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612. (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « XIV »

Ajoutez-y quelques opinions ironiques tendant à déprécier le travail et même le style, et c’est à peu près tout ce qu’il a opposé à trois volumes d’études et de démonstrations sur les procédés de l’art d’écrire, assimilation, formation du talent et exemples de corrections manuscrites des grands écrivains, qui confirment en détail notre doctrine. […] Brunetière perd son temps, s’il veut persuader au public que là se borne notre enseignement et que nous avons publié trois volumes pour répéter seulement ce que d’autres ont dit avant nous et ce qu’il dit lui-même après tant d’autres.

613. (1895) Les œuvres et les hommes. Journalistes et polémistes, chroniqueurs et pamphlétaires. XV « Auguste Vitu » pp. 103-115

Auguste Vitu nous donne un volume. […] J’aurais par là donné plus d’intérêt, plus de profondeur d’intérêt à mes volumes, en leur donnant à chacun un ensemble et une unité.

614. (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Tourgueneff »

Nous le disons même à sa louange, il y a, dans l’introduction qui précède le volume de sa traduction, les gênes d’un esprit honnête qui comprend au fond ce qu’il fait et qui s’inquiète avec raison de la transparence d’un procédé sur lequel il est impossible de s’aveugler : « Si le Journal d’un chasseur — dit M. Charrière — est devenu dans notre traduction les Mémoires d’un seigneur russe, c’est pour prendre avec ce titre le caractère du témoignage de l’aristocratie russe sur la situation du pays qu’elle domine. » Aveu plus forcé que naïf, et qu’il fallait bien faire tout d’abord pour expliquer ce changement de titre qu’on ose se permettre, mais qu’on expie presque immédiatement par un embarras qui commence : « Quelques fragments de cet ouvrage — ajoute le traducteur — avaient paru dans un journal de Moscou et frappé l’attention, quoique venant d’une plume inconnue et qui n’avait pas fait ses preuves devant le public… On était loin de prévoir l’impression que devait produire la réunion de ces morceaux, lorsque ayant été mis en volume et complétés dans leur ensemble, on put saisir la donnée supérieure qui s’en dégageait et qu’on vit s’y manifester la pensée intime de l’auteur ou plutôt l’inspiration sociale à laquelle il avait involontairement cédé… » Certes !

615. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « V. Saint-René Taillandier »

Saint-René Taillandier qui publie à son tour, un volume d’histoire et de philosophie — religieuse aussi : c’est comme un écho ! […] Renan et Edgar Quinet, auxquels il a consacré toute la partie du volume qu’il a pu arracher aux Allemands.

616. (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « M. Le Conte de l’Isle. Poëmes antiques. »

Ce n’était, après tout, qu’un tableau, et il n’y a que cela dans ce volume qui ose bien s’appeler Poèmes ; il n’y a que des tableaux, et des vignettes quand il n’y a plus de tableaux. […] Mais au fond, on le voit très bien, c’est un faux indien, un faux mystique, qui ne croit pas du tout que « toute action soit un péché », même celle d’imprimer chez Malassis tout un gros volume de poésies.

617. (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « M. Paul Bourget »

… quelques parnasseries, qui, à mesure que le volume avance, disparaissent ; car ce livre est comme la vie, puisque c’est la vie d’un talent très jeune : à mesure qu’il avance, il se muscle et se virilise. Le Clown triste, la Nostalgie de la Croix, les Vers à l’auteur des Va-nu-pieds, Michel-Ange, les Vers écrits à Florence, et enfin ceux qui terminent le volume : À Leconte de Lisle, sont réellement des vers.

