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1049. (1875) Premiers lundis. Tome III « Sur le sénatus-consulte »

un oubli complet de tout ce qui pouvait les rallier à temps, les concilier, surtout les nouveaux arrivants, leur offrir des cadres naturels d’activité, leur permettre de s’appliquer à d’honorables emplois, de donner cours et carrière à leurs facultés de production et de travail ; pas une Revue largement ouverte et solidement fondée ; pas un journal vaste, impartial, sans acception de personnes et libéralement hospitalier.

1050. (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Seconde partie. De l’état actuel des lumières en France, et de leurs progrès futurs — Chapitre VIII. De l’éloquence » pp. 563-585

Il se peut que des malheurs soient attachés à ces avantages ; mais pour se préserver de ces malheurs, il faut anéantir tout ce qu’il y a d’utile, de grand et de généreux dans l’exercice des facultés morales.

1051. (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section première. Des passions. — Chapitre II. De l’ambition. »

La pensée d’un ambitieux est constamment tendue à la recherche des symptômes d’un talent supérieur ; il éprouve tout à la fois et les peines de ce travail et son humiliation ; et pour arriver au terme de ses espérances, il doit constamment réfléchir sur les bornes de ses facultés.

1052. (1887) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Troisième série « (Chroniqueurs parisiens II) Henry Fouquier »

Et vraiment les dieux lointains de son antique patrie lui ont donné la finesse, la grâce, le bien dire, la joie de vivre, l’équilibre des facultés intellectuelles.

1053. (1889) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Quatrième série « Barbey d’Aurevilly. »

Il leur prête toujours des facultés mirifiques.

1054. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — G — Gautier, Théophile (1811-1872) »

Si l’on réfléchit qu’à cette merveilleuse faculté Gautier unit une immense intelligence innée de la correspondance et du symbolisme universel, ce répertoire de toute métaphore, on comprendra qu’il puisse sans cesse, sans fatigue comme sans faute, définir l’attitude mystérieuse que les objets de la création tiennent devant le regard de l’homme… Il y a, dans le style de Théophile Gautier, une justesse qui ravit, qui étonne, et qui fait songer à ces miracles produits dans le jeu par une profonde science mathématique… Nos voisins disent : Shakespeare et Goethe !

1055. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — L — Lamartine, Alphonse de (1790-1869) »

Il restera une foule de ces vers admirables qui n’empêchent pas les poèmes d’être médiocres, et qui sont les dernières fleurs dont se parent les poésies mourantes ; il restera le souvenir de grandes facultés poétiques, supérieures à ce qui en sera sorti ; il restera le nom harmonieux et sonore d’un poète auquel son siècle aura été trop doux et la gloire trop facile, et en qui ses contemporains auront trop aimé leurs propres défauts.

1056. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre premier. La critique et la vie littéraire » pp. 1-18

Y a-t-il une vanité démesurée à se croire doué de telles facultés ?

1057. (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre XXI. Dernier voyage de Jésus à Jérusalem. »

Au lieu de cette faculté illimitée de croire, heureux don des natures jeunes, qu’il trouvait en Galilée, au lieu de ces populations bonnes et douces chez lesquelles l’objection (qui est toujours le fruit d’un peu de malveillance et d’indocilité) n’avait point d’accès, il rencontrait ici à chaque pas une incrédulité obstinée, sur laquelle les moyens d’action qui lui avaient si bien réussi dans le nord avaient peu de prise.

1058. (1895) Les règles de la méthode sociologique « Chapitre VI : Règles relatives à l’administration de la preuve »

C’est ainsi que l’enfant reçoit de ses parents des facultés et des prédispositions qui n’entrent en jeu que tardivement dans sa vie.

1059. (1761) Apologie de l’étude

Après trente ans d’étude, vous me demanderiez en vain pourquoi une pierre tombe, pourquoi je remue la main, pourquoi j’ai la faculté de penser et de sentir.

1060. (1854) Préface à Antoine Furetière, Le Roman bourgeois pp. 5-22

Cet auteur, d’une incontestable originalité, d’un immense savoir et d’une rare intelligence au travail, peut passer pour exemple de ce qu’une seule mauvaise qualité peut faire perdre à une réunion de facultés éminentes.

1061. (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « Jules Janin » pp. 137-154

Enfin, il faut aller plus loin, il ne faut pas craindre de l’affirmer : le talent de Jules Janin était peut-être tout ce qu’il y avait de plus opposé à ce qu’on pourrait appeler « la faculté critique ».

1062. (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « II — Se connaître »

Loin de moi, l’idée de lui faire un reproche de cette heureuse faculté, dont elle tire une grande part de son charme aux yeux des hommes.

