L’enfant tournait le dos au soleil, qui lui mettait des fils d’or dans les cheveux et qui empourprait d’une lueur sanglante la face sauvage de Jean Valjean. […] Cela prouve que le peuple ne veille pas assez sur ses jolies filles, et la bourgeoisie sur ses fils : car il est évident que, si chacune de ces grisettes avait une gouvernante, et chacun de ces jeunes débauchés un gouverneur, comme le veut J. […] Il le dit à son fils plus tard, et lui fait promettre de sauver un jour ses sauveurs, s’il vient à les découvrir jamais.
« Dans la grande rue de Frédéric, devant le gymnase de Frédéric, se tenaient les élèves avec leur directeur ; ils saluèrent le passage du mort de chants religieux ; en passant devant l’Université, au son des cloches, au bruit des chants de la société chorale des hommes de Berlin, le cercueil arriva devant le dôme où l’attendaient, sous le portail, la tête découverte, le prince régent, les princes Frédéric-Guillaume, Albert, Albert fils, Frédéric, Georges, Adalbert de Prusse, Auguste de Würtemberg et Frédéric de Hesse-Cassel ; puis, à l’entrée principale de l’église, les chapelains de la cour, conduits par Strauss, reçurent le cercueil et l’accompagnèrent devant l’autel, où il fut déposé sur une estrade entourée de palmes et de plantes en fleurs, d’innombrables cierges portés par quatre immenses candélabres, et enfin des coussins sur lesquels reposaient les ordres du défunt. […] Le héros de cette nouvelle romantique est le même Antar, de la tribu d’Abs, fils du favori Scheddad et d’une esclave noire, dont les vers sont au nombre des poèmes couronnés, suspendus dans la Kaaba (Moallakât). […] Asmai fait voyager le fils du désert à Constantinople ; c’est pour lui une occasion d’opposer d’une manière pittoresque la civilisation grecque et la rudesse de la vie nomade.
Valentin Simond, dont le fils, M. […] Heureusement, le temps est loin où le père maudissait son fils quand il se destinait à la littérature ou à la peinture. […] C’est comme si, d’une douce insistance, vous l’aviez forcé à boire un verre de la vieille liqueur d’illusion ; et il en arrive presque à oublier que ce ne sont point les compagnons de sa jeunesse qu’il a devant lui, mais déjà leurs fils.
Nous n’avons eu en vue que de parler ici des Lyriques qui ont donné un recueil de leurs Odes ; ainsi nous passerons sous silence les Odes de Racine pere & fils, quoiqu’elles soient dignes d’être connues ; l’Ode sur la prise de Namur par Boileau, qui prouve qu’on peut très-bien sentir les beautés de Pindare sans savoir les imiter ; les Odes de M. de Voltaire qui ne sont pas ses meilleurs ouvrages, &c. […] Racine le fils a chanté la Grace & la Religion dans deux Poëmes, pleins de beaux vers. […] Le célébre Abbé de Chaulieu, l’Evêque de Luçon, fils du fameux Bussi Rabutin, & beaucoup plus aimable que son père, un ancien ami de Chapelle, plein d’esprit & de goût, l’Abbé Courtin, & d’autres bons juges des ouvrages, s’égayoient aux dépens de la Motte.
C’est celle où l’emprunteur et l’usurier, qui ne s’étaient pas encore vus, se rencontrent face à face et se trouvent être le fils et le père. […] Rencontrant de nouveau son fils, il fait à peine allusion à cette scène si grave : « Et vous, mon fils, à qui j’ai la bonté de pardonner l’histoire de tantôt, etc. » L’avarice a donc passé à côté du reste sans y toucher, sans en être touchée, distraitement.
