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497. (1856) Le réalisme : discussions esthétiques pp. 3-105

Il s’agit à présent de savoir comment cette théorie de l’art a été entendue et pratiquée, et comment il convient dorénavant qu’elle le soit. […] Le facile métier que de faire du joli, du tendre, du coquet, du précieux, du faux idéal, du convenu à l’usage des filles et des banquiers ! […] Il est convenu parmi vous qu’il n’y a rien d’aussi facile à faire que du réalisme ; cela ne doit pas vous embarrasser. […] Que l’impression qu’elle est chargée d’éveiller en vous ne vous convienne pas, c’est possible. […] Il faut convenir que vous êtes assis à une table joliment servie.

498. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « [« Pages extraites d’un cahier de notes et anecdotes »] » pp. 439-440

Et de tout temps les esprits de Benjamin Constant et de Mme de Staël s’étaient convenus bien mieux que leurs cœurs ; c’est par là qu’ils se reprenaient toujours… Benjamin Constant a laissé un roman qui fait suite à Adolphe : mais cela devient de plus en plus clairement son histoire.

499. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Mérat, Albert (1840-1909) »

Ses poèmes, composés avec science et certitude, ont cela de très remarquable, qu’ils contiennent tout ce qui convient au sujet et pas une syllabe de plus.

500. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — S — Soulary, Joséphin (1815-1891) »

Paul Mariéton Il est le seul de l’école dite « plastique » qui ne soit jamais tombé dans le convenu… Pour quiconque est las des rêveries fades et malsaines, des étrangetés creuses ou des sonorités romantiques, Soulary sera toujours le prince des sonnettistes et, en tous cas, l’un des plus puissants virtuoses de notre langue poétique.

501. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » pp. 120-124

Quoi qu’il en soit, la bonne foi avec laquelle M. l’Abbé Delille est, dit-on, convenu de ses fautes ; sa docilité à les réparer ; son honnêteté à l’égard de son sévere Censeur, sont des leçons pour la plupart de nos Poëtes, & un devoir d’imiter ses procédés, s’ils ne peuvent égaler ses talens.

502. (1893) Thème à variations. Notes sur un art futur (L’Académie française) pp. 10-13

Mais il ne convient pas que j’en parle plus longtemps ; car ne sont-ce de superficielles cervelles, celles qui froissent la pensée, pour des détails typographiques ?

503. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre troisième. Histoire. — Chapitre II. Causes générales qui ont empêché les écrivains modernes de réussir dans l’histoire. — Première cause : beautés des sujets antiques. »

Bien que les peuples modernes présentent, comme nous le dirons bientôt, quelques époques intéressantes, quelques règnes fameux, quelques portraits brillants, quelques actions éclatantes, cependant il faut convenir qu’ils ne fournissent pas à l’historien cet ensemble de choses, cette hauteur de leçons qui font de l’histoire ancienne un tout complet et une peinture achevée.

504. (1782) Plan d’une université pour le gouvernement de Russie ou d’une éducation publique dans toutes les sciences « Plan d’une université, pour, le gouvernement de Russie, ou, d’une éducation publique dans toutes les sciences — Troisième cours d’études. Une classe de perspective et de dessin. » pp. 495-496

Plus les édifices publics sont durables, plus longtemps ils attestent le bon ou le mauvais goût d’une nation, plus il convient que ceux qui président à cette partie de l’administration aient le goût sûr et grand.

505. (1730) Des Tropes ou des Diférens sens dans lesquels on peut prendre un même mot dans une même langue. Traité des tropes pp. 1-286

Je conviens, si l’on veut, qu’on peut bien parler sans jamais avoir apris les noms particuliers de ces figures. […] La mort, la maladie, et les fontaines consacrées aux muses ne sont point pâles ; mais elles produisent la pâleur : ainsi on done à la cause une épitète qui ne convient qu’à l’éfet. […] L’énigme est un discours qui ne fait point conoitre l’objet à quoi il convient, et c’est cet objet qu’on propose à deviner. […] Il est plus facile d’admirer, j’en conviens ; mais une critique sage, éclairée, exemte de passion et de fanatisme est bien plus utile. […] Tout le monde convient du principe, mais dans la pratique on s’en écarte, ou faute d’atention, ou parce qu’on supose dans les jeunes gens des conoissances qu’ils n’ont point encore aquises.

