La connaissance parfaite des hommes doit amener, ou à s’affranchir de leur joug, ou à les dominer par la puissance. […] C’est par la connaissance intime des traces que l’ambition laisse dans le cœur après ses revers, et de l’impossibilité de fixer sa prospérité, qu’on peut juger surtout l’effroi qu’elle doit inspirer.
Pour parler dignement de l’outil qui sert si bien cette passion du Beau, je veux dire de son style, il ne faudrait jouir de ressources pareilles, de cette connaissance de la langue qui n’est jamais en défaut, de ce magnifique dictionnaire dont les feuillets, remués par un souffle divin, s’ouvrent toujours juste pour laisser jaillir le mot propre, le mot unique, enfin de ce sentiment de l’ordre qui met chaque trait et chaque touche à sa place naturelle et n’omet aucune nuance. […] Théodore de Banville Dans cette tête brune, chevelue, aux joues larges et d’un pur contour, à la barbe légère, calme comme celle d’un lion, fière comme celle d’un dieu, aux yeux doux, profonds, infinis, où le front olympien abrite la connaissance et les images de toutes les choses, où le nez droit, large à sa naissance, est d’une noblesse sans égale, où sous la légère moustache, écartée avec grâce, les lèvres rouges, épaisses, d’une ligne merveilleusement jeune, disent la joie tranquille des héros, dans cette noble tête aux. sourcils paisibles, qui si magnifiquement repose sur ce col énergique de combattant victorieux, superbe dans ce blanc vêtement flottant et entr’ouvert sur lequel est négligemment noué un mouchoir aux raies de couleurs vives, —
La connaissance qu’on avait de sa famille, laquelle était peu considérable, nuisait trop à son autorité. […] Il n’eut sans doute aucune connaissance de ce que le vieux sanctuaire de Melkarth, à Tyr, pouvait renfermer encore d’un culte primitif plus ou moins analogue à celui des Juifs 416.
En se prêtant aux exhortations des personnes qui la pressaient de se convertir, elle disait : « J’admettrai tout, pourvu qu’on ne m’oblige pas de croire que ma tante de Villette sera damnée. » Madame de Neuillan la faisait venir chez elle de temps en temps, et la conduisait dans quelques maisons de sa société, entre autres chez Scarron, où elle fit connaissance avec mademoiselle de Lenclos, qui n’était pas alors galante, et qui, née riche et noble, voyait encore la bonne compagnie. […] J’ai mis la mienne à une grande épreuve en conférant les unes avec les autres toutes les lettres des deux éditions, les dates et le texte de chacune, et surtout en conférant toutes les dates exprimées avec les faits certains, et en tirant ensuite des faits certains la connaissance des dates omises.
Ce n’est pas seulement un classique, c’est une connaissance, et, mieux que cela, c’est une voisine et une amie. […] Sur Mme de Sévigné et son monde, sur ses amis et connaissances, et les amis de ses amis, grâce aux recherches infatigables de son curieux biographe, on aura tout désormais, et plus que tout.
Mais si on avait, comme je le suppose, un désir sincère de les convertir en les effrayant, on pouvait, ce me semble, faire agir un intérêt plus puissant et plus sûr, celui de leur vanité et de leur amour-propre ; les représenter courant sans cesse après des chimères ou des chagrins ; leur montrer d’une part le néant des connaissances humaines, la futilité de quelques-unes, l’incertitude de presque toutes ; de l’autre, la haine et l’envie poursuivant jusqu’au tombeau les écrivains célèbres, honorés après leur mort comme les premiers des hommes, et traités comme les derniers pendant leur vie ; Homère et Milton, pauvres et malheureux ; Aristote et Descartes, fuyant la persécution ; le Tasse, mourant sans avoir joui de sa gloire ; Corneille, dégoûté du théâtre, et n’y rentrant que pour s’y traîner avec de nouveaux dégoûts ; Racine, désespéré par ses critiques ; Quinault, victime de la satire ; tous enfin se reprochant d’avoir perdu leur repos pour courir après la renommée. […] Peut-être auriez-vous raison de vous plaindre de l’incertitude de l’histoire, si elle ne devait pas être autre chose pour un philosophe que la connaissance aride des faits.
