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885. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XXVII. Silvio Pellico »

Il commence de l’avoir au Spielberg, mais elle ne prit tout son accomplissement que plus tard.

886. (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « Francis Lacombe »

Grâce à elle, en effet, au xive , Étienne Marcel avait osé proclamer la souveraineté populaire, et plus tard Louis XI, ce roi conventionnel, comme l’appelle F. 

887. (1909) Les œuvres et les hommes. Philosophes et écrivains religieux et politiques. XXV « Vte Maurice De Bonald »

Eh bien, il ne serait pas tombé à Sedan qu’il serait infailliblement tombé plus tard devant les révolutionnaires avec lesquels il fit la transaction de l’abandon de Rome !

888. (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Émile Augier, Louis Bouilhet, Reboul »

Dans tout début, en effet, si mauvais et si gauche qu’il puisse être, il y a comme le crépuscule incertain, mais lucide à quelques points de l’ouvrage, du talent qui fera lumière plus tard ; mais ici, au contraire, rien d’incertain.

889. (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « Henri Heine »

Il dut être ironique, enfant, même avec sa bonne ou avec sa mère ; ironique et tendre, comme il le fut plus tard avec les femmes qu’il aima.

890. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « M. Duranty » pp. 228-238

Seulement, si ces ivres admirations de la jeunesse font souvent tache, pour toute la vie, sur l’originalité qui s’en essuie plus tard sans en effacer l’influence ; si ces admirations imitatrices sont toujours en raison inverse de la force qu’on a, l’objet, d’ailleurs, en serait-il Gœthe, Lord Byron ou Balzac, je demande ce qu’elles prouvent et ce qu’elles annoncent, quand leur objet n’est qu’un écrivain d’un ordre infime, malgré des prétentions exorbitantes.

891. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre quatrième. Du cours que suit l’histoire des nations — Chapitre V. Autres preuves tirées des caractères propres aux aristocraties héroïques. — Garde des limites, des ordres politiques, des lois » pp. 321-333

Cette jurisprudence dut étendre d’abord le sens de suus aux filles, et plus tard le sens d’adgnatus aux sœurs consanguines.

892. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre quatrième. Du cours que suit l’histoire des nations — Chapitre VII. Dernières preuves à l’appui de nos principes sur la marche des sociétés » pp. 342-354

Ainsi les conquêtes s’étendant, tous les droits qui furent désignés plus tard comme rationes propriæ civium Romanorum, devinrent le privilège des citoyens romains (tels que le mariage, la puissance paternelle, le domaine quiritaire, l’émancipation, etc.)

893. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Première partie. — Chapitre V. »

Mystérieuse, quoique populaire, elle se conservait dans le souvenir de quelques familles sacerdotales ; et plus tard elle se renouvela, en se chargeant de vers apocryphes, selon le goût et le génie du temps.

894. (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Livre deuxième. Les images — Chapitre premier. Nature et réducteurs de l’image » pp. 75-128

Ces souvenirs sont eux-mêmes des images, mais coordonnées et affectées d’un recul qui les situe sur la ligne du temps ; on en verra plus tard le mécanisme. […] Nous laissons de côté l’ébranlement inconnu qui, au contact d’un objet extérieur, atteint le bout extérieur du nerf, se transmet à la moelle, arrive à la protubérance, rayonne dans les circonvolutions, persiste dans les centres nerveux, et plus tard s’y renouvelle. […] On verra plus tard quels sont ces avantages.

895. (1860) Cours familier de littérature. IX « LIe entretien. Les salons littéraires. Souvenirs de madame Récamier. — Correspondance de Chateaubriand (3e partie) » pp. 161-240

Elle a tout Rome à sa disposition : ministres, cardinaux, peintres, sculpteurs, société, tout est à ses pieds. » Et quelques jours plus tard, au moment où le pape expire et où le cardinal Consalvi meurt moralement avec le pontife son ami : « Nous sommes ici dans les plus tristes agitations. […] Vingt ans plus tard il aurait gagné cette bataille. […] C’est moi, souvenez-vous-en bien, qui dois partir avant vous. » Et quelques jours plus tard : « Ne parlez jamais de ce que je deviendrais sans vous ; je n’ai pas fait assez de mal au ciel pour qu’il ne m’appelle pas avant vous.

