Une idée générale est une notion qui convient à plusieurs individus. […] Mais elles conviennent à tous les individus. […] On voit qu’elles se conviennent. […] Elle doit donc affirmer qu’elle convient à cette question. […] Il convient donc d’abord de déterminer exactement le sens de ce mot.
Cependant on conviendra que ceci n’est guère dans les habitudes des hommes de génie. […] Il convient que je vous signale brièvement — et un peu tardivement, de quoi je m’excuse un ouvrage de M. […] On est convenu d’appeler autrement, en littérature, l’emportement lyrique qui touche aux nuages. […] Convenez cependant que cela avait mal commencé. […] Il a caractérisé Bétonnant Joad en termes trop vagues, mais qui conviennent.
Ce qui convient à l’un est funeste à l’autre. […] Mais il est convenu que de ceux-là on ne s’occupe pas. […] Aussi bien ne convient-elle qu’à des soldats. […] Si c’est une chimère, convenez qu’elle n’est pas absurde. […] Quel paradis de liberté que la France pour une Anglaise, et avec quelle sagacité elle en tire aussitôt le plaisir qui lui convient le mieux !
Le livre est d’une qualité rare, mais un peu décevant, parce que cet ardent piétisme, d’Alissa Bucolin ne s’exprime point avec le lyrisme qui conviendrait à un sentiment si puissant, mais dans une langue abstraite, rigide et glacée. […] André Gide a les vues qui conviennent à son caractère. […] André Gide, lesquelles ne sont assurément pas corruptrices, mais un peu fuyantes et contradictoires, il en faut convenir. […] Mais si je ne le crois pas possédé du démon, en dépit de sa prédilection pour la magie noire du manichéen et apocalyptique William Blake, je conviens qu’il me paraît quelquefois un peu méphistophélique ; Je ne puis lui reconnaître, comme le fait M. […] André Gide veut parler sans doute du sentiment poétique, lequel se distingue de l’art, or en convient, mais n’est rien sans lui.
Il y en aura d’autres, et de plus heureux, au premier rang desquels, dès à présent, il convient de signaler la renaissance ou la naissance de la critique. […] C’est ce qui a fait hésiter quelques historiens de la littérature sur la place qu’il convient d’assigner à Villon, par exemple, ou à Commynes. […] Il est vrai que, de l’exercice de cette liberté même, et de ce fond d’individualisme, une autre idée se dégage, que l’on peut appeler l’idée maîtresse de la Renaissance, et une idée dont les étrangers eux-mêmes conviennent que François Rabelais a été la vivante incarnation : c’est l’idée de la bonté ou de la divinité de la Nature. […] La valeur littéraire du Roman. — Abondance, richesse et complexité de l’imagination de Rabelais ; — et que possédant au plus haut degré le don de voir, celui de peindre, et celui de conter, — il a eu même le don d’inventer de véritables mythes. — Allégorie, Mythe et Symbole. — L’humour de Rabelais. — Le don du rire. — Le style de Rabelais, et qu’il convient de distinguer deux époques dans son style ; — dont la première est la meilleure. — De quelques procédés de Rabelais. — Le don de l’invention verbale ; — comment Rabelais s’y laisse entraîner ; — et, en s’y abandonnant, s’élève parfois jusqu’au lyrisme. — Qu’il ne semble pas que Rabelais ait fait école, et pourquoi ? […] Originalité de Bodin ; — sa conception de l’histoire ; — et que, pour l’apprécier, il convient d’avoir sous les yeux l’Utopie de Th.
Mais il est évident que, pour réaliser cet accord, s’il convient de ne rien ajouter à la juste mise en scène, il ne faut pas non plus en rien retrancher. […] Le vaste espace est de tous les milieux celui qui convient le mieux à la grandeur tragique. […] L’aspect du décor a de la grandeur et convient à l’action héroïque du drame. […] Ici, le costume de Phèdre, tel qu’il est composé à la Comédie-Française, a bien le caractère qui lui convient. […] Cette place à gauche est celle qui lui conviendra au cinquième acte, lorsqu’elle sort mourante de ses appartements.