1063. (1905) Pour qu’on lise Platon pp. 1-398

L’homme l’emportera sur l’homme, dorénavant, par son savoir et par son intelligence, c’est-à-dire par sa faculté soit d’invention, soit de persuasion. […] Ceci est très important, parce que la faculté esthétique a besoin d’être éveillée dans l’homme, en qui bien souvent elle dort. […] Mais voilà la faculté esthétique éveillée en lui et qui, souvent, du moins, ne se rendormira plus. […] C’est même dire qu’elle n’existe pas ; car que serait une faculté de l’âme qui n’aurait pour but que de s’exercer ? Je ne sais pas si l’on pourrait l’appeler une faculté.

1064. (1899) La parade littéraire (articles de La Plume, 1898-1899) pp. 300-117

Il nous est impossible d’employer une méthode définie, et il faut, coûte que coûte, se confier à sa sensibilité, à ses facultés de devination. […] Paul Fort ; l’entrevue fut délicieuse, comme vous le pensez, cet écrivain possédant la faculté de simuler, quand il se trouve en présence d’un de ses confrères, l’émotion la plus délirante. […] Henry Bérenger n’a donc plus à regretter le divorce passager entre l’action et la pensée, grâce à Zola, grâce encore aux éminents esprits qui se sont joints à lui, la réconciliation existe entre ces deux facultés, et parce qu’elle a eu lieu en dehors du monde parlementaire, elle n’en est que plus heureuse, plus solide et plus efficace. […] Ce qui constitue le charme, la grâce et la beauté de la Jeunesse, ce sont ses singulières aptitudes à l’enthousiasme, ses facultés d’admiration, qui la poussent à rétablir dans leur situation glorieuse les hommes qui en sont dignes.

1065. (1889) Histoire de la littérature française. Tome II (16e éd.) « Chapitre sixième »

Toutes les facultés, toutes les forces du génie, et, si je puis parler ainsi, la matière d’un grand siècle littéraire, existaient en France avant Boileau ; de même, avant Louis XIV, dans la France victorieuse de l’Espagne et de la féodalité, il y avait la matière d’une grande nation. Mais comme il fallait un Louis XIV pour organiser cette nation, et lui apprendre tout ce dont elle était capable, de même il fallait un Boileau pour diriger toutes ces facultés, discipliner toutes ces forces, et faire voir à la France une image éclatante de son génie dans les lettres. […] L’imagination dans Boileau n’est que la faculté de recevoir des impressions très fortes des vérités morales et littéraires, ainsi que des ridicules ; elle éclate dans les détails plutôt que dans les plans, qui ne sont que des développements logiques ornés d’une main habile. […] Ce qui n’a pas manqué à Boileau, en aucun endroit de ses écrits, c’est la faculté souveraine en toutes les choses de la vie, comme en tous les ouvrages de l’esprit, c’est la raison.

1066. (1858) Du roman et du théâtre contemporains et de leur influence sur les mœurs (2e éd.)

» « Tous les hommes ont-ils les mêmes facultés ? […] Créé pour la société, appelé à y vivre par toutes ses facultés et par tous ses besoins, l’homme naît plongé dans le milieu social, comme il naît plongé dans l’atmosphère respirable. […] Oui sans doute, les hommes naissent égaux en droit, c’est-à-dire avec un droit égal à développer leurs facultés et à tendre à l’accomplissement de leur destinée. […] Il étouffe dans ces liens : ses facultés comprimées ne peuvent sous cette tyrannie atteindre à toute leur vigueur. […] « Elle a pris les fièvres de l’âme pour ses facultés, l’ivresse pour une puissance, et nos écarts pour un progrès.

1067. (1895) Le mal d’écrire et le roman contemporain

Le talent n’est en ce sens qu’une faculté d’assimilation bien employée, et la lucidité personnelle le seul moyen de différenciation. […] Il semble avoir réduit son talent à nôtre qu’une faculté de travail stupéfiante. […] Jean Aicard conserve cette faculté d’observation qui ne dévie pas, un don de recul imperturbable, malgré des tendances poétiques très embellisseuses. […] Alphonse Daudet conseille ouvertement de tout copier et ne voit dans le talent qu’une faculté de rendre ce qu’il entend ou ce qu’il regarde. […] De l’effort personnel qu’un auteur mettra dans l’exercice de cette faculté dépendra pour lui la question si importante d’avoir du style.

1068. (1902) La formation du style par l’assimilation des auteurs

La lecture forme nos facultés, nous les fait découvrir, éveille les idées, crée et soutient l’inspiration. […] Le goût est la faculté de sentir les beautés et les défauts d’un ouvrage. Cette faculté n’est pas donnée à tout le monde. […] Nous considérerons ici la description, non comme une portion limitée d’un genre littéraire, mais comme une faculté générale, comme l’art même de décrire et de peindre. […] Ceux-là ont la faculté éminente de concentrer leurs réflexions et de les faire tenir dans quelque formule vive et brève.