896. (1864) Cours familier de littérature. XVII « XCVIIe entretien. Alfieri. Sa vie et ses œuvres (2e partie) » pp. 1-80

Les prêtres propageaient depuis quelque temps certains propos sortis de la maison du beau-frère de mon amie, par où je savais que lui et toute sa cour se récriaient fort sur mes trop fréquentes visites à sa belle-sœur ; et comme leur mauvaise humeur allait toujours croissant, je cherchais, en flattant le souverain de Rome, à m’en faire plus tard un appui contre les persécutions dont j’avais déjà le pressentiment dans mon cœur, et qui, en effet, attendirent à peine un mois pour se déchaîner. […] Mais quand plus tard je m’occupai de ma réimpression de Paris, je les trouvai plus qu’insuffisants, et il fallut alors en ajouter quatre fois autant pour le moins. […] J’imaginai, en outre, et je développai entièrement la mélo-tragédie d’Abel, dont je mis en vers la partie lyrique : c’était un genre nouveau, sur lequel j’aurai plus tard l’occasion de revenir, si Dieu me prête vie et me donne avec la force d’esprit nécessaire les moyens d’accomplir tout ce que je me propose d’entreprendre.

897. (1922) Enquête : Le XIXe siècle est-il un grand siècle ? (Les Marges)

D’excellentes têtes arrangeront plus tard ce que les toqués ont rapporté de leur randonnée fantaisiste. […] Outre leur incontestable valeur esthétique, les chefs-d’œuvre romantiques ont encore pour l’historien littéraire une valeur documentaire de premier ordre sur l’esprit en France : pendant vingt-cinq ans, sous la Révolution et l’Empire, comme un sol qui absorbe lentement les pluies pour les rendre plus tard à l’état de sources, de fraîcheur, et de richesse, l’âme française s’était profondément pénétrée de toutes les larmes et de tout le sang qui avaient longuement coulé sur le pays. […] On oublie trop que le xviie  siècle compta d’Urfé et Scarron, Cyrano de Bergerac, qui fut contemporain de Pascal, et, plus tard, le duc de Saint-Simon, qui doit gêner fort les partisans de la Renaissance classique, lesquels ne savent comment se débarrasser de cet ancêtre du naturalisme.

898. (1894) Journal des Goncourt. Tome VII (1885-1888) « Année 1887 » pp. 165-228

Il est bon qu’il reste quelque chose de leur texte authentique, pour donner plus tard à juger l’intelligence du parti conservateur et catholique — du journalisme de notre bord, à mon frère et à moi : « Un chef-d’œuvre d’infatuation en ce genre, c’est le Journal des Goncourt. […] Je la vois encore quelques heures avant sa mort, à l’hospice Dubois, sachant qu’elle allait mourir, et préoccupée seulement de l’idée, que la visite que ma mère lui faisait, allait la faire dîner une demi-heure plus tard. […] Tant pis, je l’aime cette vérité, et j’aime à la dire, ainsi que c’est permis de son vivant, à la dose d’un granule homéopathique… et oui, pour cette vérité telle quelle, s’il le faut, je saurais mourir, comme d’autres meurent pour une patrie… Puis vraiment, est-ce que nos illustres, nos académiciens, nos membres de l’Institut se figurent passer à la postérité, comme de petits bons dieux en chambre, sans alliage d’humanité aucune… Allons donc, ces hypocrisies de la convention, tous ces mensonges seront percés un jour, un peu plus tôt, un peu plus tard.