Demeure dans l’empire innommé du possible, Ô fils le plus aimé qui ne naîtras jamais ! […] Nous savons par lui qu’il est fils de ce Paris populaire qu’il aime et comprend si bien. […] Dans la première Pensée d’août, l’histoire de Doudun, surtout celle de Marèze, de ce poète qui se fait homme d’affaires, puis commis, pour soutenir sa mère et pour payer une dette d’honneur, n’est-ce pas un peu le sujet d’Un fils, dans les Humbles ! […] Je l’emprunte à la pièce intitulée Un fils, une des plus simples et des plus unies. […] C’est Ahasver, le Juif errant, qui, pendant qu’une tempête farouche ébranle le vieux burg, raconte son histoire. « Après l’anathème que lui a lancé Jésus gravissant le Golgotha, il a vu mourir tous ceux qu’il aimait, et il a cru enfin au Christ le jour où son fils est mort ; mais il a refusé de « plier les genoux ».
Mille infortunes avaient traversé ses jours remplis de durs labeurs… Personne, durant cinquante ans, ne s’était occupé de son âme… Il avait toujours eu des maîtres pour lui vendre l’eau, le sel et l’air, pour lever la dîme de ses sueurs, pour lui demander le sang de ses fils ; jamais un protecteur, jamais un guide… Au fond, que lui avait dit la société ? […] Nul n’a été plus dur pour l’esprit de la Révolution que ce fils de tonnelier, d’âme si évidemment démocratique. […] Et pourtant les révolutionnaires inassouvis et furieux sont bien les fils des révolutionnaires repus, devenus conservateurs de leur situation acquise et défenseurs de l’ordre en tant qu’ils en bénéficient. […] Dans les autres cas, lorsqu’il empoigne et se met à déshabiller, à tenailler, à désarticuler, à démantibuler un homme, que ce soit Thiers, Girardin, Havet, Jourdan, Eugène Suë, Hugo et les fils Hugo, Lamartine même, ou telle vieille barbe de 48, ou tel sinistre pantin du 4 septembre, ou le vieux Pyat, ou Edmond About, ou Henri Rochefort (ah !
Henri, jeune avocat qui veut faire son chemin, fils du digne chef de bureau André Tasselin et neveu du banquier Jacques Tasselin, est fiancé à Mlle Ramel qui a 200.000 francs de dot. […] Des choses que Dumas fils, il y a trente ans, n’aurait hasardées qu’avec un luxe de préparations, et qu’il eût tour à tour insinuées avec des finesses de diplomate ou imposées avec des airs de dompteur, passent maintenant le plus aisément du monde et sans l’ombre de scandale. […] (Ajoutez que, dans la vie réelle, un conseil municipal peut bien être uniquement composé d’âmes médiocres et viles, mais est composé aussi de pères de famille dont le fils est astreint au service militaire, et qu’ainsi, la salubrité des casernes ne saurait être tout à fait indifférente à leur égoïsme.) […] Tel esthète ou tel rêveur humanitaire est fils du « petit rentier » de l’Épidémie, ou neveu du boucher radical Barbaroux.
Ainsi, fils d’Apollon, de ta lyre divine Je cherche les accords touchants Mais, humides encor du lait de Mnémosyne, Tes lèvres ont cessé leurs chants… Denne-Baron lui-même qu’était-il, et quel rôle pourrait-on lui assigner en le nommant dans une histoire de la poésie française au xixe siècle ?
Évandre, en disant adieu à son fils Pallas, prêt à partir pour la guerre, s’adresse au ciel en ces termes : At vos, o superi, et divum tu maxime rector, Jupiter, Arcadii, quæso, miserescite regis, Et patrias audite preces.
Ils le voyaient à l’évidence, comme ils voyaient cette mer bleue qui les entourait… » Ainsi le récit patient, d’observation minutieuse, se trouve soulevé, vers la fin, par un souffle de vaillance et d’énergique espoir ; et il nous plaît de retrouver et de reconnaître chez l’artiste raffiné, chez l’auteur de Pierrot assassin de sa femme, un peu de l’âme du soldat excellent dont il est le fils.