Pour qui consent à réfléchir, la Critique est le jugement d’un esprit ferme et sagace sur les œuvres de l’esprit, d’après la connaissance des lois qui le régissent et les principes qui en découlent. Or, Jules Janin, tête sans métaphysique supérieure, ayant le bon sens et le discernement mais sans haute portée et sans grande profondeur, se vengeant de cette médiocrité par une imagination adorablement colorée et par la plus vive sensibilité d’écrivain, n’avait ni cette fermeté de jugement, ni cette connaissance des lois de l’esprit, ni ces principes qui constituent la Critique et son mâle génie.
Il passait devant la Sorbonne vers 1824, et un jeune étudiant de sa connaissance, qui sortait d’un cours célèbre, l’arrêtait, le prenait par le bouton de la redingote, et lui parlait ainsi : « Bonjour, cher monsieur, comment vous portez-vous ? […] Ils ont observé le mouvement naturel de la pensée, et le reproduisent ; ils savent que ses premières opérations consistent dans la connaissance de faits particuliers, déterminés, et le plus souvent sensibles, que peu à peu elle se porte involontairement sur certaines parties détachées de ces faits, qu’elle les met à part, qu’aussitôt les signes apparaissent d’eux-mêmes, que les idées abstraites et les jugements généraux naissent avec eux ; ils suivent cet ordre dans les vérités qu’ils nous présentent, et en retrouvant la manière dont l’esprit invente, ils nous apprennent à inventer.
Des fonctions vagues d’attaché à l’ambassade d’Espagne, sous M. d’Harcourt, ne lui procurèrent d’autre résultat qu’une première connaissance de ce pays, quelques amitiés qui lui restèrent, et d’ailleurs beaucoup de désappointements personnels.
Les femmes, leur société, la connaissance des sentiments et des affections qui leur conviennent, leur genre de faiblesses, et même leurs vertus, ont heureusement inspiré M.
Mais que de choses nous manquent encore pour avoir une connaissance pleine et entière d’un individu !
Priam doit se faire une grande violence pour parler ainsi au meurtrier d’Hector : il y a une profonde connaissance du cœur humain dans tout cela.
Les poètes et les penseurs les plus éminents du siècle de Louis XIV étaient restés profondément étrangers à la connaissance des arts plastiques. […] Le patricien est seul en possession des choses sacrées, du langage identique à la connaissance et de la propriété qui en est inséparable. […] L’intelligence est la connaissance sans désir, sans amour ; la sensibilité physique, c’est le désir, le besoin sans la connaissance. […] Le vrai et l’utile se touchent donc par une intime connexité ; les connaissances qui n’ont pour objet que la vérité mathématique sont étroitement unies aux connaissances appliquées aux arts industriels et constituent cet ordre intellectuel tout à fait indépendant de la vie du cœur, et que nous nommons la science. […] Les connaissances où le cœur n’entre pour rien prennent bien vite pour but la seule satisfaction des désirs matériels.
Il est certain enfin que de telles paroles doivent être corrigées par une connaissance précise des tempéraments et des restrictions que l’ensemble de sa doctrine y apporte. […] Mais tout ce que nous pouvons accorder, et nous l’accordons volontiers, c’est qu’il se distingue du gros des encyclopédistes par une certaine connaissance de l’homme. […] Je pose en fait qu’entre eux tous ils n’ont pas augmenté d’une seule connaissance la somme des vérités psychologiques et morales que leur avait léguées le siècle précédent. […] le voilà, l’initiateur du public français à la connaissance du beau ! […] Diderot ne l’a guère essayé qu’une fois, à notre connaissance, dans un morceau, d’ailleurs très remarquable et souvent cité, sur les limites précisément de la sculpture et de la peinture.
