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571. (1920) La mêlée symboliste. II. 1890-1900 « Une soirée chez Paul Verlaine » pp. 18-33

Le reste à l’avenant ; papiers déteints, carrelage ébréché. […] L’une de nos entrevues, surtout, reste gravée dans mon souvenir. […] René Ghil reste l’un des cas les plus curieux du mouvement symboliste.

572. (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. James Mill — Chapitre III : Sentiments et Volonté »

La méthode reste donc la même, et c’est la doctrine de l’association qui fait encore le fond de l’étude sur les sentiments. […] Il nous reste maintenant à rechercher les différences propres à la dernière45. […] Au reste voyons comment l’auteur rend compte d’un de nos sentiments les plus généraux, l’amour des parents pour les enfants51.

573. (1881) La psychologie anglaise contemporaine « Conclusion »

En psychologie, le nom du Dr Laycock reste surtout attaché à la théorie de la cérébration inconsciente, exposée par lui, dès 1838, dans un journal médical d’Edimbourg ; puis, avec plus de développement, dans son Mémoire Sur l’action réflexe du cerveau (1844). […] Au reste, les critiques anglais, et Bain à leur tête, viennent de reconnaître en lui « un psychologiste d’un ordre peu commun » ; et nous nous associons pleinement à leur jugement : « que ses traités sont des plus suggestifs que l’École de l’expérience ait publiés en Angleterre, dans ces dernières années. » Signalons encore M.  […] La question de la croyance ou affirmation reste posée, mais non résolue d’un commun accord.

574. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Troisième partie — Section 12, des masques des comédiens de l’antiquité » pp. 185-210

Elle aidera à mieux entendre ce qui me reste à dire sur le partage de la déclamation entre le gesticulateur et le chanteur. […] L’imagination supplée, continuera-t-on, ce qui nous est caché, et quand nous voïons des yeux ardens de colere, nous croïons voir le reste du visage allumé du feu de cette passion. […] Par la même raison, il reste encore aux antiquaires bien des choses à expliquer sur les masques.

575. (1895) Les règles de la méthode sociologique « Chapitre IV : Règles relatives à la constitution des types sociaux »

Il reste vrai que les institutions morales, juridiques, économiques, etc., sont infiniment variables, mais ces variations ne sont pas de telle nature qu’elles n’offrent aucune prise à la pensée scientifique. […] On imagine ce que peut être, avec un pareil point de départ, tout le reste de sa classification. […] Il reste, d’ailleurs, possible que certaines de ces combinaisons ne se produisent qu’une seule fois.

576. (1818) Essai sur les institutions sociales « Chapitre IV. Des changements survenus dans notre manière d’apprécier et de juger notre littérature nationale » pp. 86-105

Je préviens, au reste, qu’ici, comme dans toute la suite de cet écrit, je prends la parole dans le sens le plus général et le plus étendu. […] C’est depuis moins de temps, au reste, que le nombre des formules de la prose s’est accru, par la raison toute simple que la prose est toujours la dernière à se perfectionner. […] Sans porter un jugement sur les deux littératures qui se disputent aujourd’hui l’empire du monde, et sur lesquelles nous aurons, au reste, occasion de revenir, qu’il nous soit permis de remarquer d’abord que la littérature romantique a pris naissance au sein d’une langue qui est encore, pour ainsi dire, dans le travail de l’évolution ; c’est la langue allemande que je veux désigner.

577. (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « L’Empire Chinois »

L’autorité paternelle, en laquelle nous avons cru pendant des siècles, parce que nous acceptions, comme un fait qui vivait, la lettre morte d’une législation dépassée par les progressistes chinois, l’autorité paternelle, que Huc nous montre, comme le reste de cet empire, qui s’évapore en formules, ne reprendra pas le sceptre domestique échappé de ses mains. […] Quant à nous, qui avons cherché dans le livre de Huc une occasion d’être juste envers un pays pour lequel nous n’avons jamais éprouvé de respect ni de sympathie, ce que nous avons trouvé de plus remarquable dans ce peuple, qui a le mouvement sans la vie, c’est l’esprit, — c’est ce genre de pensées qui ne viennent pas du cœur, par opposition avec les grandes qui en viennent et qui constituent le Génie, — c’est l’esprit comme les vieilles civilisations le comprennent, volatil, brillant, chatoyant, agaçant comme un diamant aux lumières, affilé comme un dard, passant comme une flamme, ou qui reste comme un parfum. […] Somme toute, comme on voit, il ne reste guères qu’un zéro au quotient de ce peuple.

578. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre X. Des Romains ; de leurs éloges, du temps de la république ; de Cicéron. »

De tant de milliers d’éloges prononcés sur la tribune romaine, il ne nous reste qu’une seule phrase de l’éloge de Scipion, destructeur de Carthage. […] Après tous ces éloges de Cicéron pour les autres, il nous reste à parler de ceux qu’il fit pour lui-même. […] Pardonnons-lui pourtant, et surtout après son exil : songeons qu’il eut sans cesse à combattre la jalousie et la haine ; un grand homme persécuté a des droits que n’a pas le reste des hommes.

579. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Première partie. — Chapitre VII. »

Le premier vers désigne les Spartiates par le dieu même dont ils se croyaient descendus ; le reste exprime la grandeur du danger et le dernier effort du désespoir animant la discipline. […] mais que chacun reste ferme en avant, de ses deux pieds pressant la terre et serrant sa lèvre des dents, les cuisses, les jambes, la poitrine et les épaules couvertes d’un large bouclier ! […] Que nous reste-t-il de Stésichore, dont Horace célébrait la forte muse, et auquel il emprunte un célèbre apologue ?

580. (1878) Nos gens de lettres : leur caractère et leurs œuvres pp. -316

Et cela se comprend de reste ! […] Pour moi, je reste convaincu que M.  […] La chair contentée, la terreur seule reste. […] Voir Ryno, c’est assez, le reste n’existe pas. […] Et les plus intelligents seront enlevés avec le reste du public.

581. (1911) Nos directions

Au reste, blâma-t-on assez la nudité des autres actes ? […] Au reste, Racine eût reculé devant la fable d’Hérodote. […] reste défendable : elle fait contrepoids et donne plus de relief au meurtre. […] Au reste, M.  […] Tel il était pour Sophocle ou pour Euripide, tel il reste pour nous.

582. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « I » pp. 1-8

Thiers est un singe, et le reste à l’avenant : Soult, Cousin, Dupin. […] Mais un bon Génie, un Amschaspand, aurait de quoi répondre : « A travers ce manque de goût et ces torrents d’invectives, il y a des restes de candeur, une sincérité incontestable bien que si muable en sa rapidité ; l’amour de l’humanité, de ce que l’auteur croit tel, y compense à ses yeux la haine pour quelques individus ; la fibre humaine vibre en certains endroits sous une touche dont très-peu sont capables.

583. (1874) Premiers lundis. Tome II « Deux préfaces »

l’œuvre reste, si elle doit rester ; rien de grand ne se perd dans la mémoire des hommes. » On m’a souvent opposé ce genre de raisons sévères, et ce que je viens de dire y répond en partie. […] Nous avons fait nous-même ici, dans ces Premiers Lundis, les derniers emprunts aux Critiques et Portraits littéraires, par deux importants morceaux (à part les Préfaces que nous venons d’en extraire) : Espoir et vœu du mouvement littéraire et poétique après la révolution de 1830 ; — Des Jugements sur notre littérature contemporaine à l’étranger (1836) : tout le reste était déjà entré, comme on le sait, dans les autres galeries de Portraits : — Portraits littéraires, Portraits contemporains, Portraits de Femmes. — Les Critiques et Portraits littéraires relèvent donc essentiellement désormais du domaine de la bibliophilie, et la note suivante de M. 

584. (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section première. Des passions. — Chapitre VI. De l’envie et de la vengeance. »

Il y a tant de maux sur la terre, cependant, qu’il semblerait que tout ce qui arrive dans le monde, doit être une jouissance pour l’envie ; mais elle est si difficile en malheurs, que s’il reste de la considération à côté des revers, un sentiment à travers mille infortunes, une qualité parmi des torts ; si le souvenir de la prospérité relève dans la misère, l’envieux souffre et déteste encore : il démêle, pour haïr, des avantages inconnus à celui qui les possède ; il faudrait, pour qu’il cessât de s’agiter, qu’il crut tout ce qui existe inférieur à sa fortune, à ses talents, à son bonheur même ; et il a la conscience, au contraire, que nul tourment ne peut égaler l’impression aride et desséchante, que sa passion dominatrice produit sur lui. […] L’occupation où l’on est de son ressentiment, l’effort qu’on fait sur soi pour le combattre remplit la pensée de diverses manières ; après s’être vengé, l’on reste seul avec sa douleur, sans autre idée que la souffrance ; vous rendez à votre ennemi, par votre vengeance, une espèce d’égalité avec vous ; vous le sortez de dessous le poids de votre mépris, vous vous sentez rapprochés par l’action même de punir ; si l’effort que vous tenteriez pour vous venger était inutile, votre ennemi aurait sur vous l’avantage qu’on prend toujours sur les volontés impuissantes, quelle qu’en soit la nature et l’objet : tous les genres d’égarement sont excusables dans les véritables douleurs ; mais ce qui démontre cependant combien la vengeance tient à des mouvements condamnables, c’est qu’il est beaucoup plus rare de se venger par sensibilité, que par esprit de parti ou par amour propre.

585. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Avertissement »

Au reste, elles n’en ont pas le privilège, et je sais, comme dit La Fontaine, Bon nombre d’hommes qui sont femmes, quand il s’agit d’écrire mal de certaines manières. […] Au reste, comme je donnais aux jeunes filles le conseil de ne point s’enfermer dans l’étude des œuvres des femmes, je recommanderais au contraire volontiers aux jeunes hommes de la pratiquer assidûment.

586. (1889) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Quatrième série « Et Lamartine ? »

Je fais seulement observer que cette suprématie n’est ni démontrée ni démontrable, et je demande que le culte de Victor Hugo reste une affaire de dévotion personnelle. […] Au reste, je le sais, à peine aurai-je relu le Cheval, Ibo, Booz endormi ou le Satyre que je serai tout abîmé de contrition.

587. (1892) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Cinquième série « André Theuriet »

On déjeunait de café au lait ; on dînait à midi d’un potage, d’un plat de viande et d’un légume, et le soir, à huit heures, on soupait des restes du dîner et d’une salade. […] On l’y oublie ; il s’y abrutit lentement, et reste garçon.

588. (1892) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Cinquième série « Le termite »

Autrefois, un écrivain était le plus souvent un honnête homme qui faisait des livres, et qui, le reste du temps, vivait comme les autres hommes ; et cela d’autant mieux qu’il avait besoin, pour réussir, de se mêler à la société polie de son temps, et de se distinguer d’elle le moins possible. […] Ils se rassemblent pour déchirer les absents pendant la première heure et pour se déchirer entre eux le reste du temps  en phrases brèves, bizarres, violentes et obscures.

589. (1899) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Septième série « Pour encourager les riches. » pp. 168-175

Et, soit dit en passant, il est remarquable que de telles révélations, et sur des choses d’un ordre si privé, puissent être faites par les journaux, et que celle-là en particulier, si propre à étonner les pauvres et à les induire en de mauvais sentiments, nous ait été apportée par une gazette dont l’emploi ordinaire est de défendre ce qui nous reste du vieil ordre social et, spécialement, l’aristocratie du nom et celle de l’argent et leurs conjonctions si intéressantes… Une fortune de cent quatre-vingts millions, si elle n’a pas été mal acquise, n’a pu être acquise pourtant que par la spéculation, qui est une forme du jeu et qui, étant la recherche du gain sans travail, est, aux yeux d’un chrétien, sur la limite extrême des choses permises. […] Au reste ce détail, et aussi le formidable total de sa fortune, ont été connus trop tard pour arrêter les premières manifestations de l’admiration et du deuil publics.

590. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — D — Dierx, Léon (1838-1912) »

En relisant ces deux tomes de poésies complètes (nous espérons bien que des vers nouveaux viendront encore augmenter sa gloire), on est surpris de l’initiale solidité, de cette œuvre et de voir combien tout, après les années écoulées, reste debout, ferme et gracieux, combien les mélancolies de Dierx ont gardé toute la fraîcheur du décor sylvestre dont il s’est plu à les parer. […] Léon Dierx reste le poète le plus généralement aimé par elle.

591. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Virgile, et Bavius, Mœvius, Bathille, &c. &c. » pp. 53-62

Il reste encore des monumens de cette indigne vengeance*. […] Du moins ne nous reste-t-il pas de mauvaise prose de Virgile, de laquelle ses ennemis aient pu se prévaloir ; au lieu que nous avons de Cicéron des vers qui font honte à sa mémoire.

592. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Ronsard, et Saint-Gelais. » pp. 120-129

Les princes du Parnasse étant réconciliés, tout le reste sembloit devoir se règler sur eux. […] Pour peu que Saint-Gelais & Ronsard eussent voulu souffler ces restes de feu de discorde, il seroit devenu plus violent que jamais.