899. (1885) La légende de Victor Hugo pp. 1-58

Plus tard, après 1848, il parlera des États-Unis d’Europe. […] Mais dans sa bruyante lettre, tout chez Hugo est réclame, et plus tard dans son Année terrible, n’a-t-il pas protesté avec indignation contre les actes de guerre de la Commune ; n’a-t-il pas injurié les Communards aussi violemment qu’autrefois les Bonapartistes, les stigmatisant avec les épithètes de fusilleurs d’enfants de quinze ans, de voleurs, d’assassins, d’incendiaires ? […] Trente ans plus tard, Charles Darwin reprenait la théorie de G. 

900. (1875) Revue des deux mondes : articles pp. 326-349

Boussingault et Roulin, qui ont visité l’Amérique du Sud vingt-cinq ans plus tard, ont émis la même opinion. […] Plus tard, j’ai expérimenté avec du curare qui nous avait été rapporté à M.  […] C’est ainsi que chez l’homme une maladie qui apparaîtra par hérédité vingt ou trente ans plus tard se trouve déjà en germe dans cette vésicule mystérieuse. […] Plus tard, le poumon fut considéré comme une sorte de calorifère dans lequel la masse du sang venait tour à tour puiser la chaleur que la circulation était chargée de distribuer à tout le corps. […] Telle est la pensée de Pythagore, de Platon, d’Aristote, d’Hippocrate, acceptée plus tard par les philosophes et les savants mystiques du moyen âge, Paracelse, Van-Helmont et par les scolastiques.

901. (1922) Le stupide XIXe siècle, exposé des insanités meurtrières qui se sont abattues sur la France depuis 130 ans, 1789-1919

A ces cinq années de guerre civile correspondent exactement, cent vingt ans plus tard, les cinq années de guerre exhaustive de 1914 à 1918. […] Tel cet autre où il affirme qu’un officier élevé par les jésuites (ce qui devait être, quarante-cinq ans plus tard, le cas de Foch) ne battra jamais un officier allemand de grade égal. […] Plus tard, à l’École de Médecine, j’ai retrouvé le même état d’esprit. […] ne devait intervenir que plus tard)… du verbe adhérent à un atome de la matière, naissant, évoluant et mourant avec cet atome. […] L’Evolution fera plus tard l’effet d’un album d’images d’Epinal à l’usage des gosses de quarante-cinq ans, entre 1860 et 1910 ; on pourra gaiement feuilleter l’album.

902. (1848) Études sur la littérature française au XIXe siècle. Tome III. Sainte-Beuve, Edgar Quinet, Michelet, etc.

Plus tard il se montra plus sévère, mais la question d’authenticité ne se posa pas pour lui. […] Plus tard il y mit un correctif qui la restitue d’une manière définitive. […] Ce que nous regrettons de ne pas trouver ici, nous le rencontrons plus tard. […] Le critiquer, je n’y ai guère songé ; nous verrons plus tard. […] Plus tard, les affranchis dans Rome ne songèrent, comme vous, qu’à leur pécule.

903. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

Molière n’était pas arrivé plus tard en Italie qu’en Allemagne, et surtout il n’y avait pas moins vite réussi. […] Celle de Gozzi, qui parut bien plus tard, vers le milieu du dix-huitième siècle, devait populariser ses œuvres dans la Péninsule. […] Et l’on s’en aperçoit à certaines façons de détacher les t, à certains ports de voix dont elle se défera plus tard, quand elle aura passé l’âge de l’imitation. […] C’est ce marquis-là qui, cent ans plus tard, sera jeté à la Force et ira à l’échafaud poudré et souriant, débitant des galanteries et des madrigaux à sa voisine sur la charrette fatale. […] Elle est jolie, la voix est harmonieuse et douce ; nous verrons ce qu’elle deviendra plus tard.

