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1041. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XXXIX » pp. 164-165

La reconnaissance vous fuit un cœur de roi, et l’insuffisance vous réduit à l’ingratitude de l’éloge 32.

1042. (1875) Premiers lundis. Tome III « M. Buloz et le Messager de Paris. »

Buloz, commissaire du roi auprès du Théâtre-Français, et lui reprochait, d’un air méprisant, ses titres mêmes à la fondation de cette Revue.

1043. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — S — Sardou, Victorien (1831-1908) »

mais sa tête pâle, souffrante, ses yeux enfoncés et inquiets, sa bouche tourmentée, son grand front plein d’orages montrent clairement que. riche, heureux enfin, maître de son succès et de son art, propriétaire d’un beau château et d’un nom qui voltige sur les bouches des hommes, roi absolu du théâtre du Gymnase et du théâtre du Vaudeville, assez affermi dans sa tyrannie légitime pour pouvoir ne faire qu’une bouchée d’Edgard Poe et de Cervantès, et pour contraindre les poètes morts à lui gagner les droits d’auteur, — il ressent encore les souffrances passées du temps où les directeurs de spectacles, aujourd’hui ses esclaves !

1044. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — T — Trarieux, Gabriel (1870-1940) »

Gabriel Trarieux, avec cette épigraphe tirée des Idylles du Roi, de Tennyson : « Man dreams of fame, while woman wakes to love ».

1045. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 266-268

Ce travail ne lui fait honneur, que parce qu’il fut entrepris par ordre du Roi & pour l’usage de M. le Dauphin.

1046. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 302-304

On a compris qu’un Roi imbécille, sottement disposé à croire le premier qui lui parle ; qu’une Princesse indéfinissable, occupée sans cesse à gémir & à hésiter ; qu’un Amant enthousiaste qui ne sait ni ce qu’il dit ni ce qu’il fait ; que des Prêtres en délire qui ne se rencontrent que pour disputer & s’injurier ; que des incidens accumulés sans vraisemblance & sans nécessité ; que des Scenes déclamatoires absolument décousues, étoient le comble du ridicule.

1047. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 414-416

Bouhours cite souvent, avec éloge, quelques morceaux des Placets qu’il adressoit au Roi pour obtenir la fin de sa disgrace : ces morceaux sont éloquens, pleins de pensées délicates & bien exprimées, sans intéresser toutefois le sentiment, quoiqu’ils aient l’appareil du sentiment.

1048. (1903) La vie et les livres. Sixième série pp. 1-297

On opposait la magnificence de ces souvenirs à la vilenie du régime, à la vulgarité régnante, à la bassesse d’une Chambre servile, à la médiocrité intrigante des ministres du roi. […] Enfin, il fut accrédité auprès du Gascon Murat, qui était devenu roi des Deux-Siciles sous le nom de Joachim-Napoléon. […] M. l’Empereur et Roi, Nous avons arrêté et arrêtons ce qui suit : Article 1er. […] le roi des Deux-Siciles. […] L’« Empereur et Roi » ne peut plus rester dans son palais.

1049. (1884) L’art de la mise en scène. Essai d’esthétique théâtrale

Le blanc sied aux grands rôles et la pourpre est particulièrement réservée aux rois. […] Mais, au second acte, le jour s’est levé ; Agamemnon va paraître aux regards de l’armée, et il ne le fera que sous l’appareil imposant qui convient à celui que les Grecs ont nommé le roi des rois. […] Sur ses épaules flotte la pourpre des rois. […] Il en est à peu près de même du rôle de François Ier dans le Roi s’amuse. […] On attend le roi, celui en qui se résume les espérances de tout un parti.

1050. (1888) Journal des Goncourt. Tome III (1866-1870) « Année 1866 » pp. 3-95

* * * — Les petits esprits, qui jugent hier avec aujourd’hui, s’étonnent de la grandeur et de la magie de ce mot avant 1787 : le Roi. Ils croient que cet amour du Roi n’était que la bassesse des peuples. Le Roi était simplement la religion populaire de ce temps-là, comme la Patrie est la religion nationale de ce temps-ci. […] » Puis Sainte-Beuve passe de Pasquier à Louis XVIII, à son mot à ses ministres : « Messieurs, il n’y a pas de conseil demain mardi, le Roi s’amuse !  […] Aussitôt après, le baron Portai tâtait le pouls au Roi et lui disait : « Petit, petit, petit ! 