1069. (1898) Émile Zola devant les jeunes (articles de La Plume) pp. 106-203

cette éducation philosophique que l’on donne aux jeunes hommes, dans nos facultés françaises, combien nous en avons souffert, que de cerveaux en furent empoisonnés ! […] Et il fut dès lors persuadé que l’imagination, si éclatante qu’elle soit, devient une faculté nuisible quand elle n’est pas adonnée et perpétuellement fécondée par l’observation des lois naturelles. […] Originellement, un être contient donc un groupe défini de penchants, de sentiments et de désirs, lentement élaborés dans la suite des dégénérations ancestrales, il les contient en puissance, mais l’éducation, l’atmosphère morale, le milieu physique où sa vie s’accomplit, modifieront ses facultés premières, lui fourniront des circonstances favorables ou nuisibles à l’éclosion de ses aspirations latentes.

1070. (1889) Histoire de la littérature française. Tome II (16e éd.) « Chapitre septième »

La justesse de ses pensées reluit dans ces belles proportions ; sa faculté d’emprunter à autrui sans gêne paraît dans ces libres imitations de l’art antique ; son goût est marqué dans la beauté de l’exécution. […] L’amour de la vérité, la grandeur dans le naturel, la faculté d’emprunter sans imitation, la perfection du goût, je ne sache pas un écrit durable de cette époque où l’on ne trouve toutes ces qualités appropriées au sujet. […] Les sermons qu’il avait prêchés à la cour258 ; un éloquent plaidoyer pour la faculté de théologie, en présence du roi et du grand Condé, qui lui en témoigna son admiration en l’embrassant ; ses travaux si efficaces pour la conversion des protestants ; celle de Turenne, qui fut surtout son œuvre ; un écrit célèbre : l’Exposition de la foi et de la doctrine catholique, avaient appelé sur lui l’attention du roi.

1071. (1788) Les entretiens du Jardin des Thuileries de Paris pp. 2-212

J’enverrai mon imagination & ma mémoire dans les pays lointains, deux facultés qui peuvent cheminer sans dépense, sans fatigue & sans bruit. […] En ne livrant sa marchandise qu’à des personnes sûres, dont il connoît l’honneur & les facultés. […] Il y en a que trop, malheureusement, de cette double espece, dans les facultés mêmes les plus éclairées. […] La plupart d’entr’eux étoufferoient un personnage, qui, n’étant point de leur faculté, s’avise d’avoir des connoissances & de guérir. […] ceux-là sont destinés aux ministres, à tous les gens en place, & passent sur tous les médecins de la faculté.

1072. (1890) Le massacre des amazones pp. 2-265

Les femmes, même d’un très grand talent, semblent privées des facultés critiques. […] les pauvres qui n’ont pas même au trésor de la mémoire une fleur fanée et un beau jour éteint, comme Max Lyan les plaint, comme elle sourit tristement à les voir chercher partout « une issue, un leurre d’emploi aux facultés aimantes si cruellement refoulées » ! […] Sans doute, elle paraît uniquement une intelligence, une calme faculté de comprendre, et, par conséquent, elle n’est pas une grande intelligence, ni une intelligence profonde : pour pénétrer une âme, il faut aimer ; et des idées générales personnelles ne se forment point en nous sans une fermentation lyrique. […] Et partout elle porte une curiosité sympathique, trop facilement éblouie : elle eut dès les premiers jours une indulgence facile et lasse de vieillard qui comprend tout ; elle n’a pas encore perdu la jeune faculté de l’enthousiasme. […] Quand, la veille du second mariage, très éprise de son fiancé, l’héroïne se tue pour rester l’Inconsolée, je ne m’émeus pas de cette psychologie inepte, à la René Maizeroy : ma faculté de s’étonner commence à se fatiguer.

1073. (1765) Articles de l’Encyclopédie pp. 5482-9849

) signifioit autrefois l’imagination, & on ne se servoit guere de ce mot que pour exprimer cette faculté de l’ame qui reçoit les objets sensibles. […] & Beaux-Arts.) c’est le pouvoir que chaque être sensible éprouve en soi de se représenter dans son esprit les choses sensibles ; cette faculté dépend de la mémoire. […] Il est très-essentiel de remarquer que ces facultés de recevoir des idées, de les retenir, de les composer, sont au rang des choses dont nous ne pouvons rendre aucune raison ; ces ressorts invisibles de notre être sont dans la main de l’Être suprême qui nous a faits, & non dans la nôtre. […] Cette faculté passive, indépendante de la réflexion, est la source de nos passions & de nos erreurs. […] Les hommes sont plus portes qu’on ne pense à croire que ce sont des facultés différentes & séparées ; c’est cependant le même être qui fait toutes ces opérations, que nous ne connoissons que par leurs effets, sans pouvoir rien connoître de cet être.