Lebrun, érudition, imagination, connaissance du passé, amour du grand. […] Le cas peut se comparer à celui d’un poëte ou d’un romancier qui enlèverait à l’imagination le commandement des facultés pour le donner, par exemple, à la connaissance de la langue ou à l’observation des faits. […] Ricard unit une connaissance très-vaste de l’histoire de son art, un esprit critique plein de finesse, et il n’y a pas un seul ouvrage de lui où toutes ces qualités ne se fassent deviner. […] Si vous avez eu quelquefois le loisir de faire connaissance avec ces beautés météorologiques, vous pouvez vérifier par mémoire l’exactitude des observations de M. […] Quant aux omissions ou erreurs involontaires que j’ai pu commettre, la Peinture me les pardonnera, comme à un homme qui, à défaut de connaissances étendues, a l’amour de la Peinture jusque dans les nerfs.
Ce qu’on appelle la critique de la connaissance en demeure la base ou le nœud. […] Ce n’est pas un tableau historique d’ensemble, mais une série d’articles, nourris d’idées et de connaissances et d’une lecture tout à fait attrayante. […] Les mystiques prétendent que ces impressions constituent une connaissance directe et intuitive. […] Mais c’est précisément ce qui permet à l’homme de commander à ses passions par le ministère de l’entendement et de la connaissance, en quoi consistent toute force et toute félicité. […] En feuilletant ces sept ou huit cents pages, on fait le tour des connaissances humaines.
Henry Céard Avec le Livre de jade de Mme Judith Gautier, nous entrons plus profondément dans la connaissance des poètes chinois.
Mais c’est en traitant de la Comédie chez les Modernes, que l’on donnera une connaissance plus étendue des principes de ce bel art, et des moyens imaginés pour varier l’instruction et les amusements que la bonne comédie doit offrir à la société chez une nation policée.
Lorsque, avec la grandeur du sujet, la beauté de la poésie, l’élévation naturelle des personnages, on montre une connaissance aussi profonde des passions, il ne faut rien demander de plus au génie.
Ce n’est pas sur une fille prostituée, sur un soldat aux gardes qu’on envoie chercher quatre fois par an que cette connaissance s’acquiert.
Nous l’admirons comme un type, parce qu’il a manifesté, plus qu’aucun homme de notre connaissance, ce don singulier qu’on appelle l’imagination philosophique.
À minuit, je me présente au théâtre ; le concierge prend connaissance de mon billet de répétition et me laisse entrer. […] Buloz de longue main ; en effet, la connaissance date de 1829. […] Ma plume, vous le savez, a toujours été fort au service de mes amis, et même de mes connaissances. […] Buloz était une ancienne connaissance : à cent écus de moins par volume, je lui donnai la préférence. […] « Au reste, s’il ne s’agit que de tomber dans un puits et de rester deux heures sans connaissance, pour devenir consul, nous connaissons un commissaire royal qui, même sans avoir besoin de tomber dans un puits, restera sans connaissances toute sa vie.
En attendant que son heure soit venue, il étudie à fond toutes les connaissances humaines, et surtout celles qui peuvent être utiles au gouvernement des hommes. […] Puisque, dans la pensée intime de ses fidèles, cette esthétique est la connaissance de quelque chose de « tout fait », on conçoit que ses règles essentielles soient très peu variables, et puissent porter seulement sur des détails, non sur l’essentiel. […] Après avoir montré comment Alfred de Vigny s’impose à l’admiration de la génération nouvelle, il dit en effet : « Depuis un siècle, le domaine de la connaissance humaine s’est accru prodigieusement, et notre besoin de savoir s’en est accru davantage. […] * * * S’il est définitivement établi, comme tout paraît le démontrer, qu’il ne peut pas y avoir une science, mais des sciences, et que ces sciences, loin de conduire l’homme à une vision d’ensemble de l’univers, lui fournissent au contraire continuellement des points de vue nouveaux sur le Réel dans des ordres de connaissance différents, les hommes risquent de perdre toute vue synthétique sur l’ensemble des choses, les sciences allant vers la diversité et non vers l’unité. […] Je crois pour ma part, et d’autres le croient avec moi, que la poésie de l’avenir sera celle qui saura utiliser l’ensemble de la connaissance humaine pour éclairer toute la vie et pour donner aux hommes les plus hautes consolations et les plus vastes espérances.