Homère, nous n’en avons lu aucun qui ait eu pour nous un charme plus inattendu, plus naïf, plus émané de la pure nature, que le poète villageois de Maillane — Si nous étions riche, si nous étions ministre de l’instruction publique ou si nous étions seulement membre influent d’une de ces associations qui se donnent charitablement la mission de répandre ce qu’on appelle les bons livres dans les mansardes et dans les chaumières, nous ferions imprimer à six millions d’exemplaires le petit poème épique dont nous venons de donner une si brève et si imparfaite analyse et nous l’enverrions gratuitement, par une nuée de facteurs ruraux, à toutes les portes où il y a une mère de famille, un fils, un vieillard, un enfant capable d’épeler ce catéchisme de sentiment, de poésie et de vertu, que le paysan de Maillane vient de donner à la Provence, à la France et bientôt à l’Europe.
Il aspire à épouser la fille de la maison, il chasse le fils, il cherche à séduire la femme ; il dépouillerait son protecteur lui-même, si un deus ex machina ne déjouait ses noirs desseins.
Il étoit fils de Nicolas Goulu, professeur royal en langue Grecque, le même qui, selon Théodore Agrippa d’Aubigné, ne vouloit point que sa femme prît en pension ceux qui étudioient aux loix, mais bien les petits grimaux .
Cette affaire eut pu réellement en avoir, sans le prince de Condé, fils du grand Condé, qui prit Racine & Despréaux sous sa protection, leur offrit un logement à son hôtel, & fit dire au duc de Nevers, & même en termes assez durs, qu’il regarderoit comme faites à lui-même les insultes qu’on s’aviseroit de leur faire.
nous avons tué le divin Hector ; c’est de même que les Saliens, célébrant la fête d’Hercule, s’écrient brusquement dans Virgile : Tu nubigenas, invicte, bimembres, etc. « C’est toi qui domptas les deux centaures, fils d’une nuée, etc. » Cet hymen met le dernier trait au tableau de Milton, et achève la peinture des amours de nos premiers pères15.
Macrobe dit qu’Aesopus, un célebre comédien tragique dont nous avons déja parlé, et le contemporain de Ciceron, laissa en mourant à ce fils, dont Horace et Pline font mention comme d’un fameux dissipateur, une succession de cinq millions qu’il avoit amassez à jouer la comédie.
L’application de cette théorie, — qui supprimait la famille chrétienne en faisant égaux en droit le père et le fils, renversait le foyer domestique et son crédit, donnait une prime aux turbulents, toujours prêts, contre les pacifiques, toujours promptement dégoûtés de ces orgies, et tout cela pour se terminer irrévocablement par des réactions que la force des choses veut et que le législateur devrait prévoir, ne fût-ce que pour organiser, — telle est, sans phrases, girondines ou autres, sans déclamation et sans haine, la Révolution française.
Pour nous, qui venons de nous en assurer encore, c’est du Crébillon fils tout au plus, auquel il manque des cantharides, et qu’on a détrempé dans le Lait des Sultanes du nauséabond Dorat.
I Henri Rochefort est un des plus beaux fils de cette Chronique que j’accusais récemment d’être un genre mortel à la littérature et au talent, et qui, comme la Révolution française, comparée par Vergniaud à Saturne, doit dévorer tous ses enfants… La Chronique ne coupera point la tête aux siens, comme la Révolution française, mais elle leur videra le cerveau.
triste figure, en effet, mais pour tous ceux qui ont gardé un peu d’idéal dans leur pensée, n’écrase-t-elle pas de sa hauteur et de son originalité la face vulgaire de Sancho, l’un des fils de cette mère Gigogne qu’on appelle la Sagesse du Monde, dont tous les enfants se ressemblent, qu’ils se nomment Sancho ou Panurge, Falstaff, Chrysale, Figaro, Pangloss, et même Méphistophélès ?