904. (1888) Poètes et romanciers

C’est notre loi ici-bas, loi dure, je le veux ; mais c’est aussi notre droit plus tard. […] Plus tard, nous verrons comment ces hallucinations sont devenues, pour le poète, un système tout entier, une philosophie, une théodicée. […] Plus tard, à la formation de l’Université impériale, Arnault obtint pour lui une petite place de 1000 francs. […] Quand plus tard il éleva le genre par de plus nobles inspirations, il trouva l’accès ouvert partout. « Mes folles chansons, dit-il, ont été des compagnes fort utiles, données aux graves refrains et aux couplets politiques. […] Je jette en passant cette réflexion, que nous aurons plus tard l’occasion de reprendre et d’appliquer dans l’examen du poème de La Justice.

905. (1858) Du roman et du théâtre contemporains et de leur influence sur les mœurs (2e éd.)

Qu’importe dès lors qu’il y rentre un jour plus tôt ou un jour plus tard ? […] Nous aurons à les signaler plus tard. […] Un drame qui parut quelques années plus tard, remit à la scène ce personnage sous des traits encore plus sombres, avec une physionomie plus violente et plus basse. […] Deux ans plus tard, elles se traduisaient en clameurs furieuses et en théories insensées. […] Plus tard, René et Obermann traduisaient en France, sous une forme plus précise encore, les mêmes sentiments et les mêmes pensées.

906. (1862) Portraits littéraires. Tome II (nouv. éd.) « M. de Fontanes »

Il n’y avait pas abus de coupes, quelques-unes pourtant assez neuves, quelques jets un peu libres, que plus tard son ciseau, en y revenant, supprima : Quel calme universel ! […] Dans les premiers temps de son séjour à Paris, Fontanes travailla beaucoup, et il conçut, ébaucha ou même exécuta dès lors presque tous les ouvrages poétiques qu’il n’a publiés que plus tard et successivement. […] Si c’était la saison des plaisirs, c’était aussi celle des rudes épreuves : Redis-moi du malheur les leçons trop amères, a-t-il écrit plus tard parlant à sa muse secrète et en songeant à ce temps. […] Or, ce qu’on suit dans cette série, aujourd’hui complète, des poésies de Fontanes, soit durant les Terreurs de 93 et de 97, soit plus tard aux années de sa pompe et de ses grandeurs, c’est le courant d’une âme d’honnête homme, d’une âme affectueuse et excellente, qui se conserve jusqu’au bout et ne tarit pas ; les poésies qu’on publie, même les moins vives, en sont la biographie la plus intime, trop longtemps dérobée. […] La connaissance de cette rédaction est précieuse en ce qu’elle nous le révèle, à cette époque d’entière indépendance, essentiellement tel, au fond, qu’il se développera plus tard dans ses rôles publics et officiels ; avec tous ses principes, ses sentiments, ses aversions même ; journaliste louant déjà Washington124 dans le sens où, orateur, il le célébrera devant le premier Consul ; attaquant déjà madame de Staël, avant qu’on le puisse soupçonner par là de vouloir complaire à quelqu’un.

907. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « Appendice. »

Sans doute, un peu plus tard et quand on en vint au théâtre, il y eut un effort direct d’importation de Shakspeare. […] « Ce n’est qu’un peu plus tard et à un second temps que la critique est née véritablement ou s’est introduite au sein de ce groupe des poëtes romantiques.

908. (1875) Premiers lundis. Tome III « De la loi sur la presse »

Quoique ce puisse sembler déjà de l’histoire ancienne, je demande à exprimer ma pensée à ce sujet ; car il est possible que, plus tard, la question revienne de droit au Sénat même, sous forme de sénatus-consulte. […] Nogent Saint-Laurens, dans son troisième rapport supplémentaire, a bien voulu laisser une porte entr’ouverte et faire entrevoir que plus tard, — peut-être, — il ne serait pas impossible d’obtenir quelque réduction nouvelle pour les droits de timbre et les droits postaux : ce serait un article à insérer dans une loi future de finance.