En voici un encore vers lequel le hasard nous a conduit, et auquel une connaissance suivie nous a attaché. […] Elle habitait d’ordinaire à Colombier, à une lieue de Neuchâtel ; elle observa les mœurs du pays avec l’intérêt de quelqu’un qui n’en est pas, et avec la parfaite connaissance de quelqu’un qui y demeure. […] Mon cordonnier, mon perruquier, un petit garçon qui fait mes commissions, un gros marchand, portent tous le même nom ; c’est aussi celui de deux tailleurs avec qui le hasard m’a fait faire connaissance, d’un officier fort élégant qui demeure vis-à-vis de mon patron, et d’un ministre que j’ai entendu prêcher ce matin. […] Il me semblait quelquefois, à ce bal, que nous étions d’anciennes connaissances ; je me demandais quelquefois si nous ne nous étions point vus étant enfants ; il me semblait qu’elle pensait la même chose que moi, et je m’attendais à ce qu’elle allait dire. […] Je dois la connaissance de ce jugement, ainsi que plusieurs des documents de cette biographie, à la bienveillance d’un homme spirituel et lettré du canton de Vaud, M. de Brenles.
L’inflexible loi du devoir est la même pour tous, mais les forces morales sont purement individuelles, et la profonde connaissance du cœur humain peut seule donner à nos jugements sur le bonheur et le malheur de ceux qui ne nous ressemblent pas, une équité philosophique. […] Ceux qui cherchent le pouvoir et la fortune désirent bien cependant qu’on leur croie des qualités morales et surtout des facultés supérieures ; mais c’est un but secondaire qui doit céder au premier ; car une certaine connaissance dépravée de la race humaine apprend que les solides avantages de cette vie sont ceux qui nous asservissent les intérêts des hommes plus encore que leur estime. […] Ce qui distingue la conscience de l’instinct, c’est le sentiment et la connaissance du devoir, et le devoir consiste toujours dans le sacrifice de soi aux autres. […] Elle n’avait que dix-huit ans quand elle périt, et déjà son nom était célèbre par sa profonde connaissance des langues anciennes et modernes ; on a des lettres d’elle en Latin et en Grec qui supposent des facultés bien rares à son âge. […] La connaissance des secrets de l’univers égalera-t-elle jamais l’attrait inexprimable du voile qui les couvre ?
Lorsque je fis sa connaissance, je crus qu’il n’avait pas quatre semaines à vivre. […] Son silence, au milieu des grands événements et des complications de ce temps, n’était qu’une résignation douloureuse, à laquelle l’obligeaient de se résoudre sa position et aussi sa connaissance exacte des hommes et des choses. […] combien je suis fâchée qu’il ne soit pas resté, et que je n’aie pas eu le bonheur de faire sa connaissance ! […] À l’extrémité d’une allée nous voyons deux personnes de nos connaissances qui marchaient paisiblement l’une à côté de l’autre en causant. […] On doit en épargner la connaissance au peuple, et surtout on ne doit pas le forcer pour ainsi dire à s’enfoncer dans pareille recherche.
