Le Joueur, par-dessus toutes, est une Comédie, dont le principal Caractere & ses accessoires sont dessinés & rendus avec autant de finesse que de fidélité.
Un poëme, dont le sujet principal est la mort violente d’une jeune princesse, entre dans l’ordonnance d’une fête ; et l’on destine cette tragedie à faire le plus grand plaisir d’une compagnie qui s’assemblera pour se divertir.
Jamais et nulle part ils ne l’ont été si habituellement et au même degré. « Pour un homme de science et de génie, dit un voyageur anglais, ici le principal plaisir est de régner dans le cercle brillant des gens à la mode456. » Tandis qu’en Angleterre ils s’enterrent morosement dans leurs livres, vivent entre eux et ne figurent dans la société qu’à la condition de « faire une corvée politique », celle de journaliste ou de pamphlétaire au service d’un parti, en France, tous les soirs, ils soupent en ville, et sont l’ornement, l’amusement des salons où ils vont causer457. […] La plaisanterie comporte toutes les nuances, depuis la bouffonnerie jusqu’à l’indignation ; il n’y a point d’assaisonnement littéraire qui fournisse tant de variétés et de mixtures, ni qui se combine si bien avec le précédent Les deux ensemble ont été, dès le moyen âge, les principaux ingrédients dont la cuisine française a composé ses plus agréables friandises, fabliaux, contes, bons mots, gaudrioles et malices, héritage éternel d’une race grivoise et narquoise, que La Fontaine a conservé à travers la pompe et le sérieux du dix-septième siècle, et qui, au dix-huitième siècle, reparaît partout dans le festin philosophique. […] Avec des réussites moindres, et par des combinaisons de toute sorte, les éléments qui ont formé les talents principaux forment aussi les talents secondaires : au-dessous de Rousseau, les écrivains éloquents et sensibles, Bernardin de Saint-Pierre, Raynal, Thomas, Marmontel, Mably, Florian, Dupaty, Mercier, Mme de Staël ; au-dessous de Voltaire, les gens d’esprit vif et piquant, Duclos, Piron, Galiani, le président de Brosses, Rivarol, Chamfort, et, à parler exactement, tout le monde. […] En 1763, dans la tragédie de Manco-Capac 490, « le principal rôle, écrit un contemporain, est celui d’un sauvage qui débite en vers tout ce que nous avons lu épars dans l’Émile et le Contrat social sur les rois, sur la liberté, sur les droits de l’homme, sur l’inégalité des conditions ».
Ce n’est point chez eux une loi absolue que le principal repos soit après la sixième syllabe : il leur suffit souvent que cette syllabe soit nettement accentuée. […] J’ai voulu relever les principaux abus que fait M. […] La marque du principal personnage, c’est justement d’être un criminel fort civilisé, très spirituel et très fin. […] Deschanel, qui s’applique à relever ces contrastes, défend ailleurs la vérité historique des principales figures de ce théâtre.
Outre ces introducteurs, un individu, revêtu du titre d’alcoviste, était le chevalier servant de la dame : il l’aidait à faire les honneurs de sa maison et à diriger la, conversation ; rôle sans conséquence, parce que, selon Saint-Évremond, une précieuse faisait consister son principal mérite il aimer tendrement son amant sans jouissance, et à jouir solidement de son mari avec aversion ». […] De Pure diffère à cet égard de Somaise : « L’objet principal de leurs soins, c’est, dit-il, la recherche des bons mots et des expressions extraordinaires, pour conserver dans l’empire de la conversation, un juste tempérament entre le style rampant elle pompeux. » Mais ce but n’était pas condamnable. […] Il nous en reste un monument irrécusable dans Les Dialogues concernant le nouveau langage français italianisé et autrement déguisé, principalement entre les principaux courtisans de ce temps : de plusieurs nouveautés (dans les usages) qui ont accompagné cette nouveauté de langage : de quelques courtisanismes modernes et de quelques singularités courtisanesques. […] Celles qu’on appelle simplement des beautés, ont pour but principal de charmer les yeux.