1051. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — A — Amiel, Henri Frédéric (1821-1881) »

Et plus tard encore, dans ses Étrangères, le bruit qu’il n’avait pu faire avec ses Grains de mil et son Penseroso, ses articles et ses notices, il essayait de le faire en innovant, dans notre poésie, le vers de quatorze et de seize syllabes : Quand le lion, roi des déserts, pense à revoir son vaste empire, Vers la lagune, allant tout droit, dans les roseaux il se retire ; ou encore : Les chênes de la forêt, à l’ombre épaisse et tranquille Aujourd’hui, comme autrefois, m’ont chanté leur grave idylle… Qu’était-ce donc qu’Amiel, et où le mettrons nous ?

1052. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » pp. 377-379

M. l’Abbé Veli avoit très-sagement senti que l’Histoire d’un Peuple ne se borne pas à l’Histoire de ses Rois ; que le tableau de ce qu’il a été dans l’ordre moral & civil, est pour le moins aussi piquant, aux yeux d’un Lecteur avide & éclairé, que celui des révolutions de son Gouvernement.

1053. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 277-279

MAURY, [Jean-Siffrein] Abbé, Prédicateur ordinaire du Roi, de l’Académie des Arcades de Rome, né en 1746.

1054. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — N. — article » pp. 412-415

Duc de] Chevalier des Ordres du Roi, de l’Académie Françoise, &c. né en 17..

1055. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 506-508

PETIT, [Louis] ancien Receveur général des Domaines & Bois du Roi, mort à Rouen, sa patrie, en 1693, âgé d’environ 79 ans ; Poëte François, très-différent du précédent, & que M.

1056. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre troisième. Histoire. — Chapitre VI. Voltaire historien. »

Sa piété qui était celle d’un anachorète, ne lui ôta aucune vertu de roi.

1057. (1888) Revue wagnérienne. Tome III « VI »

Là étaient attirés les chevaliers et tentés de sensuels amusements ; s’ils cédaient, ils devenaient captifs ; ainsi se pourrait-il qu’un jour le Gral, vide de ses gardiens, fût capturé ; et Amfortas, roi présomptueux, dit « j’arrêterai le mal » ; il décrocha la sainte lance, la poignit et s’en fut vers le jardin abominable ; il voulait tuer Klingsor ; mais, arrivé dans le jardin, il se rencontra à une femme belle et nommée Kundry, et se coucha entre ses bras ; alors Klingsor rit, et il accourut ; il arracha la bonne lance au pauvre roi, l’en frappa d’un grand coup et s’enfuit. La lance perdue, le roi blessé maladivement, le Gral en désolation ; mais une prophétie annonça que viendrait un rédempteur, et voici de quelle façon elle fut accomplie. Un jour, comme le roi très malaisé sortait du bain, les servants aperçurent qu’un des cygnes du Mont-Salvat était tué d’une flèche en l’air ; les cygnes du Mont-Salvat étaient consacrés ; on appréhenda le meurtrier ; c’était un jeune garçon… Ah ! […] La direction de la pensée et de l’action n’est-elle pas facile sous la garde des deux pouvoirs : la suite spirituelle des évêques, s’appuyant à la suite héréditaire des rois.