593. (1824) Notes sur les fables de La Fontaine « Livre quatrième. »

Au reste, ce n’est pas là un Apologue. […] Au reste, la moralité de cette mauvaise fable, si l’on peut l’appeler ainsi, retombe dans celle du loup et de l’agneau.

594. (1895) Les règles de la méthode sociologique « Conclusion »

Au reste, la philosophie elle-même a tout intérêt à cette émancipation de la sociologie. […] Elle gagnera ainsi en dignité et en autorité ce qu’elle perdra peut-être en popularité, Car tant qu’elle reste mêlée aux luttes des partis, tant qu’elle se contente d’élaborer, avec plus de logique que le vulgaire, les idées communes et que, par suite, elle ne suppose aucune compétence spéciale, elle n’est pas en droit de parler assez haut pour faire taire les passions et les préjugés.

595. (1904) Les œuvres et les hommes. Romanciers d’hier et d’avant-hier. XIX « ??? » pp. 175-182

La question reste de savoir si les têtes principales du roman peintes là-dessus se détacheront mieux… L’idée du Blessé de Novare n’est pas une découverte. […] En voyant cette nuance si supérieure à tout le reste du livre, nous avons cru qu’il y avait eu deux mains pour l’écrire.

596. (1894) Études littéraires : seizième siècle

Un poète local reste toujours une manière de poète de province. […] Il en reste beaucoup plus dans Ronsard et dans d’Aubigné. […] Fût-elle immense, elle reste un pur rien ; multipliez furieusement cette immensité humaine, en face de Dieu, elle reste un néant. […] Non, certes ; la foi même vous vient de Dieu, comme le reste. […] Il reste juste.

597. (1910) Propos de théâtre. Cinquième série

Elle reste dans la nature. […] Reste qu’il a pu être trompé. […] Que reste-t-il ? […] On s’étonnera seulement qu’il ne m’en reste qu’un. » — « Oh ! […] Il ne reste plus qu’à s’épouser.

598. (1903) La pensée et le mouvant

Reste l’autre moitié. […] Il reste, en effet, ce qu’il a toujours été. […] Pourtant il nous reste encore beaucoup à faire. […] Tant que je l’étudie, je suppose qu’elle reste ce qu’elle est. […] Là s’en tient le philosophe qui reste dans l’abstrait.

599. (1889) La littérature de Tout à l’heure pp. -383

Que reste-t-il ? […] Stendhal reste presque étranger à son heure et se date de l’avenir. […] Il reste occupé de perfections secondaires : si c’est par indifférence ou par scepticisme, il ne faut pas lui pardonner. […] Léon Cladel, élève de Charles Baudelaire, reste l’inspiré de ses ciels et de ses champs du Rouergue. […] Reste enfin à conclure par les dépositions de quelques graves témoins.

600. (1939) Réflexions sur la critique (2e éd.) pp. 7-263

On est émerveillé ou bien scandalisé, mais nul ne reste indifférent à cette manière directe. […] Puis, la lumière vive et vraie ainsi déclenchée sur un point, il reste à l’amener dans tout le tableau, à la faire courir. […] Reste que Flaubert, comme tous les grands écrivains, a inventé son style, et qu’il s’est mis à l’inventer tard. […] Ils ne le donnent pas même au reste de Paris. […] Il ne lui reste donc qu’un moignon de liberté, sur lequel il se traîne tant bien que mal.

601. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre premier. — Une leçon sur la comédie. Essai d’un élève de William Schlegel » pp. 25-96

C’est dans ce sens seulement que Socrate a pu dire qu’« un vrai poète tragique est en même temps poète comique », et, si cette proposition reste contestable, puisque après tout la connaissance et l’art, savoir et pouvoir, sont deux choses très différentes, elle indique du moins à la critique un procédé infaillible. […] Il ne nous reste plus, pour trouver sa définition exacte, qu’à appliquer le grand principe posé par Socrate lui-même à l’ouverture de notre leçon. […] De même la peinture des mœurs contemporaines dans la comédie nouvelle, n’est qu’un élément romain, français, anglais ou allemand, qui, n’appartenant pas au fond commun de la nature humaine, ne reste pour la postérité qu’un objet de curiosité historique. […] Une comédie d’intrigue n’est qu’un jeu dont il ne nous reste rien. […] Cet empire envié par le reste du monde, Ce pouvoir qui s’étend une lieue à la ronde, N’est que de ces beautés dont l’éclat éblouit Et qu’on cesse d’aimer sitôt qu’on en jouit.

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