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921. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Drouais, fils »

Imaginez des visages, des cheveux de crème fouettée, de vieilles étoffes raides, retournées et remises à la calandre, un chien d’ébène avec des yeux de jais, et vous aurez un de ses meilleurs morceaux.

922. (1895) Les confessions littéraires : le vers libre et les poètes. Figaro pp. 101-162

Ce ne sont pourtant pas les « vieux », les romantiques, les pompons qui les achètent seulement ! […] Avant tout, il est Frédéri, le grand Frédéri, mais Frédéri et les vieux l’ont connu « tant pichounet !  […] La vieille idée fédérale a regermé ; beaucoup de jeunes esprits ont rêvé d’une autonomie de la province et de la commune qui semblait avoir vécu avec les derniers Girondins. […] Le siècle se fait vieux, nous avons un peu vieilli avec lui, c’est bien le moins que les tout jeunes préparent le siècle qui vient. […] Quel autre poème que « la Mort du Loup » se pourrait, par exemple, comparer à la fin du Vieux Moissonneur ?

923. (1903) Le problème de l’avenir latin

Ces convertis, ces assagis ont déjà l’âme vieille, ont communié en la décadence gréco-latine. […] Dans chaque ville l’Eglise s’installe dans la curie ; ses sanctuaires remplacent les vieux autels du polythéisme. […] Qu’importe cette paternité vieille de vingt siècles, cette ancestralité quasi-légendaire ? […] Nous sommes des êtres vieux, usés, très las. […] Sur les vieux territoires saturés de passé, les germes ne peuvent grandir.

924. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des romans — Dédicace des « Travailleurs de la mer » (1866) »

Je dédie ce livre au rocher d’hospitalité et de liberté, à ce coin de vieille terre normande où vit le noble petit peuple de la mer, à l’île de Guernesey, sévère et douce, mon asile actuel, mon tombeau probable.

925. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — G — Goudezki, Jean (1866-19..) »

Horace Valbel Goudezki a publié un volume, Les Montmartroises, puis un volume de chansons et de poésies, dans la note gauloise ; puis, dans la note sentimentale, Les Vieilles Histoires, et il prépare les Chansons de litières, dont il a donné la primeur aux spectateurs du Chat-Noir.

926. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » p. 67

LAMOIGNON, [Guillaume de] Premier Président du Parlement de Paris, où il naquit en 1617, & où il mourut en 1677, plus connu dans la République des Lettres par les justes éloges de Boileau & l’Oraison Funebre de Fléchier, que par ses Ouvrages, qui sont dispersés & ne subsistent que dans de vieux Recueils.

927. (1903) Articles de la Revue bleue (1903) pp. 175-627

Il parcourt l’Alsace et va jusqu’à Bruges, « la vieille ville flamande, la ville des grands ducs d’Occident ». […] On ressent une joie accrue en retrouvant dans sa mémoire de vieux airs qui nous ont charmé autrefois. […] Toutes les hardiesses de Victor Hugo heurtèrent d’abord beaucoup de vieilles habitudes et de vieux préjugés. Qu’on relise ses truculentes plaisanteries sur son révolutionnarisme poétique : « J’ai mis le bonnet rouge au vieux dictionnaire !  […] Des expériences récentes comme celles du télégraphe sans fil ou des rayons Rœtgen doivent, à ce sujet, éclairer tous ceux qui conservant les vieilles idées du sens commun sur la réalité de la matière.

928. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 327

Les Etymologistes & les Curieux peuvent tirer de cet Ouvrage de grandes lumieres & de petites instructions ; les Médecins & les Naturalistes ne pourroient trouver dans les premiers, que la répétition des vieux principes auxquels ils paroissent peu attachés à présent.

929. (1907) Propos littéraires. Quatrième série

Or le mépris des jeunes pour les vieux est le frein personnel et providentiel du progrès. Si les jeunes comprenaient les vieux, dégageaient rapidement les quelques idées fécondes que les vieux laissent après eux et en tiraient rapidement toutes les suites, cela irait d’un train vertigineux. […] Les jeunes gens commencent par ne pas comprendre les vieux ; puis ils comprennent que les vieux sont stupides ; puis ils le démontrent, — que de temps perdu déjà ; — puis ils se mettent à penser par eux-mêmes ! […] Et la petite vieille : « Oui. » Te souviens-tu de tous tes morts, de ton vieux, des chères amies, de tes belles années ? […] N’est-il pas vrai, Vendée,           Ô vieux pays breton ?

