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1863. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » pp. 16-17

On fait cas de sa Grammaire Hébraïque, composée pour l’instruction de ses Eleves, aussi bien que de son Dictionnaire géographique portatif, publié sous le nom de Vosgien, où il a su réduire à de justes notions, les détails trop diffus de celui de la Martiniere.

1864. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 232-233

C’est à lui qu’on doit le modèle d’un style plein de naïveté & d’agrément, qui consacrera son nom à l’immortalité.

1865. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 487-488

Il ne faut pas confondre cet Auteur avec un Bénédictin de ce nom, Bibliothécaire du Roi de Prusse, dont les Productions savantes consistent dans un Dictionnaire de Peinture, Sculpture & Gravure ; dans un Livre intitulé les Fables Egyptiennes & Grecques, dévoilées & réduites au même principe ; & dans les Notes ajoutées aux Recherches sur les Américains, Ouvrage où le savoir, l’erreur & l’impiété se décréditent mutuellement.

1866. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » pp. 357-358

Il ne faut pas le confondre avec un Auteur du même nom, à qui nous devons une excellente Grammaire, intitulée, l'Art de bien parler François.

1867. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 415-416

Son nom est consacré parmi les Grammairiens ; il a été, & est encore aujourd'hui, par un reste de vénération, un oracle décisif en matiere de langage.

1868. (1759) Salon de 1759 « Salon de 1759 — Sculpture, Vassié, Pajou, Mignot » p. 104

N’oubliez pas cette note ; et gardez-vous bien de mettre mon nom à ce papier.

1869. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre cinquième. Retour des mêmes révolutions lorsque les sociétés détruites se relèvent de leurs ruines — Argument » pp. 355-356

Argument La plupart des preuves historiques données jusqu’ici par l’auteur à l’appui de ses principes, étant empruntées à l’antiquité, la Science nouvelle ne mériterait pas le nom d’histoire éternelle de l’humanité, si l’auteur ne montrait que les caractères observés dans les temps antiques se sont reproduits, en grande partie, dans ceux du moyen âge.

1870. (1895) Histoire de la littérature française « Quatrième partie. Le dix-septième siècle — Livre I. La préparations des chefs-d’œuvre — Chapitre I. Malherbe »

Mais rappelons-nous qu’il s’acharnait, comme dit Balzac, à dégasconner la cour, et nous comprendrons que le « courtisan », au nom duquel il blâmait Desportes, était pour lui un idéal plus qu’une réalité. […] Il défendait de rimer le simple et composé, comme jour et séjour, mettre et permettre ; ou les mots trop faciles à accoupler, comme montagne et campagne, ou les noms propres, faciles toujours à enchaîner, comme Italie et Thessalie.

1871. (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre XXV. Mort de Jésus. »

Le nom de Golgotha signifie crâne ; il correspond, ce semble, à notre mot Chaumont, et désignait probablement un tertre dénudé, ayant la forme d’un crâne chauve. […] Mille fois plus vivant, mille fois plus aimé depuis ta mort que durant les jours de ton passage ici-bas, tu deviendras à tel point la pierre angulaire de l’humanité qu’arracher ton nom de ce monde serait l’ébranler jusqu’aux fondements.

1872. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125

Ici l’ordre des faits amène sur la scène une personne dont le nom rappelle les plus agréables souvenirs, c’est madame de Sévigné. […] En 1663, quand elle perdit son mari, elle se voua à la retraite, ne conserva des liaisons d’amitié qu’avec mesdames de Rambouillet, fort retirées elles-mêmes ; elle les réunit quelquefois à l’hôtel qu’elle acheta alors rue Saint Thomas du Louvre, et qui prit le nom d’hôtel de Longueville.

1873. (1872) Les problèmes du XIXe siècle. La politique, la littérature, la science, la philosophie, la religion « Livre V : La religion — Chapitre III : Le problème religieux »

Dites que mon christianisme est erroné, si vous voulez, c’est précisément ce que les catholiques disent du vôtre ; mais ne dites pas que mon christianisme ne mérite pas un tel nom. […] Peu importe d’ailleurs le nom que l’on donnerait à une telle religion, pourvu que l’on reconnaisse que c’est une religion ?

1874. (1799) Dialogue entre la Poésie et la Philosophie [posth.]