Limayrac est le seul jusqu’ici qui ait traité ce livre détestable comme il convient ; si cet article n’était pas venu, il n’y en aurait eu aucun dans les journaux de Paris qui méritât de compter.
Parce que le moi est la réalité la plus immédiatement saisissable, la plus nettement déterminée (en apparence du moins), non par vanité seulement, elle s’y attache, elle s’y replie, et dans ce qui frappe ses sens, comme dans ce qu’atteint sa pensée, elle tend naturellement à chercher surtout les relations et les manifestations du moi : n’excédant guère la portée des sens ou du raisonnement, cherchant une évidence pour avoir une certitude absolue, dogmatique et pratique à la fois, objectivant ses conceptions, et les érigeant en lois pour les traduire en faits : sans imagination que celle qui convient à ce caractère, celle qui forme des enchaînements possibles ou nécessaires, l’imagination du dessin abstrait de la vie, et des vérités universelles de la science.
Ce style est d’une facture large et aisée, qui convient admirablement au poème épique porté à la scène.
D’ailleurs, dans le paradis des poètes, ce critique-poète qui a si bien connu, pénétré et peint de main de maître le xviie siècle, n’aura-t-il pas le droit, si cela lui convient, de s’asseoir à côté de ses maîtres, et de porter, comme eux, pour achever d’ennoblir son nez tout moderne, la majestueuse perruque blonde à la Louis XIV ?
Si, comme l’a dit Ciceron, le parfait Orateur est un homme de probité qui sait bien parler, Vir bonus dicendi peritus, on peut assurer que cette définition ne convint jamais mieux qu’au célebre M.
Il faut convenir que les siens, quoiqu’en Prose, peuvent occuper agréablement l’oisiveté.
Il est donc incontestable que M. de Voltaire, & ceux qui sont de son avis, n’auroient pas dû chercher à dérober à notre Nation un genre de gloire pour lequel on conviendra qu’ils ne sont pas nés, mais que d’autres Littérateurs ont su nous procurer par des travaux qui auront toujours leur prix, malgré leurs décisions.
Si nous voulions d'abord en critiquer le titre, nous dirions que le mot Maximes ne sauroit convenir qu'à des vérités évidentes & consacrées par une adoption générale, non à des pensées qui peuvent être vraies, mais qui sont nouvelles, & ne doivent être regardées que comme le fruit de la méditation d'un esprit qui réfléchit pour lui même, sans avoir droit de fixer les idées d'autrui.
La seconde est écrite du style qui lui convient.
Cette peine est bizarre, j’en conviens ; mais elle n’est pas moins réelle.
Mais à présent, si vous êtes de bonne foi, vous devez convenir que les divinités du paganisme, lorsqu’elles agissent directement et pour elles-mêmes, sont plus poétiques et plus dramatiques que les divinités chrétiennes. » On pourrait en juger ainsi à la première vue.
Par toi, du moins, avec le roi du ciel je partagerai l’empire ; peut-être même régnerai-je sur plus d’une moitié de l’univers, comme l’homme et ce monde nouveau l’apprendront en peu de temps78. » Quelle que soit notre admiration pour Homère, nous sommes obligé de convenir qu’il n’a rien de comparable à ce passage de Milton.
Il se peut faire tout au plus qu’une jeune personne d’un naturel très-sensible, sera tellement transportée par un plaisir encore nouveau pour elle, que son émotion et sa surprise lui feront faire quelque exclamation ou quelques gestes involontaires, qui montreront qu’elle ne fait point une attention actuelle à la contenance qu’il convient de garder dans une assemblée publique.
