Ce chapitre intitulé avec esprit (avec un esprit un peu janséniste) « le petit nombre des élus » serait bref, s’il n’était qu’un catalogue. […] Voyez le premier chapitre d’En Ménage ou M. […] Le théologien aborde ce chapitre avec le sang-froid du physiologiste qui entre dans la région du sixième sens. […] Le chapitre est bien intéressant. […] Voir sur le rôle du mensonge le chapitre intitule Les Femmes et le langage, dans la première partie du présent ouvrage.
Enfin, et nous devons insister sur ce chapitre, la méthode de critique élargie par nos contemporains, depuis Villemain jusqu’à Taine et Montégut, est due pareillement à Chateaubriand. […] Levallois, non moins utile, s’attache plutôt à faire connaître en Sainte-Beuve toutes les évolutions du penseur et de l’écrivain : il nous parle aussi de l’homme privé, et ces appréciations sur ce chapitre fortifient les renseignements fournis par M. […] Par moments nous pensons le revoir ; nous nous attendons à le rencontrer, plein de verve et d’éloquence soudaine, essayant ses idées sur son interlocuteur, improvisant ses chapitres, causant ses livres. […] Ces chapitres annonçaient des travaux plus étendus sur cette Italie, alors si opprimée, à laquelle tous les libéraux croyaient payer une dette en hâtant de leurs vœux son retour à l’indépendance. […] L’idée d’ensemble nous paraît élevée et impartiale ; dans le détail on dirait une encyclopédie de faits et d’aperçus ; les titres seuls des chapitres indiquent et le nombre et l’importance des questions traitées.
Chapitre III La poésie romantique 1 Réforme de la langue et du vers. […] En un sens, Notre-Dame de Paris et les Burgraves sont les deux premiers chapitres de la Légende des siècles.
Taine essaye de prouver par un nombre considérable de faits, deux sortes de causes sont assignées plus ou moins explicitement : l’hérédité (préface et début de l’Histoire de la littérature anglaise) qui fait participer tout homme aux caractères de ses ascendants, ceux-ci à ceux des leurs, et ainsi de suite à travers toute l’étendue de la race ; la sélection naturelle (dans le 2e chapitre de la Philosophie de l’art) qui s’opère entre les artistes et entre les facultés de l’artiste, grâce à sa participation à toute la situation sociale, grâce à son imitation de l’état d’âme de ses contemporains, à la malléabilité particulière de son esprit, aux conseils qu’il reçoit et à accueil qui est fait à ses œuvres. Enfin en divers endroits (1er chap. de l’Histoire de la littérature anglaise, Essai sur La Fontaine), M.
Discours préliminaire, 1re partie, chap. XVIII, et IIe partie, chap.
Les gens du monde, au contraire, le trouvent obscur, ils ne comprennent pas son côté scientifique, ils se creusent la tête pour deviner le mot de certaines énigmes algébriques, ils ignorent la valeur de certains termes, ils passent des pages et même des chapitres, parce qu’ils y rencontrent de la fatigue ou de l’ennui, ils s’endorment sur les théories et ne se réveillent qu’aux descriptions. […] Chap.
Chapitre III : L’histoire On a vu comment la physiologie et une certaine psychologie expérimentale en viennent soit à supprimer les caractères essentiels des phénomènes psychiques, soit à les altérer en ramenant ces phénomènes à leurs conditions organiques et à leurs lois morales. […] Quand on voit, selon le mot vulgaire, le chapitre des incidents occuper une si grande place dans l’ordre des choses humaines, quand on voit l’imprévu venir à chaque instant déjouer les calculs de la raison ou tromper les espérances de la vertu, on est tout disposé à prêter l’oreille aux enseignements qui ne font qu’ériger cette triste expérience en théorie, en expliquant comment l’homme, peuples et individus, est, non le véritable acteur, mais simplement l’agent toujours subordonné d’une puissance supérieure, s’il n’en est pas le jouet.
C’est en ces termes qu’un moraliste de société, le duc de Lévis, commence un chapitre assez piquant sur les médecins qui étaient en vogue vers 1774 ; et au nombre des conditions requises alors pour réussir, indépendamment des talents propres à la profession, il met un esprit délié, la connaissance et l’usage du monde, des manières agréables : « Mais, avant tout, il fallait qu’ils eussent ou qu’ils feignissent un cœur sensible. » On retrouve quelque chose de ce soin et de cette prétention dans les éloges de Vicq d’Azyr.
Je sais des hommes d’étude et de lecture approfondie qui placent Fleury très haut, plus haut qu’on n’est accoutumé à le faire aujourd’hui, qui le mettent en tête du second 265 rang ; ils disent « que ce n’est sans doute qu’un écrivain estimable et du second ordre, mais que c’est un esprit de première qualité ; que ses Mœurs des israélites et des chrétiens sont un livre à peu près classique ; que son Traité du choix et de la méthode des études, dans un cadre resserré, est plein de vues originales, et très supérieur en cela à l’ouvrage plus volumineux de Rollin ; que son Histoire du droit français, son traité du Droit public de France, renferment tout ce qu’on sait de certain sur les origines féodales, et à peu près tout ce qu’il y a de vrai dans certains chapitres des plus célèbres historiens modernes, qui n’y ont mis en sus que leurs systèmes et se sont bien gardés de le citer ; que Fleury est un des écrivains français qui ont le mieux connu le Moyen Âge, bien que peut être, par amour de l’Antiquité, il l’ait un peu trop déprécié ; que cet ensemble d’écrits marqués au coin du bon sens et où tout est bien distribué, bien présenté, d’un style pur et irréprochable, sans une trace de mauvais goût, sans un seul paradoxe, atteste bien aussi la supériorité de celui qui les a conçus. » Pour moi, c’est plutôt la preuve d’un esprit très sain.