J’ai besoin d’avoir un petit éclaircissement avec vous : il faut commencer par vous dire mon nom ; vous ne me connaissez guères, quoique vous vous mêliez de me juger. […] Je crois que toute image poétique, pour être vraiment belle, doit renfermer une pensée ; et sur ce pied-là je préfère les vers d’image, dignes de ce nom, aux vers qui ne renfermeraient qu’une pensée sans image, quoique ces derniers puissent avoir aussi beaucoup de mérite.

1875. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Les Femmes de la Révolution » pp. 73-87

Triste procédé, qui pourrait dispenser la Critique de s’occuper d’un ouvrage dont le fond est déjà connu, si, d’un autre côté, le nom de l’auteur, le titre du livre, et les quelques points de suture qui tiennent les morceaux dont il est composé rapprochés, ne révélaient pas suffisamment l’éternel dessein de propagande contre lequel on ne saurait mettre trop en garde les esprits faibles sur lesquels Michelet, avec son talent mystico-sensuel, peut beaucoup agir. […] — elle a, dans sa robe blanche, quelque chose de la prosaïque propreté de l’habit bleu de Robespierre, et, s’il est un nom qui lui convienne et qu’on ne lui a pas donné encore, c’est : la bourgeoise de la liberté !

1876. (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « M. Oscar de Vallée » pp. 275-289

Et voilà pourquoi M. de Vallée a mis sur le front de son livre le nom infâme des Jacobins à côté du nom glorieux d’André Chénier.

1877. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Alexis de Tocqueville »

… Voilà ce que nous nous demandions en lisant ces deux gros volumes d’Alexis de Tocqueville (qui, nous annonçait-on, devaient être suivis, dans un temps donné, de plusieurs autres), publiés sous le vieux nom éternel d’Œuvres et Correspondances inédites. […] Prenez et lisez-en une page au hasard, sans dire le nom de l’auteur, et je défie qu’on reconnaisse plus le style d’Alexis de Tocqueville que le style d’un autre !

1878. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XIII. Pascal »

Blaise, un nom de niais, accolé par le hasard, le roi des insolents et des ironiques, à cet autre nom de Pascal que la gloire devait faire un jour tellement resplendir !

1879. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « M. Matter. Swedenborg » pp. 265-280

Matter, qui a écrit une Vie de Saint Martin et un livre sur Fénelon, a voulu nous donner une histoire critique de l’étonnant Suédois, et faire voir clair, s’il le pouvait, dans ce bizarre phénomène, entremêlé de tant de choses contradictoires et incroyables, et qui présente, avec son nom superbe et sonore de Swedenborg, le plus beau tambourin à la Moquerie, — le plus beau tambour à la Gloire ! […] À une certaine époque, j’ai cru aussi que Swedenborg, dont le nom commençait déjà le charme, devait être un grand poète… C’est que j’avais été la dupe d’un plus grand poète que Swedenborg, qui m’avait fait un Swedenborg que très docilement, et avec quel bonheur d’illusion !

1880. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « MM. Delondre et Caro. Feuchtersleben et ses critiques. — L’Hygiène de l’âme » pp. 329-343

… Feuchtersleben, au nom teutonique, comme son ami Grillparzer, qui révoltait jusqu’au gosier saxon de lord Byron ; Feuchtersleben fut un Allemand de la vieille roche. […] Décemment, l’auteur n’eût pas pu le signer du nom de « Polyeucte ».

1881. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « L’abbé Monnin. Le Curé d’Ars » pp. 345-359

Tel a été le but dominant de l’abbé Monnin, en écrivant, pour la première fois, la vie prodigieuse de cet homme inouï qui a perdu son nom dans le titre de sa fonction, et qui, dans l’avenir comme dans le ciel, ne s’appellera plus que le Curé d’Ars. II Avant de s’appeler de ce titre immortel qui a dévoré son autre nom, le Curé d’Ars se nommait Vianney, — Jean-Baptiste-Marie Vianney.

