. — 2º L’Homme sensible ; — et comment on peut ramener à ce second trait de son caractère : — sa facilité d’être impressionné par le moindre plaisir ou la moindre douleur ; — sa rapidité à passer tout entier dans son impression du moment ; — la vibration perpétuelle de son style ; — son impuissance habituelle à gouverner ses idées ; — les contradictions dont son œuvre fourmille ; — et la faiblesse d’abord, puis l’atrophie de sa volonté. — 3º Le Fou, c’est-à-dire « le neurasthénique et le lypémaniaque » [Cf.
Aussi n’est-ce pas à l’intelligence, mais à la volonté qu’il faut demander de le croire : « Travaillez non pas à vous convaincre par l’augmentation des preuves de Dieu, mais par la diminution de vos passions » ; et, « en suivant les gens qui savent ce chemin, vous guérirez du mal dont vous voulez guérir » : c’est la voie du salut, et c’est le dogme de la grâce.
Une puissance plus forte que la volonté du vieillard protégea Caïus : c’était Macron, qui espérait perpétuer son pouvoir sous le jeune César, auquel il avait livré sa femme Ennia.