1074. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Les Mémoires de Saint-Simon » pp. 423-461

Mais un tel don, une telle faculté est périlleuse si l’on s’y abandonne, et elle est sujette à outrer sa poursuite et à passer le but. […] ici l’on va plus sûrement ; si l’on a le don d’observation et la faculté dont j’ai parlé, on va loin, on pénètre ; et si à ce premier don d’observer se joint un talent pour le moins égal d’exprimer et de peindre, on fait des tableaux, des tableaux vivants et par conséquent vrais, qui donnent la sensation, l’illusion de la chose même, qui remettent en présence d’une nature humaine et d’une société en action qu’on croyait évanouie.

1075. (1865) Cours familier de littérature. XIX « CXIIIe entretien. La Science ou Le Cosmos, par M. de Humboldt (2e partie). Littérature de l’Allemagne. » pp. 289-364

Du concours de différentes causes, de différentes conditions, tant intérieures qu’extérieures, qui ne sauraient être signalées en détail, sont nées les races présentes des animaux ; et leurs variétés les plus frappantes se rencontrent chez ceux qui ont en partage la faculté d’extension la plus considérable sur la terre. […] Nous ne l’explorerons pas, comme le fait la philosophie de l’art, pour distinguer ce qui dans nos émotions appartient à l’action des objets extérieurs sur les sens, et ce qui émane des facultés de l’âme ou tient aux dispositions natives des peuples divers.

1076. (1889) Histoire de la littérature française. Tome II (16e éd.) « Chapitre quatrième »

La violence de ses efforts, ses angoisses, ses doutes qui l’épuisent sans le vaincre, parce qu’il sait que, pour l’objet qu’il poursuit, hors de la religion il n’y a qu’impuissance et désespoir, et qu’il faut croire ou mourir ; l’audace même de cette entreprise, qui le mène à rechercher si cette lutte de dix-sept siècles, entre la foi et la raison, ne vient pas de ce que la raison n’a pas été assez haute, ou la foi assez raisonnée, et si la foi n’est pas la perfection même de la raison ; qui donc connaît un emploi plus noble des facultés humaines ? […] Puis, avec toutes ses facultés réunies, sous le gouvernement de sa raison, il veut voir clair dans la foi, et recherche si, au lieu d’être la raison qui abdique, elle n’en est pas le plus haut usage et la perfection.

1077. (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Introduction. Le problème des idées-forces comme fondamental en psychologie. »

D’autre part, la faculté de discernement ne s’est développée qu’en vue du choix ; si nous avons conscience des différences, principalement sensitives, c’est que ces différences sensitives entraînent des différences réactives. […] Concluons que la conscience n’est ni une faculté distincte ni un acte distinct ; elle est simplement un caractère commun, constant et immédiat des fonctions psychiques.

1078. (1848) Études sur la littérature française au XIXe siècle. Tome III. Sainte-Beuve, Edgar Quinet, Michelet, etc.

C’est une copie, conservée aussi à la Bibliothèque de la Faculté de l’Église libre du canton de Vaud, qui porte la date, ou date incomplète, citée plus haut. […] Grosse question, et sur laquelle je dirai seulement ceci : Si Vinet avait pénétré Sainte-Beuve, il aurait fait preuve d’une remarquable faculté divinatoire, car ce vrai moi dont il parle, Sainte-Beuve n’en a pris conscience que peu à peu, lentement, et après avoir passé, comme il le dit lui-même, par bien des métamorphoses. […] Tant que la conscience, avec sa voix grave et triste, ne se joint pas au concert de toutes les facultés humaines chantant en chœur les louanges de l’Évangile, cet Évangile n’est encore ni accepté ni compris. […] Rien n’affaiblit et ne détrempe l’esprit, ne lui ôte la faculté de vraie foi, et ne le dispose à un scepticisme universel, comme d’être ainsi témoin, dans sa conviction, d’actes contraires, plus ou moins multipliés. […] La société elle-même serait-elle peut-être un individu distinct, susceptible d’être persuadé, et pourvu de la faculté de croire, d’aimer et d’obéir ?

1079. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) «  Œuvres et correspondance inédites de M. de Tocqueville — II » pp. 107-121

Je suis donc au pouvoir, comme vous y seriez, faisant le bien, empêchant le mal, avec toutes les ressources que me fournissent les circonstances ou mes facultés.

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