Malgré la disparate des noms, il faut avouer que le rapprochement est inévitable, et l’on se rappelle encore forcément ce merveilleux chapitre lyrique de Panurge à la louange des debteurs et emprunteurs.
Ainsi le début du chapitre IV : « Charme de l’amour, qui pourrait vous peindre, etc… » et toute l’apostrophe qui suit.
Il n’avait pas eu jusque-là beaucoup de souplesse ; il n’avait jamais pu, par exemple (n’y ayant jamais été forcé), faire d’article de journal ou même de revue ; les articles qu’il commençait, il nous le dit, devenaient peu à peu sous sa plume des chapitres.
[NdA] Mémoires de Napoléon, Guerre d’Italie, chap.
Sa vie est un feuillet déchiré, mais qui précède immédiatement un des plus mémorables chapitres du livre auguste de l’Histoire.
Je sais bien que cinq beaux chapitres de l’Histoire militaire de Jomini nous en présentaient un tableau élevé, sommaire et judicieux.
Biot mit dans la suite une certaine coquetterie bien permise à montrer ce qu’il aurait pu faire s’il avait été chargé d’écrire les Éloges des savants ; ses morceaux sur Gay-Lussac et sur Cauchy sont jugés excellents par ceux qui ont voix au chapitre.
Quand on s’est bien édifié autant qu’on le peut sur les origines, sur la parenté immédiate et prochaine d’un écrivain éminent, un point essentiel est à déterminer, après le chapitre de ses études et de son éducation ; c’est le premier milieu, le premier groupe d’amis et de contemporains dans lequel il s’est trouvé au moment où son talent a éclaté, a pris corps et est devenu adulte.
— Et revenant sur ce chapitre des chants de guerre qu’on lui aurait voulu voir composer dans sa chambre et au coin de son feu en 1813, il souriait de pitié : « Écrire au bivouac, où la nuit l’on entend hennir les chevaux des avant-postes ennemis, à la bonne heure !
Le récit, qui se divise en quinze chapitres ou tableaux, commence au moment où les Mercenaires accumulés dans Carthage inquiètent la population et les magistrats.
Après cela, que cette idée se présentât à eux sous les termes de πολιτεία, παιδεία, ou tout autre, je laisse aux savants à le déterminer ; mais je suis certain que les Grecs, par leur brillant, leur éducation, leur art, leur génie actif et persuasif, leur faculté colonisatrice, avaient essentiellement et au plus haut degré le sentiment de cette chose que les modernes appellent civilisation ; ils l’avaient, comme tout ce qu’il leur fut donné d’avoir, d’une manière exquise ; ils en avaient même le sentiment en ce qui est de l’humanité, de la philanthropie : il suffit de se rappeler ce bel article de traité que Gélon imposa aux Carthaginois vaincus, et que Montesquieu a consacré par un chapitre de l’Esprit des Lois.
Voici deux de ces couplets, les seuls qu’on puisse citer, et les seuls aussi qui nous intéressent : De par l’abbé Testu, qu’en mitre Ne verront jamais ses amis, On a convoqué le Chapitre De nos seigneurs les beaux esprits, Qu’il a repris, Qu’il a repris, Moins pour avoir lu cette Épitre Que pour n’en avoir rien omis.
On peut voir, au chapitre IX du Traité des grandes opérations militaires par Jomini (4e édit., 1851, tome II, pages 1-38), le jugement définitif que la science militaire et l’histoire ont porté sur cette campagne de 1758, qui a immortalisé dans le plus triste sens le nom du comte de Clermont.
« Vitruve dit dans sa préface (du moins cela est dans le chapitre vi, du livre II, du Selectæ e profanis scriptoribus historiæ) : « Cæteri architecti rogant et ambiunt, ut architectentur, mihi autem a præceptoribus est traditum, oportere eum qui curam alicujus rei suscipit rogari, non vero rogare. » « On peut voir en dix endroits du Journal de l’Empire même et, entre autres, le 27 juillet 1812, combien l’intrigue est nécessaire aux succès dans la littérature même.
Chapitre IV.
Chapitre VII.
Cette théorie avait déjà été énoncée dans la Revue de l’instruction publique (novembre 1855 ; juillet, août et septembre 1856), puis publiée dans les Philosophes classiques au xixe siècle en France (1856), chapitres 3, 9 et 13, puis reprise et développée dans la préface de la 2e édition du même ouvrage (1860), enfin exposée et précisée une dernière fois dans une étude sur Stuart Mill (Revue des Deux Mondes, mars 1861), qui a précédé les vues concordantes de Stuart Mill sur le même sujet.
Chapitre IV Poésie lyrique Médiocre aptitude de l’esprit français au lyrisme. — 1.
Chapitre V La Fontaine 1 La Fontaine, son caractère ; sources et formation de son génie poétique. — 2.
Le chapitre sur la légende religieuse de l’Ange et l’Hermite est encore un modèle de clarté, de précision et de sagacité.
Au lieu que chacun publie des recueils d’articles portant fâcheusement les tares de l’au-jour le jour, les uns vieillis, les autres disparates, ces critiques composeraient chacun un chapitre complet d’un livre d’essais qui serait annuellement la synthèse même de la cérébralité française.
Chapitre X.
Chapitre XIV.
Chapitre III.