Ce n’est pas, on en conviendra, la peine de réunir 450 députés pour arriver à un pareil résultat. […] Et qu’on ne vienne pas dire que ces rôles ne convenaient pas à Mlle Rachel ; Mlle Rachel les a choisis entre tous, comme ceux qui lui étaient les plus sympathiques. […] « Les capacités les plus incontestables auraient, il faut en convenir, bien de la peine à se faire jour au travers d’une situation si fausse, si contradictoire. […] Nous disons sollicita et obtint ; ce sont les deux mots qu’il convient d’employer ; car M. […] C’est un assez beau sacrifice, on en conviendra, fait au désir de fournir mon contingent à la littérature dramatique de l’époque.
Il faut convenir alors que le reproche ne s’adresse à personne plus pertinemment qu’à M. […] Faguet place un peu plus haut peut-être qu’il ne convient le « chantre d’Éloa ». […] Convient-il de faire attention à ces enfantillages ? […] Ollivier possède à un rare degré ce qu’on est convenu d’appeler les dons de l’orateur. […] Ils ne lui demandent pas ce qu’on est convenu d’appeler l’éloquence et qui n’est souvent que la rhétorique.
Une vertueuse colère dépasse le but : un sourire indulgent convient et suffit. […] Voilà qui ne convient guère à La Fontaine, s’écrie triomphalement M. […] Faguet en convient. […] Faguet convient que cela est prouvé par des témoignages certains. […] qu’il ne voudrait peut-être en convenir, l’influence gréco-latine.
Si cela te convient, épouse-le, Eugénie. […] elle n’aura pas besoin de travailler plus qu’il ne lui convient ? […] Ils convinrent enfin de l’aller trouver sur l’heure même chez Mlle de La Prise, où elle travaillait encore. […] Déjà cette conversation me fait quelque bien ; mais j’étais au désespoir quand je vous voyais tout occupée de vous et d’un certain mérite que vous voulez avoir, et avec lequel vous laisseriez tranquillement souffrir tout le monde… » Ainsi encore, quand Émilie, sur l’aveu de Mme de Vaucourt que ses biens avaient été mal acquis, cherche à lui donner des scrupules, celle-ci, après une justification de son motif, ajoute en souriant : « Cependant, permettez-moi de vous dire que l’on pourrait vous chicaner à votre tour sur bien des choses que vous trouvez toutes simples, et cela parce qu’elles vous conviennent et que vos principes s’y sont pliés peu à peu. — Que voulez-vous dire ? […] … Si je vous eusse parlé d’un de ces êtres comme j’en connais beaucoup, qui, même lorsqu’ils ne font pas de mal, ne font aucun bien, ou ne font que celui qui leur convient ; qui, n’ayant que leur intérêt pour guide, n’en supposent jamais aucun autre au cœur d’autrui, vous l’eussiez sûrement méprisé.
Il crut qu’il ne convenait pas de donner au peuple des rêves dont le réveil pourrait être funeste. […] S’adressant ensuite à Anaxarque, il l’engage à considérer qu’une pareille proposition pouvait convenir à Cambyse ou à Xerxès, et non au fils de Philippe, qui descendait d’Hercule et d’Éacus. […] ou bien encore les uns et les autres ne continueront-ils à t’honorer que suivant leur usage, et comme il convient à des hommes, tandis que les barbares le feront à leur manière, etc. ? […] « C’est par l’éducation qu’il convient de ramener à la communauté et à l’unité l’État qui est multiple, comme je l’ai déjà dit ; et je m’étonne qu’en prétendant introduire l’éducation, et, par elle, le bonheur dans l’État, on s’imagine pouvoir le régler par de tels moyens, plutôt que par les mœurs, la philosophie et les lois. […] La révolution n’a souvent pas d’autre motif que cette faculté laissée à chacun de vivre comme il lui convient, faculté dont Socrate attribue l’origine à un excès de liberté.
