième siècle. »

La ville où j’étois est à cinq lieues de cette maison, et j’allois souvent rôder de ce côté-là, non pas en espérance de voir cette aimable personne ; mais, comme je ne me sentois malheureux que par son absence, il me sembloit que plus je m’approchois du lieu où elle étoit, moins j’étois à plaindre. […] » Je fus en ce lieu deux jours dans une grande impatience de commencer le rôle que j’allois jouer. […] On me donna une chambre fort commode, et je m’étonnois qu’en un lieu si sauvage il y eût tant d’ordre et de propreté ; mais j’admirois principalement qu’une si rare personne y fût cachée. […] Nous devons quelque chose aux coutumes des lieux où nous vivons, pour ne pas choquer la révérence publique, quoique ces coutumes soient mauvaises ; mais nous ne leur devons que de l’apparence : il faut les en payer et se bien garder de les approuver dans son cœur54, de peur d’offenser la raison universelle qui les condamne. […] Par exemple, c’est bien La Rochefoucauld qui dit : « Nous devons quelque chose aux coutumes des lieux où nous vivons, pour ne pas choquer la révérence publique, quoique ces coutumes soient mauvaises ; mais nous ne leur devons que de l’apparence : il faut les en payer et se bien garder de les approuver dans son cœur » Puis c’est le chevalier qui, pour arrondir sa phrase, ajoute : de peur d’offenser la raison universelle qui les condamne .

684. (1896) Les époques du théâtre français (1636-1850) (2e éd.)

Elle l’est, Messieurs, par le lieu de la scène d’abord ; et après avoir vingt ans parcouru l’étranger, nous rentrons enfin, en France, et à Paris. […] Mais, à ce propos encore, n’y aurait-il pas lieu, Messieurs, de faire entre Tartufe et Don Juan une comparaison instructive ? […] Mais il faut en même temps qu’il y ait quelque chose en eux de permanent ou d’universel, qui soit de tous les temps et de tous les lieux. […] Tel est, en effet, Messieurs, le destin des genres, et si c’en était le lieu, je pourrais vous en apporter plus d’un exemple assez probant. […] Il ne m’était pas difficile d’ouvrir la terre dans le lieu où je me trouvais : c’était une campagne couverte de sable.

685. (1921) Esquisses critiques. Première série

À ce joli moment de sa carrière, M. de Régnier était une des plus considérables personnes du groupe symboliste — dont ce n’est pas ici le lieu de faire l’histoire. […] En outre il a le sens aigu et l’exact discernement de ce dont il y a lieu d’être curieux et informé. […] Il ne saurait faire comme eux qui annoncent que le lieu du drame est tout uniment la chambre de Jacqueline ou celle de Golaud. […] Ses décors, sinon les situations qu’il invente, surprennent : une répétition, un vernissage, un restaurant, une gare, des halls d’hôtel, voici des lieux dont le public se plaît à avoir le spectacle — et toutes ces musiques tziganes, ces valses lentes à la cantonade. […] Si l’un de ces derniers se trouve porté, par le succès qu’on lui a fait, jusqu’à la Comédie-Française, on examine avec une curiosité divertie la façon dont il va se comporter dans ce lieu pour lequel rien ne le désignait.

686. (1859) Cours familier de littérature. VIII « XLVIIIe entretien. Littérature latine. Horace (2e partie) » pp. 411-480

Mais il faudrait y conserver précieusement la géographie et les paysages des lieux habités, célébrés, éternisés par les vers d’Horace, dont la poésie est enrichie et vivifiée dans l’édition portative de M.  […] Jamais le lointain des lieux et des temps ne fut plus merveilleusement rapproché de l’œil et de l’imagination ; on porte l’Italie d’Horace dans sa main. […] L’esprit n’est que la partie fugitive de l’homme ; il s’évapore avec les mœurs, les vices, les ridicules des temps et des lieux pour lesquels on a écrit. […] C’est la géographie badine d’un poète ; il est à croire que Mécène et ses amis avaient chargé Horace de rédiger en plaisanterie leur itinéraire pour perpétuer les accidents et les charmes du voyage ; de plus, ce voyage avait un charme tout particulier pour Horace, puisqu’il le conduisait aux lieux, toujours chers, où il avait passé son enfance, sous la tutelle d’un père chéri.

687. (1855) Préface des Chants modernes pp. 1-39

On entasse les colonnes, les chapiteaux, les statues, les frontons, les pinacles, les rinceaux, les dômes et les bas-reliefs : on copie, en augmentant leur décadence, les temples de Baalbeck, les églises gothiques et les basiliques italiennes ; au lieu du beau et de l’utile, on cherche l’étrange ou l’impossible, et, après des efforts surhumains, il se trouve que l’œuvre est molle, insuffisante et laide. […] En cherchant à cacher la science sous les plis de sa grande robe noire, l’Église n’a pas réussi à l’étouffer, mais elle l’a du moins pendant longtemps reléguée en des lieux inaccessibles. […] La vie est impitoyable, elle marche, elle marche toujours ; comme le Juif errant, elle est condamnée à ne s’arrêter jamais ; aujourd’hui ici, demain là, elle ne reparaît jamais aux mêmes lieux sous la même forme ; elle va, toujours s’élargissant, se modifiant, s’agrandissant ; à chaque étape elle change de costume ; aujourd’hui c’est la ceinture de palmier des Égyptiens, demain c’est la robe des Persans, après-demain c’est la chlamyde grecque, c’est la toge romaine, c’est le sayon des barbares, c’est la gône de Charlemagne, c’est le vêtement de fer du moyen âge, c’est l’habit à la française, c’est le frac noir. […] J’ai vu la Troade ; elle prouve à la fois deux incontestables vérités : 1º que la poésie seule donne aux faits et aux lieux une vie éternelle ; 2º que l’inattaquable temps efface, brise, éteint tout, excepté les œuvres de l’esprit.

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