Pierre Dupont qui est, de tempérament, un élégiaque et même un idyllique ; mais cet élégiaque et cet idyllique a pris son talent naturel entre deux imitations, comme on prend sa tête entre deux portes, — l’imitation de ce Béranger qui est un bourgeois et de cet Hégésippe Moreau qui est un bohême, — et entre ces deux fils des villes, il a fourvoyé le paysan !
Il conspira contre Maxence son fils, contre Constantin son gendre, et finit par vouloir rendre sa fille complice de l’assassinat de son époux.
Si nous examinons maintenant son caractère et ses qualités personnelles, nous lui trouverons cette ambition sans laquelle un homme n’a jamais donné un grand mouvement à ce qui l’entourait ; cette activité nécessaire à tous les genres de succès, à la guerre surtout, et dans un empire qui embrassait cent provinces ; cette férocité qui était le vice général du temps, et qui lui fit commettre des crimes, tantôt d’une barbarie calme, comme le meurtre de son beau-frère, celui de son neveu, et celui des rois prisonniers qu’il fit donner en spectacle et déchirer par les bêtes, tantôt des crimes d’emportement et de passion, comme les meurtres de sa femme et de son fils ; cet amour du despotisme presque inséparable d’une grande puissance militaire et de l’esprit de conquête, et surtout de l’esprit qui porte à fonder un nouvel empire ; un amour du faste, que les peuples prennent aisément pour de la grandeur, surtout lorsqu’il est soutenu par quelques grandes actions et de grands succès ; des vues politiques, sages, et souvent bienfaisantes, sur la réforme des lois et des abus, mais en même temps une bonté cruelle qui ne savait pas punir, quand les peuples étaient malheureux et opprimés.
Les traditions ont été détruites qui dans le présent faisaient survivre le passé, qui donnaient aux fils, comme compagne invisible et toujours présente, la bonne volonté des pères. […] « Mon père », a-t-il dit quelque part, « est le fils d’un paysan qui a eu de l’orgueil et a voulu que son fils étudiât pour être prêtre… Il s’est installé, un beau jour, dans une petite chambre, au fond d’une rue noire, d’où il sort pour donner quelques leçons à dix sous l’heure, et où il rentre pour faire la cour à une paysanne qui sera ma mère… » Cette hérédité suffit à expliquer l’imagination de Vallès et sa nuance spéciale. […] Mais cette ressemblance intellectuelle ne devait apparaître que plus tard et, dans l’exécution, dans le tour de main de son œuvre, au lieu que, durant les années d’apprentissage, un irréparable divorce d’idées s’établit entre le père et le fils dont celui-ci souffrit cruellement. […] Maxime Du Camp, qui fut l’intime ami de Gustave à cette époque, rapporte dans ses Souvenirs quelques-uns des propos que tenait le vieux chirurgien lorsque son fils lui parlait de ses ambitions d’écrivain : « Le beau métier de se tremper les doigts dans l’encre ! […] Il me raconta une visite à Munich, avant la guerre, et qu’il avait entendu le choral de Luther entonné à pleine voix par une tablée d’étudiants : — « … De vrais fils de la brume.
Dans cette espèce d’épithalame adressé au père et au roi au moment du mariage de son fils Charles-Emmanuel avec Clotilde de France et pour fêter leur voyage en Savoie, le jeune substitut épanche en prose poétique sa fidélité exaltée envers son souverain. […] (Costa) sur la vie et la mort de son fils Alexis-Louis-Eugène de Costa, lieutenant au corps des grenadiers royaux de Sa Majesté le roi de Sardaigne, mort, âgé de seize ans, à Turin, le 21 mai 1794, d’une blessure reçue, le 27 avril précédent, à l’attaque du Col-Ardent (Turin, 1794), avec cette épigraphe : Frutto senil insu ’l giovenil flore. […] Son enthousiasme religieux effraya celle qui vous remplaçait auprès de votre fils (une belle-sœur de Mme de Costa) ; elle pria l’anachorète exalté de diriger ailleurs ses pensées et de ne former aucun vœu dans son cœur, de peur que son désir ne fût une prière : beau mouvement de tendresse, et bien digne d’un cœur parent de celui d’Eugène ! […] En quittant la Sardaigne, il passa par Rome et y reçut la bénédiction du Saint-Père, lui le plus véritablement romain de ses fils. […] Son fils, qui servait alors dans les armées coalisées.