Dans son plan il y avait diversion et double attaque : une sur le bas Adige, l’autre, la principale, par Corona. […] [NdA] Napoléon a fait non seulement unr écit, mais de plus un examen critique de la bataille de Rivoli, une suite d’observalions sur les principaux mouvements qui s’y rapportent (Mémoires, tome ii, pages 69-80 ; et tome iv, pages 27-34 et 52-70).
Pour moyens d’y arriver, il n’eut que deux maximes principales, qu’il suivit constamment et exactement tous les jours : c’était d’étudier mieux que ses rivaux toutes les choses qui déplaisaient à celui qui gouvernait, pour les éviter, et toutes les choses qui lui plaisaient et celles qui lui plaisaient le plus, pour les rechercher avec soin dans l’étendue de son ministère. […] Il a surtout rassemblé les principaux points de sa doctrine dans le portrait d’Agaton, archevêque très vertueux, très sage et très heureux ; c’est son vicaire savoyard à lui, et, s’il a échappé aux tracasseries du Parlement et de la Sorbonne, c’est qu’on ne le lisait pas et que, de son vivant, personne ne le prenait au sérieux.
Ampère, dans une de ses ingénieuses et judicieuses leçons du Collége de France, remarquait qu’en France, chez les quatre principaux lyriques des trois derniers siècles, chez Ronsard, Malherbe, Jean-Baptiste Rousseau et Le Brun, il y avait une faculté de chant, ou du moins une faculté de sonner avec éclat de la trompette pindarique, indépendamment même d’une certaine nature de sensibilité, d’une certaine conviction habituelle et antérieure de l’âme. […] Ce beffroi altier, écrasant, où il a placé la cloche à laquelle il se compare, représente lui-même à merveille l’aspect principal et central de son œuvre : de toutes parts le vaste horizon, un riche paysage, des chaumières riantes, et aussi, plus l’on approche, d’informes masures et des toits bizarres entassés.
L’Inquisition, les Jésuites et le Concile de Trente furent les trois instruments principaux de la Contre-Réformation catholique204. […] Principal du collège de Presles, puis en 1551 professeur royal, il fut en faveur à la cour sous Henri Il, mais il avait d’ardents ennemis dans l’Université, notamment Charpentier ; sa conversion au protestantisme redoubla les haines.
Nos diverses sensations peuvent se classer en sept groupes principaux : 1° sensations musculaires ; elles nous informent de la nature et du degré d’effort de nos muscles. […] Les deux faits principaux qui servent de base à l’association, sont la ressemblance et la contiguïté.
J’y vois d’abord deux scènes placées, pour ainsi dire, l’une sur l’autre, mais deux scènes liées : la première sur le devant, et ce sont les principaux personnages de la querelle ; la seconde, entre celle-ci et la forêt, et ce sont les personnages accessoires, attirés du fond par la curiosité, et tenant à la première scène par cet intérêt subordonné. […] Mais les groupes qui multiplient communément les actions particulières doivent aussi communément distraire de la scène principale.
Comme le zèle des abonnés vous manque plutôt que celui des rédacteurs, que les principales parties des connaissances humaines sont dignement représentées dans votre recueil, et que la poésie en est à peu près exclue pour des raisons de prudence qu’il est inutile de détailler, vous avez cru flatter mes goûts en me proposant une place dans la critique littéraire. […] Je ne saurais vous dire la satisfaction des honnêtes gens que je fréquente, quand je leur appris, pour la première fois, que le bon sens est une des principales conditions de la critique. — « Quoi !
Une des principales raisons qui me font considérer Horta comme un artiste de premier ordre, c’est qu’il conçoit lui-même en même temps que l’édifice, tout ce qui en dépend : décoration, ameublement, vitraux, étoiles, objets d’art, etc. […] Renouveler l’ensemble est la marque du grand artiste, et je ne puis m’empêcher ici de songer à Richard Wagner qui, tout en fondant le drame musical, entendait réformer, suivant son tempérament propre, tous les arts qui s’y rattachent, animés du même souffle que l’œuvre principale, incomplète sans eux.