618. (1908) Les œuvres et les hommes XXIV. Voyageurs et romanciers « J.-J. Ampère ; A. Regnault ; Édouard Salvador »

Le sien, qu’il appelle une promenade, avec une modestie bien légère, — car une promenade de deux volumes in-8°, de quatre cents pages19, fait l’effet d’une assez longue route, — le sien nous apprend-il sur l’Amérique des choses intimes et profondes jusque-là inaperçues ou mal observées ? […] Son volume n’est pas une promenade, le lorgnon dans l’œil, et avec le caban de Chateaubriand sur de la poésie rhumatismale ; ce sont les tablettes animées et fidèles d’un antiquaire et d’un lettré qui ne se concentre pas dans les lettres, mais qui voit (pourquoi est-ce de si loin ?)

619. (1910) Propos littéraires. Cinquième série

On a en ce volume une mine d’études, de réflexions, de comparaisons et même de doctrines infiniment intéressantes. […] Deux volumes. […] Les deux volumes de M.  […] L’occasion de ce volume a été, sans doute, un voyage que M.  […] Tout le long de ce volume, M. 

620. (1895) Le mal d’écrire et le roman contemporain

Anatole France a demandé la permission de causer de ce qu’il voudra à propos des volumes dont il rend compte. […] Sans le voyage et le bain de mer on ne lui vendrait plus un volume. […] Tous les volumes de M.  […] Zola, qui abat quatre volumes dans un égal espace de temps. […] Après ses lettres inédites, voici qu’on annonce deux nouveaux volumes de correspondance.

621. (1896) Journal des Goncourt. Tome IX (1892-1895 et index général) « Préface »

Préface Le neuvième volume du Journal des Goncourt, est le dernier, que je publierai de mon vivant.

622. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « [Dédicace] »

COIGNET, c’est à ce volume-ci qu’il attacherait son nom ; c’est ici qu’il lui dirait quelle place exceptionnelle elle tenait à ses yeux parmi les femmes qui écrivent.

623. (1922) Nouvelles pages de critique et de doctrine. Tome I

Cette suite de réflexions d’ordre social se raccorde étroitement aux réflexions d’ordre littéraire du premier volume. […] C’est toute la doctrine de ces deux volumes. […] En 1838, le successeur de Pinel, Esquirol, donnait les deux volumes de son Traité des maladies mentales. […] On a publié de lui un mince volume de Pensées où chaque ligne respire la supériorité. […] Une modestie exagérée vous a empêché de réunir en volumes tant de leçons et de conférences.

624. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » p. 62

Auteur singulier, qui n'a écrit que sur des sujets singuliers, & dont les Ouvrages en vingt volumes in-folio, conduisirent Boissat, son Libraire, à l'Hôpital : fin aujourd'hui plus ordinaire aux Auteurs qu'aux Libraires.

625. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » p. 458

On lui doit une Histoire générale du Théatre François, en 17 volumes, Production d’un travail énorme, mais sans goût, sans méthode, & d’un style plus que négligé.

626. (1893) Des réputations littéraires. Essais de morale et d’histoire. Première série

Saint-Simon et Diderot sont fort admirés ; mais lus beaucoup, c’est une autre affaire, et nous pouvons voir dans cet abandon relatif un premier exemple de l’immense déchet que la multiplicité des volumes fait subir, sinon à l’éclat du nom, au moins à la véritable vie de l’œuvre. […] Les historiens et les philosophes sont, par définition, trop en dehors de l’art proprement dit pour qu’il paraisse convenable, au premier abord, de les mêler à cette question toute littéraire du succès conditionné par le volume de l’oeuvre. […] Quand la bibliothèque d’Alexandrie fut incendiée, l’an 47 avant Jésus-Christ, elle comptait sept cent mille volumes. […] Ainsi ont successivement disparu, par une opération du destin dont le résultat seul est manifeste, mais dont le détail se dérobe à nos yeux, les myriades de volumes que l’imprimerie a mises au jour depuis le XVe siècle. […] Il ne suffit donc pas de dire que nos volumes : imprimés pourront être anéantis par milliards, comme le furent autrefois, par milliers et par millions, les volumes manuscrits : il faut reconnaître la nécessité et même la raison providentielle de cette destruction, qui s’exerce, soit par une action lente et continue, soit par d’immenses désastres périodiques, et qui n’est qu’une des formes du renouvellement de la vie.

