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2160. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre III. L’âge classique. — Chapitre IV. Addison. »

Ses rosiers, ses chèvrefeuilles, ses jasmins fleuriront ensemble, et ses plates-bandes se couvriront en même temps d’amarantes, de violettes et de lis. […] On est tout étonné de voir ensemble deux qualités aussi contraires.

2161. (1896) Journal des Goncourt. Tome IX (1892-1895 et index général) « Année 1893 » pp. 97-181

Et au sujet de Veuillot, il s’étend sur son intimité avec l’écrivain catholique, malgré les divergences d’opinions, et sur le dîner qu’ils faisaient, toutes les semaines, ensemble, déclarant que Veuillot lui pardonnait plutôt de n’avoir pas fait baptiser son fils, que de s’être marié à une huguenote. […] — parfaitement, lui dis-je, et le possesseur des pendules, mourrait au moment, où toutes les pendules sonnent ensemble minuit, et encore n’aurait-il pas la jouissance de les entendre jusqu’au bout, il mourrait au onzième coup. » Grand dîner chez Daudet en l’honneur des fiançailles du jeune couple Hugo et Mlle Ménard-Dorian, auquel le maître de la maison dit gracieusement, que le reste des convives n’est, ce soir, que de la figuration.

2162. (1881) La parole intérieure. Essai de psychologie descriptive « Chapitre III. Variétés vives de la parole intérieure »

D’ailleurs, de toutes les hallucinations, la moins pathologique est, de l’aveu même des médecins, l’hallucination de l’ouïe, et l’ensemble des faits rassemblés dans le présent chapitre a la valeur d’une confirmation psychologique de cette opinion. […] Quelques promesses démenties, quelques autres sans rapport évident avec la mission de Jeanne, déparent un peu cette partie, la plus aventureuse, des révélations ; mais, si le cas de Jeanne d’Arc se rapproche par là des phénomènes véritablement anormaux, il n’en est que plus vraisemblable, et l’ensemble n’en conserve pas moins un remarquable caractère d’unité ; on sent qu’une ferme raison a gouverné à son insu la sublime folie de la jeune fille.

2163. (1902) Les poètes et leur poète. L’Ermitage pp. 81-146

La pensée d’un siècle, vue dans son ensemble, présuppose la synthèse des individus qui l’exprimèrent ; or les artistes ne sont rien que les formes où se meut cette sève dont les obscures origines ont germé dans des mouvements plus anonymes encore. […] — D’un ensemble de réponses où les opinions se manifestent si diverses, si complexes et si nuancées, il paraît hasardeux de tirer une conclusion absolue.

2164. (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « MADAME DE STAEL » pp. 81-164

Mais ces diverses renommées successives, qui s’attachent à chacune des phases de la Révolution, viennent, en quelque sorte, trouver leur place et se donner rendez-vous en une seule célébrité qui les comprend et les concilie toutes dans leur ensemble, qui participe de ce qu’elles eurent de brillant ou de dévoué, de poli ou d’énergique, de sentimental ou de viril, d’imposant, de spirituel et d’inspiré, en relevant de plus, en encadrant tous ces dons par le génie qui les fait valoir et les immortalise. […] Mais ce défaut de forme une fois admis pour Delphine, que de finesse et de passion tout ensemble ! […] , intitulée Delphine convertie ; il en donne des extraits ; on y faisait dire à Mme de Staël : « Je viens d’entrer dans la carrière que plusieurs femmes ont parcourue avec succès, mais je n’ai pris pour modèle ni la Princesse de Clèves, ni Caroline, ni Adèle de Sénange. » Cette brochure calomnieuse, si toutefois elle existe, où l’envie s’est gonflée jusqu’au gros livre paraît n’être qu’un ramas de phrases disparates, pillées dans Mme de Staël, cousues ensemble et dénaturées.

2165. (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXXIe entretien. Littérature russe. Ivan Tourgueneff » pp. 237-315

Tel est l’ensemble des mœurs russes peintes à fresque par Tourgueneff. […] Lisons d’abord ensemble et en les abrégeant par quelques analyses succinctes la première et la plus intéressante de ces nouvelles. […] Quelle joie ils éprouvèrent à se retrouver ensemble !

2166. (1896) Psychologie de l’attention (3e éd.)

Nous sommes donc autorisés à dire que l’attention en se portant sur un ensemble d’idées a pour effet d’accélérer la circulation dans le substratum nerveux de ces idées. […] L’examen de cette question ne pourra être tenté utilement qu’après avoir parcouru l’ensemble de notre sujet. […] Prenons un état quelconque d’attention spontanée ; supposons que, par des procédés artificiels, on puisse le renforcer et surtout le rendre permanent, la métamorphose en idée fixe sera consommée ; tout cet ensemble de conceptions déraisonnables qui lui font cortège et qui ont un faux air de folie, s’y ajoutera nécessairement, par le seul effet du mécanisme logique de l’esprit.