Ces considérations préliminaires nous ont permis d’aborder l’objet principal de ce travail, l’analyse des idées de durée et de détermination volontaire. […] La science a pour principal objet de prévoir et de mesurer : or on ne prévoit les phénomènes physiques qu’à la condition de supposer qu’ils ne durent pas comme nous, et on ne mesure que de l’espace.
R Les trois principales œuvres poétiques de M.
Par exemple, avec quelle infidélité coupable ses stipendiaires n’ont-ils pas rendu compte de la Sentence du Châtelet, qui a terminé mon procès avec M. l’Abbé Baudouin, Principal du Collége du Cardinal le Moine ?
Il s’avança sur les bords du Théatre, & parla ainsi au Parterre : « Messieurs, il me revient de tous côtés qu’on trouve que le principal caractere de la Piece, que vous venez de voir, n’est point dans la vraisemblance qu’exige le Théatre ; tout ce que je puis avoir l’honneur de vous assurer, c’est qu’il m’a fallu diminuer beaucoup de la vérité, pour le rendre tel que je l’ai représenté ».
Je répons que, lorsque nous regardons avec application les tableaux de ce genre, notre attention principale ne tombe pas sur l’objet imité, mais bien sur l’art de l’imitateur.
Section 16, de quelques tragedies dont le sujet est mal choisi Non seulement il faut que le caractere des principaux personnages soit interessant, mais il est encore necessaire que les accidens qui leur arrivent, soïent tels qu’ils puissent affliger tragiquement des personnes raisonnables, et jetter dans une crainte terrible un homme courageux.
Daru, il se mit à la médecine, et cette étude devint désormais la principale branche à laquelle il se rattacha (vers 1821, 1822). […] Littré, celle sur laquelle se dirigea et se concentra pendant des années son principal effort intellectuel. […] Mais il nous faut en venir au premier et principal titre de M. […] Nous sommes dans une forêt de vaste savoir où bien des routes pratiquées en tous sens nous appellent ; nous les indiquons du doigt sans y pénétrer, et nous arrivons peu à peu à notre objet principal. […] » Ces points principaux admis, et sauf les réserves déjà faites, on ne peut qu’admirer la nouveauté la sagacité, la fermeté ingénieuse et fine que M.
Elle en a un « pour les femmes de condition, un pour les femmes de qualité, un pour les femmes de la cour, un pour les femmes titrées, un pour les femmes d’un nom historique, un autre pour les femmes d’une grande naissance personnelle, mais unies à un mari au-dessous d’elles, un autre pour les femmes qui ont changé par leur mariage leur nom commun en un nom distingué, un autre encore pour les femmes d’un bon nom dans la robe, un autre enfin pour celles dont le principal relief est une maison de dépense et de bons soupers ». […] Principal divertissement, la comédie de société. — Parades et excès. […] À Trianon, d’abord devant quarante personnes, puis devant un public fort étendu, la reine joue Colette dans le Devin de village, Gotte dans la Gageure imprévue, Rosine dans le Barbier de Séville, Pierrette dans le Chasseur et la Laitière 291, et les autres comédiens sont les principaux de la cour, le comte d’Artois, les comtes d’Adhémar et de Vaudreuil, la comtesse de Laguiche, la chanoinesse de Polignac. […] Le comte de Clermont tient les rôles « à manteaux sérieux » ; le duc d’Orléans représente avec rondeur et naturel les paysans et les financiers ; M. de Miromesnil, garde des sceaux, est le Scapin le plus fin et le plus délié ; M. de Vaudreuil semble un rival de Molé ; le comte de Pons joue le Misanthrope avec une perfection rare292. « Plus de dix de nos femmes du grand monde, écrit le prince de Ligne, jouent et chantent mieux que tout ce que j’ai vu de mieux sur tous nos théâtres. » — Par leur talent, jugez de leurs études, de leur assiduité et de leur zèle ; il est évident que, pour beaucoup d’entre eux, cette occupation était la principale. […] Bachaumont, III, 343 (23 février 1768) et III, 232 ; IV, 174 Journal de Collé, passim. — Collé, Laujon, Poinsinet sont les principaux fournisseurs de ces parades ; la seule bonne est la Vérité dans le vin.