1058. (1857) Cours familier de littérature. III « XVIIIe entretien. Littérature légère. Alfred de Musset » pp. 409-488

Le jeune roi l’aimait comme il aima plus tard Molière et Boileau. Mais un badinage épistolaire un peu trop hardi contre le cardinal, à propos de la paix des Pyrénées, fut envenimé aux yeux du roi par Colbert, infiniment moins spirituel et par conséquent infiniment moins tolérant que le cardinal italien ; ce badinage fut travesti en crime d’État. […] L’Angleterre reconnaissante du plaisir qu’elle avait eu de la conversation de Saint-Évremond, réclama sa cendre et l’ensevelit avec honneur parmi ses rois, ses orateurs, ses hommes illustres, dans l’abbaye de Westminster. […] Les rois, les dieux vaincus, le hasard triomphant, Rosalinde et Suzon qui me trouvent trop sage, Lamartine vieilli qui me traite en enfant. […] Souverain fatigué avant le travail, tu as abdiqué avec insouciance, comme un roi de la race des Sardanapale, une dignité qui t’aurait coûté une heure de ton sommeil ou une coupe de tes festins !

1059. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XXV » pp. 97-99

La mystification des Mystères de Paris continue : hier, dans les Débats, un avocat du roi, M…, invoque ce livre comme autorité.

1060. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — S — Sainte-Croix, Camille de (1859-1915) »

Le roi de la contrée est Phlemmar, centième du nom, sa femme, la délicieuse reine Crédulie, leur premier ministre, Domito… Et si vous voulez savoir comment Métapanta, fils de Gupor, président d’une république voisine, — celle de Négocie, — et mari d’Ingénie, fille du grand savant Rhadinouard, s’y prit, pour embêter les tranquilles Lazuliens, et à un tel point, que les Négociens veulent conquérir leur pays, vous n’avez qu’à lire le volume.

1061. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — S — Soumet, Alexandre (1788-1845) »

. — Le Chêne du Roi, tragédie (1841).

1062. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 285-288

Soit qu’il énonce les oracles du Très-Haut, soit qu’il fasse gronder le tonnerre sur la tête des Rois coupables, soit-qu’il entr’ouvre les abîmes sous les pieds des sujets rebelles ; soit que, sous un jour plus touchant, il dévoile les richesses de la miséricorde divine, il développe les routes de la Providence, il étale la magnificence de ses bienfaits : tous ces différens tableaux font éprouver au Lecteur des mouvemens qui élevent l’ame, un feu qui la pénetre, une sensibilité qui l’attendrit ; par-tout il voit une éloquence qui l’entraîne, des graces qui l’enchantent, une harmonie qui le séduit.

1063. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 480-482

Depuis ce temps, il ne s’occupa qu’à répondre à la confiance du Roi, non en achetant des conversions, comme l’a prétendu l’Auteur du Siecle de Louis XIV, mais en les procurant par son zele, par ses écrits, plus encore par une vie édifiante, qui ne se démentit jamais.

1064. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 548-551

POULE, [Louis] Abbé de Notre-Dame de Nogent, Prédicateur du Roi né à Avignon en 1711.

1065. (1763) Salon de 1763 « Peintures — Chardin » pp. 220-221

N’avons-nous pas vu les oiseaux du Jardin du Roi aller se casser la tête contre la plus mauvaise des perspectives ?

1066. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre quatrième. Du cours que suit l’histoire des nations — Chapitre II. Trois espèces de langues et de caractères » pp. 296-298

Les grands sont obligés d’observer les lois par lesquelles les rois fondent la monarchie, dans le sens ordinairement favorable à l’autorité royale que le peuple donne à ces lois.

1067. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « La femme au XVIIIe siècle, par MM. Edmond et Jules de Goncourt. » pp. 2-30

Elle fut fort avant dans les intrigues de Cour ; nommée dame du palais de la reine quelques années après le mariage du roi, on la voit, dans les Mémoires de M. de Luynes, de tous les soupers, des chasses, des voyages à Choisy, à la Muette, avec les trois sœurs favorites (de Nesle). […] Lorsque les deux dernières sœurs reparurent à la Cour après la grande maladie du roi, Mme de Boufflers fut, avec Mme de Modène, la première personne que Mme de Châteauroux informa de son rappel par un courrier exprès. Dans la maladie qui se déclara le lendemain du retour et qui emporta si rapidement la favorite, Mme de Boufflers eut une grande conversation avec elle, la veille même de sa mort, et fut chargée de dire plusieurs choses au roi.