2167. (1891) Lettres de Marie Bashkirtseff

Quand tu seras bien portante, nous irons ensemble ; d’ailleurs il faudrait un volume et la description n’en donnerait aucune idée. […] Peut-être est-ce parce que je n’y comprends rien, mais je préfère de beaucoup cette tête à toutes ses madones ensemble. […] Mais en excursion, en voiture, on est forcé de rester ensemble et alors c’est ou des insinuations tatillonnes pour mon bien, ou un silence lourd comme du plomb. […] je vais prendre une semaine entière à mon tableau et nous ferons des Cazin ensemble.

2168. (1925) Proses datées

Acceptant, pour ainsi dire, de confiance, le génie musical de Wagner et en reconnaissant sans conteste la maîtrise, Mallarmé, incompétent au point de vue technique, s’attribuait droit de discussion et de protestation contre l’ensemble de l’esthétique wagnérienne. […] Et, pour prolonger cet hommage, cette même Revue Critique ne vient-elle pas d’annoncer la formation d’un groupement d’écrivains, réunis en un même sentiment d’admiration, et dont l’association amicale s’efforcera de favoriser toutes les initiatives « capables de servir ensemble une grande mémoire et le renom des lettres et de l’esprit français ». […] Les documents rassemblés par Eugène Crépet, la magistrale étude de Théophile Gautier, les souvenirs d’Asselineau et de Banville, semblent avoir fixé en son ensemble la figure de Baudelaire. […] Crise bizarre qui transforma cet aristocrate d’idées et de goûts qu’était foncièrement Baudelaire en un énergumène que nous décrit dans ses notes son camarade Le Vavasseur et dont les mains » sentaient la poudre », proclamant « l’apothéose de la banqueroute sociale » ; crise bizarre d’où il rapporta une horreur sincère de la démocratie, mais qui était peut-être aussi un premier avertissement physiologique et où l’on peut voir les premières traces de cette nervosité maladive qui se développa peu à peu chez le poète sous l’influence du travail, des soucis, des excitants spirituels et végétaux et qui, aggravée volontairement par la sorte d’orgueil qu’il en tirait, contribua à donner à son imagination et à sa pensée certaines de leurs teintes les plus sombres, à les imprégner de cette noire mélancolie, de ce pessimisme douloureux où il consuma son cœur et sa vie et qui étendirent leur nuage sulfureux et pesant sur la vue que Baudelaire eut de la nature de l’homme et de l’ensemble de l’univers. […] C’est un cahier de papier jauni, dont les feuillets sont retenus ensemble par un ruban de soie verte, très passée.

2169. (1924) Intérieurs : Baudelaire, Fromentin, Amiel

C’est là le principe d’un renouvellement que nous commençons seulement à apercevoir en quelque ensemble et quelque suite. […] Ils ne peuvent éclore que dans le milieu d’une grande capitale, où les hommes vivent ensemble, l’un à l’autre étrangers et l’un près de l’autre voyageurs. […] Ce sont deux bourgeois français, dont l’adolescence s’écoula dans de bonnes familles au temps du roi-citoyen, qui curent leurs vingt ans au temps de la seconde République, et qui vers 1868 organisaient ensemble des charades à Compiègne, aux soirées de l’Impératrice. […] Son amour à sa naissance se confond avec ses sensations, et cette nature fait partie de leur indiscernable ensemble. […] Et dans le germanisme même, dans l’ensemble de la culture allemande, de l’esprit allemand, il voit l’intérieur indivise, authentique et profond de l’être, le centre calme et puissant, la conscience pure de ce que l’esprit latin conçoit et rend comme une périphérie et un dehors.

2170. (1900) Molière pp. -283

La thèse ou plutôt les thèses que l’on y trouvera soutenues forment un ensemble de vues sur Molière, une étude de son génie et de son théâtre assez particulière, assez nouvelle, inattendue même en plus d’un point, et en tout cas très personnelle. […] Peut-être ils nous diront que le Molière qui, dans ces pages ressuscitées, leur est offert, n’est plus celui qu’ils ont l’habitude d’entendre célébrer par la voix publique et par les juges compétents, d’accord avec elle, celui qu’eux-mêmes, pour leur compte, ont appris à connaître et à aimer, ou du moins qu’il en diffère notablement et s’en éloigne par certains traits et par l’ensemble ; que, sans être diminué, ils en conviendront sans peine, ni rabaissé, c’est là pourtant en somme, le Molière de J. […]   Molière, messieurs, est tout ensemble un moraliste passionné et un observateur indifférent. […] ……………………………………………………………………… ……………………………………………………………………… Les cent années que nous allons parcourir ensemble ont vu beaucoup de ces vicissitudes dans la manière de sentir ; nos idées ont changé le cours de nos passions, et nos passions transformées ont à leur tour réagi, pour les modifier, sur le caractère de nos relations sociales et sur les habitudes de notre vie domestique. […] Tous ensemble méprisaient le serf.