Si, au surplus, pour faire vibrer, comme il convient, la note sentimentale, vous adjoignez à des types de forbans implacables le contraste de créatures angéliques, exposées aux pires infortunes et rachetées du mal par la grâce de leur innocence même, alors votre succès est assuré. […] Celui-ci, homme d’expérience, ne tardait pas à leur rendre nette et claire la formule de ce qui convenait à sa clientèle nombreuse et soumise. […] — J’en conviens, mais cela m’est égal. […] Il rassemble son équipe, découpe la besogne, distribue à chacun le lambeau qui lui convient, et se réserve pour lui-même de soigner les raccords en temps et lieu. […] » Le grand historien convenait que trois choses y sont requises, qui vont bien peu ensemble : « Le génie et le charme ; un tact d’expérience, très fin, très sûr, et enfin (quelle contradiction !)
Pour s’assimiler toute la pensée de Maeterlinck, il convient d’apercevoir la vie même à travers ses drames. […] Il convient que chacune ait sa part. […] Il convient, pour en apprécier la vigueur, de jeter aussi un regard sur les nombreuses revues. […] Si les sujets s’apparentent parfois, il convient de ne voir là qu’une coïncidence. […] Il convient de se reporter à la Préface du Théâtre.
Je conviens qu’elles forment un art ; et leur premiere utilité, c’est que la contrainte qu’elles imposent, détourne de la carriere des esprits médiocres qui ne craindroient pas d’y entrer, si elle étoit plus libre. […] Je consens encore, malgré cet exemple, qu’on traite de chimérique l’exploit de Romulus ; et je conviens qu’au théatre, le vrai même n’est bon qu’à titre de vraisemblable. […] Je conviens de la difficulté ; et que même beaucoup d’actions ne comportent pas une gradation de si longue haleine : mais il faut convenir aussi que, soit la faute des sujets, soit de la part des poëtes, faute d’invention ou d’effort, on ne fait souvent que des demi-tragedies : car je ne compte pour le plaisir tragique que la terreur ou la pitié ; et tout acte qui n’en excite pas, n’est qu’un allongement de l’action qui en doit produire. […] Il faut encore convenir que par les raisons que j’ai dites, elles sont quelquefois nécessaires ; et j’ajoûte toûjours préférables aux monologues qui sont absolument contre nature. […] J’en conviens pourtant : n’a pas ces défauts qui veut.
De même que certaines figures conviennent au marbre, tandis que d’autres conviennent à la toile, il y a certaines pensées qui, exprimées en prose, demeurent à peu près sans valeur, et qui, resserrées dans le moule du vers, étreintes par la rime, acquièrent une beauté, une précision inattendues. […] Pour le juger, il convient d’étudier successivement trois morceaux de nature diverse qui résument toutes les qualités et tous les défauts du recueil. […] Parmi eux, et au premier rang, il convient de placer M. […] En second lieu, il ne convient pas de placer Marianna entre ses deux amants. […] Il y avait là, j’en conviens, une difficulté grave ; toutefois il fallait la vaincre et non pas l’éluder.
Cependant M. de Gourmont proclamait que la littérature mystique était la seule « qui convînt à notre immense fatigue ». […] Il a fallu près de trois siècles pour l’apprécier comme il convient. […] À qui cette formule convient-elle mieux qu’à cette impératrice d’Autriche qu’il appelle une « impératrice de la solitude ? […] C’est un grand mystère, dont il convient, avec M. […] Je veux dire que le détail ne manque certes pas dans ces romans ; mais il y est bien à sa place, qu’on n’a pas faite plus grande qu’il ne convient.
