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1567. (1898) Manuel de l’histoire de la littérature française « Livre II. L’Âge classique (1498-1801) — Chapitre III. La Déformation de l’Idéal classique (1720-1801) » pp. 278-387

. — 2º L’Homme sensible ; — et comment on peut ramener à ce second trait de son caractère : — sa facilité d’être impressionné par le moindre plaisir ou la moindre douleur ; — sa rapidité à passer tout entier dans son impression du moment ; — la vibration perpétuelle de son style ; — son impuissance habituelle à gouverner ses idées ; — les contradictions dont son œuvre fourmille ; — et la faiblesse d’abord, puis l’atrophie de sa volonté. — 3º Le Fou, c’est-à-dire « le neurasthénique et le lypémaniaque » [Cf. 

1568. (1887) Études critiques sur l’histoire de la littérature française. Troisième série pp. 1-326

Aussi n’est-ce pas à l’intelligence, mais à la volonté qu’il faut demander de le croire : « Travaillez non pas à vous convaincre par l’augmentation des preuves de Dieu, mais par la diminution de vos passions » ; et, « en suivant les gens qui savent ce chemin, vous guérirez du mal dont vous voulez guérir » : c’est la voie du salut, et c’est le dogme de la grâce.

1569. (1846) Études de littérature ancienne et étrangère

Une puissance plus forte que la volonté du vieillard protégea Caïus : c’était Macron, qui espérait perpétuer son pouvoir sous le jeune César, auquel il avait livré sa femme Ennia.

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