930. (1864) Histoire anecdotique de l’ancien théâtre en France. Tome I pp. 3-343

C’est du neuf fait avec du vieux. […] Nous ne nous amusons point en chose, ni si basse, ni si sotte, et qui ne montre qu’une pure ignorance de nos vieux Français. […] Si un vieux mot vient quelquefois choquer l’oreille, comme la pensée qu’il exprime est forte et noble ! […] A l’une des représentations, le vieux maréchal de La Feuillade fit une observation très-fine. […] Il fut vieux et galant, sans être ridicule, Et s’enrichit à composer des vers.

931. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — G — Guiard, Théodore (1814-1855) »

Charles Asselineau Ce qui appartient bien en propre à Guiard, c’est, de certaines pièces légères de forme et de sentiment, empreintes d’une naïveté de jeunesse campagnarde, la Cordelle, Noël, la Promenade à l’étang, et un charmant paysage du hameau de Saint-Père en Auxois, avec sa vieille église en ruines… Le succès des Lucioles ne dépassa point le cercle des amis et des camarades du poète.

932. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — D — Duchange, Jacques »

Francisque Sarcey Je me suis beaucoup moque, quand j’avais votre âge, des fausses élégances de Delille et des emphases d’Écouchard Lebrun ; vous pouvez railler de même mes scrupules, qui sentent leur vieux temps.

933. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Marlow, Georges (1872-1947) »

Georges Marlow est un poète de vieilles cloches et de nuances éteintes ; il est l’halluciné veilleur de lampes et le doux faiseur de guirlandes.

934. (1868) Nouveaux lundis. Tome X « Hommes et dieux, études d’histoire et de littérature, par M. Paul De Saint-Victor. »

J’ai là devant moi quantité de numéros de la Presse, renfermant des articles de lui, dont je voulais me souvenir, et sur l’un de ces numéros j’ai écrit : « Voici de ces jolies choses, dites en courant, que je crains que Saint-Victor ne conserve pas et ne recueille pas dans les volumes d’articles revus qu’il prépare ; il s’agit de je ne sais quelle petite pièce à couplets : « Ces chansons du vieux temps, Mlle Déjazet les dit de sa petite voix grêle et fine de cigale anacréontique ivre de  rosée. — « Tu ne subis point la vieillesse », — dit à la cigale le poëte de Téos, — « frêle enfant de la terre, toi qui aimes les chansons. » Et dans un autre feuilleton encore : « Les rides, si jamais elles viennent, iront à sa petite figure spirituelle et impertinente comme les craquelures à la porcelaine. » Ces charmants hasards de plume valent pour moi de plus grands traits, et je ne veux pas que le feuilleton, sous prétexte qu’il devient livre et qu’il se fait plus grave, me les ôte et me les supprime. […] Ne cherchez rien de gaulois en lui : on parle souvent d’esprit gaulois, d’humeur gauloise, à tort et à travers, et on en prête à bien des gens qui n’en ont pas ; mais lui, soyez sûr qu’il n’en a pas un grain ; ces vieilles saveurs domestiques lui vont peu au fond ; il ne les prise pas très-haut : il a vu mieux que cela dans le monde des Médicis et dans la patrie du soleil.

935. (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « George Sand — George Sand, Lélia (1833) »

Ainsi dans la confession même de Lélia, lorsqu’elle raconte les mystères de sa solitude, sa retraite au vieux couvent, et tous les détails enchanteurs de sa claustration volontaire : « Je relevai en imagination les enceintes écroulées de l’abbaye ; j’entourai le préau, ouvert à tous les vents, d’une barrière invisible et sacrée ; je posai des limites à mes pas, et je mesurai l’espace où je voulais m’enfermer pour une année entière. […] Parmi les personnages et portraits charmants déjà en foule échappés à sa plume, nous en savons un dont nous voudrions lui inculquer le souvenir, parce qu’en même temps qu’il est proche parent de Lélia pour les principales circonstances, il a, dans le caractère et dans l’expression, la mesure, la grâce, la nuance qu’on aime et qui attire tout lecteur : ce personnage est celui de Lavinia, que l’auteur a peinte dans une Vieille Histoire.