506. (1894) Critique de combat

Il était convenu que la politique, la philosophie même, devaient être réservées à des spécialistes. […] Arrière conventions et convenances, ces deux formes du convenu ! […] Il convient d’ajouter que M.  […] On dédaignera, comme il convient, ces originaux. […] Il convient de savoir gré de la concession : mais voyez comme ce pauvre siècle joue de malheur !

507. (1907) Jean-Jacques Rousseau pp. 1-357

Mais j’ai vite senti que cette méthode usuelle, et qui convient à presque tous les écrivains, ne convient peut-être pas à Rousseau, parce que Rousseau n’est pas un écrivain comme un autre. […] Il conviendrait tout au plus à de très petites cités : Genève, Berne. […] Un gouvernement si parfait ne convient pas à des hommes. Ainsi, il ne convient pas même aux Corses. Alors à qui convient-il ?

508. (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Appendice — I. Sur M. Viennet »

C’est de ce dernier, lui-même, de ce Voltaire immortel, qu’il prétend procéder ; et l’on conviendra qu’il tient le drapeau d’une main ferme et qu’il n’a pas l’air d’un vaincu.

509. (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section première. Des passions. — Note qu’il faut lire avant le chapitre de l’amour. »

. — Sans doute, et les femmes doivent en convenir ; il est assez doux de plaire et d’exercer ainsi sur tout ce qui vous entoure une puissance due à soi seule, une puissance qui n’obtient que des hommages volontaires, une puissance qui ne se fait obéir que parce qu’on l’aime, et disposant des autres contre leur intérêt même, n’obtient rien que de l’abandon, et ne peut se défier du calcul ; mais qu’a de commun le jeu piquant de la coquetterie et le sentiment de l’amour ?

510. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Première partie. Préparation générale — Chapitre VI. Utilité possible de la conversation »

Vous saurez aussi ce qui est à votre usage dans son esprit, ce qu’il vous convient de vous approprier ou de lui laisser dans les idées qu’il exprime.

511. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — A — Aicard, Jean (1848-1921) »

Ce n’est pourtant pas une simple traduction versifiée du Nouveau Testament, l’imagination y prend sa place, la légende aussi, mais avec la discrétion qui convient à un pareil sujet.

512. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — G — Gregh, Fernand (1873-1960) »

… C’est convenu, et j’entends d’ici clabauder les petits camarades.

513. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 260-264

De là il tire le sujet de ses Tableaux, toujours rendus avec le coloris qui leur convient.

514. (1913) Le bovarysme « Deuxième partie : Le Bovarysme de la vérité — II »

II Il convient donc de reprendre une à une chacune des manifestations bovaryques qui ont été étudiées précédemment afin de leur restituer, du point de vue que nous a fait découvrir une analyse plus complète, un aspect de santé qu’une observation faite d’un point de vue subjectif tendait à leur enlever.

515. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des recueils poétiques — Préfaces des « Odes et Ballades » (1822-1853) — Préface de 1828 »

On conviendra peut-être qu’il y a quelque bonne foi, quelque désintéressement à faciliter de cette façon les dissections de la critique.

516. (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « Préface »

Ils ont confisqué à leur profit une appellation qui convient à tout homme doué, quel que soit son genre de talent et de langage, de la puissance d’exalter la vie et d’élargir les battements du cœur.

517. (1862) Portraits littéraires. Tome II (nouv. éd.) « Bernardin de Saint-Pierre »

Dès huit ans il cultivait un petit jardin et prenait part à la culture des fleurs, comme il convenait à l’auteur futur du Fraisier. […] S’il y a quelque exagération à dire cela, il faut convenir que Bernardin parle à chaque instant de cette terre raboteuse, toute hérissée de roches, de ces vallons sauvages, de ces prairies sans fleurs, pierreuses et semées d’une herbe aussi dure que le chanvre  ; mais la tristesse de l’exil rembrunissait tout à ses yeux. […] L’auteur d’Anacharsis et Bernardin eussent tout à fait convenu, ce semble, à orner ce qu’on appela un moment le trône restauré et paternel. […] Et Jean-Jacques lui-même, ce roi des prosateurs, qui a donné quelques jolis vers dans le Devin, n’est-il pas convenu nettement qu’il n’entendait rien à cette mécanique-là ?