2171. (1923) Les dates et les œuvres. Symbolisme et poésie scientifique

Par son double enjeu (chronique d’une époque, propositions théoriques), Les Dates et les Œuvres est sans doute l’ouvrage de Ghil permettant de saisir avec le plus de clarté possible les répercussions de ses propositions sur l’ensemble de son époque et sur les écoles qui vont ensuite la prolonger. […] Moréas n’en dépend pas davantage, dira précisément Edouard Dujardin  mais lui, non point parce que d’autres prédominants caractères l’en séparent puissamment, mais parce que, d’avatars en avatars dénonçant un manque primordial de volonté et de vues directrices, il n’a été qu’un imitateur de tous nos styles. »… Dans un Ensemble tel que se présentait et allait sous peu se développer la méthode dite de « Poésie scientifique » (substratum constitué de données orientées par l’idée Evolutionniste pour, de rapports en rapports, pouvoir des vérités de sens universel et en dégager une émotion de vertu impersonnelle et cosmique, en Synthèse), ce n’est point la pensée génératrice, intangible de par sa propre origine Science, qui à travers les intelligences et les sensitivités diverses des tempéraments créateurs doive varier et se dissocier. […] Le maître n’avait-il pas répudié l’égotisme poétique et le « recueil de vers », pour poser en principe la nécessité de la vaste synthèse, de l’œuvre unique aux parties cohérentes, de la vision d’ensemble dès avant la première étape ! […] René Ghil offre en son œuvre tout un ensemble de tendances nouvelles de conception et de rendu, un plan haut échafaudé, une forme aux ressources infinies, des milieux et des pensers délaissés, tout un effort vers l’en-dehors, forme et fond, vocabulaire, syntaxe, décor originaux, une poussée vers l’inhabituel et le rare qui a fait dire à M. 

2172. (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Roederer. — II. (Suite.) » pp. 346-370

Il était alors à Puteaux près de Neuilly, et obligé de perdre une partie de son temps sur les grands chemins : Malgré ma servitude privée, disait-il en finissant, je souhaite, mon cher ami, que vous soyez bientôt aussi libre que moi ; que vous puissiez aussi regarder la Seine couler comme je le fais et vais le faire plus que jamais de mes fenêtres ; enfin que nous puissions grommeler ensemble sur toute l’espèce humaine qui heureusement n’est pas toute la nature, et réaliser une bonne fois à nous deux la grande faction des insociables dont la France a été tant tourmentée depuis deux ans.

2173. (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Madame Desbordes-Valmore. »

Notre bonne grand-mère aussi, que je me rappelle avec tant d’amour quand nous allions la voir ensemble ?

2174. (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Le général Jomini. [IV] »

« Au reste, a dit Jomini, cette bataille me détrompa de toutes les espérances que j’avais conçues ; elle me prouva qu’un homme dans ma position ne devait jamais juger les choses comme il le ferait s’il était maître de commander ; et j’appris là qu’il y avait une grande différence de diriger soi-même l’ensemble d’un état-major dans lequel on prévoit et organise tout, ou à raisonner sans fruit, et sur des données incertaines, de ce que veulent faire les autres.

2175. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « M. DE BALZAC (La Recherche de l’Absolu.) » pp. 327-357

Quoi qu’il en soit, c’est un besoin pour moi d’indiquer que, vers l’époque de sa mort, j’ai parlé de lui (Constitutionnel du 2 septembre 1852) sous un point de vue plus général et en embrassant de mon mieux l’ensemble de son œuvre, que je ne suis point cependant arrivé à admirer autant que je le voudrais.

2176. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « PENSÉES FRAGMENTS ET LETTRES DE BLAISE PASCAL, Publiés pour la première fois conformément aux manuscrits, par M. Prosper Faugère. (1844). » pp. 193-224

Il y a une manière très-usitée de prendre Pascal et de le présenter à grands traits dans son ensemble ; nous tous plus ou moins, écrivains de ce siècle, lorsque nous avons parlé de lui à la rencontre, nous sommes tombés dans cette manière-là.

2177. (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « UNE RUELLE POÉTIQUE SOUS LOUIS XIV » pp. 358-381

A une dévote un peu tendre, mais qui ne l’était pas assez : N’écoutez qu’une passion : Deux ensemble, c’est raillerie.