627. (1888) La vie littéraire. Première série pp. 1-363

Voici qu’on publie, seulement à Paris, cinquante volumes par jour ; sans compter les journaux. […] Ces deux volumes furent accueillis avec faveur par le public. […] Aujourd’hui, ces deux volumes paraissent un peu faibles. […] De plus, je les mets au défi de faire lire non pas vingt volumes, mais un seul. […] C’est par aventure que ce petit volume est resté là, sur la cheminée.

628. (1905) Études et portraits. Sociologie et littérature. Tome 3.

Sa Théorie du pouvoir lui apparaît en même temps qu’un volume obscène. « Je péris en une bien mauvaise compagnie » fut la seule plainte du gentilhomme-philosophe. […] La preuve en sera donnée et surabondante par les extraits recueillis dans ce volume. […] Feuilletez les volumes suivants. […] Nodier a découvert un volume rare. […] Il lui fallait lire un volume par semaine et le résumer afin d’en extraire une de ces Variétés où les moindres phrases trahissaient l’émule des maîtres par le génie de l’expression.

629. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — C — Capillery, Louis (1870-19..) »

Charles Fuster Ce petit volume (En aimant) se compose de cinquante piécettes ou sonnets, parmi lesquels de fort remarquables morceaux, comme Pantins et marionnettes, Au voleur !

630. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — F — Fleurigny, Henry de (1849-19..) »

Louis Dupont C’est un poète aimable que M. de Fleurigny, et le volume qui vient de paraître sous son nom (Éclats de verre) renferme plus d’une pièce d’un rare sentiment d’à-propos et d’humour.

631. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — B — Bernès, Henri (1861-1941) »

Auguste Lacaussade Il publia un volume de vers, les Ailes du rêve, où, dans une forme qui témoigne de l’étude approfondie de tous les poètes contemporains, se rencontrent de nombreuses pièces pleines de grâce et de charme.

632. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 487

Ses Ouvrages ne forment pas un grand volume ; mais il a assez bien écrit pour faire honneur à ses lumieres, à son goût, à son style, & mettre en évidence l’ineptie de ces Productions bizarres, dont le Public a eu la bonté de s’infatuer.

633. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « [Errata] — Fautes à corriger dans le quatrième Volume. »

Fautes à corriger dans le quatrième Volume.

634. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — D — Daniel, Georges »

Philippe Gille Un volume de poésies par M. 

635. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — G — Godet, Philippe (1850-1922) »

Alphonse Lemerre Auteur de plusieurs volumes de poésie dont les principaux sont le Cœur et les Yeux et les Réalités, M. 

636. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — P — Pittié, Victor »

Ce volume contient des poèmes pleins d’une grâce franchement juvénile comme celle des vierges de seize ans, et d’un parfum de tendresse naissante pareil à celui des fleurs nouvelles au printemps.

637. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 326

Les deux volumes de ses Lettres écrites en Latin, ont été traduits en François par MM. de Port-Royal, sous le nom de Brianville.

638. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article »

Il a laissé dix-huit volumes de Sermons, qui sont plutôt des Commentaires sur l’Ecriture Sainte, que des Discours d’éloquence.

639. (1890) Journal des Goncourt. Tome IV (1870-1871) « Préface »

Voici donc un premier volume d’une seconde série du Journal des Goncourt (1870-1890) racontant le Siège et la Commune.

640. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Préface »

Préface Voici le cinquième volume des Œuvres et des Hommes.

641. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — D — Dautel, Albert (1875-1916) »

Il y avoue quelques concessions au symbolisme : je les ai cherchées à travers le fatras qui compose le volume.

642. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — G — La Grasserie, Raoul (1839-1914) »

Adam Ce que veut le lecteur dans un volume de vers, c’est de la grâce, ce sont des sentiments, des émotions ; c’est de la poésie, en un mot, et le livre de M. de La Grasserie (Les Rythmes) en déborde.

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