Quand Thétis apporte à son fils les armes qu’a forgées Vulcain, et qu’elle le presse de se réconcilier avec Agamemnon ; Homere mêle à ces grandes choses, le soin que prend Thétis d’écarter les mouches du corps de Patrocle : allégorie tant qu’on voudra ; la bassesse de l’image frappe beaucoup plus que la justesse de l’allégorie. […] Agamemnon le conducteur des peuples parloit ainsi, et il alloit continuer, quand Achille aux pieds légers l’interrompit en ces termes : superbe fils d’Atrée, etc. ou bien, en laissant le discours d’Agamemnon suspendu, superbe fils d’Atrée, interrompit Achille . […] Il remontre à l’un qu’il doit du respect au chef de l’armée, et à l’autre qu’il doit de l’égard au fils des dieux. […] Ce n’est pas assez ; car on me diroit peut-être que c’est une mere qui épouse les passions de son fils ; Jupiter lui-même se déclare le protecteur de la vengeance d’Achille, au lieu qu’en bonne morale, il auroit dû l’en punir. […] Priam ne se seroit point avisé de redemander le corps de son fils, si Jupiter ne lui en eût donné l’ordre par Iris.
Tout père de chez nous, soucieux de transmettre le flambeau de sa race, devra en préserver ses fils. […] Dans tous ses romans, on retrouve ces moments privilégiés qui se détachent en fils d’or, mais mêlés profondément à la texture suivie du récit. […] Fils spirituels de Rousseau, ils rendent à leur manière et propagent cette souveraineté du sens individuel, triomphante après lui dans la littérature. […] Voyez Renaud promettre à Claudine, comme une grâce de plus, avec Rézy, ce qu’il déplore, avec l’opinion publique, chez son fils Marcel. […] Il a fait jurer à son fils aîné de chasser de la maison celui qu’il croit un bâtard.
C’est un produit naturel comme le fils, en qui s’unissent en une seule substance le sang paternel et le sang maternel, donnant pour résultat un individu doté d’une spontanéité et d’une vie propres. […] Possédé de l’ivresse des lettres antiques qui caractérisait la Renaissance, certain moine franciscain, fils d’un aubergiste de Tours, s’adonna à l’étude du grec, et négligea complètement les devoirs de sa règle. […] Rousseau, Georges Sand, Alexandre Dumas fils, et cent autres romanciers qui s’érigent en maîtres de morale du genre humain, qui écrivent des romans à thèses et à théories, me semblent d’une lecture plus funeste que n’est Zola, en admettant que le lecteur les prenne au sérieux. […] Là, les romanciers actuels se nomment fils de Thackeray, de Walter Scott, de Dickens, de Sand, de Victor Hugo, de Balzac. […] Ce sont là cependant les fils préférés de l’auteur, visiblement séduit par la vie rurale, si saine, si paisible et si régénératrice, autant que lui répugnent les centres ouvriers industriels avec leurs misères irrémédiables.
Pourquoi les fils de fellahs sont inférieurs aux fellahs ? […] Dans un coin, le gras fils de Victor Hugo, en costume de garde national, fait jouer sur un tabouret, avec des dames, un petit enfant, aux cheveux blonds, à la ceinture rouge. […] La femme du marchand parle, avec une voix où il y a des larmes et de petits rires nerveux, d’un mobile caserné au fort de l’Est, qui est son fils. […] Une pauvre vieille femme avait toute sa vie et toute son âme concentrées sur un fils qui, d’employé de la banque, est devenu, à l’heure présente, soldat. […] Et, le repas vite achevé, la vieille femme court donner à un pauvre la portion de son fils.