2178. (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « L’abbé Prévost »

Mais si la postérité s’en tient, dans l’essor de son coup d’œil, à cette brève compréhension d’un homme, à ce relevé rapide d’une œuvre, il y a, jusque dans son sein, des curiosités plus scrupuleuses et plus patientes qui éprouvent le besoin d’insister davantage, de revenir à la connaissance des portions disparues, et de retrouver épars dans l’ensemble, plus mélangés sans doute mais aussi plus étalés, la plupart des mérites dont la pièce principale se compose.

2179. (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « Du génie critique et de Bayle »

Il dure, sinon par telle ou telle composition particulière, du moins par l’ensemble de ses travaux.

2180. (1858) Cours familier de littérature. V « XXVIIIe entretien. Poésie sacrée. David, berger et roi » pp. 225-279

Seulement, dans ce peuple de l’enthousiasme, l’éloquence et la poésie fondus ensemble n’étaient qu’une seule puissance, la puissance de la parole inspirée ou de ce qu’on appelle la parole de Dieu !

2181. (1895) Histoire de la littérature française « Troisième partie. Le seizième siècle — Livre IV. Guerres civiles conflits d’idées et de passions (1562-1594) — Chapitre III. Montaigne »

Et l’un des caractères éminents qu’il offre, c’est celui par lequel la littérature classique apparaît surtout comme une des plus pures formes de l’esprit français : c’est cet ensemble de qualités sociables, cette vive lumière d’universelle intelligibilité, qui fait des Essais un livre humain, et non pas seulement français.

2182. (1895) Histoire de la littérature française « Cinquième partie. Le dix-huitième siècle — Livre III. Les tempéraments et les idées — Chapitre II. La jeunesse de Voltaire, (1694-1755) »

Le xviie  siècle, dans son ensemble, était trop religieux.

2183. (1886) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Deuxième série « Francisque Sarcey »

Lentement, à force de voir des pièces, d’observer et de comparer, il eut sur le théâtre, sur son histoire et sur ses lois, des idées d’ensemble parfaitement liées entre elles, une esthétique complète de l’art dramatique.

2184. (1886) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Deuxième série « Ferdinand Fabre  »

L’ensemble d’idées et de sentiments que suppose leur profession agit toujours en eux, fût-ce à leur insu ; c’est un élément secret dont il faut toujours tenir compte dans l’appréciation de leurs actes, car il y est toujours présent, même quand ils agissent en apparence comme les autres hommes.

2185. (1854) Histoire de la littérature française. Tome I « Livre II — Chapitre troisième »

N’est-ce pas là cette science qu’Érasme a si admirablement définie la philosophie chrétienne, associant ainsi un mot païen à un mot chrétien, et confondant ensemble les deux Renaissances dont l’union seule a fait la beauté de l’esprit moderne ?

2186. (1920) La mêlée symboliste. II. 1890-1900 « L’expression de l’amour chez les poètes symbolistes » pp. 57-90

Il prend soin de nous avertir que ce document vaut pour l’ensemble de sa génération : « Je vais vous parler un peu des jeunes filles et des jeunes gens… Le décousu de leurs sentiments factices… Ah !

2187. (1890) L’avenir de la science « XXII » pp. 441-461

Un esprit ne peut s’exprimer que par l’esquisse successive de points de vue divers, dont chacun n’est vrai que dans l’ensemble.

2188. (1880) Les deux masques. Première série. I, Les antiques. Eschyle : tragédie-comédie. « Chapitre XIV, l’Orestie. — Agamemnon. »

Des comptes seront réclamés et seront rendus ; le roi rassemblera son peuple, et tous deux se mettront à l’œuvre du salut commun : — « Pour ce qui concerne la cité, nous en délibérerons ensemble dans l’Agora.

2189. (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Bussy-Rabutin. » pp. 360-383

Il avait commencé par convenir franchement de tous ses torts, mais il exprimait ses regrets d’une manière qui prouve combien en ceci il tenait plus encore aux choses de l’esprit qu’à celles du cœur : Ne trouvez-vous pas, écrivait-il à sa cousine, que c’est grand dommage que nous ayons été brouillés quelque temps ensemble, et que cependant 38 il se soit perdu des folies que nous aurions relevées, et qui nous auraient réjouis ?

2190. (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « Études sur Saint-Just, par M. Édouard Fleury. (2 vol. — Didier, 1851.) » pp. 334-358

La seule conclusion que permette le poème d’Organt, et qui porte sur l’ensemble, c’est que l’âme de jeune homme, qui se complut à vingt-ans dans ces combinaisons et ces images, était dure, grossière, sensuelle, sans délicatesse.

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