/ 1285
799. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome II « Querelles générales, ou querelles sur de grands sujets. — Seconde Partie. De l’Éloquence. — Éloquence de la chaire. » pp. 205-232

Il est vrai qu’en permettant à nos prédicateurs, dans les panégyriques surtout, les ornemens & une certaine ressemblance avec les anciens orateurs d’Athènes & de Rome, on outre souvent les choses.

800. (1824) Notes sur les fables de La Fontaine « Livre douzième. »

Tous chemins vont à Rome….

801. (1818) Essai sur les institutions sociales « Chapitre premier. Considérations préliminaires » pp. 17-40

D’ailleurs, la modération sied bien aux vainqueurs : à Rome on permettait de dire même des injures à ceux qui recevaient les honneurs du triomphe ; et la vertu farouche de Caton fut plus d’une fois louée au sein de la cour d’Auguste.

802. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre XIX. Mme Louise Colet »

Elle avait le catarrhe de Facino Cane, dont sa poésie rappelait la clarinette ; mais sa vanité de bas-bleu rouge était plus forte que tous les rhumes, et elle se mit à promener majestueusement le sien, de Turin à Florence et de Rome à Naples et à Palerme, — poétique Ducantal de la liberté !

803. (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « III — Les deux cathédrales »

Emile Zola, Rome.

804. (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Première partie — Chapitre III. Les explications anthropologique, idéologique, sociologique »

Est-ce dans la Rome impériale, au moment où toutes les races de l’antiquité se mêlaient, que vous irez chercher la preuve que l’idée de l’égalité résulte d’une disposition anatomique particulière ?

805. (1936) Réflexions sur la littérature « 6. Cristallisations » pp. 60-71

Il cristallise sur ces deux registres, et aussi sur un troisième, celui dont témoignent les Mémoires d’un touriste, les Promenades dans Rome, le Journal, celui des idées : penser, apercevoir des rapports, lui donne une joie aussi vive peut-être que découvrir des perfections nouvelles chez sa maîtresse ou descendre au fil voluptueux d’une musique italienne.

806. (1881) Le naturalisme au théatre

imaginez un instant que les Romains puissent ressusciter et qu’on représente devant eux Rome vaincue. […] L’auteur est à Rome et non à Paris. […] D’ailleurs, le mérite de Rome vaincue est surtout dans le développement de l’idée première. […] Le héros, ramassant sous ses ordres les gladiateurs et la plèbe de la ville, suscite alors une révolte, brûle Rome, se bat pour l’affranchissement des esclaves. […] Dernièrement, les romantiques impénitents se fâchaient contre Rome vaincue.

807. (1882) Autour de la table (nouv. éd.) pp. 1-376

je m’éveillai, ce matin-là, sous le ciel de Rome, en m’écriant brutalement : « Va-t’en ! […] Quand on a été à Rome, on s’habitue tellement à l’idée de ce genre de sépulture, que l’on ne peut plus admettre sans répugnance la méthode d’ensevelissement adoptée dans le monde moderne : méthode barbare, hideuse, funeste, contre laquelle le genre humain devrait protester avec l’auteur de l’article excellent que tu viens de lire. […] Louise. — Pietro est un facétieux vigneron de la banlieue de Rome, qui trouva dans son enclos, il y a quelques années, un columbarium très intéressant, et qui sacrifia gaiement ses ceps de vigne à l’espoir de trouver d’autres antiquités. […] Un sous-sol favorable à ce genre de sépulture le rendait plus expéditif que tout autre dans un moment de persécution ; mais le tuf volcanique de Rome est une condition toute particulière, que nos terrains humides ne peuvent offrir. […] Nous faisons lire à nos enfants un fragment du passé, reconstruit à grand renfort d’érudition, dans un ouvrage moderne : Rome au siècle d’Auguste ; un temps viendra où les érudits composeront des résumés historiques de ce genre, dont les titres tourneront autour de cette idée : la France au temps de Balzac, et qui auront une valeur bien autre, ayant été puisés à la source même de l’authenticité.

808. (1864) Physiologie des écrivains et des artistes ou Essai de critique naturelle

Qui ne reconnaîtrait l’Angleterre dans Shakespeare, même lorsqu’il veut peindre l’ancienne Rome, comme dans ses drames de Jules César et de Coriolan ? […] Ainsi devisent ces gentlemen de Rome. […] La Rome impériale n’est pas la Rome républicaine ; et celle des papes n’est pas celle des Césars, et celle de l’Italie moderne ressuscitée sera encore une autre Rome. […] « Claude Lorrain passait des journées entières dans la campagne de Rome, sans peindre, sans dessiner d’après nature. […] Les femmelettes de la Rome impériale ont beau se commander des statues de déesses.