909. (1863) Cours familier de littérature. XV « LXXXVIe entretien. Considérations sur un chef-d’œuvre, ou le danger du génie. Les Misérables, par Victor Hugo (4e partie) » pp. 81-143

Plus tard il avait revendu par petites parcelles pour jardins et cultures les lots de terre riverains du corridor, et les propriétaires de ces lots de terre croyaient des deux côtés avoir devant les yeux un mur mitoyen, et ne soupçonnaient pas même l’existence de ce long ruban de pavé serpentant entre deux murailles parmi leurs plates-bandes et leurs vergers. […] XXIII Interruption encore de plusieurs épisodes qui doivent converger plus tard dans le dénoûment.

910. (1854) Histoire de la littérature française. Tome I « Livre II — Chapitre cinquième »

Plus tard, il fut attiré par la douceur de Desportes qu’il essaya d’imiter. […] Plus tard, il revint aux exemples de haute poésie donnés par Ronsard, et bien lui en prit : car c’est dans la haute poésie seulement que Bertaut a laissé des vers dignes d’être épargnés par Malherbe, dans le temps même qu’il biffait Ronsard et Desportes.

911. (1889) Histoire de la littérature française. Tome II (16e éd.) « Chapitre premier »

Déjà la fureur en était allée si loin, que la fille adoptive de Montaigne, Mlle de Gournay, qui en 1626, et plus tard, en 1634, avait lancé l’anathème contre quiconque oserait, après sa mort, « ajouter, diminuer, ou changer jamais aucune chose, dans les Essais, soit aux mots ou en la substance », en donnait, en 1635, une édition châtiée, pour obéir aux libraires, complaisants intéressés du goût public. […] La querelle entre le père Goulu et Balzac est comme l’escarmouche du combat qui devait se livrer plus tard entre les jésuites et Port-Royal, représenté par Pascal.

912. (1880) Les deux masques. Première série. I, Les antiques. Eschyle : tragédie-comédie. « Chapitre XII, les sept chefs devant Thèbes. »

Plus tard, et après Eschyle, Antimaque composait encore une Thébaïs. […] Plus tard, Dante rencontre Capanée dans le septième cercle de son Enfer, celui qui renferme les « Violents », là où « pleuvent lentement sur le sable de larges flocons de feu, pareils à ceux de la neige dans les Alpes, quand il ne fait pas de vent. » Sovra tutto ’I sabbion, d’un cader lento, Piovean di fuoco dilatate falde, Come di neve in Alpe senza vento.

913. (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Monsieur de Latouche. » pp. 474-502

Il lui a fallu une rare valeur personnelle pour y suppléer plus tard, comme il fit, par le sentiment. […] Plus tard je reprendrai ma colère.

914. (1857) Causeries du lundi. Tome IV (3e éd.) « Chamfort. » pp. 539-566

C’est à l’Académie de Marseille qu’il adressa plus tard son Éloge de La Fontaine (1774), et, en se voyant couronné, il se donnait le plaisir de faire une malice à La Harpe, pour qui M.  […] Plus tard, bien tard, quand il vit écrite sur tous les murs la devise « Fraternité ou la mort », il la traduisit ainsi : « Sois mon frère, ou je te tue.

915. (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre troisième. Le souvenir. Son rapport à l’appétit et au mouvement. — Chapitre troisième. La reconnaissance des souvenirs. Son rapport à l’appétit et au mouvement. »

Nous verrons plus tard que tout contraste implique un certain choc, conséquemment une force exercée et une résistance éprouvée, un mouvement arrêté et réfléchi sur soi. […] Plus tard, le sentiment de reconnaissance se subtilise et s’applique à des objets plus indifférents, mais il conserve toujours cet élément actif d’une énergie facilement déployée, qui va et revient d’un terme à l’autre sans heurt et sans secousse.

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