Convenons qu’un poëte élégiaque n’est pas nécessairement tenu à de tels frais d’originalité ; il chante dans la langue de son temps, heureux et applaudi quand il y chante le mieux, et il n’a pas charge de refaire avant tout son instrument. […] Pour apprécier autant qu’il convient le mérite naturel et touchant des élégies de Parny, il suffit de lire celles qu’a essayées Le Brun, si sèches, si fatiguées et si voulues. […] Au moment de l’apparition du volume, Ginguené, ancien camarade de collége de Parny, mais poussé surtout par son zèle pour la bonne cause, donna dans la Décade jusqu’à trois articles favorables181, analyses détaillées et complaisantes, dans lesquelles il étalait le sujet et préconisait l’œuvre : « L’auteur, disait-il, l’a conçue de manière que les uns (les Dieux) sont aussi ridicules dans leur victoire que les autres dans leur défaite, et qu’il n’y a pas plus à gagner pour les vainqueurs que pour les vaincus. » Après toutes les raisons données de son admiration, le critique finissait par convenir qu’il se trouvait bien par-ci par-là, dans les tableaux, quelques traits « qu’une décence, non pas bégueule, mais philosophique, et que le goût lui-même pouvaient blâmer » ; il n’y voyait qu’un motif de plus pour placer le nouveau poëme à côté de celui de Voltaire, de cet ouvrage, disait Ginguené, « qu’il y a maintenant une véritable tartufferie à ne pas citer au nombre des chefs-d’œuvre de notre langue. » Le succès de la Guerre des Dieux fut tel, que trois éditions authentiques parurent la même année, sans parler de deux ou trois contrefaçons. […] Il conviendra aux Écoles publiques si le chant est facile à retenir, c’est-à-dire moins savant que mélodieux.
Juliette, par sa nature, qui se colore, mais qui ne s’échauffe pas aux rayons de l’amour, ce soleil des femmes, convenait merveilleusement à ce genre de liaison. […] C’est un des hommes de ce siècle qui m’a inspiré le plus d’éloignement ; sa popularité d’occasion ne fut jamais qu’un mensonge convenu de parti, car il n’y eut jamais de popularité juste et vraie sans vertu publique. […] Ce fut aussi, il faut en convenir, un vrai mérite à madame Récamier de deviner l’âme de Ballanche sous cette forme disgraciée et presque grotesque, et de se laisser aimer et suivre jusqu’à la mort par ce doux Socrate lyonnais. […] « Je me représente votre petit ménage de Val-de-Loup comme le plus gracieux du monde ; mais, quand on écrira la biographie de Mathieu dans la vie des saints, convenez que ce tête-à-tête avec la plus belle et la plus admirée femme de son temps sera un drôle de chapitre.
Peut-être en saura-t-on davantage un jour sur ce point ; il conviendra de reprendre alors le problème des rapports des artistes avec leurs ascendants et leur race. […] Pour l’une, il conviendra accumule les détails de ton et de manières qu’elle est accoutumée à trouver dans son entourage ; pour les autres, il sera nécessaire d’exagérer certains traits d’existence luxueuse et perverse qu’ils se sont habitués, par haine de caste et par envie, à associer avec le type du noble. […] Il convient de tenir compte dans cet énoncé des mots restrictifs qu’il contient. […] On verra aisément dans l’histoire et le roman modernes des faits plus marqués encore de cette indépendance réciproque des couches sociales ; c’est qu’en effet cette indépendance existe et s’accuse ; les sociétés, par un effet graduel d’hétérogénéité, tendent à se décomposer en un nombre croissant de milieux, et ceux-ci en individus de moins en moins semblables, libres, de plus en plus, de suivre chacun ses inclinations personnelles et d’aller aux œuvres qu’il lui convient d’admirerdw.
Mme Guizot (Pauline de Meulan) a touché ce point comme il convient, avec discrétion et sagacité63 : il est à la rigueur possible, pense-t-elle, que dans cette grande comédie que jouèrent habituellement les uns envers les autres, et quelquefois envers eux-mêmes, la plupart des personnages du xviiie siècle, Duclos ait pris pour son rôle celui d’un bourru redouté, emporté au-dehors, habile et assez modéré en dedans. […] Je convins de la sévérité, à certains égards, de nos lois criminelles, telles que la question préparatoire ; mais j’ajoutai, et je pense que, sans proscrire aucun genre de mort, il n’y aurait, pour la réforme de notre Code criminel, qu’à fixer une gradation de peines comme une gradation de délits.