Montesquieu n’est pas à la recherche et comme à l’affût des originaux ; il crayonne ceux qu’il rencontre chemin faisant, tout en poursuivant un autre objet ; c’est comme une manière de se distraire de son travail principal. […] Le caractère à la fois singulier et conséquent du personnage principal, la variété des événements que suscite sa passion pour la guerre, sa fortune, qui n’est que le bon et le mauvais dé dans la main d’un joueur, ses victoires, si semblables à ces ouragans qui écrasent la contrée où ils crèvent, et s’épuisent avant d’atteindre le bout de l’horizon ; toutes ces choses tiennent plus du merveilleux que de l’histoire. […] Si Buffon est aujourd’hui jugé pour ce qu’il vaut, nous en avons l’obligation principale à la science elle-même, complice d’abord de ces jugements dédaigneux qui réduisaient tout son mérite au beau langage. […] C’est l’heureux privilège de l’histoire naturelle que ses principales vérités soient à la portée de tous, et que la langue littéraire suffise à les exprimer. […] Ce qu’il recommande à l’instituteur, maître, régent ou principal, il en a éprouvé les bons effets et donné l’exemple.
Tolstoï est au nombre des plus grands créateurs d’hommes littéraires, et par les dons mêmes d’observation véridique qui le font représenter la vie intérieure et extérieure de ses personnages avec une exactitude plus originale, plus minutieuse que ses devanciers, et par l’intuition peut-être inconsciente, mais profonde et marquée de deux des principaux caractères de toute vie organique et de toute existence : l’abondance des manifestations, le maintien d’un équilibre défini entre sa variabilité et sa permanence. […] Dans l’exécution de son œuvre Tolstoï réalise, à rencontre de tous les romanciers idéalistes, l’une des principales lois de toute vitalité et de toute vivification : il a su reconnaître et montrer d’instinct qu’un être ne peut être décrit dans les limites bornées d’une série cohérente et dramatique d’incidents, d’une, action que la multiplicité des faits physiques et psychiques dont il est le centre déborde, que l’homme est du plus au moins toujours un microcosme complet, divers, désuni, d’une infinie variété ; qu’ainsi le roman, s’il veut être l’image et contenir tout l’intérêt et l’importance de la vie, doit être complexe, nombreux et diffus comme elle ; construite sur cette intuition profonde, l’œuvre perdra en fini, en concentration artificielle d’effet, en unité factice des caractères ; mais elle pourra se hausser à la variété frémissante et nuancée des vrais faits et des vraies âmes, au point de déployer la même richesse de contrastes et subtils développements, que la nature où les individus ne sont en définitive que des centres réflecteurs sous un angle défini de toutes choses, des particules essentiellement participantes. […] Ni La Guerre et la Paix ni Anna Karénine ni les Mémoires ni les Souvenirs de Sébastopol, malgré la quantité de faits qu’ils contiennent, ne sont destinés à instruire sur le temps, le pays et les gens dont ils traitent, et n’ont pour résultat principal un accroissement des connaissances du lecteur. […] Sans cesse l’écrivain semble se ceindre pour le grand effort d’enserrer son immense sujet, et sans cesse il défaille, se détourne et se détache, comme insouciant de l’œuvre entreprise ; les scènes s’esquissent inachevées, marquées à peine par quelques traits, les grandes crises des personnages s’accusent en mots confus et vagues ; les descriptions des actes principaux, entamées avec une fiévreuse ardeur, faiblissent en phrases brouillées ; une lassitude immense se trahit aux exposés d’idées, grisaille les psychologies, émousse les dialogues, estompe les physionomies ; le dessin s’accentue, s’affine, s’alourdit et s’épuise, l’art devient puéril et maladroit ; la passion fléchit et vacille après quelques accents réprimés ; et c’est avec des yeux lourds et des mains gourdes que l’auteur porte péniblement jusqu’au bout le faix de son œuvre. […] De ces personnages si près d’être vertueux, les principaux sentent confusément ou nettement la nécessité de justifier devant eux-mêmes leurs actes et souffrent de l’impossibilité où est tout homme pensant de vivre justement et heureusement pour soi, quand ce soi est un phénomène éphémère d’au plus une soixantaine d’années de durée moyenne.