1068. (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « Victor Hugo — Victor Hugo en 1831 »

Après avoir chanté, j’écoute et je contemple, À l’Empereur tombé dressant dans l’ombre un temple, Aimant la Liberté pour ses fruits, pour ses fleurs, Le Trône pour son droit, le Roi pour ses malheurs ; Fidèle enfin au sang qu’ont versé dans ma veine Mon père vieux soldat, ma mère Vendéenne ! […] Victor Hugo n’avait que douze ans ; une idée singulière, bizarre dans sa forme, le préoccupait au milieu de ce grand changement politique ; il se disait que c’était déchoir pour la France de tomber d’un Empereur à un Roi. […] Il ne demanda rien, ne voulut rien, et voici à quelle occasion seulement il reçut une pension du roi.

1069. (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « LOYSON. — POLONIUS. — DE LOY. » pp. 276-306

Il est vrai qu’en fait de poëtes chacun veut être admis, chacun veut être roi, Tout petit prince a des ambassadeurs, Tout marquis veut avoir des pages, et qu’admettre tant de noms, c’est presque paraître ingrat envers chacun. […] le duc d’Escars, premier maître d’hôtel du Roi, qui avait envoyé du vin de Bordeaux à l’auteur. Je suis sûr que ce quatrain-là fut servi au déjeuner du roi.

1070. (1892) Boileau « Chapitre II. La poésie de Boileau » pp. 44-72

Hugo : Les mots bien ou mal nés vivaient parqués en castes : Les uns nobles, hantant les Phèdres, les Jocastes, Les Méropes ; ayant le décorum pour loi, Et montant à Versailles aux carrosses du roi… Et il est vrai pourtant que les deux images s’équivalent, si l’on tient compte de la différence des temps. […] Il y a vraiment dans Boileau un Hollandais, dont la plume excelle à faire des magots comme ceux qui en peinture déplaisaient tant au grand roi. […] Si c’était vrai, jamais Louis XIV n’aurait pu rendre plus mauvais service à Boileau : mais par malheur, celui-ci n’avait pas besoin de céder au goût du roi pour dévier de sa véritable voie.

1071. (1895) Histoire de la littérature française « Quatrième partie. Le dix-septième siècle — Livre II. La première génération des grands classiques — Chapitre II. Corneille »

D’abord parce que, comme disaient les Grecs, ἀρχή δείξει ἄνδρα, « la puissance révèle l’homme », en l’affranchissant des entraves légales, pécuniaires, morales même de la condition privée ; et c’est dans ceux qui peuvent tout, dans les rois et les héros, qu’on doit expérimenter la vraie nature des passions. […] Mais Corneille s’est arrêté avec prédilection à l’histoire romaine, où il n’y a guère d’époque qu’il n’ait représentée ; les rois dans Horace ; la conquête du monde dans Sophonisbe et dans Nicomède ; les guerres civiles dans Serîorius et dans Pompée ; l’empire dans Cinna, Othon, Tite et Bérénice, Pulchérie ; le christianisme et l’empire dans Polyeucte et Théodore : les barbares et l’empire dans Attila, l’empire byzantin dans Héraclius. […] En 1662, il transporte son domicile de Rouen à Paris, et reçoit l’année suivante du roi une pension de deux mille livres, qui dès 1665 fut irrégulièrement payée.

1072. (1889) Histoire de la littérature française. Tome III (16e éd.) « Chapitre douzième. »

Tant qu’on n’avait vu au gouvernement qu’un roi moins la royauté, comme Richelieu, ou qu’un habile homme d’affaires comme Mazarin, personne n’avait eu au-dessus de sa tête quelque chose d’assez grand pour se trouver petit, et, par cette comparaison, arriver à une juste idée de soi. La grandeur de la royauté, sous Louis XIV, et la grandeur personnelle du roi, en abaissant tout le monde, mirent chacun dans sa vérité. […] Sous cette forte discipline d’un jeune roi qui ne voulait pas plus des frondeurs du Parlement que des tuteurs de l’école de Richelieu ou de Mazarin, l’ambition avait dû changer de mœurs en changeant d’objet.

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