Les premiers vers du marquis, par exemple, traduction remarquable du Livre de Ruth, parurent en 1843 dans le même volume que la traduction en vers du Livre de Job par le comte Ferdinand.
On sent, à mesure que s’achève la lecture du volume, que la conscience s’en va, s’en va, et quand elle lui est revenue, quelques mois avant de mourir, il rédige les Poésies, où, parmi de très curieux passages, se révèle l’état d’esprit d’un moribond, qui répète, en les défigurant dans la fièvre, ses plus lointains souvenirs, c’est-à-dire, pour cet enfant, les enseignements de ses professeurs !
Poète léger qui s’adonne facilement au madrigal et aux comédies ; il a publié trois volumes de poésies.