1882. (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Maurice de Guérin »

Georges-Maurice de Guérin, qui dans le monde aimait à porter le nom du Cayla (l’antique château de ses pères), fut un poète, ou, pour parler plus correctement, un écrivain d’imagination, qui mourut très jeune, en 1839, dans une obscurité contre laquelle, du reste, il ne s’est jamais révolté. […] je crains fort, pour mon compte, que les amis de Guérin, qui avaient pris pour lui faire trompette un hautbois tortueux aussi peu sûr de ses sons, ne se repentent maintenant d’un choix déterminé par le nom seul de l’instrumentiste ; mais ce que je sais de science certaine, c’est que Guérin n’avait nul besoin que l’auteur des Consolations, qui n’est nullement celui des affirmations et des certitudes, affirmât, sous réserve de s’abuser, un genre de génie que Guérin était bien de force à affirmer tout seul, et que l’auteur des Portraits contemporains ajoutât au mou de ses affirmations le mou de sa manière, en donnant, pour éclairer son œuvre, ce médaillon, vaporeux et gris, d’une biographie, qui, cependant, n’est pas sans charme (le charme du sujet), mais dans lequel je ne trouve que le profil fuyant et énervé de cette individualité poétique, — plus poétique que son talent même !

1883. (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « Mme de Girardin. Œuvres complètes, — Les Poésies. »

Il savait, lui, qu’il faudrait la signer de son nom, et il n’ignorait pas que ce nom signifie quelque chose qu’il est impossible de sacrifier… Voilà, par parenthèse, pourquoi M. 

1884. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « M. Ch. Bataille et M. E. Rasetti » pp. 281-294

Vous savez que pour être mis en première ligne dans les romans des réalistes, il faut être vulgaire de nom et faire des choses vulgaires ; c’est la suprême caractéristique de ces égalitaires charmants. Quand le nom et les choses sont ignobles, c’est encore mieux.

1885. (1927) Quelques progrès dans l’étude du cœur humain (Freud et Proust)

D’autre part je sais que Proust ne connaissait de Freud que le nom, et peut-être le sens général de sa doctrine. […] quel nom ! […] C’est surtout l’esprit dans lequel Proust attaque ces phénomènes qui l’apparente aux grands noms que je viens de citer. […] Mais Proust martyrise ce caractère dynamique de notre être, en nom obligeant, sans rémission, à demeurer dans le premier fait, parfois pendant cent pages et plus. […] Je cite des noms qu’il peut sembler bizarre de rapprocher, mais qui forment jalons sur cette route : Flaubert, Jarry, André Breton.

1886. (1890) Journal des Goncourt. Tome IV (1870-1871) « Année 1871 » pp. 180-366

S’il voit une pente, il prend son… (un instrument dont j’ai oublié le nom) et il se rend compte du retard. […] Après le nom d’Assi, le nom le moins inconnu est celui de Lullier. […] Était-ce enfin la ressemblance de son nom, avec un nommé Outhier, un membre de la Commune de Lyon ? […] On lui a demandé son nom. Elle s’appelle Divine : n’est-ce pas un joli nom de baptême pour un romancier ?

1887. (1863) Cours familier de littérature. XV « LXXXVIIe entretien. Considérations sur un chef-d’œuvre, ou le danger du génie. Les Misérables, par Victor Hugo (5e partie) » pp. 145-224

Elle n’a qu’un nom, mystérieux et sans réplique comme elle : c’est la force des choses. […] Humanité, ton vrai nom est Misère ! […] Misères du corps qui ont plus de noms que l’année n’a de jours ! […] Perfection est le mot d’un autre monde ; vicissitude est le nom de celui-ci. […] Le vrai nom de dévouement, c’est désintéressement.

1888. (1887) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Troisième série « Edmond et Jules de Goncourt »

Elle ne peut souffrir que ce jeune homme très fort change le nom de son père contre un titre acheté, afin de faire un riche mariage ; elle découvre en outre qu’il a eu pour maîtresse la mère de la jeune fille qu’il doit épouser. […] Lorsque Henri Mauperin achète le nom de Villacourt, croyant la famille éteinte, Renée, cette adorable Renée qui est un si franc et si honnête garçon, ayant appris qu’il reste encore quelque part un Villacourt, lui envoie sans rien dire un numéro du Moniteur pour l’avertir qu’on lui vole son nom. Elle le fait dans les meilleures intentions du monde, par religion du nom paternel, surtout pour rendre impossible le honteux mariage de son frère. […] Pour nous rendre cette première vue saisissante, mais sommaire, ce premier éblouissement d’un tableau réel, ils commencent donc, instinctivement, par en abstraire les teintes, les lignes, les mouvements ; et comme ils veulent leur donner dans la phrase la place d’honneur et les faire saillir uniquement, ils ne les expriment point par des adjectifs, qui seraient toujours subordonnés à un nom, mais par des substantifs nécessairement abstraits.