809. (1896) Journal des Goncourt. Tome IX (1892-1895 et index général) « Année 1892 » pp. 3-94

Je le revoyais dans la Haute-Marne, à Breuvannes, là, où se sont passés les étés de mon enfance, par les ensoleillés matins de juillet et d’août, marchant de son grand pas, que mes petites jambes avaient peine à suivre, marchant à la main, un paisseau arraché dans une vigne, et m’emmenant avec lui boire une verrée d’eau, à la « Fontaine d’Amour », une source au milieu de prés fleuris de pâquerettes, apportant aux gourmets d’eau, le bon et frais goût d’une eau, qu’il trouvait comparable à l’aqua felice de Rome. […] Et, je la revois encore, avant son départ pour Rome, dans un appartement de la rue Tronchet, comme perdue, comme un peu effacée, dans le brouillard d’émanations de plantes médicinales. À Rome, le récit de la vie de Mme Gervaisais, de la vie de ma tante, en notre roman mystique, est de la pure et authentique histoire.

810. (1911) Lyrisme, épopée, drame. Une loi de l’histoire littéraire expliquée par l’évolution générale « Chapitre II. Vérification de la loi par l’examen de la littérature française » pp. 34-154

nous avons combattu avec l’épée… ») révèlent à Augustin Thierry sa vocation d’historien ; et c’est une chaîne ininterrompue qui va de Thierry à Guizot, à Tocqueville, à Michelet, à Fustel de Coulanges, à Taine et à Renan ; c’est aussi par une intuition d’abord toute poétique que Gregorovius, un soir, sur un pont du Tibre, conçoit son Histoire de Rome. […] Cette clarté est déjà dans les idées et dans les actes des premiers rois de France. — Rome avait civilisé le monde ; le christianisme avait apporté la bonne nouvelle de la solidarité humaine devant un seul et même Dieu ; les Germains avaient donné la force de leur jeunesse ; une forme nouvelle de l’humanité devait en résulter à travers mille vicissitudes ; et c’est en France que naquit, nécessairement, la première nation européenne. […] D’autres peuples, comme la Grèce, la Rome antique, n’ont guère connu qu’une seule ère bien nette ; d’autres encore, comme l’Italie ou l’Allemagne, ont été singulièrement entravés dans leur développement normal ; chacun de ces cas est un problème à étudier à part ; il faut voir quelles forces ont contrarié, suspendu l’action de la loi d’évolution.

811. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « M. BALLANCHE. » pp. 1-51

Ballanche courut à Rome retrouver celle que plus tard il nomma du nom de Béatrix ; il lut au sein de cette petite société romaine la fin d’Antigone, la scène des funérailles. […] Durant un séjour qu’il fit à Rome en 1824, dans la même compagnie d’élite qu’autrefois, il eut conscience de l’antique cité latine, du droit patricien et de cette époque incertaine dont il a cherché, dans la Formule générale, à reconquérir le sens sur Tite-Live.

812. (1859) Cours familier de littérature. VIII « XLVe entretien. Examen critique de l’Histoire de l’Empire, par M. Thiers (2e partie) » pp. 177-248

Si le premier Consul avait eu l’ombre de philosophie dans sa politique, c’était là le seul concordat qu’il y eût à faire entre Rome et lui. […] Thiers donne à ce procès l’intérêt d’un grand drame ; il y est aussi juste qu’éloquent : juste envers Bonaparte, qui avait le droit de sévir contre un rival devenu un conjuré ; juste envers Moreau, qui avait failli à la patrie, à la reconnaissance et à lui-même ; juste envers la magistrature du pays, qui montre dans ce jugement des caractères dignes de Rome.

813. (1865) Cours familier de littérature. XX « CXVIIe entretien. Littérature américaine. Une page unique d’histoire naturelle, par Audubon (1re partie) » pp. 81-159

Cette horreur du pouvoir capable, cette folie de l’envie, cette médiocrité des présidents, cette vulgarité des élus dans le congrès et dans les chambres, jointes à une ambition de grandir sans morale et à une vanité de supériorité sans fondement, faisaient prévoir depuis longtemps aux esprits sains de l’Europe et même à Jefferson une catastrophe telle que Rome elle-même n’en avait pas présenté au monde dans ses craquements, une leçon aux peuples trop démocratiques, donnée par Dieu lui-même pour leur apprendre qu’il n’y a point d’avenir pour les nations qui croient à la seule force du nombre et à la brutalité de la conquête ! […] Aucun de ces États, usés sous la forme monarchique, nouveaux sous la forme républicaine, excepté le Brésil, n’est de force à lutter contre l’envahissement, et l’on peut calculer étape par étape le jour fatal d’un envahissement accompli, l’extinction de toutes ces belles races latines, civilisées, civilisantes, nobles de sentiment comme d’ancêtres, qui ont peuplé ces plus beaux climats de l’univers de capitales aussi monumentales que Rome et Madrid, et qui deviendront des bazars de marchands.