936. (1874) Premiers lundis. Tome I « J. Fiévée : Causes et conséquences des événements du mois de Juillet 1830 »

« Par une déplorable fatalité, la monarchie nous ramenait une suite de quatre vieux rois : Louis XVII, Charles X, le duc d’Angoulême quand son tour serait arrivé, et le duc de Berry, s’il avait vécu. […] Louis XIV jeune autorisa la représentation du Tartufe  ; vieux, il se livra au père Letellier.

937. (1874) Premiers lundis. Tome II « Poésie — Alexandre Dumas. Mademoiselle de Belle-Isle. »

Entre tant de gens de talent qui se fourvoient, et qui semblent, à chacune de leurs œuvres nouvelles, vouloir réaliser sur eux-mêmes la décadence dont parle le vieux Nestor à l’égard des générations successives, c’est un vrai plaisir qu’un succès soudain, brillant, facile, qui, pour l’un d’eux, remet toutes choses sur le bon pied, et montre qu’une veine heureuse n’est point du tout tarie. […] Il y a telle pièce ou il ne fait que retourner d’un bout à l’autre l’éternelle plaisanterie, vieille comme le monde.

938. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370

Toutes les vérités sont vieilles ; mais apercevoir la portée nouvelle d’une vieille vérité, c’est vraiment découvrir.

939. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Musset, Alfred de (1810-1857) »

L’invention chez lui n’était pas des plus fortes ; vous retrouvez dans toutes ses œuvres les traces de bien des auteurs, Shakespeare, Byron, Calderon, Schiller, puis Boccace, La Fontaine, Régnier, Ronsard, Marivaux, Béranger et tous nos vieux conteurs ; ce qui faisait dire à une femme d’esprit : Quand je lis M. de Musset , je crois toujours avoir lu cela quelque part. […] Properce, et des modernes, tels que Ronsard, Chénier et Parny, c’est qu’il a surtout exprimé ce qu’il y a de tristesse dans l’amour, le Surgit amari aliquid du vieux

940. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — R — Rostand, Edmond (1868-1918) »

Voilà le joyeux soleil de la vieille Gaule qui, après une longue nuit, remonte à l’horizon. […] Edmond Rostand nous apporta Les Romanesques, et l’on se rappelle l’effet de surprise heureuse que firent sur les spectateurs ces vers amoureux, ces vers délicieux murmurés par deux fiancés de dix-huit ans, à l’ombre d’un vieux mur, sous la joubarbe et les aristoloches.

941. (1682) Préface à l’édition des œuvres de Molière de 1682

Ses compagnons qu’il avait laissés à Rouen en partirent aussitôt, et le 24 Octobre 1658 cette Troupe commença de paraître devant leurs Majestés et toute la Cour, sur un Théâtre que le Roi avait fait dresser dans la Salle des Gardes du vieux Louvre. […] Il y jouait la Faculté de Médecine en corps, après avoir joué les Médecins en particulier dans plusieurs autres, où il a trouvé moyen de les placer ; ce qui a fait dire que les Médecins étaient pour Molière, ce que le vieux Poète était pour Térence.

942. (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre XVII. Morale, Livres de Caractéres. » pp. 353-369

Les Essais de celui-ci sont de tous nos vieux livres le plus lu, & le plus médité. […] C’est peut-être celui de nos écrivains modernes qui a lu ces vieux auteurs avec le plus de fruit.

943. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre III. Mme Sophie Gay »

Depuis, on en a vu une autre… En 1848, on remarquait aux dîners de M. de Lamartine une vieille femme, aux bonnets impossibles, à la voix haute et rude, qui exhalait la plus rabelaisienne des odeurs, et jurait comme un capitaine de corsaire. L’élégant bas lilas de 1826 s’était foncé et était devenu ce vieux bas-bleu, frondeur et grotesque.