L’agrément en est l’ame ; il en fait le principal mérite. […] Pour détruire sûrement ce qu’il appelloit de fausses divinités, il décria d’abord la principale. […] Du moins si madame Dacier manque que d’élégance, de poësie & de feu, elle a le mérite de la fidélité du texte : elle en rend les idées principales & accessoires. […] Voici les principales. […] Tous ces ouvrages, & principalement les derniers, font plaisir par la manière dont les passions y sont traitées, par la variété des épisodes habilement liés à l’action principale, par le naturel & les agrémens du stile.
Gabriel Faure dans une lettre au Gil Blas en définit la formule et énumère les principales réalisations. […] Voici, à titre de document, les noms des principales femmes de lettres de 1800 à 1900 : « Mme de Genlis. — Mme de Stael. — Mme Cottin. — Mme de Montolieu. — Mme Sophie Gay. — Mme de Duras. — Mme d’Hautpoul. — Mme de Krudener. — Mme Georgette Ducrest. — Mme de Souza. — La Contemporaine. — Mme la duchesse d’Abrantès […] Elles forment une majorité dans les lettres nous ne nommerons encore que les principales. […] Nous allons essayer de définir les principaux de ces écrivains. […] Nous les connaissons soudain par une description rapide qui saisit les traits principaux du visage, l’aspect sain ou maladif des individus, et qui est la commentaire d’un diagnostic.
Il n’en serait pas de même si les impressions auditives organisaient des mouvements naissants, capables de scander la phrase écoutée et d’en marquer les principales articulations. […] Je comprends fort bien ce commencement de reconnaissance automatique qui consisterait, comme on l’a vu plus haut, à souligner les principales articulations de cette phrase, à en adopter ainsi le mouvement. […] Mais la pensée scientifique, analysant cette série ininterrompue de changements et cédant à un irrésistible besoin de figuration symbolique, arrête et solidifie en choses achevées les principales phases de cette évolution. […] Comme on a solidifié en termes indépendants les phases principales du développement, on matérialise maintenant en lignes de communication ou en mouvements d’impulsion le développement lui-même. […] Essentiellement discontinue, puisqu’elle procède par mots juxtaposés, la parole ne fait que jalonner de loin en loin les principales étapes du mouvement de la pensée.
Sully Prudhomme et François Coppée, c’est qu’il n’aimait pas seulement pour leur mérite propre la rime ingénieuse, l’épithète rare et le rythme savant ; il les trouvait lui aussi, mais pour les subordonner à une pensée qui était l’objet de son principal effort.
Barthelemi n’étoit pas son principal objet.
Nous ne parlerons pas de ses Opuscules poétiques, non plus que de ses petites Productions en prose, qui ne paroissent être que le fruit de ses délassemens, & annoncent néanmoins l’homme sage & l’esprit cultivé : nous nous arrêterons avec plaisir à son Ouvrage principal, qui a pour titre : Recherches sur l’origine des découvertes attribuées aux Modernes.
L’Elégie, dont le sujet principal est le combat de la Raison contre l’Amour, offre sur-tout de très-beaux Vers, beaucoup de morale, & des sentimens bien rendus.
Zeuxis avait pris pour sujet de ses trois principaux ouvrages, Pénélope, Hélène et l’Amour ; Polygnote avait figuré sur les murs du temple de Delphes le sac de Troie et la descente d’Ulysse aux enfers.
Ce Mercure qui fait ici le rôle principal est si faible de couleur qu’on le prendrait pour un nuage gris.