814. (1866) Cours familier de littérature. XXI « CXXIIe entretien. L’Imitation de Jésus-Christ » pp. 97-176

Les doubles élections du pape à Rome et à Avignon le firent envoyer souvent dans ces deux capitales ou dans le concile de Constance, pour apaiser ces guerres civiles de l’Église. […] La fureur du peuple s’éteint comme sa faveur, Gerson rentre dans ses hautes fonctions ; le roi l’emploie dans sa diplomatie pour calmer la discorde au sujet des papes entre Rome et Avignon.

815. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Troisième partie. Étude de la littérature dans une époque donnée causes et lois de l’évolution littéraire — Chapitre VIII. La littérature et la vie politique » pp. 191-229

Dans la littérature religieuse, Pascal lance son immortel pamphlet, les Provinciales, et le jansénisme, à le bien prendre, est une Fronde contre Rome, un essai de rébellion qui a peur d’aller jusqu’au bout de son audace. […] L’éloquence, qui soulève ou apaise les foules, a renouvelé les légendaires miracles des orateurs de Rome ou d’Athènes.

816. (1892) Journal des Goncourt. Tome VI (1878-1884) « Année 1884 » pp. 286-347

Année 1884 Mardi 1er janvier 1884 Aujourd’hui 1er janvier 1884, les de Béhaine se trouvant à Rome, je me vois condamné à dîner en tête à tête avec moi-même, et me prépare assez tristement, pour être moins seul, à aller dîner au restaurant, quand les Daudet arrivent, et me prenant en pitié, m’emmènent chez leurs grands-parents. […] Samedi 29 novembre En feuilletant des lettres de ma mère, adressées à ma tante de Courmont, à Rome, et qui me sont communiquées, avec une lettre de mon frère, par la belle-fille de Mme de Courmont, je trouve cette lettre de ma mère, qui me reporte à un morceau ennuyeux et triste et douloureux de ma vie passée, qu’on voulait pousser à des choses, pour lesquelles j’étais bien peu fait.

817. (1840) Kant et sa philosophie. Revue des Deux Mondes

L’Allemagne peut se soumettre dans l’ordre extérieur et politique mais elle ne peut obéir qu’à son propre génie dans l’ordre intellectuel et moral ; elle réclama quelque liberté de détail sur un point de médiocre importance : elle ne fut pas entendue ; elle résista donc, et l’énergie de la résistance appelant la violence de la répression, et celle-ci redoublant celle-là, ainsi éclata et se répandit cette réformation religieuse et politique qui brisa l’unité de l’Europe et arracha le sceptre de l’Allemagne à la maison d’Autriche et à la cour de Rome. […] De même, quand Luther eut détruit l’influence de Rome dans une grande partie de l’Allemagne, les esprits une fois sortis de la vieille autorité, n’en surent plus reconnaître aucune ; le luthéranisme eut aussi ses schismes, le calvinisme ses bûchers, et ce qui restait de foi ne sut plus à quelle forme se prendre et s’arrêter.

818. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Deuxième partie. — Chapitre XVIII. »

C’étaient des proses semblables pour la rudesse aux chants des bas siècles de Rome. […] seconde Rome, aussi supérieure aux autres villes que le ciel étoilé l’emporte sur la terre, je vous prends à témoin de tout ce que l’envie m’a fait, de quelle manière elle m’a séparé de mes religieux enfants, après mes longues luttes, après la lumière que j’avais apportée par les enseignements célestes, après les eaux limpides que j’avais fait jaillir du rocher !

819. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Geoffroy de Villehardouin. — I. » pp. 381-397

Tant que les Vénitiens croient que le roi de France n’avancera pas en Italie et qu’il ne réussira pas dans ses projets de conquête, ils protestent volontiers de leur amitié et de leurs services désintéressés pour lui ; quand ils le voient s’avancer et vaincre au-delà de leurs prévisions, ils s’effrayent, travaillent à nouer la ligue et dissimulent, non pas si bien toutefois que Commynes, le jour où ils lui apprennent la reddition du château de Naples aux Français, ne lise la consternation sur le visage des principaux dans la chambre du doge : « Et crois que quand les nouvelles vinrent à Rome de la bataille perdue à Cannes contre Annibal, les sénateurs qui étaient demeurés n’étaient pas plus ébahis ni plus épouvantés qu’ils étaient. » Patience !

820. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « La Divine Comédie de Dante. traduite par M. Mesnard, premier vice-président du Sénat et président à la Cour de cassation. » pp. 198-214

Celui-ci écrivait de Rome (1740), en parlant des lectures italiennes qu’il préférait : Ce n’est cependant pas l’Arioste que les beaux esprits d’Italie mettent au premier rang ; ils l’adjugent au Dante.

821. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Œuvres de Maurice de Guérin, publiées par M. Trébutien — I » pp. 1-17

Il avait fait le voyage de Rome pour consulter l’autorité suprême ; il en était revenu, ménagé personnellement, mais très nettement désapprouvé, et avait paru se soumettre ; il se croyait peut-être même sincèrement soumis, tout en méditant déjà et en roulant des pensées de vengeance et de représailles.

822. (1863) Nouveaux lundis. Tome I « Essais de politique et de littérature. Par M. Prevost-Paradol. »

les uns ont Rome et le Vatican pour première idole, et ils sont prêts à tout y sacrifier ; les autres ont Westminster et le Parlement anglais, qui devient une idole aussi, dès qu’on prétend, coûte que coûte, et tel quel, nous l’appliquer.

823. (1864) Nouveaux lundis. Tome II « Halévy, secrétaire perpétuel. »

N’est-ce pas lui qui, dans son Éloge de l’architecte Abel Blouët, dira avec une sorte d’enthousiasme, à propos des cinq grands prix de Rome : « Chaque année, l’Académie des Beaux-Arts distribue ses couronnes.

824. (1865) Nouveaux lundis. Tome III « M. de Pontmartin. Les Jeudis de Madame Charbonneau » pp. 35-55

Il lui est même arrivé comme à Lamennais, quand celui-ci fit ses Affaires de Rome : ne voilà-t-il pas qu’il a pris, du coup, un air plus dégagé, plus déluré que jamais !

825. (1865) Nouveaux lundis. Tome III « Les Saints Évangiles, traduction par Le Maistre de Saci. Paris, Imprimerie Impériale, 1862 »

L’arbre du christianisme et particulièrement de la Catholicité, planté au centre sur l’une des collines de Rome, et qui semblait hériter dès lors d’une première éternité, s’accrut entre tous, s’étendit dans tous les sens et domina : les ouragans même, les bouleversements politiques qui semblaient devoir l’ébranler et le renverser, le fortifièrent, et la barbarie le consolida.

826. (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Préface »

Sainte-Beuve disait à un ami en face de lui, dans une de ces conversations familières qui le prenaient parfois après une forte journée de travail : « Je ne me serais pas cru libre dans un journal qui porte un emblème en tête (il montrait le Journal officiel) ; il faut trop se ranger, quand on marche sous une bannière ; on a peur de marcher sur le pied de son voisin ; on se gêne ou l’on gêne ; on n’est plus là pour discuter, mais pour suivre ; on est enrôlé ; allez donc discuter les affaires de Rome, par exemple, comme on les sent, dans un journal qui épouse tant là légitimité que cela ; qui semble voué à la reine Marie-Antoinette ; oh il est sans cesse question d’elle !

827. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « M. EDGAR QUINET.— Napoléon, poëme. — » pp. 307-326

César à Rome, Louis XIV chez nous97, ont échappé à cette légende épique qui tend à se former, comme un nuage, autour du front des grands dominateurs ou conquérants, pour les hausser encore.

828. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « APPENDICE. — CASIMIR DELAVIGNE, page 192. » pp. 470-486

Rien de plus incohérent et de plus artificiel que les Adieux à Rome, sujet de la sixième Messénienne.

829. (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section première. Des passions. — Chapitre premier. De l’amour de la gloire »

Si l’on veut examiner la cause, du grand ascendant que dans Athènes, qu’à Rome, des génies supérieurs ont obtenu de l’empire presque aveugle, que dans les temps anciens ils ont exercé sur la multitude, on verra que l’opinion n’a jamais été fixée par l’opinion même, que c’est à quelques pouvoirs différents d’elle, à l’appui de quelque superstition que sa constance a été due : tantôt ce sont des rois, qui jusqu’à la fin de leur vie ont conservé la gloire qu’ils avaient obtenue ; mais les peuples croyaient alors que la royauté avait une origine céleste : tantôt on voit Numa inventer une fable pour faire accepter des lois que la sagesse lui dictait, se fiant plus à la crédulité qu’à l’évidence.

830. (1875) Les origines de la France contemporaine. L’Ancien Régime. Tomes I et II « Livre deuxième. Les mœurs et les caractères. — Chapitre III. Inconvénients de la vie de salon. »

Stendhal, Rome, Naples.

831. (1895) Histoire de la littérature française « Quatrième partie. Le dix-septième siècle — Livre I. La préparations des chefs-d’œuvre — Chapitre III. Trois ouvriers du classicisme »

Biographie : Jean-Louis Guez de Balzac (1697-1654) était filleul du duc d’Épernon, au service de qui il fut d’abord : en 1621-1622, un fils du duc, l’archevêque de Toulouse, cardinal de la Valette, l’employa comme agent à Rome.

/ 1285