518. (1862) Cours familier de littérature. XIV « LXXXIIe entretien. Socrate et Platon. Philosophie grecque. Deuxième partie. » pp. 225-303

« — J’en conviens. […] Et ne va pas me dire que c’est ce qui convient, ce qui est utile, ce qui est avantageux, ce qui est lucratif, ce qui est profitable ; fais une réponse nette et précise, parce que je ne suis pas homme à me payer de ces niaiseries. […] Pour les enfants des citoyens moins estimables, et même pour ceux des autres qui auraient quelque difformité, ils les cacheront, comme il convient, dans quelque endroit secret et qu’il sera interdit de révéler. […] « — Mais dis-moi, reprend le disciple, de tous les gouvernements, lequel convient au philosophe ?

519. (1863) Cours familier de littérature. XVI « XCIIe entretien. Vie du Tasse (2e partie) » pp. 65-128

On accuse la fortune d’être hostile aux grands génies littéraires, poétiques, artistiques : nous n’admettons pas qu’un grand don de l’esprit soit une hostilité ou une malédiction de la fortune ; nous conviendrons plutôt que les grandes imaginations, quand elles ne sont pas en équilibre parfait avec les autres facultés du bon sens et du raisonnement, portent leur malheur en elles-mêmes. […] On convint de dire aux autres que l’étranger était un cousin venu de Bergame à Naples pour quelques affaires, et qui avait voulu profiter du voisinage pour visiter pendant quelques semaines ses parents de Sorrente. » L’aspect des lieux où il avait respiré la première fleur de la vie, la tendresse de cette sœur dont le cœur concentrait pour lui toute la famille éteinte ou dispersée, celle de ses deux neveux à qui la mère avait inculqué l’affection et l’enthousiasme pour cet oncle si grand et si malheureux ; cette hospitalité si sûre et si chaude, reçue dans ces beaux lieux et pour ainsi dire dans l’âme même de cette sœur, avaient produit, comme par enchantement, sur le Tasse tout l’effet qu’il avait rêvé. […] Ajoutez-y la fertilité de ce vaste plateau, la sérénité de l’air, le calme habituel des flots endormis dans la baie, les oiseaux, les poissons, les fruits exquis qui semblent rivaliser de saveur, d’abondance et de variété pour la table de l’homme ; et, certainement, quand on considère la réunion de tant de beautés et de tant d’avantages dans un tel site, l’œil et l’esprit sont forcés de convenir que Sorrente est un vaste et miraculeux jardin, tracé par la nature avec une admirable prodigalité de soins, et perfectionné par l’art avec une diligente assiduité de travail. […] « En ce qui touche Torquato », écrivit le duc, le 22 mai 1578, à son ambassadeur à Rome, « mon intention est que vous lui disiez qu’il est libre de faire ce qui lui conviendra, et que s’il veut revenir vers nous, nous serons nous-mêmes satisfaits de le recevoir.

520. (1900) Le rire. Essai sur la signification du comique « Chapitre II. Le comique de situation et le comique de mots »

Mais leur définition est loin de convenir à tous les cas ; et, là même où elle convient, elle ne définit pas le principe du comique, mais seulement une de ses conséquences plus ou moins lointaines. […] Chacune des séries intéressant chacun des personnages se développe d’une manière indépendante ; mais elles se sont rencontrées à un certain moment dans des conditions telles que les actes et les paroles qui font partie de l’une d’elles pussent aussi bien convenir à l’autre. […] Supposez maintenant des idées exprimées dans le style qui leur convient et encadrées ainsi dans leur milieu naturel.

521. (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Roederer. — II. (Suite.) » pp. 346-370

Le général en convint, mais il avait dit sur le fond de la question la chose essentielle. […] Il avait été convenu qu’aussitôt la translation à Saint-Cloud décrétée par le Conseil des Anciens, et après que Bonaparte aurait prêté serment, il serait placardé, dans la matinée du 18, une Adresse aux Parisiens. […] Mais vous, vous avez des talents, de l’activité… le Conseil d’État vous convient mieux ; ses fonctions sont importantes.

522. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « De la tradition en littérature et dans quel sens il la faut entendre. Leçon d’ouverture à l’École normale » pp. 356-382

Pour maintenir la tradition, il ne suffit point toutefois de la bien rattacher à ses monuments les plus élevés et les plus augustes ; il convient de la vérifier, de la contrôler sans cesse sur les points les plus rapprochés, de la rajeunir même, et de la tenir dans un rapport perpétuel avec ce qui est vivant. […] L’artiste historien, une fois à l’œuvre, s’en est servi librement, en a pris ou rejeté ce qui convenait ou non à son dessein, et puis il les a détruits ou ne s’en est plus soucié. […] Je sais que d’en bas, et quand on est de la simple majorité des mortels, il convient de moins compter ses paroles et de se moins garder d’admirer ; mais encore faut-il savoir diriger sa louange et ne pas la faire monter en fusée.

523. (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Journal et Mémoires, de Mathieu Marais, publiés, par M. De Lescure  »

Je ne m’écarte pas trop de Marais en parlant de la sorte, et je ne lui prête pas plus qu’il ne convient en marquant chez lui le côté affectueux. […] Marais ne convient point de ces défauts. […] Le savant historien ne convient pas du tout de cette omission, et il m’a fait, dans le temps, l’honneur de m’adresser une réclamation à laquelle j’ai promis de faire droit au moment où je réimprimerais ces articles.

524. (1889) Histoire de la littérature française. Tome IV (16e éd.) « Chapitre neuvième »

C’est un certain ordre où les gens comme lui ont toutes leurs aises, y compris, j’en conviens, un besoin de justice générale satisfait. […] Le nom même d’amitié ne convient guère à cette espèce de coquetterie d’esprit, par moments caressante, plus souvent inquiète et ombrageuse, qui rapprocha et éloigna tour à tour l’un de l’autre ces deux esprits et ces deux hommes. […] Ils se convenaient sans s’aimer.

525. (1913) Le bovarysme « Première partie : Pathologie du bovarysme — Chapitre VI. Le Bovarysme essentiel de l’humanité »

Cela suppose qu’il détient un double pouvoir, que d’une part il est apte à discerner ce qu’il convient de faire de ce, qu’il convient d’éviter, le bien du mal ; que, d’autre part, ayant fait cette distinction, il est en son pouvoir de conformer sa conduite à son choix. […] Mais ce qu’il convient d’admirer, c’est qu’avec la médecine, avec ce premier souci qui poussa l’homme à intervenir dans sa propre physiologie, le Génie de la Connaissance semble avoir créé une cause d’effort qui, s’étant une fois exercée, se cause elle-même à l’infini, se légitime et s’engendre avec une force qui va toujours croissant.

526. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « HOMÈRE. (L’Iliade, traduite par M. Eugène Bareste, et illustrée par M.e Lemud.) —  second article  » pp. 342-358

Pour moi, de tels scrupules en général, quand ils naissent en de bons esprits, et que la main qui tient le crayon est sûre et capable, ne m’effrayent pas plus qu’il ne convient. […] Aussi, en les abordant, en écoutant cette grande voix du passé par la bouche du chantre que la Muse s’est choisi, on n’a à gagner en toute sécurité qu’un je ne sais quoi de grandeur morale, une impulsion élevée de sentiments et de langage, un accès de retour vers le culte de ces pensées trop désertées qui restaurent et honorent l’humaine nature : c’est là, après tout, et la part faite aux circonstances éphémères, ce qu’il convient d’extraire des œuvres durables, et l’âme vivante qu’il y faut respirer.

527. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Deuxième partie. Invention — Chapitre VII. Induction et déduction. — Diverses causes des faux raisonnements »

Il conviendra ici d’en bien repasser les termes, et souvent, par une courte réflexion sur le sens précis des mots, l’évidence de la chose apparaîtra : on pourra aussi parfois la saisir dans les applications particulières qui s’en peuvent faire, où la vérité se découvrira d’une façon en quelque sorte matérielle et sensible. […] On élargit le sens d’un mot ; on y met ce qui n’y était pas ; et, sans s’apercevoir qu’on a introduit des éléments nouveaux dans la question, on la résout par les principes qui ne conviennent qu’aux premières données.

528. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Troisième partie. Disposition — Chapitre V. Subordination et proportion des parties. — Choix et succession des idées »

Une fois qu’on aura arrêté les proportions de l’ouvrage qu’on se propose de faire, on passera à considérer les idées dont on a fait provision, pour mettre à part et retenir définitivement celles qui conviennent le mieux. […] Il ne suffirait pas de se retrancher les choses de pur ornement et manifestement superflues, pour accueillir des idées qui conviennent au sujet sans lui être nécessaires.

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