944. (1909) Les œuvres et les hommes. Critiques diverses. XXVI. « Charles Monselet »

Je connaissais enfin le Monselet de la vieille note, agréable, mais monotone, que les violonistes de la publicité tiennent depuis si longtemps… et badaud, comme pas un ! […] Le ramasseur d’oubliés et de dédaignés, ensevelis pêle-mêle dans l’ombre des vieux murs en ruines de l’Histoire, et qui les prend dans son tombereau, a bien senti qu’il ne pouvait traiter le Génie et la Gloire comme l’infortune des petits talents malheureux.

945. (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « Paul de Saint-Victor » pp. 217-229

C’est mettre quelque chose dans nos âmes qui n’y était pas… Saint-Victor, qui nous apprend Eschyle aujourd’hui, dans son premier volume, devient, en vertu de la faculté caméléonesque du talent regardant le génie, une espèce d’Eschyle, éclosant et fleurissant dans les racines du vieux tragique immortellement épanoui, et tellement que si, par miracle, le vieux Eschyle revenait au monde et qu’il lût le commentaire de Paul de Saint-Victor, il dirait comme Galathée, sortie de son état de marbre et touchant la poitrine de l’idolâtre Pygmalion : « C’est encore moi ! 

946. (1905) Les œuvres et les hommes. De l’histoire. XX. « Le cardinal Ximénès »

Une main qui n’est pas espagnole, mais allemande a entrepris de resculpter cette vieille statue, aux traits diminués par le temps et couverts de la poussière des siècles, et de demander à la génération présente un peu d’admiration pour cette grandeur. […] Il s’est épris de cette vieille tête qui n’a plus rien des temps présents.

947. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Francis Wey » pp. 229-241

Il n’est pas qu’antiquaire pourtant, l’auteur de Dick Moon ; il ne regarde pas que de vieux textes dans des greffes et de vieilles inscriptions dans des cryptes.

948. (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « Le docteur Revelière » pp. 381-394

pour y rester… Tel que le voilà, c’est un livre, je n’en doute pas, absolument incompréhensible à l’esprit moderne, ce jeune sot qui a présentement le mépris de tout ce dont le vieux bonhomme que voici a l’admiration et le respect. […] La même communion au sang d’un Bourbon n’empêcha pas la Révolution de jeter l’immense Empereur à la porte de cette France qu’il avait gouvernée sans pouvoir la ressusciter en monarchie héréditaire, et, pour comble de honte, ce fut par la vieille main de ce Lafayette, retrouvé au bout de son règne et qu’il avait toujours méprisé, qu’elle l’y jeta, V Ainsi, Napoléon lui-même n’a rien pu contre la Révolution, et s’il n’a rien pu à son heure, qui pourra contre elle, à l’heure présente ?

949. (1895) Les œuvres et les hommes. Journalistes et polémistes, chroniqueurs et pamphlétaires. XV « Μ. Eugène Hatin » pp. 1-14

Hatin, aucun principe souverain ne s’élève et n’éclaire la route dans laquelle il va tout à l’heure s’avancer, et l’auteur n’a, pour nous faire voir clair dans cette histoire à travers laquelle il veut nous conduire, que de vieilles phrases éteintes depuis longtemps à force d’avoir servi. […] Marin, le Marsyas écorché avec une gaieté si féroce dans les Mémoires de Beaumarchais, leur succéda, quand le duc d’Aiguillon remplaça le duc de Choiseul, et descendit jusqu’à lui l’honneur de la vieille publication des Renaudot.

950. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Sismondi, Bonstetten, Mme de Staël et Mme de Souza »

Eh bien, j’ai eu le courage de lire ces lettres, malgré la notice de Saint-René Taillandier, qui n’était pas pour moi une recommandation ; car il est de la Revue des Deux-Mondes et même un des plus gris de cette vieille grisaille, qui ne respire pas précisément les tendresses, les délicatesses et les parfums de toute espèce que Saint-René, ce nez dégustateur, a la puissance de respirer dans ces lettres de Sismondi. […] C’est un vieux frivole, un vétéran de la fatuité du xviiie  siècle.

951. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « VI. Jules Simon »

Dans son livre d’aujourd’hui, il l’a mise bien bas, cette vieille mère, qui avait son orgueil et voulait régner comme Agrippine. […] Enfin elle n’enchaîne pas de trop court cette follette chevrette de liberté, la petite bête la plus aimée de cette vieille fille que nous appelons « notre époque » avec tant d’orgueil !

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