1889. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 8 mars 1886. »

Voici donc, pêle-mêle, les réflexions que m’ont inspiré les admirations extatiques, sincères ou de parti pris, les dénigrements systématiques ou raisonnés qui flottent autour du grand nom de Wagner. […] Les wagnériens sont du reste un peu cause de ce déchaînement de sentiments illogiques ; c’est sur un malentendu qu’on discute, et cela dès le premier jour où le nom de Wagner a été prononcé. […] Grévy, Carnot, Littré, Emile de Girardin, un grand nom (Voir notre note précédent) d’artistes, — car on se rappelle que l’art avait une opinion à cette époque, droit que MM. les wagnériens contestent à cette heure au patriotisme. […] Carvalho ce moyen de se tirer d’affaire : dégermaniser le nom de l’auteur et le titre de l’opéra ; l’affiche serait ainsi rédigée :   Lonengrin NO   Tragédie lyrique en cinq actes par Ricardo Wagnero   La Gazette de France du 17 : feuilleton de M.  […] Saint-Saëns répondit, dans la France du 24 décembre, par l’article suivant, intitulé « la musique en province » :   Tous ceux qui s’intéressent à la musique connaissent au moins de nom l’Association artistique d’Angers, savent quels services éminents elle rend à l’art, aux compositeurs, aux virtuoses.

1890. (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Introduction. Le problème des idées-forces comme fondamental en psychologie. »

Mais, dans la psychologie, on ne peut plus prendre ainsi le nom de phénomène abstraction faite d’une relation quelconque à l’être sentant et conscient ; car c’est précisément ce rapport à une conscience actuelle ou virtuelle qui constitue et caractérise le phénomène comme psychique. […] Nous pouvons donc donner au sujet qu’étudie la psychologie un nom plus précis et d’un sens moins intellectuel ; nous pouvons dire : la psychologie est l’étude de la volonté. […] Pour donner un nom à cette conscience fondamentale, pour la mettre artificiellement à part de ses manières d’être et d’agir, qui en sont réellement inséparables, on se sert avec raison du mot volonté. […] J’ai entendu un son, premier fait ; le souvenir de ce son persiste, second fait ; je désire connaître son acuité, troisième fait ; les souvenirs d’autres sons se réveillent, quatrième fait ; j’aperçois des différences et ressemblances, cinquième fait ; les noms des notes de la gamme se présentent, sixième fait ; l’un de ces noms s’associe au souvenir du son, septième fait.

1891. (1896) Les origines du romantisme : étude critique sur la période révolutionnaire pp. 577-607

Gaveaux avait rendu cette pensée rêveuse et ce charme de la solitude qui font le caractère d’Atala » et remarquait que « depuis deux mois les journaux sont attelés à ce roman, on en morcelle, on en altère chaque phrase, on le parodie sans esprit, on le plaisante sans gaîté » ; mais, ajoutait-il, « le nom de l’héroïne et de l’auteur seront dans toutes les bouches qui récompensent le succès ». […] Cet honnête trafic, qui ne tend pas moins au perfectionnement de l’intelligence publique qu’à celui de ma fortune… me donne la réputation de n’être pas un sot, quoique j’aie eu la faiblesse de mettre mon nom à quelques ouvrages que j’avais payés10. » La mélancolie et le sentimentalisme prennent possession des romans. […] L’auteur les avait affublés de noms exotiques, afin de se conformer à la mode qui voulait des héroïnes portant des noms en a : Stella, Agatha, Camilla, Rosalba, Malvina, Zorada, Palmyra, Atala, et cœtera. […] On copiait le premier, on le mettait sur le théâtre ; en nivôse an V on jouait le Lovelace français, comédie en cinq actes ; le nom du héros passa dans la langue, Atala est une Clarisse Harlowe francisée et déguisée en sauvagesse.

1892. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — P — Peyrefort, Émile »

Paul Ginisty Je ne connaissais point le nom de M. 

1893. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » pp. 437-439

Il y a aujourd’hui un Auteur du même nom, né à Montpellier, qui s’est également exercé dans l’Art de la Comédie, mais qui n’a eu aucune espece de succès, & qui n’annonce aucun talent.

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