C’est par l’appétition que l’animal fait d’abord connaissance avec l’attente. […] Il ferait donc connaissance d’abord avec le futur. Aussitôt cette première connaissance faite, il pourrait concevoir le passé, et il subirait effectivement, grâce à la représentation innée d’une pomme déjà mangée, l’illusion de faire pour la seconde fois ce qu’il fait réellement pour la première fois. […] Nous croyons, au contraire, que l’animal peut sentir et commence par sentir sans aucune intuition du successif, comme si tout était simultané ; qu’il peut agir et agit comme en présence de choses toutes actuelles, alors même que ces choses sont de simples images ; qu’il apprend plus tard à reporter ces images dans un milieu différent de l’actuel, dont il fait d’abord la connaissance par l’appétit et le besoin, sous forme de potentiel s’actualisant ; qu’il découvre enfin et conçoit la succession après avoir fait l’expérience répétée d’un certain nombre de sensations et appétitions successives en fait. […] « Que si je pouvais, conclut Kant, avoir l’intuition de moi-même ou d’un autre être indépendamment de cette condition de la sensibilité, les mêmes déterminations que nous nous représentons actuellement comme changement nous donneraient une connaissance où ne se trouverait plus la représentation du temps, et par conséquent aussi du changement. » — Qu’est-ce que Kant en peut savoir ?
Croce distingue très nettement deux formes de la connaissance : 1º la connaissance intuitive qui, par l’imagination, connaît des choses individuelles, prises isolément, et qui produit des images ; cette intuition est à la base de l’art […] — 2º la connaissance logique qui, par l’intellect, connaît de l’universel et des choses dans leurs rapports entre elles, et qui produit des notions ; cette logique est à la base de la science et de la philosophie. […] Martini avait-il eu connaissance du manuscrit de M. […] Ou bien la connaissance d’autres ères, en d’autres pays, nous prouverait-elle qu’il s’agit ici d’une rencontre fortuite ?
Il me faut rester maintenant avec la connaissance de ce que j’ai fait ! — Mieux vaudrait n’avoir plus la connaissance de moi-même. […] Demeure innocente de la connaissance du projet, ma chère poule, jusqu’à ce que tu applaudisses à l’action. — Viens, ô nuit, apportant ton bandeau : couvre l’œil sensible du jour compatissant, et de ta main invisible et sanguinaire arrache et mets en pièces le lien puissant qui fixe la pâleur sur mon front. — La lumière s’obscurcit, et déjà le corbeau dirige son vol vers la forêt qu’il habite. […] J’irai trouver demain, et de bonne heure, les sœurs du Destin : il faudra qu’elles parlent encore ; car à présent je me précipiterai par les pires moyens dans la connaissance de ce qu’il y a de pire ; je ferai céder à mon avantage tous les autres motifs.
Mais que, parmi les idiomes dont la connaissance nous est possible, il y en ait qui plus que d’autres aient conservé la trace des procédés qui présidèrent à la naissance et au développement du langage et sur lesquels ait passé un travail moins compliqué de décomposition et de recomposition, ce n’est point là une hypothèse, c’est un fait résultant des notions les plus simples de la philologie comparée. […] J’espère pourtant faire sortir de cette insignifiante étude quelques traits curieux pour l’histoire de l’esprit humain ; on y verra en présence deux esprits profondément divers et incapables de se pénétrer l’un l’autre, une éducation superficielle et sans résultats durables, qui fera comprendre par contraste le fait immense de l’éducation hellénique des peuples occidentaux ; de singuliers malentendus, d’étranges contre-sens décèleront des lacunes, dont la connaissance servira à dresser plus exactement la carte de l’esprit sémitique et de l’esprit indo-germanique. […] Quelques heures données à la lecture d’un ouvrage moderne de médecine, de mathématiques, d’astronomie seront plus fructueuses pour la connaissance de ces sciences que des années de doctes recherches, consacrées aux médecins, aux mathématiciens, aux astronomes de l’Orient 101. […] Mais elles acquièrent un grand prix si on considère qu’elles fournissent des éléments importants pour la connaissance des littératures anciennes, et surtout pour l’étude comparée des idiomes.
Partout où il va, il est accueilli à merveille ; il retrouve de ses connaissances du grand monde de Paris et, jusque dans les Italiens de distinction, des compatriotes. […] Il avait certes assez de poumons pour les remplir, assez de connaissances pour les éclairer, assez de bons mots et peut-être de lazzis pour les égayer.